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vrafrss de discussion iheoiogique, ainsi que mademoiselle la comless» de Rene.se, sa partement du château Beaulîeu. * GRASSE au—Grand-fîd(«( l er ordre. - (AllSOpieas Séjour de S.U.la H*n« d'Angietm^ (Saison Climn spÉoldernent recommandé mx atth- mattqvtt ot contre les mafodiw nerieuus ot rhunuitumaU», F. ROST, propriétaire. A TRAVERS CANNES Nous lisons dans le Littoral IV Dans la nomauclalure des lieux la jeunesse Cannoise prenaî! ses ébats, le dimanche, aux joyeux Son- dons des crins crins do Pascal, ou du taïnbourin du Pluguelou, il con- vient de ne pas omettre le terrain ombragé par l'immense pin-parasol incorporé aujourd'hui dans les jar- dins de la villa Roccamare et qui ap- partenait alors à M. Violet, noiaire. De joyeuses réunions dansantes avaient lieu également sur un lerraîu en bordure de la route de Fréjus à Cannes, à l'endroit même où s'élève la maison occupée par l'agence Tay- lor, Ou dansait aussi sur la terrasse du Tivoli, même route de Fréjua et dont l'immeubls appartient aujour- d'hui à M. O'Doiiûghue. Enfin on dansait encore au quar- tier de la Peyrière, chez M. Jules Suissy. De là, nos jeunes couples se rendaient souvent dans la propriété de M. Rou&tan, quartier MontHoury, ils se livraient .à une débauche de Jujubes et d'arbouses ; d'autres fois ils poussaient jusqu'il la propriété de Thorenc tesmicocouliers étaient pris d'assaut par tous ces jeunes moineaux francs. Doux pays où les plaisirs champê- tres étaient" en grand honneur. Pendant que les jeunes se livraient aux exercices hygiéniques autant qu'agréables de Sa danse, leurs aînés occupaient leur après-midi du diman- che à jouer aux boules. Les guin- guettes en renom, à cette époque, étaient colles du père Bernard, a la Bergerie de la Ferrage, de M. Pra sur la propriété Caire, au Port, du pure Beyion ot du père Trastour.à la Fouto, aux alentours du square Brougham actuel. Celait généralement tes ouvriers tonneliers, si nombreux alors à Can- nes, qui soformaient par équipes et jouaient aux boules le dîuer du soir. Au cours de la partie, ils se désalté- raient avec ce bon vin du pays, pur de tout mélange, qu'ils payaient à raison de vingt centimes le liire ; puis, le soir venu, vainqueurs et vaincus t'asseyaient sous la tonnelle de la guinguette devant un plat co- pieux de boeuf à la mode, de civet •de lapin, ou d'uno paire de poulets cuits à la broche, accompagnés d'une bonne salade de laitue ou d'andwe, le tout largement arro3é de ce picco- lo cannois cité plus haut Ces bal- thazars revenaient à uoa ancètros à vingt ou vingt-cinq sous par tôte j lorsqu'ils atteignaient trente sous, c'est qu'on avait fait quoique extra, une bouteille de vin vieux de der- rière les fagots. Le père Beylon agrémentait les re- pas sardanapalesques de ses clients de quelque historiette amusante, de quelque bonne saillie au gros sel, qui avait le don d'entretenir la bonne humour des convives, aussi sa guin- guette élait-ello préférée à bien d'au- tres. Le premier café installé à Cannes fut celui de Mme Henry. Il était établi dans une gronde ealle d'une maison attenante a l'école raunicipalo du Mont-Chevaiier. On y accédait par la Rue Vieille de la Boucherie et par la Rue Caste au Corail. Ce café se com posait d'une salle unique au milieu de laquelle s'étalait un immense bil- lard muni de six grandes poches en filet, uue à chaque angle et deux au centre. Douze personnes auraient pu ae coucher côte a cite sur le billard. Combien de générations ont appris lespremîôresnolions du carambolago sur le tapis vert de la mère Henry ï Nul ne saurait le dire. Apres le café Henry, s'ouvrit sur la rue dénommée aujourd'hui Cen- trale, le café Ardisson dit pêrétou. Cette salle, d'aspect plus coquet, était ornéo de dour glaces — chose rare à l'époque — et meublée do ta- bles en bois peint. Co café, devint en 1848, le rendez-vous des républicains exaltés. Honoré Ilipert, qui depuis... mais alors rouge exalté, y pérorait sans cessa ; Joseph