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Version : septembre 2019

Descriptifs des modules du MSc en Sciences de la santé à orientations Semestre 1 de formation plein temps

Modules communs :

Méthodologie I

Interprofessionnalité

Travail de master

Modules spécifiques de l’orientation Ergothérapie :

Théories de l’occupation

Modèles en ergothérapie, démarches et raisonnements professionnels

Modules spécifiques de l’orientation Nutrition et diététique :

Nutrition humaine et métabolisme

Food System Management

Modules spécifiques de l’orientation Physiothérapie :

Pensée critique en physiothérapie

L’activité physique auprès de populations spécifiques

Module spécifique de l’orientation Sage-femme :

Construction et articulation de savoirs en sciences et pratiques sages-femmes

Module spécifiques de l’orientation Technique en radiologie médicale :

Imagerie médicale et assurance de la qualité : conception, développement, conduite

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Domaine Santé MScSa Tronc commun

METHODOLOGIE I

1. Caractéristiques du module

Code : S.SA.390.METHO1.F.19 Degré d’études : Bachelor Master

Année académique : 2019-2020 Année d’études : 1er 2e 3e Crédits ECTS : 10

Type : Module obligatoire Module optionnel obligatoire Module optionnel

Catégorie : Module principal Module lié au module principal Module facultatif ou complémentaire

Niveau : Module de base Module d’approfondissement Module avancé

Organisation temporelle : Module sur 1 semestre Semestre d’automne

Module sur 2 semestres Semestre de printemps

Langue principale d’enseignement : Français Allemand Anglais

Temps de cours : 100 h. Temps de travail personnel : 200 h.

Répartition dans 4 unités de cours : Statistiques (3/10e), Démarche quantitative (4/10e), Démarche qualitative (2/10e), Revue systématique (1/10e)

Lieu de cours : Lausanne (CHUV et HES-SO master), Genève

2. Prérequis

Avoir validé le/les modules Avoir suivi le/les modules Pas de prérequis Autres : maitriser les notions de base de la méthodologie de recherche incluses dans le Bachelor des orientations de la HES-SO

3. Compétences visées/ objectifs généraux d’apprentissage

Rôles majeurs exercés

Rôle d’expert Rôle de leader Rôle d’apprenant et de formateur

Rôle de communicateur Rôle de promoteur de la santé (Health Advocate) Rôle de professionnel

Rôle de collaborateur

Compétences principales visées

Am2. Les professionnel-le-s de niveau master maîtrisent diverses méthodologies scientifiques leur permettant de participer significativement à l’accroissement de la connaissance dans le domaine de la santé, de diriger et de faciliter le transfert des connaissances vers l’exercice professionnel, de concevoir et d’implémenter des projets de développement clinique et de promotion et prévention de la santé.

Fm1. Ils et elles disposent d’un ensemble de connaissances méthodologiques et pédagogiques leur permettant de concourir à la professionnalisation de leurs disciplines.

Gm2. Ils et elles ont une approche critique de leurs diverses pratiques et sont en mesure de relever les défis de santé qui interpellent les professionnels de la santé et leurs usagers-ères.

Gm3. Ils et elles contribuent à la définition de standards professionnels et à la reconnaissance des professions non médicales de la santé.

Objectifs généraux du module

1. Maitriser et mobiliser les principales méthodes de recherche quantitatives :

Justifier les devis et les étapes d’une recherche quantitative empirique en santé ;

Évaluer les devis et les étapes d’une recherche quantitative empirique en santé ;

Réaliser une lecture critique des articles scientifiques qui utilisent une méthode quantitative :

Identifier les éléments d’une question de recherche

Identifier la problématique et la mettre en lien avec la question de recherche

Identifier les concepts clés de la recension des écrits

Réaliser une appréciation critique selon une grille JBI

Comprendre et argumenter les critères FAME

Argumenter les forces et faiblesse de la recherche

2. Acquérir les fondements des méthodes (bio-)statistiques les plus couramment utilisées en recherche clinique afin de développer les compétences suivantes :

Comprendre et apprécier les méthodes statistiques les plus couramment utilisées en recherche clinique ;

Effectuer des analyses descriptives, ainsi que des analyses statistiques simples (au moyen du logiciel statistique STATA) ;

Interpréter les résultats de tests statistiques et leur portée. Interpréter correctement une p-valeur, un intervalle de confiance ;

Sélectionner les analyses statistiques en fonction de la question de recherche et des données.

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3. Envisager une démarche qualitative

Tenir compte des conditions d’exploration.

Différencier les différents outils d’exploration qualitative.

Situer les différentes méthodes qualitatives utilisées dans le domaine de la santé.

Comprendre les différentes postures épistémologiques propres à ces méthodes.

Mobiliser une méthode qualitative pour construire un projet de recherche.

4. Envisager une démarche de revue systématique

Différencier les types de synthèses de la littérature, distinguer les différents chapitres qui composent un protocole de revue systématique de la littérature.

Expérimenter la démarche de sélection, d’extraction et de synthèse descriptive.

4. Contenus et formes d’enseignementet d’apprentissage

Prerequis Un dossier de remise à jour des notions de base de recherche documentaire, correspondant au niveau bachelor, est mis à disposition des étudiants dans moodle sous le terme « kit de mise à jour ». Ce dossier est incontournable et est un prérequis aux enseignements de ce module.

Contenus Philosophe des sciences et épistémologie Différents devis de recherche quantitatifs et qualitatifs. Approches qualitatives : générique, ethnos, recherche-action participative, phénoménologie, herméneutique, analyse de discours, théorisation ancrée, étude de cas Fondements théoriques de statistique descriptive. Utilisation logiciel STATA. Théorie de l’estimation et Tests d’hypothèse. Evaluation critique des écrits scientifiques. Constitution d’un corpus scientifique fondé sur les preuves. Méthodologie des revues systématiques : types de synthèses de la littérature, constitution du protocole pour la réalisation d’une revue systématique, critères d’inclusion et d’exclusion, diagramme de flux (PRISMA flow diagram), grille d’extraction, table de synthèse descriptive (Evidence-Table).

Formes d’enseignement et d’apprentissage Cours théoriques ex cathedra. Enseignement de type séminaire. Technologie de l’information : présentations sur Moodle. Textes de référence à lire. Exercices théoriques et pratiques.

Le cours de méthodes de recherche quantitative est partagé avec le Master ès sciences en sciences infirmières (MScSI) et est sous la responsabilité de l’Institut Universitaire de Formation et de Recherche en Soins (IUFRS). Le cours de statistiques est partagé avec le MScSI et est sous la responsabilité de la HES-SO.

Exigences de fréquentation Les cours en lien avec les méthodes qualitatives et les revues systématiques sont obligatoires.

Pour les méthodes qualitatives: en cas de deux absences, un travail individuel supplémentaire sera demandé.

Pour les revues systématiques : toute absence nécessitera un travail supplémentaire.

5. Modalités d’évaluation et de validation

5.1- Modalités de validation

L’évaluation de ce module est constituée des évaluations des différentes unités de cours constituant le module.

La note obtenue au module correspond à la moyenne des différentes unités de cours pondérés comme suit : Statistiques 1 (3/10e), Démarche quantitative 1 (4/10e), Démarche qualitative 1 (2/10e), Revue systématique (1/10e). Le module est validé si l’étudiant-e obtient une note égale ou supérieure à 4.

Les évaluations sont notées de 6 (meilleure note) à 1. Les notes partielles des différentes unités de cours sont attribuées au dixième et la note finale du module (moyenne pondérée des unités de cours) est attribuée au ½ point.

L’ensemble des évaluations ont lieu durant et en fin du semestre 1.

5.2- Les évaluations sont organisées pour les différentes unités de cours comme suit :

Statistiques 1 (3/10e de la note)

Ce cours est évalué par un examen final. Chaque étudiant-e devra disposer d’un ordinateur portable équipé de STATA et aura à sa disposition tout le matériel désiré non connecté (polycopié, ouvrages de référence). L’examen est individuel, chaque étudiant-e devra réaliser personnellement les analyses au moyen du logiciel STATA. L’évaluation sera distribuée sous format électronique (fichier word) et les résultats des analyses, ainsi que le code stata, seront à inclure dans le fichier word. La validation portera sur l’ensemble des contenus vus jusqu’au dernier jour avant la date de la validation.

Modalités : La date de l’examen final (organisé en fin de semestre) sera communiquée en début de semestre. Méthodes de recherche quantitatives 1 (4/10e de la note)

Ce cours est évalué par une présentation orale par groupe d’une partie d’un journal club (20%) et par un examen écrit individuel (80%) portant sur les connaissances acquises en lien avec les devis de recherche quantitatifs.

Modalités : Les dates de l’examen écrit (organisé en fin de semestre) et du journal club seront transmises en début de semestre.

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Méthodes de recherche qualitatives 1 (2/10e de la note)

Ce cours est évalué au moyen d’une lecture critique d’article qualitatif.

Modalités : Les critères de l’évaluation et les délais seront précisés en début de cours. Méthodes de revue systématique (1/10e de la note)

Ce cours est évalué sur la base d’un portfolio décrivant les différentes étapes réalisées dans le cadre du cours : sélection / inclusion, extraction, diagramme de flux, description des études ; et analyse réflexive de la démarche.

Modalités : Les critères de l’évaluation et les délais seront présentés en début de cours.

6. Modalités de remédiation et de répétition

Remédiation

Pas de remédiation possible

Répétition

En cas de note inférieure à 4 au module, les évaluations dont la note obtenue est inférieure à 4 sont répétées et une nouvelle moyenne est calculée. Une note inférieure à 4 à la répétition entraine l’arrêt de la formation.

7. Bibliographie principale

Ouvrages recommandés

Polit, D.F.,Beck, C.T. (2016). Nursing Research. Generating and Assessing Evidence for Nursing Practise.10e éd. Wolters Kluwer.

OU

Hulley, S. B., Cummings, S. R., Browner, W. S., Grady, D. G., Newman, T. B. (2013). Designing clinical research (4th ed.). Philadelphia, PA: Lippincott Williams & Wilkins.

