Division ANALYSES & RECHERCHES
Des perspectives 2013 mitigées
Division Analyses & Recherches
Facteurs positifs
(+)
Facteurs négatifs
(-)
Division ANALYSES & RECHERCHES
I. Revue et perspectives macro-économiques
II. Perspectives de quelques secteurs cotés :
BANQUES ;
BTP ;
IMMOBILIER
AGROALIMENTAIRE ;
PETROLES ET GAZ
MINES ;
TELECOMS ;
III. Conclusion
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Sommaire
Division ANALYSES & RECHERCHES
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Monde : La Zone Euro en récession
MONDE : La crise au sein de la Zone Euro constitue la plus importante
menace qui pèse sur la croissance mondiale
Monde : Révision à la baisse des perspectives de croissance mondiale à
3,3% en 2012 (Vs. 3,5% précédemment) et à 3,6% en 2013 (Vs, 3,9%
initialement) ;
Zone Euro : Un PIB attendu en récession en 2012 à -0,4% (Vs. 1,4% en
2011) et à -0,1% en 2013 ;
États-Unis : Amélioration prévue de la croissance des son PIB de 2,2% en
2012 (Vs. 1,8% en 2011) et de 2,1% en 2013 ;
Pays émergents et en développement : Le PIB de ces économies devrait
ralentir à 5,3% au terme de l’exercice 2012 (Vs. 6,2% en 2011). En 2013,
la croissance devrait se situer à 5,6%.
ZONE EURO : La récession que connaît la Zone devrait persister durant les
deux prochains trimestres
Un PIB qui s’est contracté au titre du T3-2012 (-0,1%), soit le
2ème trimestre consécutif de recul. Ce mouvement récessif devrait
s’accentuer au T4-2012 (-1,3%) ;
Poursuite en 2013 du freinage de l’activité, en raison des mesures
d’assainissement budgétaire en cours…
…Mais, la demande privée devrait se ressaisir avec le retour de la
confiance et l’amélioration du fonctionnement du secteur financier ;
L’ampleur persistante du chômage et un important excédent des
capacités se traduiront par un relâchement des tensions inflationnistes.
Source : FMI (Octobre 2012) - *Pour 2013, il s’agit de la prévision de l’OCDE
Source : OCDE (Novembre 2012)
Division ANALYSES & RECHERCHES
Croissance du PIB au titre du 3ème trimestre 2012 :
PIB : 2,9% (Vs. 2,3% un trimestre auparavant), selon le HCP ;
PIB non agricole : 4,8% (Vs. 4,3% au 2ème trimestre 2012) ;
VA agricole : -8,6% (Vs. -9,6% au 2ème trimestre 2012).
Principales évolutions récentes :
Au plan macro-économique
IPC : Hausse de 1,2% de l’indice des dix premiers mois de 2012 (2% pour les
produits alimentaires et 0,4% pour les produits non alimentaires).
Au plan sectoriel
Industrie : Sa valeur ajoutée a repris avec une progression de 1,2% au
T3-2012, en glissement trimestriel (Vs. -1,9% au T2-2012) ;
Activité énergétique : Elle est restée dynamique au titre du T3-2012, affichant une croissance estimée à 13,8%, en variation trimestrielle. Cette amélioration et à mettre à l’actif de la branche électrique, principal moteur de cette expansion ;
Postes & Télécoms : La valeur ajoutée du secteur a augmenté de 7,7% au T3-2012, en glissement trimestriel ;
Secteur minier : Après deux trimestres consécutifs de recul, les activités minières ont enregistré une amélioration modérée de 2,7%, en glissement trimestriel. Les écoulements à l’extérieur de phosphate brut ont accusé un nouveau recul au T3-2012, lié en partie à l’exacerbation de la concurrence russe et chinoise ;
Activité touristique : La valeur ajoutée du secteur de l’hébergement & restauration a enregistré une augmentation de 1,7% au T3-2012, en variation trimestrielle ;
BTP : La valeur ajoutée du secteur a accusé une régression de 1,2% au T3-2012, en rythme trimestriel. Par ailleurs, sur les neuf premiers mois de l’année, les ventes de ciment ont marqué un net ralentissement affichant une hausse de seulement 2,4% (Vs. 8,7% à fin septembre 2011).