Autran, commis des Ponts et Chaussées, qui dût s'expairier après la Coup d'Etat, se manifestait parmi lea plus turbulents; par contre le café de Marianne, était le rendez vous préféré de la bour- geoisie. Ce café était établi dans la rue d'Amibes, entre YHÔtel de la Poste et le bureau des Messageries, à l'endroit même se trouve au- jourd'hui le magasin de nouveautés Camous. L'avocat Euzière, Vaoou- cadou, da légendaire mémoire, Au- tran le Major et certaines autres personnalités de la bourgeoisie, au- jourd'hui disparues, en étaient les clients assidus. A sïgualer aussi, vers celte époque, l'ouverture du Café du Commerce, sur le port, par M. Crosp qui, plus tard, fit lapremière tenta- tive malheureuse de l'édification d'un Casino à Cannes. Le Café du Commerce avait comme clientèle ordinaire les capitaines marins dont les navires étalent an- crés au port, ou les capitaines ma- rins, fort nombreux à cette époque, à Cannes, qui avaient tiré à terre, c'esi-à-dire qu'après avoir gagné dan^ leurs pérégrination,une modeste aisance avaient renoncé à battre les mers,. Mais le véritable café, dans toute l'acception du mot, date de l'établissement dans la maison du G-i-and Cercle, du Café des Allées par les soeurs Alix. Les deux Alix,servantes d'Hôtel à Draguignan, créèrent ce Café des Allées auquel e'Ies donnèrent l'aspect d'un café de grande ville. Salles lar- ges, spacieuses, richement décorées en glaces et en panneaux aliégori ques, à l'huile; tables eu marbre, chaises commodes et deux billards dernier modèle. Ils n'en fallait pas davantage pour attirer toute la popu- lation Cannoise, Jeunes el vieuxdé- sertèrent les autres cafés et les guin- guïttes pourvenir au Cafèdes Allées.. Aussi les propriétaires de ce café firent une rapide fortune et le cédè- rent quelques années après à Fru- mence Morlot, que toute la généra- tion actuelle à connu et qui du reste vit encore aujourd'hui, paisiblement à Marseille, après fortune faite. Quelques années plus tard Joachîm Gros, gérant du Grand-Cercle fonda dans l'immeuble à côté, le Café de l'Unioers qui diparut pour faire place au Splendid-Hôtel d'aujourd'hui. H.-G. BON, s :F O IR, T ue» da Club de la Pédala été d l la d , l e el den orpuralioni, organisées par le Club ! ci IBS résuls; 10 kilomètres ' 1er Bolasso (marchan Tins) , 2e Parole [ftpicierl , 3e Manus f chaud de vins. Non placés - Curies et cuisiniers], François (braiseur). Temps, 25 Spectacles-Concerts DU 10 Octobre 1899 MUSIQUE MUNICIPALE MuiUO Ootobrt, de 8 h. 1|4 à 9 h. 3[ 4 Kiosque des AlUes 1. Les Noces d'Argent Steenbruge 2. Jeanne Maillolte, ouverture Revnaud 3. L Etoile du Nord, fantaisie. Meyerbeer 4. Pùqiier«le rosé, mazurka... Sudro 5. L'Ame en neine, mosaïque. Floiovr 0 Polfca dos Officiers Pnbrbach S des 8 et 9 Octobre 1899 NAISSAHOW Bianco Eugene-Edmoûd. Tosellu Jacques Jaea Raphaël. Larncr Marie Ernestma. Abbat Uadeleino-Théodorino. Muriinengo Elodée. Néant. Dicta Tosello Marie-Magdeleine, 27 jours. PUBLICATIONS DE SCABIAQES Féraud Baptistin-Anloine Joseph, lim dier, el Roux Marie, sans profession. Cresp Théodore, conducteur de travail k Maine, et Richard Marie, rentière, Coccolatto Joseph, éleolricien, ot C Louise-Marie Marguerite, s. p. Camir Cbarlos Marie-Emile, parfumeu Imam, san* profession. G&slaud Benj*rnin-CoQstaQt bourrelier ol avier Julte, couturière Julliol Prosper-QaéEitne, mécanicien, et Pons Julien- Fraaçoiï-Aniédée, commis dn ésorene d'Algérie et d'Indo-Chine, et Caste Finny-Alico- Rcineri Laurent, maçon, et Beltrando Ca- therine, repasseuse. Richard Joseph-Ma ri u«, cocher, et Gitcobi Sulenq Antoine Théophile, limonadier et Itavbaud Françoise, ménagère. COÏPTOIÏ RATIOSAL D'KCOÏPTI D8 P181I ARCDM de Cannes 58, RUE D'AHTlBESjt_RUE HERXANN •Paieméats de Lettres de Crédit. Achat* it Tentes de monnaies et chèques étranger* — Opérations de tittei ; garde de bijoux «i col». Dépoli de fondi, etc. BLANCHISSERIE HYGIÉNIQUE DES ALPES-MARITIMES USINE - ROutsdsftrait. - OAHHKI BUREAUX : 9«ll,ruedeCron«tadt TÉLÉPHONE aiwn pouMaut le* «pparatli pou des Hotels, Villa* *t Appar (bateaux, Appartements, Usines, Yachts ttntai ipplûatûni l'ilutrieit* CHANGEMENT D'ADEESSS J ."D. L A JjDli CANNES BANQUES en bonne intyitig»fico avec leur patron 6( que /a calma tara définitivement tabli. Au Transvaal PRETORIA.