Howell, D.C. (2015). Traduction de la 6e édition américaine : Marylène Rogier et al. Méthodes statistiques en sciences humaines. Bruxelles : de Boeck

Juul,S., & Frydenberg, M.(2014). An introduction to stata for health researchers. College Station, Texas: Stata Press.

Brinkmann, S. (2018). Philosophies of qualitative research. New York : Oxford University Press.

Holloway, I. et Galvin, K. (2017). Qualitative research in nursing and healthcare (4e éd.). Chichester : John Wiley & Sons.

Références complémentaires

Fortin, M.F.,Gagnon, J. (2015). Fondements et étapes du processus de recherche. 3e éd. Montréal: Chenelière Education.

Daniel W.W., Cross, C.L. Biostatistics. (2013). A foundation for analysis in the health sciences. 10th ed. Hoboken, N.J : Wiley

Blanchet, A., Gotman A. (2015). L’enquête et ses méthodes : l’entretien. F. de Singly (dir). Collection 128. 2ème édition Paris : Nathan.

8. Responsable du module et enseignants

Responsable : L. Soguel Alexander

Enseignant-e-s : C.Ortoleva, C.Mabire, L.Seferdjeli, N.Kühne, L.Soguel Alexander, B. Burnand.

15.09.2019 / LSA

Validation : 15.09.2019 / LSA

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INTERPROFESSIONNALITE


Code : S.SA.390.INTPRO.F.19 Degré d’études : Bachelor Master








Temps de cours : 40 h Temps de travail personnel : 110h

Lieu de cours : Centre Interprofessionnel de Simulation de Genève (CIS)

2. Prérequis

Avoir validé le/les modules Avoir suivi le/les modules Pas de prérequis Autres :




Rôle de communicateur Rôle de promoteur de la santé (Health Advocate) Rôle de professionnel



Bm1 Les professionnel-le-s de niveau master maitrisent des processus de communication socio-professionnelle (prise de position, médias...)

Cm1 Ils et elles travaillent de manière interprofessionnelle et peuvent gérer des conflits de division du travail et assurer un leadership dans le respect des compétences des différents protagonistes

Cm2 Ils et elles sont en mesure d’innover dans le domaine de la collaboration interprofessionnelle et de contribuer à l’établissement de nouvelles formes de partenariat dans le travail d’équipe dans le domaine de la santé.

Dm1 Ils et elles accompagnent et supervisent leurs collègues dans la mise œuvre des évidences scientifiques et «des bonnes pratiques» (best practice).

Em2 Ils et elles défendent et peuvent représenter les intérêts des usagers et usagères du système de santé auprès des pouvoirs et des administrations publiques ou d’autres acteurs du système de santé.

Gm2 Ils et elles ont une approche critique de leurs diverses pratiques et sont en mesure de relever les défis de santé qui interpellent les professionnels de la santé et leurs usagers-ères.

Buts visés par le module

Garantir et développer une relation privilégiée avec le patient et son entourage, entretenir et assurer un climat de confiance dans les relations.

Produire, référencer et échanger les données et les informations en garantissant une transparence de la communication.

Encourager l’empowerment du patient et de son entourage dans les processus de santé en rendant accessible l’information grand public santé par l’e-health.

Garantir un rôle de coordinateur centralisé en appui du médecin de 1er recours auprès de l’ensemble des acteurs concernés par la prise en charge d’un patient.

Garantir la traçabilité des données santé du patient et des prestations relatives.

Garantir une Qualité de vie et/ou de fin de vie aux patients.

Être garant des intérêts du patient et de ses proches dans les choix de prises en charge proposées.


1. Soins centrés sur la personne, ses proches et la communauté

Identifier les besoins de santé et recueillir de façon respectueuse les préférences de soins auprès des personnes ou des proches (notamment de soins de fin de vie).

Partager l’information de façon compréhensible et adaptée, en encourageant la discussion.

Soutenir la participation des personnes et de leurs proches en tant que partenaires du personnel pour prendre part à la décision, à la planification, à la mise en œuvre et à l’évaluation des soins ou des services.

Identifier puis optimiser les médias d’information et de communication en santé accessibles à la personne et à ses proches.

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2. Communication interprofessionnelle

Ecouter activement les autres membres de l’équipe, y compris les personnes et leurs proches.

Communiquer de manière à ce que tous aient une même compréhension de la problématique de la personne prise en charge, et des décisions relatives aux soins et services.

Illustrer par des exemples observés sur le terrain ou en simulation l’importance pour la qualité/sécurité des soins d’une communication interprofessionnelle structurée, dans les situations d’urgence (ex : détresse vitale), et dans les transitions de soins (ex : interface domicile / hôpital) et dans les prises en charge interprofessionnelles (ex : EMS).

Utiliser les nouvelles technologies de l’information et des communications de manière efficace afin d’améliorer les soins et services interprofessionnels centrés sur la personne.

3. Clarification des rôles

Décrire son propre rôle, savoir, habilités et attitudes, en reconnaissant et en respectant la diversité des autres rôles, responsabilités et compétences dans les domaines de santé et socio-environnementaux.

Identifier les rôles et compétences des différents professionnels de santé dans les modèles de prestation de soins et de services (ex : en hospitalisation, en soins ambulatoires, au domicile, en EMS, en réseau de soins…).

4. Travail d’équipe

Décrire les principes de la dynamique du travail en équipe (qu’une équipe formelle existe ou non) à partir d’observations de terrains.

Suggérer des actions pour améliorer l’efficacité des interactions entre les membres d’une même équipe.

Participer à des prises de décisions en collaboration, en respectant la confidentialité et la participation de tous ses membres.

Partager, planifier et coordonner ses propres tâches avec celles des autres membres de l’équipe, en développant l’utilisation des nouvelles technologies de l’information et communication.

5. Leadership collaboratif

Se concerter pour identifier l’individu qui assumera la direction du groupe dans telle ou telle situation.

identifier les mesures et méthodes qui facilitent (ou limitent) le travail en équipe efficace et les prises de décisions concertées.

Identifier les caractéristiques d’un climat de travail propice (ou défavorable) au leadership concerté et à la pratique en collaboration.

Résolution de conflits.

Identifier les situations courantes à risques de conflit, notamment l’ambiguïté concernant les différents rôles, les contraintes hiérarchiques, les lacunes de communication et les objectifs divergents.

Appliquer des stratégies et suggérer des actions pour résoudre et prévenir différends et conflits.

4. Contenus et formes d’enseignement et d’apprentissage

Formes d’enseignement et d’apprentissage

Présentiel : Cours / Forums : obligatoires ; Séminaires ; Simulations : obligatoires ; Discussions de cas Travail personnel :

- Etude indépendante (Stage pratique : incluant le ‘shadowing’ d’une personne et d’un autre professionnel de santé, dans des contextes de santé communautaire (ex : consultation médicale, visite pharmacie, EMS…) : obligatoire.

- Projet : analyse des besoins, conception et mise en œuvre d’un projet d’amélioration qualité en interprofessionnalité (au choix des étudiant-e-s, ex : projet qualité de la communication dans un réseau de soins ; projet qualité de vie ; projet décisions anticipées de fin de vie) ; Forum en ligne (E-learning).

- incluant lectures, podcast ou vidéos en ligne, E-learning) ; Projet ; Portfolio/Logbook / « essai réflexif ».

Exigences de fréquentation : les cours et forums ainsi que les 3 sessions de simulation en présentiel sont obligatoires, idem pour le stage pratique.


L’évaluation sommative du module est individuelle et critériée ; elle se divise de la manière suivante :

a) compte rendu individuel écrit : 1/3 de la note ; b) compte rendu d’observation écrite : 1/3 de la note ; c) poster de présentation individuelle ou en groupe : 1/3 de la note.

La note finale du module est la moyenne pondérée des notes obtenues pour les parties a, b et c, selon la pondération mentionnée ci-dessus.

Le module est validé si l’étudiant obtient une note finale égale ou supérieure à 4.

Les évaluations sont notées de 6 (meilleure note) à 1.Les notes partielles sont attribuées au dixième, la note finale du module est attribuée au ½ point.


Remédiation possible en cas de note supérieure ou égale à 3 et inférieure à 4

En cas de remédiation, un complément individuel est demandé pour les parties a, b, et/ou c, selon les éléments insuffisants. Le délai de reddition du complément individuel est déterminé lors de la transmission des consignes pour sa réalisation. La note du complément remplacera la note insuffisante et une nouvelle moyenne sera calculée pour le module.

Répétition

En cas de note inférieure à 3 ou d’échec après remédiation, le module est répété à la session suivante, en principe l’année suivante. Une note inférieure à 4 à la répétition entraine l’arrêt de la formation.

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Shafran, D. Richardson, L. & Mark Bonta (2015) A novel interprofessional shadowing initiative for senior medical students. Medical Teacher, 37(1), 86-89, DOI: 10.3109/0142159X.2014.929099

Ladden, MD., Bednash, G., Stevens, DP. & Moore, GT. (2006). Educating interprofessional learners for quality, safety and systems improvement. Journal of Interprofessional Care, 20(5), 497-505, DOI: 10.1080/13561820600935543

Kusnoor, AV & Stelljes, LA. (2016). Interprofessional learning through shadowing: Insights and lessons learned. Medical Teacher, 38(12), 1278-1284, DOI:10.1080/0142159X.2016.1230186

Une bibliographie complémentaire sera fournie aux étudiant-e-s durant les cours


Responsable : Katherine Blondon

Enseignant-e-s : Equipe interprofessionnelle Faculté de Médecine et Haute école de santé – Genève

Date : 04.09.2019 / KB Validation : 06.09.2019 / LSA

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TRAVAIL DE MASTER


Code : S.SA.390.TM.F.19 Degré d’études : Bachelor Master








Temps de cours : environ 30h Temps de travail personnel : environ 870h

Lieu de cours : HES-SO Master Lausanne

2. Prérequis

Avoir validé le/les modules Avoir suivi le/les modules Pas de prérequis Autres : suivre les modules de méthodologie en parallèle



Rôle d’expert Rôle de manager Rôle d’apprenant et de formateur

Rôle de communicateur Rôle de promoteur de la santé Rôle de professionnel



Am1. Dans le domaine général de la santé, les professionnel-le-s de niveau master contribuent à la compréhension de l’évolution des problématiques de santé et à la définition des réponses innovantes à leur apporter.