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Economie Nationale : Croissance du PIB toujours favorable
Source : HCP
Source : HCP
Division ANALYSES & RECHERCHES
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Perspectives économiques en 2013
Source : HCP et Ministère des Finances
Source : Ministère des Finances et HCP
Source : Ministère des Finances
Source : Ministère des Finances et HCP
Division ANALYSES & RECHERCHES
I. Revue et perspectives macro-économiques
II. Perspectives de quelques secteurs cotés :
BANQUES ;
BTP ;
IMMOBILIER
AGROALIMENTAIRE ;
PETROLES ET GAZ
MINES ;
TELECOMS ;
III. Conclusion
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Sommaire
Division ANALYSES & RECHERCHES
I. Revue et perspectives macro-économiques
II. Perspectives de quelques secteurs cotés :
BANQUES ;
BTP ;
IMMOBILIER
AGROALIMENTAIRE ;
PETROLES ET GAZ
MINES ;
TELECOMS ;
III. Conclusion
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Sommaire
Division ANALYSES & RECHERCHES
Pâtissant d’un contexte économique défavorable, les crédits à l’économie ont affiché une évolution timide de 2,0% à fin Octobre 2012 pour s’établir à 700,8 MMDhs;
Côté ressources, les dépôts de la clientèle ont reculé de -0,8% à 685,9 MMDhs, dégradant le taux de transformation de 2,9 points à 102,2% ;
Ce resserrement de la liquidité bancaire, reflété par le ralentissement structurel des dépôts, a poussé les opérateurs à se tourner vers d’autres sources de financement notamment les certificats de dépôts (un total levé de 68,4 MMDhs au S1-2012 contre 58,5 MMDhs en 2011) ;
L’effort de provisionnement dans le contexte de montée de risque liée aux effets de la conjoncture nationale défavorable pourrait impacter négativement la rentabilité de quelques banques;
Un élargissement continu du réseau de distribution bancaire. A fin 2011, il se monte à 4 377 agences (dont 4 213 points de vente au Maroc), contre 4 097 à fin 2010;
Face aux tension sur la solvabilité, la majorité des banques ont procédé à un renforcement de leurs fonds propres réglementaires à travers soit une augmentation de capital ou bien des emprunts obligataires subordonnés ;
Toutefois, grâce aux fondamentaux solides des opérateurs du secteur, ceux-ci devraient poursuivre leur développement en 2013, capitalisant sur :
Une croissance économique nationale soutenue par la consommation interne et les investissements publics ;
Le développement du segment des clients à faible revenu qui devrait représenter un bon relai de croissance pour les banques de la place (notamment le Groupe BANQUE POPULAIRE, ATTIJARIWAFA BANK et BMCE) ;
Un fort potentiel de croissance en Afrique;
Doublement de la vigilance afin de maîtriser la montée du risque sur le marché;
Et, le renforcement continu du réseau de distribution bancaire.
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BANQUES (1/2) : Un secteur résilient
Source : BANK AL MAGHRIB
Dépôts et crédits bancaires (Encours fin
de mois)
Source : GPBM
Répartition des dépôts à fin Octobre 2012 Répartition des crédits à fin Octobre 2012
Répartition du réseau de distribution à fin 2011
Source : GPBM
685,9
700,8
640,0
660,0
680,0
700,0
720,0
Dépôts Crédits bancaires
En MMDhs
BP AWB BMCE CAM SG CDM BMCI CIH Autres
Etranger Maroc
1 0891 011
649
385362 335 316
193
21
BP; 28,13%
AWB; 25,85%BMCE; 14,65%
CAM; 7,14%
SG; 7,97%
CDM; 5,26%
BMCI; 6,68%
CIH; 2,75%
Autres; 1,57%
BP; 24,18%
AWB; 25,74%
BMCE; 14,12%
CAM; 7,60%
SG; 8,69%
CDM; 5,51%
BMCI; 7,27%
CIH; 4,15%Autres; 2,74%
Division ANALYSES & RECHERCHES
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BANQUES (2/2) : ANALYSE SWOT
Forces Faiblesses
Opportunités Menaces
Un secteur aux fondamentaux solides, grâce à une supervision
rigoureuse de Bank-AL-Maghrib ;
Un réseau de distribution de 4 377 agences (un des plus dense
d’Afrique) ;
Une structure des ressource favorable, caractérisée par une
prédominance des dépôts à vue (61,5% à fin octobre 2012) ;
Une bonne gestion du risque reflétée par un taux de contentieux
limité à 5,3% à fin octobre 2012;
Une maîtrise des charges générales d’exploitation (un coefficient
d’exploitation sectoriel de 43% à fin juin 2012). ·
Faible dépendance du système bancaire aux secteurs cycliques de
l’économie marocaine (4% de l’encours crédits pour le secteur
primaire et 2,7% pour le tourisme à fin septembre 2012).
Forte montée du risque ayant altérée la rentabilité sectorielle au
S1-2012 ;
Des activités de marché concentrées sur quelques opérateurs de
la place ;
Une offre de produits alternatifs peu adaptée au besoin du
marché ;
Une aggravation du taux de transformation à 110,3% à fin
Octobre 2012 selon le GBPM.
Un taux de bancarisation limité à 54%, offrant un potentiel de
croissance pour les banques ;
Un important potentiel de croissance en Afrique pour les banques
marocaines;
Un ratio crédits immobilier/PIB confiné à 26,9% au Maroc (contre
59,4% pour l’Espagne et 53,6% pour la France) ;
Préparation d’un cadre réglementaire pour faciliter le
développement des produits islamiques.
