633 febb cd01

23
Judith Barna Université d'Artois, IUFM Master 2 anglais UE5 Spécialité enseignement 2010-2011 Lesson 1

description

 

Transcript of 633 febb cd01

Page 1: 633 febb cd01

Judith Barna Université d'Artois, IUFM

Master 2 anglais UE5Spécialité enseignement

2010-2011

Lesson 1

Page 2: 633 febb cd01

Judith Barna Université d'Artois, IUFM

Getting to know each other

What’s the truth game

I love to cook and eat Indian food. I can speak four languages: French, English, Hungarian and

Russian. I have three daughters. I love going to the opera. I lived and worked in Japan for two years.

Page 3: 633 febb cd01

Judith Barna Université d'Artois, IUFM

Le Métier d'enseignant

Page 4: 633 febb cd01

Judith Barna Université d'Artois, IUFM

Qu'est-ce qu'un bon prof ?

Step 1: pairwork

Step 2: watch the film

Step 3: newspaper article

Step 4: Piaget

Page 5: 633 febb cd01

Judith Barna Université d'Artois, IUFM

1 - Agir en fonctionnaire de l'État et de façon éthique et responsable2 - Maîtriser la langue française pour enseigner et communiquer3 - Maîtriser les disciplines et avoir une bonne culture générale4 - Concevoir et mettre en œuvre son enseignement5 - Organiser le travail de la classe6 - Prendre en compte la diversité des élèves7 - Évaluer les élèves8 - Maîtriser les technologies de l'information et de la communication9 - Travailler en équipe et coopérer avec les parents et les partenaires de l'école10 - Se former et innover

LES DIX COMPÉTENCES PROFESSIONNELLESLes compétences professionnelles à acquérir au cours de la formation mettent en jeu des connaissances, des capacités à les mettre en œuvre et des attitudes professionnelles. Déclinées en fonction du métier exercé, professeurs, conseillers principaux d'éducation, elles sont toutes, à un titre ou à un autre, également indispensables.

Pairwork : Quelles sont les 10 compétences

Regardez le film. Quelles sont les compétences identifiables ?

Page 6: 633 febb cd01

Judith Barna Université d'Artois, IUFM

Evolution du métier

Daniel Schneider et al. Conception et implémentation de scénarios pédagogiques riches avec des portails communautaires http://tecfa.unige.ch/proj/seed/catalog/docs/gueret03/

Figure traditionnelle figure composite

Page 7: 633 febb cd01

Judith Barna Université d'Artois, IUFM

Figure traditionnelleEnseignant seul

Projet individuel

Lieu : la classe

Tâches traditionnelles

figure compositeDivers partenaires

Projet collectif

Lieu : dispositif de formation hybride*

Tâches liés à des nouvelles pratiques professionnelles*

*Daniel Peraya « Un dispositif de formation hybride se caractérise par la présence dans un dispositif de formation de dimensions innovantes liées à la mise à distance. Le dispositif hybride, parce qu’il suppose l’utilisation d’un environnement technopédagogique, repose sur des formes complexes de médiatisation et de médiation. » (Pédagogie universitaire et TIC : regards sur l’hybridation et ses impacts. Daniel Peraya 2007)

Evolution du métier

Page 8: 633 febb cd01

Judith Barna Université d'Artois, IUFM

En amont de la mise en oeuvre didactique

Ancrage théorique

Théories de références

Méthodologies

Ancrage officiel

Instructions officiels

CECR

Méthodes d'enseignement

Démarche didactique : méthode de l'enseignant

L'acte d'enseignerObjectif: Amener l'élève à un niveau de compétence de communication en fonction d'un objectif défini en situation d'enseignement

Page 9: 633 febb cd01

Judith Barna Université d'Artois, IUFM

La pratique en classe

Contexte de l'établissement

Spécificité du publique

Besoins individuels

Environnementde classe :

aménagementmatériel disponible

Niveaux de compétence

en LVE

Niveaux desCompétences

générales des élèves

C. Tardieu

Page 10: 633 febb cd01

Judith Barna Université d'Artois, IUFM

Dans nos sociétés contemporaines en mutation, les systèmes éducatifs de la plupart des pays sont soumis à de fortes mises en question.