Am2. Ils et elles maîtrisent diverses méthodologies scientifiques leur permettant de participer significativement à l’accroissement de la connaissance dans le domaine de la santé, de diriger et de faciliter le transfert des connaissances vers l’exercice professionnel, de concevoir et d’implémenter des projets de développement clinique et de promotion et prévention de la santé.

Am3. Ils et elles gèrent des problèmes complexes caractérisés par leur incertitude, leur imprévisibilité, leur nouveauté et prennent des décisions adaptées et efficientes qui tiennent compte de la maladie, des personnes et de leur contexte de vie, des données probantes et du système socio-sanitaire.

Bm1. Ils et elles diffusent les résultats de la recherche et de leurs travaux à des publics spécialisés, à des experts ou à d’autres stakeholders.

Fm3. Ils et elles actualisent leurs connaissances et leurs compétences tout au long de leur carrière notamment en rapport avec les développements scientifiques et technologiques.

Gm1. Ils et elles promeuvent les normes éthiques dans leurs activités cliniques, de recherche et d’enseignement. Gm3. Ils et elles contribuent à la définition de standards professionnels et à la reconnaissance des professions non médicales de la

santé.


Le TM permet à l’étudiant-e de :

d’élaborer une question de recherche en se basant sur les connaissances existantes ;

de définir une problématique de recherche pertinente ;

d’identifier l’approche méthodologique quantitative ou qualitative la plus adaptée pour répondre à la question de recherche, et de mettre en œuvre cette méthode en tenant compte des avantages, des limites, des biais et des contraintes ;

d’analyser et de discuter les résultats obtenus avec la rigueur scientifique nécessaire ;

de tirer des conclusions et d’élaborer des perspectives pour sa profession sur la base de la démarche entreprise ;

de rédiger le mémoire de master selon les standards de la communication scientifique ; de communiquer sur le travail réalisé de manière claire et efficace.

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L’ensemble des éléments qui définissent les contenus et l’organisation des TM figurent dans le document « Dispositions d’application – Travail de master ».

Le TM consiste à réaliser dans son intégralité une démarche de recherche ou de projet en relation avec l’orientation suivie ou en lien avec l’interprofessionnalité (Règlement MScSa, 18§1). Ce travail est en prise avec les intérêts de la pratique ou des milieux professionnels de la santé. Il aboutit à document écrit (mémoire de master) soutenu devant un jury.

Organisation de l’enseignement

Le TM est en principe mené par groupe de deux étudiant-e-s qui sont conjointement soutenu-e-s. Cependant, le TM est aussi un travail personnel dans lequel chaque étudiant-e doit faire la preuve de l’acquisition des compétences attendues.

Principales étapes du TM :

1. Choix du sujet et de la direction (DirTM) et co-direction (CoDirTM) le cas échéant

Les étudiant-e-s identifient le sujet de leur TM. Pour les soutenir, une liste de sujets est proposée par la filière lors du

premier séminaire. Les sujets comprennent une offre de direction ou de codirection.

Validation par le-la responsable de module TM.

2. Présentation orale du projet de TM.

Présentation obligatoire comprenant la question de recherche, le cadre théorique et l’échéancier. Cette présentation ne

donne pas lieu à une note ni à l’octroi d‘ECTS.

3. Elaboration du plan de recherche, collecte des données, analyse et rédaction

Le TM est mené de façon autonome. Les étudiant-e-s sont les seul-e-s responsables de l’avancée de leur projet.

4. Choix du jury et planification de la soutenance

Validation par le-la responsable de module TM.

5. Dépôt du mémoire de master

Au minimum 4 semaines avant la date de la soutenance.

6. Soutenance

La soutenance est publique. Deux périodes de soutenances sont prévues par année académique : en semaines 5 et 6

pour le semestre d’automne et en semaines 25 et 26 pour le semestre de printemps.

Des séminaires TM sont organisés sur l’ensemble de la formation pour soutenir le processus.

Les délais et les modalités à respecter pour chacune des étapes décrites ci-dessus sont définis et détaillés dans le document « Dispositions d’application – Travail de master ».


Le contenu et la forme du mémoire attendus ainsi que les critères d’évaluation du mémoire et de la soutenance sont spécifiés dans le document « Dispositions d’application – Travail de master».

Modalités d’évaluation du module

Le TM abouti à un document écrit, le mémoire de master, et donne lieu à une soutenance orale. Ces deux aspects sont évalués.

Tous modules de la formation (correspondant à 60 ECTS) doivent être validés pour pouvoir soutenir le TM. Si l’ensemble des modules

n’est pas validé entre la date du dépôt et la date prévue de la soutenance, cette dernière doit être reportée.

Note du module

La note finale du module est une moyenne pondérée entre la note attribuée au mémoire de master, qui compte pour 2/3 de la note, et

la note obtenue lors de la soutenance, comptant pour 1/3 de la note.

Chaque étudiant-e reçoit une note de module exprimée sur 6 et arrondie au demi-point. En cas de binôme, une note de soutenance est

attribuée à chaque étudiant-e-s. Elle permet de différencier les compétences de chacun-e.

Validation du module

L’étudiant-e valide le module si la note globale est égale ou supérieure à 4.

Le jury peut demander des modifications mineures au mémoire de master suite à la soutenance. Les modifications doivent être

apportées dans un délai maximum d’un mois après la soutenance. La note est libérée et définitivement octroyée lorsque les modifications

apportées répondent aux exigences posées dans le protocole d’évaluation.

Le mémoire de master est soumis à un logiciel de détection anti-plagiat. Toute fraude, tentative de fraude ou plagiat entraîne l'attribution

de la note 0 au module. L'application de règles disciplinaires complémentaires est réservée (cf. art. 21).

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Remédiation en cas de note supérieure ou égale à 3 et inférieure à 4

Remédiation

Une note au module supérieure ou égale à 3 mais inférieure à 4, entraîne la remédiation du module. Dans ce cas, le jury consigne dans le protocole d’évaluation les lacunes identifiées. Il détermine quels compléments doivent être apportés au mémoire et si une soutenance doit être réorganisée. Les compléments aux lacunes identifiées doivent être soumis au-à la DirTM dans un délai de 4 semaines après la soutenance.

Le jury procède à une nouvelle évaluation du mémoire, comprenant les compléments apportés, et de la soutenance le cas échéant et une ou deux nouvelles notes sont attribué-e-s. En cas d’obtention d’une note au module supérieure ou égale à 4, le module est validé. En cas d’obtention d’une note inférieure à 4, le module est en répétition.

Répétition

Une note au module inférieure à 3 entraîne la répétition du module. Dans ce cas, le jury consigne dans le protocole d’évaluat ion les

lacunes identifiées et y formule des recommandations quant à la poursuite du TM avec la même question de recherche ou s’il souhaitable

de choisir un nouveau sujet. Dans les deux cas, une nouvelle version de mémoire de master doit être déposée et une soutenance

réorganisée.

En cas d’obtention d’une note supérieure ou égale à 4 à la répétition le module est validé.

En cas de répétition du module, la remédiation n’est plus possible. L’échec définitif est prononcé en cas d’obtention d’une note au

module inférieure à 4 (moyenne pondérée de la partie écrite (2/3) et de la soutenance (1/3)) suite à une répétition.

En cas d’évaluation du mémoire de master (partie écrite) inférieure à 3 par le jury, l’étudiant en est informé avant la date prévue de la

soutenance. Un échec au module TM est alors prononcé et la soutenance est annulée. Dans ce cas, la note attribuée au module sera

celle du mémoire de master.

Dans le cas où l’étudiant-e se retrouve en situation de remédiation ou de répétition, la durée maximale des études reste inchangée, soit

6 semestres au maximum. Pour les étudiants à temps plein, en cas de non dépôt du mémoire de master dans les délais prévus sans

demande écrite de prolongation de la formation, un échec est prononcé et le module est en répétition.


Académies suisses des sciences (2013) : Qualité d’auteur des publications scientifiques http://www.academies- suisses.ch/fr/dms/F/Publications/Directives_Recommandations/Integritaet/Academies_Qualite_auteur.pdf

Recherche avec l’être humain Guide pratique : https://www.samw.ch/dam/jcr:a4938a15-4685-4354-b3f0- ab036cd8341e/guide_pratique_assm_recherche_etre_humain_2015.pdf


Responsable : Olivier Contal

Enseignant-e-s : Olivier Contal, professeur-e-s en charge des directions et co-directions des TM.

17.09.2019 / OCO Validation : proposition 18.09.2019 / LSA

http://www.academies-suisses.ch/fr/dms/F/Publications/Directives_Recommandations/Integritaet/Academies_Qualite_auteur.pdf

http://www.academies-suisses.ch/fr/dms/F/Publications/Directives_Recommandations/Integritaet/Academies_Qualite_auteur.pdf

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Domaine Santé MScSa Orientation : Ergothérapie

THÉORIES DE L'OCCUPATION


Code : S.SA.359.ERTHOC.F.19 Degré d’études : Bachelor Master








Temps de cours : 30h. Temps de travail personnel individuel : env. 120 h

Lieu de cours : Haute école de travail social et de la santé, Lausanne

2. Prérequis

Avoir validé le/les modules Avoir suivi le/les modules Pas de prérequis Autres : Connaissance de base des concepts Personne-Environnement-Occupation ainsi que les modèles de pratique suivants : PEO, PEOP, MCRO-P, OT-PF et le cadre conceptuel du groupe terminologie de ENOTHE (CCTE).







Am3 : Construire des problèmes dans une perspective occupationnelle pour des situations complexes et concevoir des stratégies innovantes pour les résoudre.