Contexte économique défavorable : ralentissement prévisionnel
de la croissance (inférieur à 3%) du pays par rapport à 2011
(5%)/Ralentissement économique dans l’UE, principal
partenaire économique et commercial du royaume;
Ralentissement des transferts des MRE suite aux effets de la
crise ;
Fortes tensions sur les liquidités bancaires ;
Augmentation du coût des ressources suite à la recrudescence
de la concurrence.
Division ANALYSES & RECHERCHES
I. Revue et perspectives macro-économiques
II. Perspectives de quelques secteurs cotés :
BANQUES ;
BTP ;
IMMOBILIER
AGROALIMENTAIRE ;
PETROLES ET GAZ
MINES ;
TELECOMS ;
III. Conclusion
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Division ANALYSES & RECHERCHES
Crédits immobiliers : ralentissement avec une hausse de 5,8% à fin octobre 2012 (11,1% à la même période de 2011) ;
Production en habitat : 66 195 unités produites au 1er semestre 2012 (dont 48 286 unités d’habitat social) ;
Nombre d’unités mises en chantier : 212 212 unités (dont 160 235 unités sociales et économiques) au 1er semestre 2012 ;
Ventes de ciment : recul de -1% à fin octobre 2012, en variation annuelle, à 13,5 millions de tonnes (-25,5% entre octobre 2011 et octobre 2012) ;
IDE dans l’Immobilier : ils ont atteint 3,7 MMDhs au 1er semestre 2012, soit un repli de -17,7% ;
Dispositif du logement à 250 000 Dhs : à fin septembre 2012, 476 projets, totalisant 359 580 logements, ont reçu l’avis favorable. Le nombre de logements, dont les travaux ont démarré est de 243 projets totalisant 174 755 logements ;
Crédits FOGARIM : jusqu’au 31 octobre 2012, 82 405 ménages bénéficiaires (12,3 MMDhs de prêts accordés) ;
Perspectives du secteur :
L’année 2013 devrait connaître une reprise des investissements de l’Etat, vu que l’exercice 2012 a été marqué par des retards dans l’exécution de ces projets (5 mois) en lien avec les conditions d’exécution de la Loi de Finances;
La poursuite des travaux de construction de l’autoroute Casa-Béni mellal (livraison prévue pour fin septembre 2013) ;
La montée en régime de l’usine de CIMENTS DE L’ATLAS à Béni Mellal devrait intensifier la concurrence sur la région de Marrakech ;
L’effet plein des travaux du TGV, lancés au S2-2012, devrait impacter positivement les opérateurs BTP en 2013 ;
Probable mise en place de mesures de sauvegarde au profit de l’industrie de l’acier.
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BTP : L’habitat social comme relais de croissance
Source : ASSOCIATION PROFESSIONNELLE DES CIMENTIERS
Source : BANK AL MAGHRIB et ASSOCIATION PROFESSIONNELLE DES CIMENTIERS
Division ANALYSES & RECHERCHES
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BTP et Sidérurgie (2/2) : ANALYSE SWOT
Forces Faiblesses
Opportunités Menaces
Le BTP constitue l’un des secteurs les plus attractifs en matière
d’investissement ;
Réalisation d’importants programmes d’augmentation des
capacités de production et de modernisation des équipements
(Ciment du Maroc, Lafarge, Holcim, Sonasid);
Secteur cimentier et de sidérurgie bien organisé et implanté sur le
territoire national.
Repli de la demande des non-résidents (y compris MRE) et des
IDE dans le segment de l’immobilier touristique et de luxe, sous
l’effet de la récession économique en Zone Euro ;
Poids important du coût de l’énergie : 63% des coûts variables
du ciment ;
Sidérurgie : poursuite de la montée des importations d’acier (part
de marché de 20% à fin août 2012)…
…hausse des prix de la ferraille (70% du coût de revient du rond-
à-béton) ;
…Et, concurrence des pays du sud de l’Europe sur nos principaux
marchés à l’export (Algérie et Mauritanie) ;
Recrudescence de la concurrence nationale et internationale
engendrant une baisse des prix (ciment et acier long).
Avantages fiscaux accordés au profit du logement social et du
logement destiné à la classe moyenne ;
Un déficit important estimé à plus de 1 million de logements non
encore résorbé ;
Potentiel de croissance de la consommation du ciment qui reste
élevé : seulement 500kg/an/hab en 2011 ;
Dynamique toujours présente des chantiers étatiques (autoroute
Casablanca-Béni Mellal, Nador West Med (Quai pétrolier), chantiers
d’infrastructures et d’habitat social, TGV, Marchica) ;
Sidérurgie : Instauration de mesures de sauvegarde (déclaration
préalable d’importation) sur les importations du rond à béton et du
fil machine…
…Et, déploiement par les sidérurgistes d’une stratégie basée sur
7 axes pour mettre à niveau la filière.
La branche matériaux de construction contribue très faiblement
aux efforts d’exportations ;
Main-d’œuvre qualifiée pour le BTP peu nombreuse ;
Sidérurgie : montée des surcapacités de production consécutives
à une très nette hausse des importations en provenance d’Europe
du Sud.