Evaluation des compétences en anglais par le Réseau Européen 1996_2002(note évaluation 04-01 www.education.gouv.fr/stateval )

Une étude conduite en 2002 dans sept pays européens selon un protocole d’évaluation utilisé en 1996 par trois d’entre eux révèle les disparités des compétences des élèves de 15-16 ans en anglais. En 1996, les élèves français avaient un niveau nettement inférieur aux élèves suédois mais à peu près équivalent à celui des élèves espagnols. En 2002, leurs performances sont nettement inférieures à celles des élèves des six autres pays participants, quel que soit le domaine de compétences évalué. Et leurs compétences sont moins bonnes en 2002 qu’en 1996, quel que soit le domaine.

Performances des élèves

Page 11: 633 febb cd01

Judith Barna Université d'Artois, IUFM

CECR

Partie 1. Contexte politique et éducatif HistoriqueObjectifsPublic visé

Partie 2. Les caractéristiques du CECRLa perspective actionnelleSchéma descriptif :

compétences, activités langagières, tâches et stratégies, domaines

Niveaux communs de références

« La mesure phare de ce plan () est l’adoption du cadre européen commun de référence pour les langues (CECRL) publié en 2001 par le Conseil de l’Europe : la France est le premier pays à inscrire dans les textes réglementaires cette référence européenne qui définit six niveaux de compétences en langues – de A1(première découverte) à C2 (utilisateur expérimenté s’exprimant couramment sur des sujets complexes). »

Réaction :série des réformes, exemple : Plan de rénovation de l'enseignement des langues, 2005 :

Page 12: 633 febb cd01

Judith Barna Université d'Artois, IUFM

1. Historique

par le Conseil de l'Europe entre 1991 et 2001● Le Conseil de l'Europe est l'organisation internationale de la « Grande Europe » (47 États membres, soit la quasi-totalité des pays du continent européen) dont le but est de promouvoir la démocratie, les Droits de l'homme, la prééminence du droit, l'identité culturelle et politique européenne et la recherche de solutions aux problèmes de sociétés en Europe. Le Conseil de l'Europe est la conséquence directe du Congrès de la Haye qui s'est tenu du 7 au 10 mai 1948 sous la présidence de Winston Churchill.

Le Conseil de l’Europe n’est pas un institut de recherche mais une institution politique > préoccupation des questions de politiques linguistiques

Le CECR publié en 2001 est le résultat d’un long processus au sein du Conseil de l’Europe (Division des Politiques Linguistiques), Les travaux ont été menés sour la direction de J.L.M. Trim entre 1991 et 2001.

Page 13: 633 febb cd01

Judith Barna Université d'Artois, IUFM

Origines:

Préoccupation dans les années 70 ( la libre circulation des personnes et des idées dans l'espace européen)comment mieux adapter l'offre pédagogique à la demande des apprenants? Apprenant = adultes formation continue

Nécessité d'élaborer un modèle opérationnel de ce qu'un apprenant doit être capable de FAIRE lorsqu'il se sert d'une langue pour communiquer de manière indépendante dans un pays où cette langue sert de véhicule de communication pour la vie de tous les jours

Elaboration de « niveau seuil » en termes de capacité de l'apprenant à réaliser produire des fonctions et des notions dans des situations en termes de contenus langagiers possibles pour parvenir à un niveau « seuil » de communication.

Préoccupation dans les années 80- 90diversification linguistique émergence de l'anglais comme lingua franca

Insistance sur la diversité des apprentissages tout en offrant des points de référence commun.