Am5 : Identifier, comprendre et critiquer de manière approfondie les différentes perspectives théoriques, les programmes d'intervention, et les méthodes de recherche qui s'y rapportent, en particulier dans le champ de l’occupation humaine.

Dm4 : Faire preuve de créativité et d'esprit d'entreprise pour développer des approches innovantes dans des environnements complexes, marqués par l'incertitude.

Em1 : Promouvoir auprès des individus et des organisations, la prise en compte des liens entre l'engagement occupationnel, l'environnement, les situations de handicap et la santé.


• Discuter de façon critique les concepts liés à l'occupation de manière à approfondir la compréhension de la science de l'occupation.

• Situer les discours sur l'occupation en ergothérapie en rapport avec des discours académiques voisins.

• Concevoir et promouvoir une perspective occupationnelle des pratiques de l'ergothérapie.


Contenus

1. Historique du développement des sciences de l'occupation

• Découvrir à travers quelques textes emblématiques le développement des discussions ainsi que les enjeux actuels des sciences de l'occupation.

• Ce travail se fait en ligne de manière autonome.

2. Définitions, concepts et critique des théories de l'occupation

• Définitions de l’occupation, en particulier en dehors de considérations liées à la maladie.

• Les types d’occupation : Co-occupation et occupation collective.

• La catégorisation des occupations et la théorie du « flow ».

• La notion de « faire » et d’expérience du « faire » dans d’autres disciplines.

• L’approche transactionnelle de l’occupation.

• Discussions des objets et des méthodes utilisées en recherche dans ce domaine.

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3. Participation sociale et occupation

• Les relations entre occupation et santé : performance et engagement occupationnel.

• La participation sociale vue sous l’angle de la justice occupationnelle : déséquilibre, déprivation, marginalisation, apartheid et aliénation occupationnelle.

• La conscience occupationnelle.

4. Développement d'une perspective occupationnelle

• La perspective occupationnelle inscrite dans une analyse de la pratique clinique : occupation-based, occupation-focused et occupation-centered (Fisher, 2013)

• Discussion critique d'exemple d'application d'une perspective occupationnelle.

• Mise en pratique d'une perspective occupationnelle.


Cours en ligne, exercices, débat, discussion critique, classe inversée, ateliers, dossier, feedbacks, chasse au trésor.

La présence aux cours est obligatoire, toute absence sera compensée par un travail écrit personnel, à discuter avec la responsable de module.


L'évaluation du module se répartit en 4 objets, 3 présentations orales et 1 dossier écrit. Les deux premières présentations orales (A et B) comptent chacune pour 1/8ème de la note du module. La troisième présentation orale (D) compte pour 2/8ème de la note du module. Le dossier écrit (C) compte pour la 4/8ème de la note du module. Chronologiquement, il s’agit d’:

A. Une présentation orale d’un texte sur les concepts et théories de l'occupation.

B. Une présentation orale d’un texte sur la participation sociale et l’occupation.

Pour ces deux présentations (A et B), les critères d’évaluation sont : lisibilité du support de présentation Powerpoint ou apparenté (1), qualité de la présentation orale (1), clarté de l’argumentaire (1), précision des notions utilisées (1), complétude de l’examen du sujet (1) et compréhension des notions mobilisées (1).

C. Un dossier de 1500-2000 mots portant sur l'application d'une approche occupationnelle à une problématique clinique ou théorique. Celui-ci est déposé à la fin de la semaine 3 sur Cyberlearn. Les critères d’évaluation sont : écriture scientifique (1), mobilisation des concepts vus en cours (1), pertinence des liens entre les concepts (1), pertinence du choix des concepts en regard de la situation exposée (1), approfondissements des concepts mobilisés (1) et innovation / originalité de l’application (1).

D. Une présentation orale qui défend le contenu du dossier (C) déposé. Elle a lieu en inter-semestre (semaine 5 ou 6). Les critères d’évaluation sont : forme (1), qualité de l’oral (1), compréhension des concepts présentés (1), gestion de la complexité et la richesse de la perspective occupationnelle (1), pertinence de la perspective occupationnelle présentée (1) et réponses aux questions (1).

La note finale du module est la moyenne pondérée des notes obtenues pour les parties A, B, C et D selon la pondération mentionnée ci-dessus.

Le module est validé si l’étudiant obtient une note égale ou supérieure à 4. Les évaluations sont notées de 6 (meilleure note) à 1. Les notes partielles sont attribuées au dixième, la note finale du module est attribuée au ½ point.


Remédiation


La remédiation du module porte sur les éléments insuffisants. Si le dossier écrit est insuffisant, celui-ci est repris et amélioré selon les commentaires reçus. Si la note des présentations orales est insuffisante, un dossier écrit portant sur les éléments non-compris sera demandé. Le délai de reddition du dossier est déterminé lors de la transmission des consignes pour sa réalisation. La ou les notes obtenues au-x dossier-s écrit-s remplace-nt la ou les note-s insuffisante-s et une nouvelle moyenne est calculée pour le module, avec la même pondération.

Répétition

En cas de note inférieure à 3 ou d’échec après remédiation, le module est répété à la session suivante, en principe l’année suivante. Une note inférieure à 4 à un module répété entraîne l’arrêt de la formation.


Backman, C. (2004). Occupational balance: exploring the relationships among daily occupations and their influence on well-being. Canadian Journal of Occupational Therapy, 71(4), 202–209.

Christiansen, C., & Townsend, E. A. (2010). Introduction to occupation: the art and science of living : new multidisciplinary perspectives for understanding human occupation as a central feature of individual experience and social organization. Upper Saddle River, N.J.: Pearson.

Cutchin, M. P., & Dickie, V. A. (2013). Transactional perspectives on occupation. Dordrecht; New York: Springer. Retrieved from http://dx.doi.org/10.1007/978-94-007-4429-5

Fisher, A. G. (2013). Occupation-centred, occupation-based, occupation-focused: Same, same or different? Scandinavian Journal of Occupational Therapy, 20(3), 162–173. https://doi.org/10.3109/11038128.2012.754492

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Hammell, K. W. (2009). Sacred Texts: A Sceptical Exploration of the Assumptions Underpinning Theories of Occupation. Canadian Journal of Occupational Therapy, 76(1), 6–13. https://doi.org/10.1177/000841740907600105

Hasselkus, B. R. (2011). The meaning of everyday occupation. Thorofare, NJ: SLACK.

Ikiugu, M. N., & Pollard, N. (2015). Meaningful living across the lifespan: occupation-based intervention strategies for occupational therapists and scientists. London, UK: Whiting & Birch Ltd.

Jonsson, H. (2008). A new direction in the conceptualization and categorization of occupation. Journal of Occupational Science, 15(1), 3–8. https://doi.org/10.1080/14427591.2008.9686601

Matuska, K. M., & Christiansen, C. (Eds.). (2009). Life balance: multidisciplinary theories and research. Thorofare, NJ: SLACK Inc.

Meyer, S. (2013). De l’activité à la participation. (Ergothérapies). Bruxelles: De Boeck.

Whiteford, G. E., & Pereira, R. B. (2012). Occupation, inclusion and participation. In G. Whiteford & C. Hocking, Occupational science society, inclusion, participation. Chichester, West Sussex: Wiley-Blackwell. Retrieved from http://www.myilibrary.com?id=340419

Whiteford, G., & Hocking, C. (2012). Occupational science : society, inclusion, participation. Chichester, West Sussex; Hoboken, NJ: Wiley-Blackwell.

Wilcock, A. A. (2007). Occupation and Health: Are They One and the Same? Journal of Occupational Science, 14(1), 3–8. https://doi.org/10.1080/14427591.2007.9686577

Wilcock, A. A., & Hocking, C. (2015). An occupational perspective of health (3. ed). Thorofare, NJ: SLACK Incorporated.


Responsable : Isabel Margot-Cattin

Enseignants : Isabel Margot-Cattin

08.09.2019 / IMC Validation : 09.09.2019 / LSA

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Domaine Santé MScSa Orientation : Ergothérapie

MODELES EN ERGOTHERAPIE, DEMARCHES ET RAISONNEMENTS PROFESSIONNELS


Code : S.SA.359.ERMORA.F.19 Degré d’études : Bachelor Master








Temps de cours : 30h. Temps de travail personnel individuel : env. 120h.

Lieu de cours : Haute école de travail social et de la santé, Lausanne

2. Prérequis

Avoir validé le/les modules Avoir suivi le/les modules Pas de prérequis Autres : les bases conceptuelles de l’ergothérapie et de la science de l’occupation.

3. Compétences visées/objectifs généraux d’apprentissage





Compétences principales visées Am3. Construire des problèmes dans une perspective occupationnelle pour des situations complexes et concevoir des stratégies

innovantes pour les résoudre. Am4. Déployer explicitement des démarches et diverses formes de raisonnements professionnels ; mettre en œuvre une pensée

critique. Fm1. Evaluer, planifier et mettre en œuvre son propre processus de développement professionnel. Fm2. Concevoir et mettre en œuvre des outils soutenant le développement continu des compétences des ergothérapeutes.


• Différencier les types de raisonnements cliniques/professionnels et les objets sur lesquels ils portent.

• Identifier et déconstruire ses raisonnements par la pratique réflexive et en intégrer les divers types.

• Détecter les éléments contextuels ou événementiels qui pèsent sur les décisions professionnelles.

• Repérer, mettre en évidence et soutenir les raisonnements des collègues.

• Examiner l’effet des modèles de pratiques sur les raisonnements.

• Disposer des connaissances permettant de se tenir à jour sur le thème du raisonnement professionnel en ergothérapie.


Prérequis Avoir une compréhension occupationnelle et centrée sur le client de l’ergothérapie, et en maitriser les concepts centraux. Disposer d’une représentation des relations entre le concept d’occupation, les cadres de références externes et les modèles conceptuels et de pratiques de l’ergothérapie. Distinguer approches biomédicales et occupationnelles.