Division ANALYSES & RECHERCHES
I. Revue et perspectives macro-économiques
II. Perspectives de quelques secteurs cotés :
BANQUES ;
BTP ;
IMMOBILIER
AGROALIMENTAIRE ;
PETROLES ET GAZ
MINES ;
TELECOMS ;
III. Conclusion
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Sommaire
Division ANALYSES & RECHERCHES
Des mesures incitatives pour le logement social, contenues dans la loi de finances 2010 pour
une durée de 10 ans ;
Un déficit en logement estimé à 840 000 unités contre 1,2 millions unités auparavant. Le
besoin en logement est appelé à augmenter avec la croissance démographique urbaine, pour
se fixer à 2,28 millions unités à l’horizon 2022. A cet effet et sur la base d’une production
annuelle de 100 000 unités par an , le déficit serait de 650 000 unités à l’horizon 2022;
Recul de 17,7% des IDE en immobilier à 3,7 MMDhs à fin juin 2012 ;
Repli de -2,2%, comparativement à fin octobre 2011, des crédits aux promoteurs immobiliers
à 68,6 MMDhs à fin octobre 2012, sous l’effet de la montée des impayés et de la mévente
des logements dans certaines villes du Royaume ;
Recul de 0,7% de l’Indice des Prix des Actifs Immobiliers (IPAI) au T3-2012, marqué
principalement par la baisse de 0,4% des prix des biens résidentiels et de 1,6% de ceux des
biens fonciers ;
Un chiffre d’affaires consolidé des trois immobilières au 1er semestre 2012 de 6,1 MMDhs, en
progression de 12,4% comparativement à une année auparavant ;
Des capacités bénéficiaires au titre du S1-2012 pour les trois sociétés cotées, en amélioration
de 14,7% à 932,8 MDhs ;
Renforcement de la part du social dans le chiffre d’’affaires des sociétés cotées (notamment
ADDOHA et ALLIANCES) ;
Développement de l’activité d’ADDOHA et d’ALLIANCES en Afrique par la signature des
conventions avec le Gouvernement Ivoirien pour la construction de 2 600 logements et 7 000
logements respectivement ;
Les sociétés cotées devraient s’orienter vers le moyen standing pour répondre à la demande
d’une autre catégorie sociale. A ce titre, la loi des finances 2013 prévoit la construction de
logements du moyen standing à 6 000 Dhs/m² et une superficie variant entre 80 et 120 m².
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IMMOBILIER (1/2) : 2013, l’année du moyen standing
Source : Estimations Analyses et Recherches
Evolution du déficit en logements à horizon 2022
(En K unités)
Evolution des crédits aux promoteurs immobiliers
entre octobre 2002 et octobre 2012
Source : Bank Al Maghrib
840
Besoin actuel Besoins résultant de la croissance
démographique urbaine
Besoins cumulés en 2022
Besoins cumulés en 2022
1440
2280 2280
100100
100
100
...100
Production annuelle moyenne de
100 000 logements
Déficit en 2022
650
0
10 000
20 000
30 000
40 000
50 000
60 000
70 000
80 000
Division ANALYSES & RECHERCHES
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IMMOBILIER (2/2) : ANALYSE SWOT
Forces Faiblesses
Opportunités Menaces
Les sociétés cotées disposent d’une réserve foncière leur
permettant de réaliser leurs projets pour plusieurs années ;
Présence de promoteurs immobiliers, dotés d’une expertise
avérée (ADDOHA, ALLIANCES, CGI , GROUPE CHAABI, GROUPE
JAMAII, GROUPE BERRADA, Les espaces ESSADA etc) .
Atomicité des opérateurs ;
Rareté d’une main d’œuvre hautement qualifiée ;
Un cadre réglementaire des projets vendus sur plan, non adapté
au marché (contrat VEFA) ;
Persistance de la déclaration partielle des prix de vente par
certains promoteurs.
Des mesures incitatives au profit des logements sociaux pour
une durée de 10 ans ;
Un déficit en logement social estimé à fin 2011 à 840 000 unités
reflétant le potentiel de croissance du secteur
la croissance démographique accélérée entrainant une hausse
de la demande de logement ;
Le programme Gouvernemental de villes sans bidonvilles
contribue à la dynamique d’avantage du segment social ;
Les mesures prévues par la loi de finances 2013 pour le moyen
standing devaient encourager les promoteurs à s’orienter vers
ce type de logements ;
Développement du secteur immobilier en Afrique pourrait
donner de nouvelles perspectives au secteur .
Renchérissement du foncier notamment dans les milieux
urbains ;
Repli du prix des biens résidentiels Tassement des prix de
l’immobilier, particulièrement sur le segment haut standing ;
Ralentissement de la demande des MRE, suite aux retombées de
la crise en Europe ;
Raréfaction de la liquidité bancaire, pouvant entraîner un
durcissement des conditions d’octroi de crédits immobiliers.