La demande pour un cadre venait d’un besoin très pragmatique : l’Apparition des diplômes en grand nombre surtout en anglais dans les années 80. Il faudrait positionner les diplômes et les certifications l’un par rapport à l’autre

Donc le besoin d’un instrument de référence transparent  pour définir les niveaux. John Trimm : élargir l’objectif de l’évaluation en parallèle avec l’élargissement de l’Union européenne

Terrain politique linguistique et non pas théorique

Page 14: 633 febb cd01

Judith Barna Université d'Artois, IUFM

2. Objectifs :1. Il faut favoriser une plus grande mobilité, une communication internationale plus efficace qui respecte les identités et la diversité culturelle, un meilleur accès à l’information, une multiplication des échanges interpersonnels, l’amélioration des relations de travail et de la compréhension mutuelle.2. L’apprentissage des langues doit se poursuivre toute une vie durant.3. Il est souhaitable d’élaborer un Cadre européen commun de référence pour l’apprentissage des langues à tous les niveaux, dans le but– de promouvoir et faciliter la coopération entre les établissements d’enseignement de différents pays– d’asseoir sur une bonne base la reconnaissance réciproque des qualifications en langues– d’aider les apprenants, les enseignants, les concepteurs etc (CECR p. 11)

Principe d'utilisation La construction d’un Cadre exhaustif, transparent et cohérent pour l’apprentissage et l’enseignement des langues n’entraîne pas nécessairement l’adoption d’un système unique et uniforme. Au contraire, le Cadre commun doit être ouvert et flexible de façon à pouvoir être appliqué à des situations particulières moyennant les adaptations qui s’imposent. Le Cadre de référence doit être– à usages multiples : on pourra l’utiliser à toutes fins possibles dans la planification et la mise à disposition des moyensnécessaires à l’apprentissage d’une langue– souple : on pourra l’adapter à des conditions différentes– ouvert : il pourra être étendu et affiné– dynamique : il sera en constante évolution en fonction des feed backs apportés par son utilisation– convivial : il sera présenté de façon à être directement compréhensible et utilisable par ceux à qui il est destiné– non dogmatique : il n’est rattaché de manière irrévocable et exclusive à aucune des théories ou pratiques concurrentes de la linguistique ou des sciences de l’éducation. CECR p,13

Partie 1. Contexte politique et éducatif

Page 15: 633 febb cd01

Judith Barna Université d'Artois, IUFM

For Teachers and Student teachersThe CEF provides basic concepts for your future work by giving insights into: * what language proficiency is (Ch. 5 The user/learner´s competences) * how languages are used (Ch. 4 Language use and the language user/learner) * how languages are learnt (Ch. 6 Language learning and teaching) * principles for planning teaching (Ch. 7 Tasks and their role in language teaching & Ch. 8 Linguistic diversification and the curriculum) * principles for assessing learning outcomes (Ch. 9 Assessment)

3. public visé

Le Cadre donne des outils aux administratifs, aux concepteurs de programmes, aux enseignants, à leurs formateurs, aux jurys d’examens, etc., pour réfléchir à leur pratique habituelle afin de situer et de coordonner leurs efforts et de garantir qu’ils répondent aux besoins réels des apprenants dont ils ont la charge.

Partie 1. Contexte politique et éducatif

Page 16: 633 febb cd01

Judith Barna Université d'Artois, IUFM

Pour résumer :

● Le cadre est un instrument pratique et souple et non pas un document normatif● domaine: politique linguistique et non pas théorie linguistique ou didactique● S'intéresse au locuteur en tant qu'acteur social ● Visée : Au départ un outil commun de référence pour les outils d'évaluation

« language assessment » pour devenir un outil commun de référence complexe

Page 17: 633 febb cd01

Judith Barna Université d'Artois, IUFM

La perspective actionnelle :« La perspective privilégiée ici est, très généralement aussi, de type actionnel en ce qu'elle considère avant tout l'usager et l'apprenant d'une langue comme des acteurs sociaux ayant à accomplir des tâches (qui ne sont pas seulement langagières) dans des circonstances et un environnement donnés, à l'intérieur d'un domaine d'action particulier. Si les actes de parole se réalisent dans des activités langagières, celles-ci s'inscrivent elles-mêmes à l'intérieur d'actions en contexte social qui seules leur donnent leur pleine signification." (2001 : 15)

Trois points importants : dans la perspective actionnelle, il est question d’apprenants-usagers

qui sont les acteurs ; ces derniers accomplissent des tâches qui ne sont pas seulement

langagières ;les actes de parole n’ont de pleine signification qu’à travers des actions

en contexte social.