— La situation s'aggrava de jour en jour. Lea oompagniss d'assurances refu- sent dassurer l'or expédié. m n Da nombreux étrangers ont prêté ïerrnenf comm«citoytns du Tran&vaat, LONDRES. — Le Standard publie jn tétégrammo d'un da saj corrapon dani disant que las Bosrj commandés ar le général Joubert demandent que il hostilités commençant immédiate- ment. Ils manaoont ds rentrer au cai des ordres ne leur seraient pts donnéi de marcharen avant. ^M -?ag|B LONDRES. Le Daily Telegraph n çoitune dèpdcbe assurant que loi Boers l'Orjngs ont violé les frontières sur :erlains points. Ils se seraient avancés aise; loin près de Spitkop. B ANQUE DU COMMERCE. Maison do Splan- did-H6te!, 1, nie Félix Fanre. Agence des principales banques anglaises et américaines et de la Compagnie d'assu- rance iVete- York. Lettres do crédit, échange do billets di banque, coupons, fonds publics, escompte, B "ÂNQtIË~COGNET~ét RIDDËfr! N" 36, rue d'Antibea. Achat et vente de titres. — Paiement de coupons. — Lettres de crédit et monnaies étrangères — Avances sur titres Escompte et recouvrements. Assurances sur la via et rentes viagères à la Compagnie «Greahara». — Assurances accidenta Cie <La Zurich >, WtÉDIT LYONNAIS 1 33, rne d'Anttbes, 33. Banque, Change, Titres. Location de Coffres-forta. HOTELS >TEL MONTFLEURT. GRASSE S RAND-HOTEL. — 1er ordre. Grand Restaurant. F ROBT o roprietaire. THK BRITISH PHARMAGY J. QRA.S Ptiarmaolon do Première Classo AoalTKi'ciiiniiqttM at Biologiques RUE FÉLIX FAURE -CANNES DÉPÊCHES En l'honneur du colonel Klobb PARIS.— Ces jours ci aura lieu la cérémonie fonèbro annoncée an /'hon- neur du colonel Kiobb el du lieutenant Meynier. La Ligua da ta Patrie Française glera tes frais de celle cérémonie. La rentrée du Parlement PARIS. On s'occupe toujours, dans le monde politique, de la date de la rentrée du Parlement, qui devait d'abord êire fixée demain mardi, L'Echo de Paria dit que le consaj, des ministres examinera cette question dans sa téance de mercredi prochain. On croit que c'est la date du 7 no- vembre qui sera adoptée. La convocation de la Haute-Cour PARIS.-— La Commission d'instruc- tion de la Haute-Cour continuera ses travaux aujourd'hui. Un grand nombre de pièces ont été examinées déjà, mais le classement des dossiers nécessitera un travail assez long, On no peut donc prévoir encore à quelle date la Haute-Cour pourra être convoquée. Le Figaro estime que cette convoca tion nepourra avoir lieu avant le 8 novembre. Au Creusât La reprise du travail LE CREUSOT. — Las ouvriers de» minet reprendront le travail dès de main. Des préparatifs sont faits dtns les usines pour ncevoir les ouvriers le plus tôt possible. Les ohefs de la grève expriment leur satiifaotion de la sentence qui a\ été rendue par M. Watdeck-Rouss&au. lit espèrent que les ouvriers vivront . -#w wu uuifUCl. Hôtolda; Villa, côté ru» FéUx Faure, , rua d'AntttiM. Cabinet da la. Posta, à I* Gare. Itel des Postes, rui Bivouac. .r.d'Aotihes bureau tabacs, face r. Herman , me Clifltaau'lun. je d'Amibes, bureau de tabacs, prè* Théâtre, A L'OURST DE LAVILLE : .ae Saiot Dizier. angle route de Frfjus Hfltol du Parc, route do Frijua Villa Flora, route de Frêjus. Parfumerie Lubtn, routa de Freins Verrerie de la Bocca. DERNIÈRE HEURE Première dépêche A la Haute-Cour PARIS, (9 octobro, 2 h. 05 soir} PARIS. La délégation de la Com- mission de fa Haute-Cour a repris son travail dans la matinée. Let avocats du groupe royaliste om été autorisés à prendre connaissance du dossier complet établi par la Com- mission d'instruction. Les avocats ont décidé de demander la mise en liberté provisoire do MM. de Monicourt et de Chavitly, vu l'état précaire do leur santé. L'interdictioa des courses de taureaux Le Préfet