Division ANALYSES & RECHERCHES
I. Revue et perspectives macro-économiques
II. Perspectives de quelques secteurs cotés :
BANQUES ;
BTP ;
IMMOBILIER
AGROALIMENTAIRE ;
PETROLES ET GAZ
MINES ;
TELECOMS ;
III. Conclusion
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Sommaire
Division ANALYSES & RECHERCHES
Un secteur défensif , dont la demande évolue généralement en fonction de la démographique, d’où son caractère de secteur refuge…;
…Toutefois, le renchérissement des prix des intrants pourrait impacter la croissance de la rentabilité des sociétés cotées (Ex : Poudre de lait, Huile brute). Seul le secteur sucrier, échappe pour le moment à cette contrainte, en raison de l’existence d’une subvention Etatique et ce, dans l’attente d’une probable refonte de la caisse de compensation axée sur la subvention directe des populations cibles .
Par filière, les perspectives S2-2012 et 2013 se présentent comme suit :
Sucre :
La hausse de la consommation du sucre avec l’avènement du mois sacré en juillet-août ;
Les effets d’une campagne agricole impactée par la baisse des superficies plantées pourraient être compensé par la qualité des semences mono-germes utilisées et leur généralisation à 82% des surfaces cultivées en 2012 ;
Les retombées positives du Plan Maroc Vert et du projet d’extension et de modernisation des usines de raffinerie devaient permettre d’atténuer le poids des importations pour le porter à 47% à l’horizon 2020 (65% actuellement) ;
La campagne 2012-2013 s’annonce prometteuse, ce qui devrait augmenter la récolte des betteraves et des cannes à sucre;
La réforme de la caisse de compensation pourrait exposer les prix du sucre brut aux variations internationales.
Huiles
Le recul de la récolte oléicole a entrainé la substitution de la consommation de l’huile d’olive par l’huile de table , ce qui a permis à LESIEUR CRISTAL de réaliser de bonnes performances au S1-2012 ;
Entrée de SOFIPROTEOL dans le tour de table de l’opérateur marocain devait permettre à ce dernier d’exploiter les synergies avec son nouvel actionnaire au niveau de l’amont agricole ;
Le nouvel actionnaire Français compte développer une nouvelle filiale agro-alimentaire, permettant d’intégrer tout le procédé de production de l’huile et ce, en adoptant un projet d’agrégateur ce qui devait réduire les importations du Maroc en huiles de graines.
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AGROALIMENTAIRE (1/2) : Un secteur défensif
Division ANALYSES & RECHERCHES
Lait et produits laitiers
Recrudescence de la concurrence entraînant une pression sur les prix ;
La montée en régime de la Ferme Imtiaz devrait contribuer à la réduction des importations de la poudre de lait ;
le deuxième semestre a coïncidé avec l’avènement du mois de Ramadan(période de forte consommation de produits laitiers) ce qui devrait doper davantage les performances commerciales du CENTRALE LAITIERE;
Prochaine entrée de DANONE dans le tour de table du Groupe, devrait permettre à la société de profiter de l’expérience de l’opérateur français ;
La campagne 2012-2013 s’annonce favorable, ce qui devait générer une hausse des volumes de laits collectés ;
Conserves de poisson
La forte hausse des débarquements en pélagique (+25% en volumes à fin octobre 2012), suite à la non reconduction de l’accord de pêche avec l’UE, a impacté positivement les revenus d’UNIMER ;
La fusion-absorption avec CONSERNOR 2012, devait permettre à UNIMER une mutualisation de l’activité de conserverie des espèces pélagiques tant au niveau commercial qu’industriel d’où un doublement de ses capacités de production;
La mise en place du plan halieutis axé sur (i) l’organisation de l’informel (ii) l’accès des industriels aux matières premières et (iii) l’amélioration des conditions du travail des pêcheurs,devrait permettre de valoriser la richesse halieutique marocaine et de tripler le PIB du secteur d’ici 2020 pour avoisiner 21,9 MMDhs.
Boissons
Pour les boissons alcoolisées, l’activité a été fortement impactée par trois facteurs :
La coïncidence de la saison estivale (période de forte consommation) avec les mois sacrés (Chaâbane et Ramadan) ;
Les hausses répétitives de la TIC sur les produits alcoolisés, entrainant une hausse des prix;
Et, ralentissement de l’activité touristique.
Radiation de la cote de valeur BRANOMA le 15/02/2013.
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AGROALIMENTAIRE (2/2) : Un secteur défensif
Division ANALYSES & RECHERCHES
I. Revue et perspectives macro-économiques
II. Perspectives de quelques secteurs cotés :
BANQUES ;
BTP ;
IMMOBILIER
AGROALIMENTAIRE ;
PETROLES ET GAZ ;
MINES ;
TELECOMS ;
III. Conclusion
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Sommaire
Division ANALYSES & RECHERCHES
Les réalisations du 1er semestre sont marquées par l’amélioration des réalisations commerciales des deux sociétés énergétiques cotées:
Un CA semestriel de SAMIR en hausse de 20% à 27,5 MMDhs, et Une production semestrielle consolidée d’AFRIQUIA en progression de 7,3% à 1,93 MMDhs;
Une progression du volume des ventes dû essentiellement à une progression des prix de ventes;
Même si les réalisations commerciales de SAMIR sont satisfaisantes, ses marges continuent à se déprécier sous l’effet d’une croissance des charges d’intérêts et des provisions ;
Hausse du coût moyen du pétrole brut importé, entre 2012 et 2011.