Partie 2. Les caractéristiques du CECR

Partie 2. Les caractéristiques du CECR

Page 18: 633 febb cd01

Judith Barna Université d'Artois, IUFM

Le CECR se divise en deux parties1. le Schéma descriptif : il s’agit d’un instrument invitant à une réflexion

sur tous les paramètres impliqués non seulement dans l’utilisation des langues, mais aussi dans leur apprentissage et leur enseignement. Cf. page suivante

2. le système de Niveaux communs de références. Il consiste en des échelles d’exemples de descripteurs apportant des spécifications globales et détaillées sur les niveaux de compétence en langues pour les différents paramètres du schéma descriptif. Les échelles des niveaux communs de référence reposent sur un ensemble de descripteurs de « capacités à faire » reflétant des acquis en compétences en langues. Cf. slide « les niveaux de langue ».

Page 19: 633 febb cd01

Judith Barna Université d'Artois, IUFM

Le Schéma descriptif du CECR

Le schéma descriptif se concentre sur les actions accomplies par des gens qui, comme individus et comme acteurs sociaux, développent un ensemble de compétences générales et une compétence à communiquer langagièrement.

Les compétences générales individuelles • Le savoir : la connaissance déclarative acquise par

l’expérience (savoirs empiriques) ou par l’apprentissage formel (savoirs académiques)

• Le savoir-faire et les habiletés impliquent la capacité à effectuer des tâches et à appliquer des procédures

• le savoir être, qui englobe les caractéristiques individuelles, les traits de personnalité et les attitudes envers soi-même et d’autres personnes engagées dans l’interaction sociale

• le savoir apprendre, qui est la capacité à s’engager dans de nouvelles expériences, à assimiler de nouvelles connaissances et à les intégrer à des connaissances préalables.

la compétence à communiquer langagièrement • la compétence linguistique, qui traite des caractéristiques

formelles d’une langue, telles que la phonologie, la morphologie, le lexique et la syntaxe

• la compétence sociolinguistique, qui concerne les conditions socio-culturelles de l’utilisation d’une langue (les règles de politesse ou les répertoires de groupes sociaux, par exemple)

• la compétence pragmatique, qui recouvre l’utilisation fonctionnelle de la langue dans des situations spécifiques (savoir comment se conduire lors d’un événement social donné ou d’un entretien d’embauche, par exemple. E l l e r e n v o i e é g a l e m e n t à l a m a î t r i s e d u d i s c o u r s , à s a c o h é s i o n e t à s a c o h é r e n c e , a u r e p é r a g e d e s t y p e s e t g e n r e s t e x t u e l s , d e s e f f e t s d ' i r o n i e , d e p a r o d i e .

Exemples : savoir : e.g. la grammaire ou la littérature ou certaines caractéristiques culturelles du pays étranger : What is the Pledge of Allegiance ?Savoir faire : e.g. how to answer the phone, how to write a paragraph, how to say good-bye etc.savoir être : e.g. Être ouvert, solidaire, autonome, responsable, critique etc, une relation plus aisée à la prise de parole, une conscience de l’altérité : « When in Rome do as the Romans do ». savoir apprendre : e.g. une curiosité pour l’inconnu, , savoir faire un plan, fixer des objectifs, utiliser l'information, utiliser un dictionnaire, / Internet pour apprendre une LVE,

Partie 2. Les caractéristiques du CECR

Page 20: 633 febb cd01

Judith Barna Université d'Artois, IUFM

Mobilisant ses compétences générales et communicatives, l'élève effectue des tâches dans les

activités langagières orales/écrites suivantes :

Réception : CO, CE e.g. CEFTRAIN : listening task 2, reading task 3 Production : PO, PE e.g. CEFTRAIN :speaking task 1, writing task 1 Interaction : e.g. CEFTRAIN : speaking task 5Médiation (c’est-à-dire résumer, paraphraser, interpréter ou traduire)