de Soine ot Oise a décidé d'interdire les courses do taureaux annoncées pour dimanche prochain. A cet effat.un arrêté fortement mo- tivé va être pris dans ce sens par ce haut fonctionnaire. Deuxième dépêche Au Creusot LE CREUSOT, 'J oct. 3 h. s. Le haut personnel de-l'usine du Creu sot et les différents chefs dd service, ont examiné, dans la matinèe.la ques lion de lareprise du travail. Il a été décidé que les hauts four naux seraient immédiatement mis en état de fonctionner. On pense qu'ils seront prêts vers la fin de la semaine prochaine. Les ouvriers seront repris au fur el  masure des besoins. On eipère toutefois que la repris* générale du travail aura lieu assez ra- pidement. Troisième dépftclio Un discours de M, Méline REUIREMONT (9 octobre, -1 h. s.) A l'occasion de lafête annuelle dt l'Union fraternelle des combattants de 1870, M. Màline a prononcé un dis cours important. Il a protesté contre les attaquesdiri- gées contre l'armée, insistant sur la nécestîté de rappeler aux jeunes gêné rations le mois de novembre 1870, qu* vit la France envahie par l'innemi malgré te dévouement héroïque de ses enfants. En terminant, M. Méline en un pa thétiqua langage a fart appel à l'union de tous les français et porté un toast â l'armée française et aux chefsdela di- vision de l'armée des Vosges. on.Villardl. routad'Antibw. prés l'Octroi. m» des Dunes, promenade de la CroiMtte. il!» des Bambous, boul. de 'a CroiMtts. x» de l'Etao*. a la Croisette. îoulevard do la Source, * la Croisett». "illa Californie illa Sam^Priest, a la Californie wlla Saissy, chemin de la Colle daVallauris. AU CENTRE DE LA VILLE ! Renseignements Utiles EMPLACEMRNTS DISJOITES AUX IKIBIS Dstin chaque quartier da la villa il enste des boîtes aux lettres où les personnes ha- bitant le voisinage pouvant jeter leur corn»- pondance et gagner, de ca fait, le tomps qu'ils mettraient a venir déposer catto cor- respondance nu bureau central des postes, ruo Hivuuac, ou ciiez la poster" lia lugare. A L'KST DB LA VILLE : Campagne Pascal, routa d'Antibes. EXPOSITIONJE PARIS 1900 Y twnlu iffclilisisl i W iflii tnt I, rtifwiUH -i de «jourd«pun 13B tronc la «main. able»pirpaiemanla mensuel» oi trimwtrwl». ureau foatrâl: 3, Plaça da l'Opéri, PASS, AGENTS A O/VKKES, » 1 "* (Asenco Ducheminl.fl.rue Si-Nicolu. mnuori, ï DIS rue Herm&rjQ gence cook, 3, rue de k Gare. A. TAFARANY ET ROLLAND 87, rut d'Antibu et 1, rue de» Chêne» ES o>_ CHASSIS BnHUm"jirti)in PAI LLASSONI CH1EVRON8 LITEAUX PIQUIETB FLANO HKM BTOBB8 - TEBILLA&S3 — BAKRIÎB1B Lawn-T«nnia,—Travaux Rumtîquê» Kiosque*— Grillages, «to-.t lunu i 19, IU» T1IIU H Cunl) ta^l^,LLaat comni*Jtf1J.iîr^jhlopptoprfl et âcosiomlqa*. ^atru ayaMmâ» pixee <ia^il na Hrutrt ût od«ur. ni chaleur, ne <iu< p u l'un al conter?» indsfloinunt la fraichâar et 11 T^Lear da t o t u d lt BULCETIN FINANCIER mple losppchoa des cours de ce jour mr démontrer largamoat que la Bouraa orj parti des d*éacmonts du TransvasL écictée à oe pas se l»iMcr inûuancer. Comme durant c»s derniers jours, il s'est produit d r fnoriDe$ veùlos i iJécDUTert, i! TIL •Atis ai iadusi sllea. id'El Pour faciliter i natrû,clien<cle l'achït toutes les valeurs sur lesquelles uns plus- value importante peut se produira, nous rap- pelons que nous noua chargeons d'acheter au simple versement du quart de k valaur, ', avançant nous-m^m,: le 75 Q|0 restant. Société Ni;oise de Bsnque et de Créait, 4, rue Gartner à Nice ; à Cannes, 42, rue d'An- b BOURSE DE Conte de clôture an ! 3 0[0. ... Eïieneure .... ' .... Italien. Banque Ottomane Crédit Lyonnais Binque de Paris Sue? Monaco, action Cinquième. .... Thomson- Ho uston Capo-Copper MÊmux Rio . . . . . , . - . . . Df Becrs . , Chartered . Eist Itand .... '...,, Randfonvein Mozambique ..... ,,' R»nd-Minei Goldaelda Robïnson Ooorz PARIS i Octobre . , . 100 52 ... 01 82 . . . 01 90 . . . 635 — . . . « 8- . . . 1058 — . . . 3J85 — . . . 4080 _ ... H» — . . . H10 — son" . . . 1193 - ... 618 — . . . 63 — ... 146 - ... 52 — . . . 8 2 0 - ... 166 —

