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vrafrss de discussion iheoiogique, ainsi quemademoiselle la comless» de Rene.se, sa

partement du château Beaulîeu. *

GRASSEau—Grand-fîd(«( l e r ordre. - (AllSOpieas

Séjour de S.U.la H*n« d'Angietm^ (SaisonClimn spÉoldernent recommandé mx atth-

mattqvtt ot contre les mafodiw nerieuus otrhunuitumaU»,

F. ROST, propriétaire.

A TRAVERS CANNESNous lisons dans le Littoral

IVDans la nomauclalure des lieux

où la jeunesse Cannoise prenaî! sesébats, le dimanche, aux joyeux Son-dons des crins crins do Pascal, oudu taïnbourin du Pluguelou, il con-vient de ne pas omettre le terrainombragé par l'immense pin-parasolincorporé aujourd'hui dans les jar-dins de la villa Roccamare et qui ap-partenait alors à M. Violet, noiaire.De joyeuses réunions dansantesavaient lieu également sur un lerraîuen bordure de la route de Fréjus àCannes, à l'endroit même où s'élèvela maison occupée par l'agence Tay-lor, Ou dansait aussi sur la terrassedu Tivoli, même route de Fréjua etdont l'immeubls appartient aujour-d'hui à M. O'Doiiûghue.

Enfin on dansait encore au quar-tier de la Peyrière, chez M. JulesSuissy. De là, nos jeunes couples serendaient souvent dans la propriétéde M. Rou&tan, quartier MontHoury,où ils se livraient .à une débauche deJujubes et d'arbouses ; d'autres foisils poussaient jusqu'il la propriété deThorenc où tes micocouliers étaientpris d'assaut par tous ces jeunesmoineaux francs.

Doux pays où les plaisirs champê-tres étaient" en grand honneur.

Pendant que les jeunes se livraientaux exercices hygiéniques autantqu'agréables de Sa danse, leurs aînésoccupaient leur après-midi du diman-che à jouer aux boules. Les guin-guettes en renom, à cette époque,étaient colles du père Bernard, a laBergerie de la Ferrage, de M. Prasur la propriété Caire, au Port, dupure Beyion ot du père Trastour.à laFouto, aux alentours du squareBrougham actuel.

Celait généralement tes ouvrierstonneliers, si nombreux alors à Can-nes, qui so formaient par équipes etjouaient aux boules le dîuer du soir.Au cours de la partie, ils se désalté-raient avec ce bon vin du pays, purde tout mélange, qu'ils payaient àraison de vingt centimes le liire ;puis, le soir venu, vainqueurs etvaincus t'asseyaient sous la tonnellede la guinguette devant un plat co-pieux de bœuf à la mode, de civet•de lapin, ou d'uno paire de pouletscuits à la broche, accompagnés d'unebonne salade de laitue ou d'andwe,le tout largement arro3é de ce picco-lo cannois cité plus haut Ces bal-thazars revenaient à uoa ancètros àvingt ou vingt-cinq sous par tôte jlorsqu'ils atteignaient trente sous,c'est qu'on avait fait quoique extra,bû une bouteille de vin vieux de der-rière les fagots.

Le père Beylon agrémentait les re-pas sardanapalesques de ses clientsde quelque historiette amusante, dequelque bonne saillie au gros sel,qui avait le don d'entretenir la bonnehumour des convives, aussi sa guin-guette élait-ello préférée à bien d'au-tres.

Le premier café installé à Cannesfut celui de Mme Henry. Il était établidans une gronde ealle d'une maisonattenante a l'école raunicipalo duMont-Chevaiier. On y accédait par laRue Vieille de la Boucherie et par laRue Caste au Corail. Ce café se composait d'une salle unique au milieude laquelle s'étalait un immense bil-lard muni de six grandes poches enfilet, uue à chaque angle et deux aucentre. Douze personnes auraient puae coucher côte a cite sur le billard.Combien de générations ont apprislespremîôresnolions du carambolagosur le tapis vert de la mère Henry ïNul ne saurait le dire.