Pour leurs perspectives, les indicateurs sont mitigés selon chacune des deux sociétés :
L’achèvement du programme d’investissement (Hydrocracking), permettant d’optimiser les charges d’exploitation et améliorer la part des produits à forte valeur ajoutée de SAMIR;
Les deux tempêtes ISAAC et SANDY se sont abattues sur les zones géographiques aux Etats-Unis sur lesquelles divers raffineries sont installées;
L’entrée en production de la nouvelle unité de distillation (N°4) , renforçant ainsi l’outil de production de SAMIR au 2ème semestre 2012;
Lancement du GPL canalisé, permettant à AFRIQUIA GAZ de mieux maitriser ses coûts et son réseau de distribution;
Le terminal de stockage de JORF LASFAR (phase 2), permettant de se doter d’une capacité de stockage supplémentaire de 28,000 m3.
Toutefois, l’activité des opérateurs énergétiques devraient être caractérisée par :
La poursuite de la hausse des produits raffinés importés (4,78 MMDhs de plus en gasoil & fuel-oils importés en plus et 2,37 MMDhs de plus en importations de gaz de pétrole entre Janvier et Octobre 2012). Ces derniers représentent 7,35 MMDhs de manque à gagner pour SAMIR en 2012;
L’augmentation de la parité USD/EUR (et en conséquence l’USD/MAD) risque d’aggraver le coûts des produits énergétiques bruts importés;
La refonte de la caisse de compensation pourrait entrainer une hausse des prix sur le gaz avec un impact négatif sur la demande.3
Le lancement de l’activité de distribution par SAMIR, à travers sa filiale SDCC
20
PETROLE & GAZ (1/2)
Evolution des importations en Pétrole Brut Vs. Prix moyen d’achat
(en MAD/Tonnes)
Augmentation des importations en produits raffinés à fin Octobre
2012 (En MAD)
-
1 000 000,00
2 000 000,00
3 000 000,00
4 000 000,00
5 000 000,00
6 000 000,00
Gas-oils et fuel-oils Gaz de pétrole etautres hydrocarbures
Essence de pétrole
Evolution des importations en Kdhs
6 249.9
6 505.0
6 100.0
6 150.0
6 200.0
6 250.0
6 300.0
6 350.0
6 400.0
6 450.0
6 500.0
6 550.0
3 800 000
3 900 000
4 000 000
4 100 000
4 200 000
4 300 000
4 400 000
4 500 000
entre Janvier et Octobre 2011 (en t)
entre Janvier et Octobre 2012
quantités importées en huile brute de pétrole Px moyen (MAD/Tonnes)
Source : Office des Changes
Source : Office des Changes
Division ANALYSES & RECHERCHES
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ENERGIE & GAZ (2/2) : ANALYSE SWOT
Forces Faiblesses
Opportunités Menaces
Les ouragans SANDY et ISAAC ont poussé les prix des
produits raffinés à la hausse ;
Intégration verticale de SAMIR avec le lancement de
l’activité de distribution
Développement du GPL canalisé ;
Possibilité d’exportation des produits pétroliers raffinés.
Forte concentration des opérateurs énergétiques, voire même
en situation de monopole (Cas SAMIR);
Amélioration des outils de production et de stockage via les
investissements réalisés.
Evolution des importations en produits raffinés ;
Bras de fer avec le Groupement des Pétroliers du Maroc
risque de peser sur les réalisations commerciales de SAMIR
Hausse probable du prix du Pétrole & du Gaz naturel suite à
une restructuration des subventions de la caisse de
compensation pourrait affecter la demande nationale en
énergies fossiles ;
Appréciation du Dollar par rapport au Dirham ;
Impact de la poursuite de la régression du secteur
touristique sur la consommation du propane et du Jet.
Concurrence des produits raffinés importés ;
Poids des dotations aux amortissements et des charges
financières sur les résultats de SAMIR
Division ANALYSES & RECHERCHES
I. Revue et perspectives macro-économiques
II. Perspectives de quelques secteurs cotés :
BANQUES ;
BTP ;
IMMOBILIER
AGROALIMENTAIRE ;
PETROLES ET GAZ ;
MINES ;
TELECOMS ;
III. Conclusion
22
Sommaire
Division ANALYSES & RECHERCHES
L’année 2012 est marquée par des évolutions contrastées des exportations des minerais (Hors Phosphate)
Progression des exportations d’Argent brut en volume à 522 Tonnes à fin Octobre 2012 (Vs. 330 Tonnes à fin Oct.2011) ;
Evolution des quantités exportées en cuivre à fin Octobre 2012 (55 443 T contre 33 101 T ) et régression des exportations en Plomb (32 265 T contre 33 042 T) et en Zinc (3 360 T en moins).