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vrafrss de discussion iheoiogique, ainsi quemademoiselle la comless» de Rene.se, sa

partement du château Beaulîeu. *

GRASSEau—Grand-fîd(«( l e r ordre. - (AllSOpieas

Séjour de S.U.la H*n« d'Angietm^ (SaisonClimn spÉoldernent recommandé mx atth-

mattqvtt ot contre les mafodiw nerieuus otrhunuitumaU»,

F. ROST, propriétaire.

A TRAVERS CANNESNous lisons dans le Littoral

IVDans la nomauclalure des lieux

où la jeunesse Cannoise prenaî! sesébats, le dimanche, aux joyeux Son-dons des crins crins do Pascal, oudu taïnbourin du Pluguelou, il con-vient de ne pas omettre le terrainombragé par l'immense pin-parasolincorporé aujourd'hui dans les jar-dins de la villa Roccamare et qui ap-partenait alors à M. Violet, noiaire.De joyeuses réunions dansantesavaient lieu également sur un lerraîuen bordure de la route de Fréjus àCannes, à l'endroit même où s'élèvela maison occupée par l'agence Tay-lor, Ou dansait aussi sur la terrassedu Tivoli, même route de Fréjua etdont l'immeubls appartient aujour-d'hui à M. O'Doiiûghue.

Enfin on dansait encore au quar-tier de la Peyrière, chez M. JulesSuissy. De là, nos jeunes couples serendaient souvent dans la propriétéde M. Rou&tan, quartier MontHoury,où ils se livraient .à une débauche deJujubes et d'arbouses ; d'autres foisils poussaient jusqu'il la propriété deThorenc où tes micocouliers étaientpris d'assaut par tous ces jeunesmoineaux francs.

Doux pays où les plaisirs champê-tres étaient" en grand honneur.

Pendant que les jeunes se livraientaux exercices hygiéniques autantqu'agréables de Sa danse, leurs aînésoccupaient leur après-midi du diman-che à jouer aux boules. Les guin-guettes en renom, à cette époque,étaient colles du père Bernard, a laBergerie de la Ferrage, de M. Prasur la propriété Caire, au Port, dupure Beyion ot du père Trastour.à laFouto, aux alentours du squareBrougham actuel.