Contenus Terminologie, définitions et exemples de raisonnement. La distinction entre le raisonnement et la décision clinique. Le rôle du raisonnement dans les démarches professionnelles, la résolution des problèmes. Les processus cognitifs. Le rôle des convictions et les effets de contextes. Les aspects formels, tacites et incarnés des raisonnements. L’étude princeps de Mattingly et Fleming (1994) : two body-pratice, three track mind, raisonnement procédural, interactif, conditionnel et raisonnement narratif. Les autres types de raisonnements décrits : scientifiques, éthique, pragmatique. Raisonnement hypothético-déductif, inductif et abductif.

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L’intuition et la reconnaissance d’archétype (pattern recognition) L’influence des modèles de pratique sur les types de raisonnements mobilisés par les professionnels et la prise de conscience de celle-ci (Higgs et al., 2019). Les types de raisonnements et les objets sur lesquels ils portent en fonction de population ou d’interventions spécifiques en ergothérapie. Les raisonnements décrits dans les professions voisines : la médecine, les soins infirmiers, la physiothérapie. La progression des raisonnements à travers l’expérience, les avantages et les risques de l’expérience ; les différences entre les experts et les novices. Les méthodes de mise en évidence des raisonnements en recherche, en enseignement, en contexte de stage ou de cours : établir des cartes conceptuelles, réfléchir à haute voix, filmer, raconter une intervention, Analyser les productions et réfléchir à sa pratique pour identifier ses raisonnements privilégiés et ses erreurs de raisonnements.

Formes d’enseignement et d’apprentissage Cours magistraux, classes inversées, lectures, présentations au groupe et débats. Dans les classes inversées, chaque étudiant-e aura lu deux articles ou deux chapitres. L’ensemble des apports des étudiant-e-s permettra de dresser pour la première classe un tableau des types de raisonnements décrits en ergothérapie et de réfléchir aux types que chacun-e privilégie en rapport avec sa personne, des client-e-s ou des contextes de travail (Boyt-Schell, 2018 ; Unsworth, 2011). Dans la seconde classe inversée, les textes lus concerneront des populations ou des milieux spécifiques d’intervention en rapport avec les domaines d’intérêts des étudiant-e-s. Ils et elles devront chercher les documents. La présentation des textes explorés et la discussion déboucheront sur la complexification de la formulation des cas (Thomson In Robertson, 2012).

Exigences de fréquentation : Les classes inversées, les présentations orales valant pour examen sont obligatoires.


L'évaluation du module présente deux modalités. La première concerne l’apport spécifique de chaque étudiant-e dans deux classes inversées et la seconde une présentation orale devant le groupe de pairs.

1) Chacune des deux classes inversées vaut pour ¼ de la note finale. Les critères sont a) la maitrise conceptuelle du sujet b) l’apport à la discussion ; donc ensemble la moitié de la note du module.

2) L’évaluation orale en semaine 5 est une présentation individuelle au groupe de pairs de 20 minutes et avec support présentant l’analyse des raisonnements dans une situation d’intervention (une séance filmée, un récit d’intervention enregistré, un rapport d’intervention ou de stage…). Les citèrent sont : a) la qualité de l’analyse, b) l’intelligibilité et l’intérêt de la présentation pour le groupe, c) la qualité de la communication. La note vaut pour la ½ de la note finale.

La note finale du module est la moyenne des notes obtenues pour les parties 1 et 2, selon la pondération mentionnée ci-dessus.

Le module est validé si l’étudiant obtient une note égale ou supérieure à 4. Les évaluations sont notées de 6 (meilleure note) à 1. Les notes partielles sont attribuées au dixième, la note finale du module est attribuée au ½ point.


Remédiation


La remédiation est un dossier écrit de 1500-2000 mots qui fait la synthèse d’un des thèmes du cours dans lequel l’étudiant-e aura montré des difficultés importantes.

La note que le dossier obtient remplace celle-s des ou de la partie de l’examen ayant entrainé la remédiation et une nouvelle moyenne est calculée. Le délai de reddition du dossier est déterminé lors de la transmission des consignes pour sa réalisation. Non rendu il obtient 0 et la note du module est recalculée en conséquence.

Répétition



Boyt-Schell, B. & Benfield, A. (2018). Aspects of professional reasoning In B. Boyt-Schell & J. Schell. Clinical and professional reasoning in occupational therapy. (pp. 127-144). Philadelphia, NJ : Wolters Kluwer.

Chaffey. L., Unsworth, C., & Fossey, E. (2010) A grounded theory of intuition among occupational therapists in mental health practice. British Journal of Occupational Therapy, 73(7), 300-308.

Higgs, J., Jensen, G., Loftus, S. & Christensen, N. (2019). Clinical reasoning in the health professions (4th ed.). Amsterdam : Elsevier Butterworth-Heinemann.

Mattingly, C., & Fleming, M. (1994). Clinical reasoning : Forms of inquiry in a therapeutic Practice. Philadelphia : F.A. Davis.

Meyer, S. (2007). Démarches et raisonnements en ergothérapie. Lausanne : Haute école de travail social et de la santé

Meyer, S (2013). De l’activité à la participation. Bruxelles : de Boeck (Partie 2).

Robertson, L. (2012). Clinical reasoning in occupational therapy : controversies in practice. Oxford : Wiley-Blackwell.

Unsworth, C. & Baker, A. (2015). A systematic review of professional reasoning literature in occupational therapy. British Journal of Occupational Therapy, 79(1), 5-16.

Unsworth, C. (2011). The evolving theory of clinical reasoning. In E. Duncan, (Ed.). Foundations for Practice in occupational therapy (5th ed., pp 209-231). Edinburgh : Elsevier Churchill Livingstone.

Ryan, S. (2011). The importance of professional reasoning in occupation analysis. In L. Mackenzie & G. O’Toole (Eds.), Occupation analysis in practice (pp.299-311). Chichester : Wiley-Blackwell.


Responsable : Sylvie Meyer Enseignant-e-s : Sylvie Meyer

09.09.2019 / SME Validation : 06.09.2019 /LSA

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Domaine Santé MScSa Orientation Nutrition et diététique

NUTRITION HUMAINE ET MÉTABOLISME (DIMET)


Code : S.SA.371.DIMET.F.19 Degré d’études : Bachelor Master








Temps de cours : 30 h. Temps de travail personnel individuel : 120 h

Lieux des cours : HEdS-Genève

2. Prérequis

Avoir validé le/les modules Avoir suivi le/les modules Pas de prérequis Autres







Am1. Dans le contexte socio-sanitaire, être les interlocutrices privilégiées pour les questions de nutrition, identifier des problématiques ou des lacunes méthodologiques et développer les pratiques de manière ciblée.

Am4. Aux niveaux national ou international, contribuer à l’élaboration des recommandations nutritionnelles des sociétés savantes et institutions.

Bm3. Intégrer de nouveaux courants et notions scientifiques importantes dans son champ d’activités et s’assurer de leur diffusion par le biais de multiplicateurs adéquats.

Dm2. Autour de problématiques nutritionnelles, diriger un groupe de travail ou une équipe et élaborer des stratégies d’accompagnement pour les soutenir dans des processus de prises de décisions complexes dans un contexte d’incertitude.


• Elaborer un corpus de connaissances en physiologie de la nutrition et métabolisme permettant de traiter les questions relatives aux pratiques alimentaires en nutrition humaine ou en nutrition clinique et de contribuer à esquisser des solutions.

• Elaborer un corpus de connaissances en sciences humaines et sociales autour des pratiques alimentaires permettant d’identifier les motivations et ressources en lien avec les pratiques alimentaires.

• Formuler un jugement professionnel en termes d’analyse des risques et de recommandations alimentaires en nutrition humaine ou en nutrition clinique et esquisser des solutions.

• Agir en qualité d’expert pour l’analyse des mesures d’évaluation nutritionnelle à des fins diagnostiques, de surveillance thérapeutique ou de recherche.

• Contribuer au transfert des compétences de santé à la population au travers des pratiques alimentaires.


Contenus

Le programme est constitué de cours théoriques, d’ateliers et de séminaires sur les thèmes suivants.

• Elaboration d’une méthodologie d’analyse des cas complexes et des risques et de transfert des compétences de santé à l’échelon individuel ou dans la communauté ;

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• Création du corpus de connaissances en physiologie de la nutrition et métabolisme ;

o Régulation des métabolismes - (énergie, eau, macro et micronutriments) selon les conditions physiologiques, l’environnement, l’alimentation et les états pathologiques ;

o Marqueurs biologiques et traceurs, calorimétrie indirecte

o Régulation hormonale des compartiments corporels ;

o Surveillance du risque nutritionnel : analyse des bilans biologiques

o Enjeux des micronutriments et de la supplémentation/complémentation pour la prévention et la thérapie

• Régulation du microbiote intestinal et axe intestin-cerveau

• Nutrition personnalisé, Nutrigénomique ;

• Régulation neurobiologique, des comportements et de la consommation alimentaire

• Rédaction d’un article grand public : format d’un site internet dédié à la santé.

Communauté d’apprenants

Elle est destinée à créer un espace de partage d’informations, de réflexions, et d’échanges théorie-pratique, afin de se former par le biais d’une activité communautaire. Des échanges de ressources et des discussions permettront aux étudiants de partager le résultat de leur travail et donc d’enrichir mutuellement le cadre de référence en lien avec les problématiques à traiter.


Résolution de cas, cours, séminaires, atelier, communauté d’apprenants.

Exigences de fréquentation

La réalisation de l’ensemble des activités demandées dans les séminaires et dans la communauté d’apprenants est nécessaire à la validation du module.


La validation repose sur :

a) L’élaboration individuelle d’un portfolio de résolution des cas/problèmes (1/2 de la note) ; b) La présentation orale individuelle d’un extrait du portfolio de résolution des cas/problèmes (1/4 de la note) ; c) La rédaction d’un article d’information grand public (1/4 de la note).

La note du module est la moyenne pondérée des notes obtenues aux parties a, b et c, selon les coefficients spécifiés ci-dessus. Les notes partielles sont attribuées au dixième et la moyenne du module est arrondie au demi-point.