Relance des cours des métaux, particulièrement des métaux précieux à partir de Septembre 2012 ;
Pour leurs perspectives, les indicateurs internationaux plaident pour une progression des cours à moyen terme suite à :
La hausse des positions acheteuses sur les métaux précieux suite aux risques liés à la zone euro et suite au 3ème quantitative easing;
Amélioration des prix long terme du zinc et du plomb, anticipant ainsi une montée de leur cours spot.
Au niveau national, certains éléments menacent la pérennité de l’activité:
Troubles sociaux concernant les riverains (Conflits concernant l’utilisation d’eau et l’emploi des locaux). Notons toutefois, que certaines sociétés minières commencent à réaliser des accords avec des associations représentant les riverains de leurs mines (ex : SMI),
Dans une note plus positive, les opérateurs miniers nationaux pourraient profiter des facteurs suivants :
Les projets d’extension qui devraient contribuer à l’augmentation des ventes (extension de la capacité de production de SMI à 300 TM/an) ;
La baisse des niveaux de couverture devrait permettre aux opérateurs de profiter de la hausse des cours ;
Premiers résultats de l’exploitation des nouvelles mines en Afrique subsaharienne (mine d’Or au Gabon) ;
Et, l’élaboration d’un nouveau code minier en 2013, en instance de finalisation (possibilité d’élargissement des zones d’exploration par permis).
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MINES (1/2)
Evolution du cours de l’Argent en weekly, des positions Long des
« traders » (en vert) et des positions Short des producteurs (en
bleu) (CME))
Courbe des cours à terme du Zinc au 09/10/2012(LME)
Source : Timingchart.com
Source : London Metal Exchange
Division ANALYSES & RECHERCHES
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MINES (2/2) : ANALYSE SWOT
Forces Faiblesses
Opportunités Menaces
Secteur sous-exploité par rapport à son potentiel (les cartes
géologique couvrent à peine 34% du territoire national) ;
Ajustement des couvertures sur les métaux de manière
optimale afin de bénéficier des envolées des cours sans pour
autant souffrir des grands retournements de tendances ;
Appréciation du Dollar par rapport au Dirham.
Probable poursuite des QE engagés par la FED afin de stimuler
l’économie américaine
Faibles coûts de production par rapport aux producteurs
internationaux ;
Existence d’opérateurs d’envergure dotés d’une expertise
avérée dans leurs domaines respectifs ;
Diversification des métaux produits ;
Assise financière solide des différents opérateurs.
Probable poursuite de la correction des cours suite aux mesures
restrictives prises par les pays développés envers la spéculation
La crise en zone euro aura un impact sur la demande mondiale
envers les métaux de base
La décélération de la croissance chinoise aura de même des effets
négatifs sur l’évolution des métaux de base
Risque politique au sein des pays subsahariens (RDC : conflits à la
suite des élections présidentielles contestées).
Niveau de couverture ne permettant pas de bénéficier
pleinement de la hausse des cours des métaux ;
Conflits avec les riverains (eau & emploi des locaux) pouvant
avoir un impact sur la cadence de production.
Division ANALYSES & RECHERCHES
I. Revue et perspectives macro-économiques
II. Perspectives de quelques secteurs cotés :
BANQUES ;
BTP ;
IMMOBILIER
AGROALIMENTAIRE ;
PETROLES ET GAZ ;
MINES ;
TELECOMS ;
III. Conclusion
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Sommaire
Division ANALYSES & RECHERCHES
Le 1er semestre de l’exercice 2012 a été marqué par une évolution limité du parc mobile de 2,3% à fin Juin 2012 :
Croissance limitée du parc mobile d’IAM de 2,3% à 17,4 Millions;
L’évolution du parc mobile est tiré par la performance de l’opérateur INWI, contre un léger repli de MAROC TELECOM ;
Baisse de l’ARPU de MAROC TELECOM à 81,4 DH HT/ Mois à fin Juin 2012 (soit une baisse de -5,7%),;
Amélioration de l’usage moyen sortant à 110 min/Mois. (Vs. 80 Min/Mois à fin Juin 2011);
Outre les facteurs opérationnels, l’exercice 2012 a connu :
L’élaboration d’un programme de départ volontaire en vue de réduire la masse salariale de MAROC TELECOM, ce programme devrait coûter au moins 800 MDhs pour IAM
Une montée en puissance de l’activité internationale qui vient réduire la dégradation des réalisations au niveau du marché marocain;
Spéculation sur le sort de la cession ou non des parts de vivendi dans Maroc Telecom
Suite à l’agressivité de la concurrence couplée à la réduction progressive de l’asymétrie des charges d’interconnexion:
Le marché devrait connaître un acharnement de l’agressivité commerciale de MAROC TELECOM en vue de récupérer ses parts de marché ;
La disparition progressive de l’asymétrie des charges d’interconnexion devrait soulager MAROC TELECOM pour faire face à ses concurrents, à travers une baisse de ses tarifs ;
Le développement des filiales subsahariennes permettrait à MAROC TELECOM de combler la baisse de son activité nationale ;
L’Internet présente un relai de croissance pour les opérateurs télécom suite à la saturation du marché du mobile. MAROC TELECOM dispose d’un avantage concurrentiel grâce à son réseau ADSL.