Celait généralement tes ouvrierstonneliers, si nombreux alors à Can-nes, qui so formaient par équipes etjouaient aux boules le dîuer du soir.Au cours de la partie, ils se désalté-raient avec ce bon vin du pays, purde tout mélange, qu'ils payaient àraison de vingt centimes le liire ;puis, le soir venu, vainqueurs etvaincus t'asseyaient sous la tonnellede la guinguette devant un plat co-pieux de bœuf à la mode, de civet•de lapin, ou d'uno paire de pouletscuits à la broche, accompagnés d'unebonne salade de laitue ou d'andwe,le tout largement arro3é de ce picco-lo cannois cité plus haut Ces bal-thazars revenaient à uoa ancètros àvingt ou vingt-cinq sous par tôte jlorsqu'ils atteignaient trente sous,c'est qu'on avait fait quoique extra,bû une bouteille de vin vieux de der-rière les fagots.

Le père Beylon agrémentait les re-pas sardanapalesques de ses clientsde quelque historiette amusante, dequelque bonne saillie au gros sel,qui avait le don d'entretenir la bonnehumour des convives, aussi sa guin-guette élait-ello préférée à bien d'au-tres.

Le premier café installé à Cannesfut celui de Mme Henry. Il était établidans une gronde ealle d'une maisonattenante a l'école raunicipalo duMont-Chevaiier. On y accédait par laRue Vieille de la Boucherie et par laRue Caste au Corail. Ce café se composait d'une salle unique au milieude laquelle s'étalait un immense bil-lard muni de six grandes poches enfilet, uue à chaque angle et deux aucentre. Douze personnes auraient puae coucher côte a cite sur le billard.Combien de générations ont apprislespremîôresnolions du carambolagosur le tapis vert de la mère Henry ïNul ne saurait le dire.

Apres le café Henry, s'ouvrit surla rue dénommée aujourd'hui Cen-trale, le café Ardisson dit pêrétou.Cette salle, d'aspect plus coquet,était ornéo de dour glaces — choserare à l'époque — et meublée do ta-bles en bois peint. Co café, devint en1848, le rendez-vous des républicainsexaltés. Honoré Ilipert, qui depuis...mais alors rouge exalté, y péroraitsans cessa ; Joseph Autran, commis

des Ponts et Chaussées, qui dûts'expairier après la Coup d'Etat, semanifestait parmi lea plus turbulents;par contre le café de Marianne, étaitle rendez vous préféré de la bour-geoisie. Ce café était établi dans larue d'Amibes, entre YHÔtel de laPoste et le bureau des Messageries,à l'endroit même où se trouve au-jourd'hui le magasin de nouveautésCamous. L'avocat Euzière, Vaoou-cadou, da légendaire mémoire, Au-tran le Major et certaines autrespersonnalités de la bourgeoisie, au-jourd'hui disparues, en étaient lesclients assidus. A sïgualer aussi, verscelte époque, l'ouverture du Café duCommerce, sur le port, par M. Crospqui, plus tard, fit la première tenta-tive malheureuse de l'édification d'unCasino à Cannes.

Le Café du Commerce avait commeclientèle ordinaire les capitainesmarins dont les navires étalent an-crés au port, ou les capitaines ma-rins, fort nombreux à cette époque,à Cannes, qui avaient tiré à terre,c'esi-à-dire qu'après avoir gagnédan^ leurs pérégrination,une modesteaisance avaient renoncé à battre lesmers,. Mais le véritable café, danstoute l'acception du mot, date del'établissement dans la maison duG-i-and Cercle, du Café des Alléespar les sœurs Alix.

Les deux Alix,servantes d'Hôtel àDraguignan, créèrent ce Café desAllées auquel e'Ies donnèrent l'aspectd'un café de grande ville. Salles lar-ges, spacieuses, richement décoréesen glaces et en panneaux aliégoriques, à l'huile; tables eu marbre,chaises commodes et deux billardsdernier modèle. Ils n'en fallait pasdavantage pour attirer toute la popu-lation Cannoise, Jeunes el vieux dé-sertèrent les autres cafés et les guin-guïttes pourvenir au Cafèdes Allées..

Aussi les propriétaires de ce caféfirent une rapide fortune et le cédè-rent quelques années après à Fru-mence Morlot, que toute la généra-tion actuelle à connu et qui du restevit encore aujourd'hui, paisiblementà Marseille, après fortune faite.

Quelques années plus tard JoachîmGros, gérant du Grand-Cercle fondadans l'immeuble à côté, le Café del'Unioers qui diparut pour faire placeau Splendid-Hôtel d'aujourd'hui.