Les réponses aux questions posées pour la préparation de chaque thématique de cours ; et la participation active à la communauté d’apprenants sont évaluées par les mentions acquis/non acquis. L’obtention d’un nombre suffisant d’acquis permet à l’étudiant d’augmenter sa note de module de 0.5 points (0.25 points pour les réponses aux questions posées et 0.25 points pour la participation à la communauté d’apprenants). Les critères d’évaluations sont présentés en début de module.

Les consignes et dates des évaluations seront spécifiées en début de module. Le module est validé si l’étudiant obtient une note égale ou supérieure à 4.


Remédiation


La remédiation repose sur :

• un examen écrit pour les parties a et b ;

• l’élaboration d’un complément pour la partie c.

La note finale est recalculée en fonction des résultats de la remédiation en utilisant les mêmes coefficients.

Répétition



Voir Syllabus de cours


Responsable : Jocelyne Depeyre Laure

Enseignants : Michael Balavoine, Mette Berger, Christelle Borel, Savino Bevilacqua, Camille Crézé, Jocelyne Depeyre Laure, Jean-Louis Frossard, Vittorio Giusti, Corinne Kehl, Robin Rosset, Dimitrios Samaras.

17.09.2019 / JD

Validation : proposition 17.09.2019 / LSA

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Domaine Santé MScSa Orientation : Nutrition et diététique

FOOD SYSTEM MANAGEMENT


Code : S.SA.371.DIFOOD.F.19 Degré d’études : Bachelor Master

Année académique : 2019-2020 Année d’études : 1e 2e 3e Crédits ECTS : 5







Temps de cours : 30 heures Temps de travail personnel individuel : 120 heures

Lieu de cours : HEdS-Genève (Carouge Genève); HES-SO Master (Lausanne), EPFL, Lausanne.

2. Prérequis

Avoir validé le/les modules Avoir suivi le/les modules Pas de prérequis Autres : lectures préalables







Am1. Être les interlocutrices et interlocuteurs privilégiées pour les questions de nutrition, identifier des problématiques ou des lacunes méthodologiques et développer les pratiques de manière ciblée dans le contexte socio-sanitaire.

Dm3. Initier et gérer des projets et des programmes de management par la qualité. Gm1. Développer et promouvoir une pratique professionnelle respectueuse des ressources naturelles et économiques dans une

perspective de développement durable.


Développer les compétences nécessaires pour définir une prestation alimentaire qui correspond à des objectifs de santé publique et environnementales et répond aux attentes et besoins des bénéficiaires.

Identifier les impacts d’une politique d’alimentation durable sur les coûts d’achat et le respect de critères nutritionnels.

Répertorier, analyser et inclure des normes nutritionnelles et environnementales existantes dans un label qualité pour le secteur d’activité du portage de repas à domicile.

Se positionner de manière structurée et documentée sur un risque relatif à la sécurité sanitaire des aliments.


Prérequis

Lectures générales

Bonnin-De Toffoli C, Lazaric N. Consommation durable et sécurité alimentaire. Rev Jurid Environ. 2013;38(4):625‑35. [consulté le

18 juin 2019]. Disponible : https://www.cairn.info/revue-revue-juridique-de-l-environnement-2013-4-page-625.htm

Groupe de recherche «Good Practice – Restauration Collective» (ed.). Standards de qualité suisses pour une restauration collective promouvant la santé. Berne: Haute école spécialisée bernoise, Section Santé, 1ère version 2009. 2ème version édité 2015. [consulté le 18 juin 2019]. Disponible : https://www.blv.admin.ch/blv/fr/home/lebensmittel-und-ernaehrung/ernaehrung/gemeinschaftsgastronomie.html

GastroSuisse. Guide des bonnes pratiques dans l'hôtellerie et la restauration (bphr). Législation sur les denrées alimentaires et l’hygiène. GastroSuisse [brochure]. Berne: GastroSuisse, 2019 [consulté le 18 juin 2019]. Disponible: https://www.gastrosuisse.ch/fileadmin/PDF-Downloads_offen/Hygiene_Leitlinie_fr_Gastrosuisse.pdf

Fédération Fourchette verte Suisse. Principes et recommandations pour une alimentation durable destinée aux enfants et aux adolescents [brochure]. Berne : Fédération Fourchette verte Suisse, 2017 [consulté le 18 juin 2019]. Disponible : http://www.fourchetteverte.ch/img/file/Ama%20terra/FV_AT_brochure_FR_WEB.pdf

https://www.cairn.info/revue-revue-juridique-de-l-environnement-2013-4-page-625.htm

https://www.blv.admin.ch/blv/fr/home/lebensmittel-und-ernaehrung/ernaehrung/gemeinschaftsgastronomie.html

https://www.blv.admin.ch/blv/fr/home/lebensmittel-und-ernaehrung/ernaehrung/gemeinschaftsgastronomie.html

https://www.gastrosuisse.ch/fileadmin/PDF-Downloads_offen/Hygiene_Leitlinie_fr_Gastrosuisse.pdf

http://www.fourchetteverte.ch/img/file/Ama%20terra/FV_AT_brochure_FR_WEB.pdf

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Contenus

Système socio-sanitaire suisse et soins à domicile. Définition du besoin et développement de la prestation alimentaire.

Portage des repas à domicile et référentiels nutritionnels. Présentation de l’organisation et de la logistique pour la production et la livraison de repas ainsi que des principaux référentiels nutritionnels.

Sécurité des aliments et système qualité. Identification des risques toxicologiques et microbiologiques et description de l’autocontrôle

Alimentation durable et cycle de vie des produits alimentaires. Interprétation et utilisation des écobilans.


Cours, séminaire, présentation orale, travail personnel encadré, travail personnel, lecture.


La réalisation de l’ensemble des activités est obligatoire. En cas d’absence, un complément sera exigé.


L’évaluation du module repose sur :

a) La création et la présentation orale argumentée d’un catalogue de normes pour l’élaboration d’un label « alimentation équilibrée et responsable » dans le domaine des repas à domicile. Celui-ci sera accompagné d’une grille d’audit, réalisée en fonction du catalogue de norme. Ce catalogue devra prendre en compte des références nutritionnelles, les coûts d’achat des denrées alimentaires et leur impact environnemental. L’ensemble de la démarche sera réalisé en groupe. Une note sera attribuée pour l’ensemble de la démarche. L’évaluation sera individualisée pour les compétences de présentation, d’argumentation de réponses aux questions et de réflexion durant la présentation orale.

b) La réalisation écrite d’une analyse de risques afin de garantir la sécurité alimentaire de repas livrés et la description, sous la forme d’un processus détaillé, de la démarche réalisée pour rédiger une prise de position concernant un risque sanitaire. Lors d’un séminaire, l’efficacité et la pertinence des étapes de maîtrise des risques seront discutées et argumentées. Une note sera attribuée pour l’ensemble de cette démarche. L’évaluation sera individualisée pour les compétences de présentation, d’argumentation de réponses aux questions et de réflexion durant le séminaire.

La note du module correspond à la moyenne des notes obtenues aux points a et b.

Les évaluations partielles sont notées de 6 (meilleure note) à 1 au dixième. La note finale du module est arrondie au ½ point. Le module est validé si l’étudiant obtient une note égale ou supérieure à 4.


Remédiation


La remédiation porte sur la rédaction d’un complément portant sur les lacunes constatées dans les évaluations a et/ou b. La note obtenue au complément remplace celle de la partie insuffisante et une nouvelle moyenne est calculée pour le module.

Le délai de reddition du complément est transmis avec les consignes pour la réalisation de la remédiation.

Répétition



Voir syllabus de cours


Responsable : Sidonie Fabbi

Enseignant-e-s : Charlotte de La Baume, Dr Patrick Edder, Laura Peano, Bruno Pertusa, Sophie Progin Batalla, Raphaël Reinert

10.09.2019 / SF Validation : 11.09.2019 / LSA

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Domaine Santé MScSa Orientation : Physiothérapie

PENSÉE CRITIQUE EN PHYSIOTHÉRAPIE


Code : S.SA.371.PHPCP.F.19 Degré d’études : Bachelor Master

Année académique : 2019-2020 Année d’études : 1er 2e 3e Crédits ECTS : 5 ECTS







Temps de cours : 30 h. Temps de travail personnel individuel : 120h.

Lieu de cours : Genève

2. Prérequis








Am4. Implémenter et évaluer les concepts des sciences de la santé dans le domaine des soins aux patients et de la promotion de la santé.

Bm2. Être capable d’évaluer et de commenter son propre travail de manière objective et avec le recul nécessaire vis-à-vis d’autres professionnels et des autorités.

Dm2 Adopter un rôle actif dans le travail de synthèse entre ce qui est faisable sur le plan médical, ce qui peut être financé sous l’angle de la politique de la santé et ce qui est souhaitable au plan sociétal.

Em1. Saisir la portée des facteurs bio-psycho-sociaux qui ont une influence sur la santé et être capable d’appliquer ses connaissances en la matière lors de consultations de personnes et de groupes.

Fm2. Suivre régulièrement des formations continues ; soutenir l’apprentissage des étudiants, des physiothérapeutes et d’autres professionnels.

Gm1. Être capable d’analyser les problèmes de la pratique clinique, de les évaluer intégralement et de manière critique afin de proposer des solutions ciblées qui répondent aux besoins et attentes de la société.


Identifier et analyser différents concepts, théories et modèles de santé et de réadaptation.

Développer un regard critique sur sa pratique, sur la littérature (ou les résultats de la recherche), ainsi que sur les concepts, théories et modèles de santé ou réadaptation.

Affirmer son identité professionnelle, se positionner par rapport aux autres professions.

Développer des compétences en sciences de la santé et en réadaptation.

Analyser et inscrire son action en regard des contraintes sociales, politiques et financières.

Évaluer l’importance, l’intérêt et l’impact de la formation continue pour la profession.


Contenus

Identité professionnelle.

Critical thinking.

Réadaptation : fondements, domaines concepts et rôle de physiothérapie.

Impacts et défis sociaux, politiques et financiers de la réadaptation.

Facteurs contribuant au développement de la profession et progrès récents.