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TELECOM (1/2)
Evolution du Parc Mobile à fin Juin 2012
Evolution du CA par pays (en MDhs)
S1 2011 S1 2012
94,5% 93,5%
5,5% 6,5%
Prépayé Post-payé
16 994 17 385+2,3%
601
846
472
976
667
1 028
635
1 186
Mauritanie Burkina Faso Gabon Mali
S1 2011 S1 2012
Source : MAROC TELECOM
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TELECOM (2/2) : ANALYSE SWOT
Forces Faiblesses
Opportunités Menaces
L’entrée d’un opérateur télécom dans le tour de table de
MAROC TELECOM à la place de VIVENDI (multimétiers)
permettra à l’opérateur national de réaliser des synergies
métiers avec le nouvel acquéreur;
Faible taux de pénétration d’Internet ;
Disparition de l’asymétrie tarifaire des charges
d’interconnexion en 2012 ;
Développement de la 4G.
Secteur oligopolistique ;
Fortes capacités financières ;
Infrastructures télécom développées.
La concurrence acharnée risque de réduire les marges
bénéficiaires de tous les opérateurs télécom ;
La présence de nouveaux opérateurs mondiaux (Ex: Viettel) qui
cherchent à s’investir dans le marché africains pourrait
concurrencer MAROC TELECOM qui vise le même objectif.
Rentabilité de MAROC TELECOM impacté par le programme
de départ volontaire (impact estimé à 800 MDhs)
Secteur fortement capitalistique ;
Poursuite du repli de la téléphonie fixe, suite à la réduction
des prix du mobile;
Segment de la téléphonie mobile en phase de maturité.
Division ANALYSES & RECHERCHES
I. Revue et perspectives macro-économiques
II. Perspectives de quelques secteurs cotés :
BANQUES ;
BTP ;
IMMOBILIER
AGROALIMENTAIRE ;
PETROLES ET GAZ ;
MINES ;
TELECOMS ;
III. Conclusion
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Division ANALYSES & RECHERCHES
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Conclusions
En 2013, les
perspectives du
marché boursier
ressortent mitigées
Nous pensons que les perspectives de l’année 2013 ressortent mitigées. Cet état de fait se justifie
essentiellement par la conjonction de facteurs positifs et négatifs.
Facteur positifs :
Une pluviométrie abondante qui annonce une bonne saison agricole ;
Une sortie réussie de l’Etat marocain à l’international à un spread intéressant (275 pbs sur le
10 ans et 290 pbs sur le 30 ans) pourrait redonner confiance aux investisseurs tant étrangers
que locaux ;
Un budget d’investissement étatique qui sera validé dans les temps, évitant les retards
enregistrés en 2012 ;
Un niveau de valorisation qui devient très attractifs, notamment pour quelques valeurs
(ADDOHA, ALLIANCE, CMT, SMI, BCP, ATW, etc) ;
Et, les efforts soutenues de la Bourse de Casablanca d’améliorer la liquidité sur le marché et
d’apporter du papier frais à la cote, à travers des campagnes de communication ciblées.
Facteurs négatifs :
Une situation économique délicate au niveau de la Zone Euro, pouvant impacter davantage
les agrégats macro-économiques du Maroc ;
Un attentisme persistant des institutionnels locaux qui préfèrent rester cash plutôt que
d’investir sur le marché action ;
Des places financières voisines très compétitives par rapport à celle du Maroc ;
Et, des mesures fiscales de la Loi de finances 2013 ne favorisant pas le développement de la
consommation interne, moteur de la croissance économique ces dernières années.
En termes de stratégie d’investissement, nous restons prudents quant à l’évolution du marché.
Dans ce sens, nous recommandons d’investir, sur un horizon moyen terme , dans des valeurs
offrant un rendement intéressant. En effet, l’investissement court terme s’avère assez risqué pour
le moment, même avec une stratégie de stock picking adéquate, du fait du manque de liquidité
qui sévit sur le marché.
Division ANALYSES & RECHERCHES
Directeur de Division Mr Ali Hachami [email protected] Tel : 05 22 46 92 63
Analystes Nasreddine Lazrak Benmlih Fatima [email protected] [email protected] Tel : 05 22 46 90 76 Tel : 05 22 46 90 71 Adnane Cherkaoui Ahmed Rochd [email protected] [email protected] Tel : 05 22 46 91 15 Tel : 05 22 46 91 03 Nordine Hamidi Fatima Zohra MABCHOURE [email protected] [email protected] Tel : 05 22 46 95 10 Tel : 05 22 46 92 11
30
Merci
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