H.-G. BON,

s :F O IR, Tue» d a Club de l a P é d a l a

été d l la d, l e el denorpuralioni, organisées par le Club!

c i IBS r é s u l s ;10 kilomètres ' 1er Bolasso (marchan

Tins) , 2e Parole [ftpicierl , 3e Manus fchaud de vins. Non placés - Curies etcuisiniers], François (braiseur). Temps, 25

Spectacles-ConcertsDU 10 Octobre 1899

MUSIQUE MUNICIPALEMuiUO Ootobrt, de 8 h. 1|4 à 9 h. 3[ 4

Kiosque des AlUes1. Les Noces d'Argent Steenbruge2. Jeanne Maillolte, ouverture Revnaud3. L Etoile du Nord, fantaisie. Meyerbeer4. Pùqiier«le rosé, mazurka... Sudro5. L'Ame en neine, mosaïque. Floiovr0 Polfca dos Officiers Pnbrbach

S des 8 et 9 Octobre 1899NAISSAHOW

Bianco Eugene-Edmoûd.Tosellu Jacques Jaea Raphaël.Larncr Marie Ernestma.Abbat Uadeleino-Théodorino.Muriinengo Elodée.

Néant.Dicta

Tosello Marie-Magdeleine, 27 jours.

PUBLICATIONS DE SCABIAQESFéraud Baptistin-Anloine Joseph, lim

dier, el Roux Marie, sans profession.Cresp Théodore, conducteur de travail

k Maine, et Richard Marie, rentière,Coccolatto Joseph, éleolricien, ot C

Louise-Marie Marguerite, s. p .C a m i r Cbarlos Marie-Emile, parfumeu

Imam, san* profession.G&slaud Benj*rnin-CoQstaQt bourrelier ol

avier Julte, coutur ièreJulliol Prosper-QaéEitne, mécanicien, et

Pons Julien- Fraaçoiï-Aniédée, commis dnésorene d'Algérie et d'Indo-Chine, et Caste

Finny-Alico-Rcineri Laurent, maçon, et Beltrando Ca-

therine, repasseuse.Richard Joseph-Ma ri u«, cocher, et Gitcobi

Su lenq Antoine Théophile, limonadier etItavbaud Françoise, ménagère.

COÏPTOIÏ RATIOSAL D'KCOÏPTI D8 P181IARCDM de Cannes

58, RUE D'AHTlBESjt_RUE HERXANN•Paieméats de Lettres de Crédit. Achat*

it Tentes de monnaies et chèques étranger*— Opérations de tittei ; garde de bijoux «icol». Dépoli de fondi, etc.

BLANCHISSERIEH Y G I É N I Q U E

DES ALPES-MARITIMESU S I N E - ROutsdsftrait. - OAHHKI

BUREAUX : 9«ll,ruedeCron«tadtTÉLÉPHONE

aiwn pouMaut le* «pparatli poudes Hotels, Villa* *t Appar

(bateaux, Appartements, Usines, Yachts

ttntai ipplûatûni i» l'ilutrieit*

CHANGEMENT D'ADEESSS

J ."D. L A JjDli CANNES

BANQUES

en bonne intyitig»fico avec leur patron6( que /a calma tara définitivement rétabli.

Au TransvaalPRETORIA.— La situation s'aggrava

de jour en jour.

Lea oompagniss d'assurances refu-sent d assurer l'or expédié. m n

Da nombreux étrangers ont prêtéïerrnenf comm«citoytns du Tran&vaat,

LONDRES. — Le Standard publiejn tétégrammo d'un da saj corrapondani disant que las Bosrj commandésar le général Joubert demandent quei l hostilités commençant immédiate-

ment.

Ils manaoont ds rentrer au cai oùdes ordres ne leur seraient pts donnéide marcharen avant. ^ M -?ag|B

LONDRES. — Le Daily Telegraph nçoitune dèpdcbe assurant que loi Boersl'Orjngs ont violé les frontières sur:erlains points.

Ils se seraient avancés aise; loinprès de Spitkop.

BANQUE DU COMMERCE. Maison do Splan-did-H6te!, 1, nie Félix Fanre.

Agence des principales banques anglaiseset américaines et de la Compagnie d'assu-rance iVete- York.

Lettres do crédit, échange do billets dibanque, coupons, fonds publics, escompte,

B"ÂNQtIË~COGNET~ét RIDDËfr!N" 36, rue d'Antibea.

Achat et vente de titres. — Paiement decoupons. — Lettres de crédit et monnaiesétrangères — Avances sur titres — Escompteet recouvrements. — Assurances sur la viaet rentes viagères à la Compagnie «Greahara».— Assurances accidenta Cie < La Zurich >,

WtÉDIT LYONNAIS1 33, rne d'Anttbes, 33.