Apres le café Henry, s'ouvrit surla rue dénommée aujourd'hui Cen-trale, le café Ardisson dit pêrétou.Cette salle, d'aspect plus coquet,était ornéo de dour glaces — choserare à l'époque — et meublée do ta-bles en bois peint. Co café, devint en1848, le rendez-vous des républicainsexaltés. Honoré Ilipert, qui depuis...mais alors rouge exalté, y péroraitsans cessa ; Joseph Autran, commis

des Ponts et Chaussées, qui dûts'expairier après la Coup d'Etat, semanifestait parmi lea plus turbulents;par contre le café de Marianne, étaitle rendez vous préféré de la bour-geoisie. Ce café était établi dans larue d'Amibes, entre YHÔtel de laPoste et le bureau des Messageries,à l'endroit même où se trouve au-jourd'hui le magasin de nouveautésCamous. L'avocat Euzière, Vaoou-cadou, da légendaire mémoire, Au-tran le Major et certaines autrespersonnalités de la bourgeoisie, au-jourd'hui disparues, en étaient lesclients assidus. A sïgualer aussi, verscelte époque, l'ouverture du Café duCommerce, sur le port, par M. Crospqui, plus tard, fit la première tenta-tive malheureuse de l'édification d'unCasino à Cannes.

Le Café du Commerce avait commeclientèle ordinaire les capitainesmarins dont les navires étalent an-crés au port, ou les capitaines ma-rins, fort nombreux à cette époque,à Cannes, qui avaient tiré à terre,c'esi-à-dire qu'après avoir gagnédan^ leurs pérégrination,une modesteaisance avaient renoncé à battre lesmers,. Mais le véritable café, danstoute l'acception du mot, date del'établissement dans la maison duG-i-and Cercle, du Café des Alléespar les sœurs Alix.

Les deux Alix,servantes d'Hôtel àDraguignan, créèrent ce Café desAllées auquel e'Ies donnèrent l'aspectd'un café de grande ville. Salles lar-ges, spacieuses, richement décoréesen glaces et en panneaux aliégoriques, à l'huile; tables eu marbre,chaises commodes et deux billardsdernier modèle. Ils n'en fallait pasdavantage pour attirer toute la popu-lation Cannoise, Jeunes el vieux dé-sertèrent les autres cafés et les guin-guïttes pourvenir au Cafèdes Allées..

Aussi les propriétaires de ce caféfirent une rapide fortune et le cédè-rent quelques années après à Fru-mence Morlot, que toute la généra-tion actuelle à connu et qui du restevit encore aujourd'hui, paisiblementà Marseille, après fortune faite.

Quelques années plus tard JoachîmGros, gérant du Grand-Cercle fondadans l'immeuble à côté, le Café del'Unioers qui diparut pour faire placeau Splendid-Hôtel d'aujourd'hui.

H.-G. BON,

s :F O IR, Tue» d a Club de l a P é d a l a

été d l la d, l e el denorpuralioni, organisées par le Club!

c i IBS r é s u l s ;10 kilomètres ' 1er Bolasso (marchan

Tins) , 2e Parole [ftpicierl , 3e Manus fchaud de vins. Non placés - Curies etcuisiniers], François (braiseur). Temps, 25

Spectacles-ConcertsDU 10 Octobre 1899

MUSIQUE MUNICIPALEMuiUO Ootobrt, de 8 h. 1|4 à 9 h. 3[ 4

Kiosque des AlUes1. Les Noces d'Argent Steenbruge2. Jeanne Maillolte, ouverture Revnaud3. L Etoile du Nord, fantaisie. Meyerbeer4. Pùqiier«le rosé, mazurka... Sudro5. L'Ame en neine, mosaïque. Floiovr0 Polfca dos Officiers Pnbrbach

S des 8 et 9 Octobre 1899NAISSAHOW

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avier Julte, coutur ièreJulliol Prosper-QaéEitne, mécanicien, et

Pons Julien- Fraaçoiï-Aniédée, commis dnésorene d'Algérie et d'Indo-Chine, et Caste

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en bonne intyitig»fico avec leur patron6( que /a calma tara définitivement rétabli.

Au TransvaalPRETORIA.— La situation s'aggrava

de jour en jour.

Lea oompagniss d'assurances refu-sent d assurer l'or expédié. m n

Da nombreux étrangers ont prêtéïerrnenf comm«citoytns du Tran&vaat,

LONDRES. — Le Standard publiejn tétégrammo d'un da saj corrapondani disant que las Bosrj commandésar le général Joubert demandent quei l hostilités commençant immédiate-

ment.