La réalisation de ces activités langagières dans des domaines spécifiques implique l’activation de processus linguistiques de production et de réception de discours oraux/écrits (textes).

des domaines d’utilisation de la langue tels que :

● le domaine public (relation avec les commerçants, les services publics, transport, acteurs cultures etc)

● le domaine personnel (les relations familiales, pratiques sociales individuelles)● le domaine éducatif (système éducatif, université, organisme de formation)● le domaine professionnel (référence à l'activité professionnelle (BTS, IUT)

Pour effectuer des activités langagières, l'élève doit savoir activer les stratégies qui semblent les plus appropriées aux tâches à accomplir dans le domaine pertinent.

Les activités langagières sont effectuées dans

Partie 2. Les caractéristiques du CECR

Page 21: 633 febb cd01

Judith Barna Université d'Artois, IUFM

Les niveaux de langue :

Trois niveaux généraux :

Partie 2. Les caractéristiques du CECR

Practice: http://www.helsinki.fi/project/ceftrain/

Grille d'autoévaluation CECR p.26

Page 22: 633 febb cd01

Judith Barna Université d'Artois, IUFM

• Le Niveau introductif ou découverte (Breakthrough) correspond à ce que Wilkins appelait « compétence formule » dans sa proposition de 1978 et Trim « compétence introductive » dans la même publication.• Le Niveau intermédiaire ou de survie (Waystage) reflète la spécification de contenus actuellement en vigueur au sein du Conseil de l’Europe.• Le Niveau seuil (Threshold) reflète la spécification de contenus actuellement en vigueur au sein du Conseil de l’Europe.• Le Niveau avancé (Vantage) ou utilisateur indépendant, supérieur au Niveau seuil, a été présenté comme étant une« compétence opérationnelle limitée » par Wilkins et par Trim comme une « réponse appropriée dans des situations courantes».• Le Niveau autonome ou de compétence opérationnelle effective, qui a été présentée par Trim comme « compétence efficace » et comme « compétence opérationnelle adéquate » par Wilkins, correspond à un niveau de compétence avancé convenable pour effectuer des tâches ou des études plus complètes.• La Maîtrise (Trim : « maîtrise globale » ; Wilkins : « compétence opérationnelle globale ») correspond à l’examen le plus élevé dans l’échelle ALTE. On pourrait y inclure le niveau encore plus élevé de compétence interculturelle atteint par de nombreux professionnels des langues.

L’utilisateur élémentaire : A1 et A2– Niveau A1 : première découverte de la langue.

– Niveau A2 : compréhension de phrases isolées et d’expression fréquemment utilisées en relation avec des domaines familiers.

L’utilisateur indépendant : B1 et B2– Niveau B1 : capacité de comprendre les points essentiels quand un langage clair et standard est utilisé à propos de choses familières dans le travail, à l’école, dans la vie quotidienne.– Niveau B2 : compréhension du contenu essentiel de sujets concrets ou abstraits dans un texte complexe ou une discussion technique.

L’utilisateur expérimenté : C1 et C2– Les niveaux C se situent au-delà du champ scolaire, sauf C1 pourles langues de spécialité au baccalauréat. À ce stade, un élève s’exprimecouramment sur des sujets complexes de façon claire et bien structurée.

Un cadre de référence en six niveaux

Les niveaux dans le système scolaire en France

Grille d'autoévaluation CECR p.26

Partie 2. Les caractéristiques du CECR

Page 23: 633 febb cd01

Judith Barna Université d'Artois, IUFM

Résumons:

La perspective actionnelleSchéma descriptif :

compétences, activités langagières, tâches et stratégies, domainesNiveaux communs de références : 6 niveaux de A1 à C2

Practice: Quatre activités langagières tous les niveaux :http://www.helsinki.fi/project/ceftrain/Productions orales (pls langues)http://www.ciep.fr/publi_evalcert/dvd-productions-orales-cecrl/index.php

Les caractéristiques du CECR