La physiothérapie dans le monde.

Formation continue.

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Pédagogie adaptée à un petit nombre de personnes. Cours, ateliers, séminaires, tables rondes en lien avec les thématiques du module, classe inversée, travail personnel autonome.


Aucune


L’évaluation sommative du module repose sur la présentation orale, en fin de module, d’un dossier écrit constitué durant le module.

Note : L’évaluation est notée de 6 (meilleure note) à 1 et est arrondie au ½ point. Le module est validé si l’étudiant obtient une note égale ou supérieure à 4.


Remédiation


Un travail complémentaire sera demandé en fonction de l’insuffisance. Les modalités et la date de reddition seront précisées au moment de la décision de remédiation.

La note obtenue au travail complémentaire permet d’atteindre une note de 4 ; 4.5 ou 5 au module, selon la qualité du travail fourni.

Répétition



Une liste des références bibliographiques sera transmise aux participants.


Responsable : Ruth Schmid (HEdS Genève)

Enseignants : Guillaume Christe (HESAV) ; Veronika Schoeb (HESAV) ; Simone Gafner (HEdS Genève) ; Violette Bruyneel (HEdS Genève) ; Lara Allet (HES-SO Valais) et Ruth Schmid (HEdS Genève)

09.09.19 / RS Validation : 10.09.2019 / LSA

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Domaine Santé MScSa Orientation : Physiothérapie

L’ACTIVITÉ PHYSIQUE AUPRÈS DE POPULATIONS SPÉCIFIQUES


Code : S.SA.371.PHAPPS.F.19 Degré d’études : Bachelor Master

Année académique : 2019-2020 Année d’études : 1er 2e 3e Crédits ECTS : 5 ECTS







Temps de cours : 30 h. Temps de travail personnel individuel : 120h.

Lieu de cours : Genève

2. Prérequis








Am4. Implémenter et évaluer les concepts des sciences de la santé dans le domaine des soins aux patients et de la promotion de la santé.

Cm1. Respecter les partenaires avec lesquels il-elle coopère, s’engager en faveur d’un recours et d’une utilisation équitable des ressources de même qu’être capable de déléguer des travaux en fonction de son niveau de responsabilité.

Em3. Développer des stratégies pour la mise en œuvre de concepts relatifs aux domaines de la promotion de la santé et de la prévention secondaire à l’intention de groupes de clients/patients, de familles et de communes.

Gm1. Être capable d’analyser les problèmes de la pratique clinique, de les évaluer intégralement et de manière critique afin de proposer des solutions ciblées qui répondent aux besoins et attentes de la société.

Objectifs généraux du module :

Questionner la pertinence de l’activité physique pour la santé, l’impact de l’activité physique sur le corps.

Exploiter l’activité physique comme moyen de traitement (construire un programme d’activité physique auprès d’une population spécifique).

Justifier et optimaliser ses interventions incluant des activités physiques dans le cadre d’une prévention primaire et secondaire.

Favoriser le développement des compétences de prévention auprès de population spécifiques.

Analyser les prestations actuelles de physiothérapie en lien avec l’activité physique, les confronter à la littérature et les situer par rapport à d’autres disciplines.


Contenus

Physiologie à l’effort.

Mécanismes physiologiques protecteurs de l’exercice physique.

Physiopathologie de maladies cardiaque, respiratoire, métabolique (obésité et diabète), oncologique.

Activité physique et adaptations auprès de populations spécifiques.

Programme de réentrainement : conception, évaluation des patients, modalités pratiques, évaluation du programme.

Collaboration du physiothérapeute et des différents partenaires.

Education thérapeutique

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Pédagogie adaptée à un petit nombre de personnes. Cours, ateliers, séminaires en lien avec les thématiques du module. Observation d’un lieu de pratique clinique et analyse d’un programme d’activité physique. Travail personnel autonome.


Cours obligatoires, en cas d’absence de plus de 20 %, un travail individuel supplémentaire est demandé.


L’évaluation du module est composée d’une seule note correspondant à la présentation orale d’un dossier écrit constitué durant le module. L’évaluation est notée de 6 (meilleure note) à 1 et est arrondie au ½ point. Le module est validé si l’étudiant obtient une note égale ou supérieure à 4.


Remédiation


Un travail complémentaire sera demandé en fonction de l’insuffisance. Les modalités et la date de reddition seront précisées au moment de la décision de remédiation. La note finale sera recalculée en fonction des résultats de la remédiation et permet d’atteindre une note de 4 ; 4.5 ou 5 au module, selon la qualité du travail fourni.

Répétition



Une liste des références bibliographiques sera transmise aux participants


Responsable : Cuvelier Virginie (HEdS Genève)

Enseignants : Olivier Contal (HESAV) ; Virginie Cuvelier (HEdS Genève) ; Lara Allet (HES-SO Valais ; Anne-Violette Bruyneel (HEdS Genève) ; Grégoire Lagger (UNIGE) ; Grégory Cuvelier (HEPH-Condorcet) ;

11.09.2019 / VC Validation : 11.09.2019 / LSA

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Domaine Santé MScSa Orientation : Sage-femme

CONSTRUCTION ET ARTICULATION DE SAVOIRS EN SCIENCES ET PRATIQUES SAGES-FEMMES


Code :S.SA.370.SFCOSA.F.19 Degré d’études : Bachelor Master

Année académique : 2019-2020 Année d’études : 1e 2e 3e Crédits ECTS : 10






Langue principale d’enseignement : Français Allemand Anglais (lectures d’articles)

Temps de cours : 60h. Temps de travail personnel individuel : 240h.

Lieu de cours : Lausanne (HESAV)

2. Prérequis








Am1. En s’appuyant sur son expertise professionnelle, évaluer et mettre en perspectives les données de la recherche spécifiques de leur domaine et mettre en œuvre des innovations en réponse à des problématiques de santé

Cm3. Initier et mettre en œuvre les résultats issus de la communauté scientifique à l’attention des professionnels et du public concerné afin d’optimiser les échanges autour des savoirs et de la pratique professionnelle

Dm1 Analyser les prestations de soins dans le système de santé Suisse, et être responsables des procédures de changement envers les collaborateurs et leur entreprise

Em2. Identifier les potentialités -individu et système- tout au long du processus de santé et les utiliser à bon escient pour la communauté

Fm1. Analyser les problématiques de l’exercice professionnel et les résoudre à l’aide de moyens théoriques justifiés et de données probantes.


Ce 1er module spécifique cerne les différents types de savoirs nécessaires à la conception, interrogation, révision et pratique du rôle professionnel. Il montre comment les savoirs issus de la recherche et de la pratique peuvent se compléter et s’articuler pour penser les soins sages-femmes, que ce soit de manière autonome ou en collaboration interdisciplinaire. Les différentes ressources proposées permettent aux étudiantes de Master d’investiguer des questions ou des problèmes issus de leur quotidien et de mettre en évidence la densité et la complexité du rôle de sage-femme dans leur contexte d’activité.

1. Intégrer l’épistémologie des sciences et de la pratique sage-femme. 2. Approfondir les bases théoriques des sciences et de la pratique sage-femme. 3. Conjuguer différents champs disciplinaires pour penser et faire évoluer les pratiques autour de la naissance. 4. Intégrer les fondements théoriques et les résultats de l’EBM à la réflexion et à la pratique professionnelles 5. Affiner le recours aux banques de données scientifiques et aux ressources Internet de référence sur la périnatalité. 6. Affiner les compétences en lecture critique d’articles scientifiques.


Contenus

• Savoirs issus de la recherche & savoirs issus de l’expérience : entre complémentarités et spécificités.

• Evidence-based Midwifery et cadres de la profession de sage-femme en pratique avancée.

• Approche centrée sur la femme : définitions et concepts connexes.

• Santé publique en périnatalité : établir des priorités en fonction des populations et des problèmes de santé prioritaires.

• Approche de la périnatalité et du travail par les études genre

• Psychologie de la santé: l’entretien périnatal de dépistage du stress.

• Enjeux contemporains pour la profession de sage-femme : l’exemple de la dotation et des besoins en sages-femmes.

• Sciences sociales & naissance : sociologie des professions ; risque & médicalisation ; limites de l’autonomie en santé publique.

• Histoire et naissance : construction rigoureuse du regard historique

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• Construction, exploration et interrogation de savoirs issus de l’expérience


• Apprentissages par enquête, lectures obligatoires et analyses critiques, instruments d’exploration de la pratique, cours ex-catedra.


Les cours sont suivis régulièrement. En cas d’absence, les étudiantes sont responsables du rattrapage des contenus manqués.


Modalités de validation

Formative

Le module utilise une pédagogie active qui implique un travail personnel assidu et régulier. Le module comprend une liste de lectures obligatoires. Pour valider le module, les travaux demandés doivent avoir été effectués. Ces travaux font l’objet d’un feedback et préparent au travail de validation. Les date des travaux à rendre sont présentés en début de module.

Sommative

Deux travaux sommatifs valant chacun pour la moitié de la note du module sont demandés : 1) Une exploration de la pratique professionnelle à partir d’une méthode exploratoire vue en cours. 2) Une analyse, soutenue par de la documentation, touchant une problématique autour de la naissance et du rôle de sage-

femme.

Les modalités seront précisées en début du module.

Notations : Les évaluations sont notées de 6 (meilleure note) à 1 au dixième. Chaque étudiant reçoit 2 notes, une par travail sommatif demandé, et la note finale est la moyenne des 2 notes obtenues arrondie au demi-point. Le module est validé si l’étudiant obtient une note égale ou supérieure à 4.


Remédiation


En cas d’échec, un travail complémentaire sera demandé selon des modalités précisées au moment de la décision de remédiation. La note remplacera la ou les notes des parties 1 ou 2 insuffisantes et la moyenne du module sera recalculée..

La date de reddition du travail complémentaire est précisée au moment de la transmission des consignes pour la remédiation.

Répétition



Broom, A., & Adams, J. (Eds.). (2012). Evidence Based Healthcare in Context: Critical Social Science Perspectives. Surrey: Ashgate.