Ils manaoont ds rentrer au cai oùdes ordres ne leur seraient pts donnéide marcharen avant. ^ M -?ag|B

LONDRES. — Le Daily Telegraph nçoitune dèpdcbe assurant que loi Boersl'Orjngs ont violé les frontières sur:erlains points.

Ils se seraient avancés aise; loinprès de Spitkop.

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DÉPÊCHESEn l'honneur du colonel Klobb

PARIS.— Ces jours ci aura lieu lacérémonie fonèbro annoncée an /'hon-neur du colonel Kiobb el du lieutenantMeynier.

La Ligua da ta Patrie Française règlera tes frais de celle cérémonie.

La rentrée du ParlementPARIS. — On s'occupe toujours,

dans le monde politique, de la date dela rentrée du Parlement, qui devaitd'abord êire fixée demain mardi,

L'Echo de Paria dit que le consaj,des ministres examinera cette questiondans sa téance de mercredi prochain.

On croit que c'est la date du 7 no-vembre qui sera adoptée.

La convocation dela Haute-Cour

PARIS.-— La Commission d'instruc-tion de la Haute-Cour continuera sestravaux aujourd'hui.

Un grand nombre de pièces ont étéexaminées déjà, mais le classementdes dossiers nécessitera un travailassez long, On no peut donc prévoirencore à quelle date la Haute-Courpourra être convoquée.

Le Figaro estime que cette convocation ne pourra avoir lieu avant le 8novembre.

Au CreusâtLa reprise du travail

LE CREUSOT. — Las ouvriers de»minet reprendront le travail dès demain.

Des préparatifs sont faits dtns lesusines pour ncevoir les ouvriers leplus tôt possible.

Les ohefs de la grève expriment leursatiifaotion de la sentence qui a\ étérendue par M. Watdeck-Rouss&au.

lit espèrent que les ouvriers vivront

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DERNIÈREHEURE

Première dépêche

A la Haute-CourPARIS, (9 octobro, 2 h. 05 soir}

PARIS. — La délégation de la Com-mission de fa Haute-Cour a repris sontravail dans la matinée.

Let avocats du groupe royaliste omété autorisés à prendre connaissancedu dossier complet établi par la Com-mission d'instruction.

Les avocats ont décidé de demanderla mise en liberté provisoire do MM.de Monicourt et de Chavitly, vu l'étatprécaire do leur santé.

L'interdictioa descourses de taureaux

Le Préfet de Soine ot Oise a décidéd'interdire les courses do taureauxannoncées pour dimanche prochain.

A cet effat.un arrêté fortement mo-tivé va être pris dans ce sens par cehaut fonctionnaire.

Deuxième dépêche

Au CreusotLE CREUSOT, 'J oct. 3 h. s.

Le haut personnel de-l'usine du Creusot et les différents chefs dd service,ont examiné, dans la matinèe.la queslion de la reprise du travail.

Il a été décidé que les hauts fournaux seraient immédiatement mis enétat de fonctionner.

On pense qu'ils seront prêts vers lafin de la semaine prochaine.

Les ouvriers seront repris au fur el masure des besoins.

On eipère toutefois que la repris*générale du travail aura lieu assez ra-pidement.

Troisième dépftclioUn discours de M, Méline

REUIREMONT (9 octobre, -1 h. s.)

A l'occasion de la fête annuelle dtl'Union fraternelle des combattants de1870, M. Màline a prononcé un discours important.

Il a protesté contre les attaques diri-gées contre l'armée, insistant sur lanécestîté de rappeler aux jeunes gênérations le mois de novembre 1870, qu*vit la France envahie par l'innemimalgré te dévouement héroïque de sesenfants.

En terminant, M. Méline en un pathétiqua langage a fart appel à l'unionde tous les français et porté un toast âl'armée française et aux chefsdela di-vision de l'armée des Vosges.

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AU CENTRE DE LA VILLE !

Renseignements UtilesEMPLACEMRNTS DISJOITES AUX I K I B I S

Dstin chaque quartier da la villa il enstedes boîtes aux lettres où les personnes ha-bitant le voisinage pouvant jeter leur corn»-pondance et gagner, de ca fait, le tompsqu'ils mettraient a venir déposer catto cor-respondance nu bureau central des postes,ruo Hivuuac, ou ciiez la poster" lia lu gare.

A L'KST DB LA VILLE :Campagne Pascal, routa d'Antibes.

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