Banque, Change, Titres.Location de Coffres-forta.

HOTELS>TEL MONTFLEURT.

GRASSE

SRAND-HOTEL. — 1er ordre.Grand Restaurant.

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THK BRITISH PHARMAGY

J. QRA.SPtiarmaolon do Première Classo

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RUE F É L I X F A U R E - C A N N E S

DÉPÊCHESEn l'honneur du colonel Klobb

PARIS.— Ces jours ci aura lieu lacérémonie fonèbro annoncée an /'hon-neur du colonel Kiobb el du lieutenantMeynier.

La Ligua da ta Patrie Française règlera tes frais de celle cérémonie.

La rentrée du ParlementPARIS. — On s'occupe toujours,

dans le monde politique, de la date dela rentrée du Parlement, qui devaitd'abord êire fixée demain mardi,

L'Echo de Paria dit que le consaj,des ministres examinera cette questiondans sa téance de mercredi prochain.

On croit que c'est la date du 7 no-vembre qui sera adoptée.

La convocation dela Haute-Cour

PARIS.-— La Commission d'instruc-tion de la Haute-Cour continuera sestravaux aujourd'hui.

Un grand nombre de pièces ont étéexaminées déjà, mais le classementdes dossiers nécessitera un travailassez long, On no peut donc prévoirencore à quelle date la Haute-Courpourra être convoquée.

Le Figaro estime que cette convocation ne pourra avoir lieu avant le 8novembre.

Au CreusâtLa reprise du travail

LE CREUSOT. — Las ouvriers de»minet reprendront le travail dès demain.

Des préparatifs sont faits dtns lesusines pour ncevoir les ouvriers leplus tôt possible.

Les ohefs de la grève expriment leursatiifaotion de la sentence qui a\ étérendue par M. Watdeck-Rouss&au.

lit espèrent que les ouvriers vivront

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DERNIÈREHEURE

Première dépêche

A la Haute-CourPARIS, (9 octobro, 2 h. 05 soir}

PARIS. — La délégation de la Com-mission de fa Haute-Cour a repris sontravail dans la matinée.

Let avocats du groupe royaliste omété autorisés à prendre connaissancedu dossier complet établi par la Com-mission d'instruction.

Les avocats ont décidé de demanderla mise en liberté provisoire do MM.de Monicourt et de Chavitly, vu l'étatprécaire do leur santé.

L'interdictioa descourses de taureaux

Le Préfet de Soine ot Oise a décidéd'interdire les courses do taureauxannoncées pour dimanche prochain.

A cet effat.un arrêté fortement mo-tivé va être pris dans ce sens par cehaut fonctionnaire.

Deuxième dépêche

Au CreusotLE CREUSOT, 'J oct. 3 h. s.

Le haut personnel de-l'usine du Creusot et les différents chefs dd service,ont examiné, dans la matinèe.la queslion de la reprise du travail.

Il a été décidé que les hauts fournaux seraient immédiatement mis enétat de fonctionner.

On pense qu'ils seront prêts vers lafin de la semaine prochaine.

Les ouvriers seront repris au fur el masure des besoins.

On eipère toutefois que la repris*générale du travail aura lieu assez ra-pidement.

Troisième dépftclioUn discours de M, Méline

REUIREMONT (9 octobre, -1 h. s.)

A l'occasion de la fête annuelle dtl'Union fraternelle des combattants de1870, M. Màline a prononcé un discours important.

Il a protesté contre les attaques diri-gées contre l'armée, insistant sur lanécestîté de rappeler aux jeunes gênérations le mois de novembre 1870, qu*vit la France envahie par l'innemimalgré te dévouement héroïque de sesenfants.

En terminant, M. Méline en un pathétiqua langage a fart appel à l'unionde tous les français et porté un toast âl'armée française et aux chefsdela di-vision de l'armée des Vosges.

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AU CENTRE DE LA VILLE !

Renseignements UtilesEMPLACEMRNTS DISJOITES AUX I K I B I S

Dstin chaque quartier da la villa il enstedes boîtes aux lettres où les personnes ha-bitant le voisinage pouvant jeter leur corn»-pondance et gagner, de ca fait, le tompsqu'ils mettraient a venir déposer catto cor-respondance nu bureau central des postes,ruo Hivuuac, ou ciiez la poster" lia lu gare.

A L'KST DB LA VILLE :Campagne Pascal, routa d'Antibes.

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