Burton-Jeangros, C., Maffi, I., & Hammer, R. (2014). Accompagner la naissance: terrains socio-anthropologiques. BSN Press.

Downe, S. (Ed.) (2008). Normal Childbirth: Evidence and Debate.Edinburgh: Churchill Livingstone.

Keygnaert, I. & al. (2016).What is the Evidence on the Reduction of Inequalities in Accessibility and Quality of Maternal Health Care Delivery for Migrants? A Review of the Existing Evidence in the WHO European Region. Copenhagen.

De Labrusse, C. & al. (2016). Patient-centered Care in Maternity: A Critical Synthesis. Womens Health Issues, 26(1), 100-109.

Gouilhers, S. (2014) Vers une culture du risque personnalisée : accoucher à domicile/en maison de naiss. Socio-anthr. 29, 101-119.

Hodnett, E. D.& al. C. (2013). Continuous support for women during childbirth. Cochrane Database Syst Rev, 7.

Kirkham, M. (Ed.) (2004). Informed Choice in Maternity Care. New York: Palgrave Macmillan.

Marchand, T. (Ed.) (2010). Making Knowledge: Explorations of the Indissoluble Relation Between Mind, Body And Environment (Vol. S. I.). Oxford: Royal Anthropological Institute of Great Britain & Ireland.

McCabe, K. (2016). Mothercraft: Birth work and the making of neoliberal mothers. Soc Sci Med, 162, 177-184.

McCourt, C. (2014). Technologies of birth and models of midwifery care. Rev Esc Enferm USP, 48 Spec No, 168-177.

Perrenoud, P. (2014). Naissance et évolution des pratiques: entre EBM, expérience et intuition. In Burton & al. ci-dessus. Razurel, C., Kaiser, B., Antonietti, J. P., Epiney, M., & Sellenet, C. (2017). Relationship btw perceived perinatal stress and depressive symptoms, anxiety, and parental self-efficacy in primiparous mothers and the role of social support. Women Health, 57(2), 154-172.

Sandall, J., Murrells, T., Dodwell, M., Gibson, R., Bewley, S. & al. (2014) The efficient use of the maternity workforce and the implications for safety and quality in maternity care: a population-based, cross-sectional study. Southampton (UK).

Shields, S., &Candib, L. (Eds.). (2010). Woman Centered Care in Pregnancy and Childbirth. Oxford: Ratcliffe Publishing.

Spiby, H., & Munro, J. (Eds.). (2009). Evidence Based Midwifery : Applications in Context. Oxford: Wiley-Blackwell.

Wanner, P. & Bollini, P. (2017). Contribution of the foreign population to the high level of infant mortality. BMC Preg. Child., 17(1), 151.

1. Responsable du module et enseignants Responsable : Patricia Perrenoud Enseignant-e-s : V. Hasler, I. Probst, C. de Labrusse, , M.P. Politis-Mercier, B. Michoud-Bertinotti, J. Franzen, P. Perrenoud, 11.09.2019 / PPE

Validation : 12.09.2019 / LSA

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Domaine Santé MscSa orientation technique en radiologie médicale

IMAGERIE MÉDICALE ET ASSURANCE DE LA QUALITÉ : CONCEPTION, DÉVELOPPEMENT, CONDUITE


Code : S.SA.371.TRQUAL.F.19 Degré d’études : Bachelor Master








Temps de cours : 60h. Temps de travail personnel individuel : 240h.

Lieu de cours : HEdS - Genève

2. Prérequis








Am3. Contribuer au développement des connaissances scientifiques en identifiant les problématiques de recherche propres à la technique en radiologie médicale et participer à des projets de recherche disciplinaires et interdisciplinaires.

Bm1. Présenter les avantages et les inconvénients des options d’examens et de traitements et les défendre sur le plan institutionnel et de la politique de la santé.

Em2. Elaborer et superviser la mise en œuvre des concepts et des procédures de gestion des risques technologiques. Gm3. Réaliser une observation systématique des pratiques professionnelles et valoriser ses résultats auprès des praticiens et des

gestionnaires.


Développer des dispositifs d’assurance de la qualité novateurs qui favorisent l’efficience et qui tiennent compte des approches personnalisées et centrées sur le patient et sa famille.

Effectuer de la surveillance experte des procédures cliniques en radiologie médicale avec les équipes interdisciplinaires (coordination, suivi clinique, imagerie médicale, systèmes informatiques de santé)

Mettre en œuvre des stratégies d’optimisation de la dose d’irradiation et de la qualité de l’image, y compris l’éducation aux patients, famille et entourage.

Evaluer les procédures cliniques en radiologie médicale en tenant compte des niveaux de preuve scientifique, des composantes éthiques, culturelles, légales et organisationnelles.


Contenus

Management de la qualité en santé et en radiologie médicale.

Contrôle et optimisation de la radioprotection.

Systèmes informatisés de santé.

Acquisition et post-traitement en radiologie médicale.

Intelligence artificielle et systèmes d’aide au diagnostic assisté.


Cours magistraux, travaux dirigés, travaux pratiques.


80 % de présence, en cas d’absence de plus de 20% un travail complémentaire sera demandé.

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Modalités de validation

L’évaluation a lieu tout au long du semestre et repose sur 2 productions :

Evaluation Qui Quoi Coefficient

A. Elaboration et conduite d’un projet Qualité dans une unité de radiologie médicale

Groupe Dossier et oral 2.5

B. Réalisation d’un dossier d’approfondissement thématique sur les l’IA / systèmes d’aide au diagnostic

Groupe Dossier 1

Les dates de reddition des dossiers et de présentations seront transmises en début de module.

Le dossier du projet Qualité sera effectué sous la forme d’un e-portfolio.

Notes : Les évaluations sont notées de 6 (meilleure note) à 1 au dixième. Non rendus aux délais, les travaux obtiennent la note 0.

La note finale du module est la moyenne des notes obtenues pour les 2 productions A et B pondérée selon les coefficients indiqués dans le tableau et arrondie au demi-point. Le module est validé si l’étudiant obtient une note égale ou supérieure à 4.


Remédiation

Remédiation possible en cas de note supérieure ou égale à 3 et inférieure à 4

En cas de remédiation, l’élaboration d’un dossier sur les aspects insuffisants sera demandée. La note obtenue au dossier remplace celle de la partie concernée et une nouvelle note de module est calculée selon les mêmes coefficients.

La date de reddition du dossier est définie au moment de la transmission des consignes pour la remédiation. Non rendu au délai, le dossier obtient la note 0.

Répétition



Eadie, L. H., Taylor, P., & Gibson, A. P. (2012). A systematic review of computer-assisted diagnosis in diagnostic cancer imaging. European journal of radiology, 81(1), e70-e76.

Greenspan, H., van Ginneken, B., & Summers, R. M. (2016). Guest editorial deep learning in medical imaging: Overview and future promise of an exciting new technique. IEEE Transactions on Medical Imaging, 35(5), 1153-1159.

Garg, A. X., Adhikari, N. K., McDonald, H., Rosas-Arellano, M. P., Devereaux, P. J., Beyene, J., ... & Haynes, R. B. (2005). Effects of computerized clinical decision support systems on practitioner performance and patient outcomes: a systematic review. Jama, 293(10), 1223-1238.

NB Euratom : Directive 2013/59/Euratom du Conseil du 5 décembre 2013 fixant les normes de base relatives à la protection sanitaire contre les dangers résultant de l’exposition aux rayonnements ionisants.

OFSP (site internet) : Révision totale des ordonnances relatives à la radioprotection.

Reis, C., Pascoal, A., Sakellaris, T., & Koutalonis, M. (2013). Quality assurance and quality control in mammography: a review of available guidance worldwide. Insights into imaging, 4(5), 539-553.

Yaffe, M. J., Bloomquist, A. K., Mawdsley, G. E., Pisano, E. D., Hendrick, R. E., Fajardo, L. L., ... & Och, J. (2006). Quality control for digital mammography: Part II recommendations from the ACRIN DMIST trial. Medical physics, 33(3), 737-752.

International Atomic Energy Agency (2010). Comprehensive Clinical Audits of Diagnostic Radiology Practices: A Tool for Quality Improvement. Quality Assurance Audit for Diagnostic Radiology Improvement and Learning (QUAADRIL). Austria: AEA human health series No. 4.

Miettunen, K., & Metsälä, E. (2017). Auditor recommendations resulting from three clinical audit rounds in Finnish radiology units. Acta Radiologica, 58(6), 692-697.

ICRP (2000). Prevention of Accidents to Patients Undergoing Radiation Therapy. ICRP Publication 86. Ann. ICRP 30 (3).

Henderson, M., Behlen, F. M., Parisot, C., Siegel, E. L., & Channin, D. S. (2001). Integrating the Healthcare Enterprise: a primer: part 4. The role of existing standards in IHE. Radiographics, 21(6), 1597-1603.

Bernardini, A., Alonzi, M., Campioni, P., Vecchioli, A., & Marano, P. (2003). IHE: integrating the healthcare enterprise, towards complete integration of healthcare information systems. Rays, 28(1), 83-93.


Responsable : Jérôme Schmid

Enseignants : Marion Balestri, MSc ; Marin Barada, BSc, TRM ; Ina Buchillier-Decka, MSc ; Maryse Jaunin, BTS, Nicolas Mamboury, MSc, TRM ; Eija Metsälä, PhD, TRM; José-Carlos Mourin, BSc, TRM; Nicolas Roduit, PhD ; Claudia Sa dos Reis, PhD, TRM ; Jérôme Schmid, PhD ; Stéphane Spahni, PhD, Habib Zaïdi, PhD ; José-Carlos Mourin, BSc, TRM

13.09.2019 / JS Validation : 13.09.2019 / LSA

https://www.bag.admin.ch/bag/fr/home/themen/mensch-gesundheit/strahlung-radioaktivitaet-schall/strahlung-gesundheit/totalrevision-der-verordnungen-im-strahlenschutz/anhoerungsverfahren-zur-revision-der-verordnungen-im-strahlenschutz.html

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