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Pour un Vrai Débat de tous les Débats

Le procès de l'intellectualisme Postiche Marocain

Des dialogues bidon en Général

Et des pédanteries puériles savantes en particulier

Généalogie et Autopsie

(Partie VI)

GÉNÉALOGIE D’UNE GRANDE FAMILLE DU MAKHZEN

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TissageTissageTissageTissage Tentacul Tentacul Tentacul Tentaculaireaireaireaire d d d de relationse relationse relationse relations

On ne peut guère comprendre la politique du Makhzen Marocain sans savoir ce qui le constitue et comment il opère et fonctionne, autant commencer par le commencement et décrire l’une de ses briques constituante de premier ordre, qui n’est autre que la Grande Famille Tentaculaire (GFT) du féodal communisant Ismail Alaoui.

Certains membres de cette famille remontent à des ancêtres issus de la ville de

Tlemcen en Algérie. Il faut rappeler qu’avec l’avènement de l’occupation de l’Algérie par la France

coloniale, la ville de Tlemcen paya Allegiance au Sultan du Maroc My Abderrahmane (1ére tableau à gauche ci-dessous peint par le Français Eugène Delacroix ), qui désistât au vu des rapports de forces qui n’étaient pas en sa faveur et des conséquences désastreuses, qui s’ensuivraient. Les Tlemceniens récidivèrent une deuxième fois avec My Slimane (2ème photo), toujours sans grand résultat, comme on devrait s’y attendre.

Parmi les grandes familles de Tlemcen, la plupart ont émigré avec l’Émir

Abdelkader (3ème photo) vers l’Est, alors que ceux qui le combattirent après le revirement de My Abderrahmane contre Abdelkader, ou ceux qui ne voulaient pas de la naturalisation Française, trouvèrent refuge et résidence au Maroc.

Le premier membre de cette (GFTGFTGFTGFT); Mohammed El Guebbas (4ème et 5ème photos), le grand père du Dr. AbdelkDr. AbdelkDr. AbdelkDr. Abdelkrim Alkhatibrim Alkhatibrim Alkhatibrim Alkhatib du coté de sa mère MeriemMeriemMeriemMeriem, naquit à fes au sein d’une famille originaire de Tlemcen. Il fut parmi les premiers étudiants à être envoyé en Angleterre entre 1877 – 1880 du temps du Sultan Hassan Ier (6ème photo) pour étudier le génie civil à oxford.

Il occupa le poste du Ministre de la GuerreMinistre de la GuerreMinistre de la GuerreMinistre de la Guerre durant le règne du jeune

sultan My AbdelazizMy AbdelazizMy AbdelazizMy Abdelaziz (7ème photo) entre 1894 – 1908, après le renvoi de Mahdi El Mahdi El Mahdi El Mahdi El MnabhiMnabhiMnabhiMnabhi1 (8ème photo) en 1903. {La 9ème photo montre l'armée de Mohammed El Guebbas

1 Mnabhi avait servi sous Ba - Ahmed, le grand Vizir et célèbre régent du sultan Moulay 'Abdl’Aziz… Il occupa le poste de 'Allaf ou ministre de guerre pour le jeune sultan après la mort de Ba. Ahmed. Il obtint un prêt de 80000 livres des Britanniques et s’envola avec la moitié. Après la défaite de My 'Abdul 'Aziz par son frère, My 'Abdl-Hafid, Mnabhi s'est retiré à Tanger…. et le gouvernement britannique a prorogé sa protection, puisqu’il était déjà titulaire du titre de G.C.M.G., faisant de lui l’un des premiers protégés politiques britanniques en vertu de l'article XVI de la convention de Madrid de 1880. À l'heure de sa mort survenue au début de 1941 il avait bénéficié du plein statut de citoyen britannique pendant plus de trente

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campée sous les murs de Tanger}. Il prit ensuite le poste de délégué du Sultan à Tanger, après la mort de Mohammed ben Larbi Torres (10ème photo) le 13 septembre 1908.

L’histoire retiendra qu’ElElElEl----Guebbas Guebbas Guebbas Guebbas permit à la France, dont il était

un agent, de s’accaparer des terres Marocaines dans la région de Figuig pour les annexer à l’Algérie et qu’il fut choisi comme Grand Vizir durant le protectorat Français sur le Maroc sous le règne de My Youssef entre 1912 et 1918. (Photo de Lyautey et le SULTAN MOULAY YOUSSEF), en récompense pour ses prouesses honteuses.

Le deuxièmeLe deuxièmeLe deuxièmeLe deuxième membremembremembremembre de de de de cette cette cette cette (GFTGFTGFTGFT); Omar Alkhatib Ar-Rouzaini, le père du Dr. Abdelkrim Alkhatib est né à Orléans en Algérie en 1880. Il étudia le Français dans sa ville natale et à Alger la Capitale. Il obtint le Certificat Supérieur des Sciences Islamiques et enseigna l’Arabe..

Il entra au Maroc en 1902, alors âgé de 22 ans seulement, pour se mettre aux

services de Mohammed El GuebbasMohammed El GuebbasMohammed El GuebbasMohammed El Guebbas, Ministre de Guerre du jeune Sultan Abdelaziz, en lui servant de traducteur. Il l’utilisa durant le traçage des Frontières entre le Maroc et l’Algérie sous occupation Française, et continua sous ses ordres durant son poste de Ministre de Guerre pour My Abdelaziz. Il sera promu chef des traducteurs du Grand Vizirat à Tanger. Il sera promu directeur de l’imprimerie chérifienne de Tanger, puis traducteur du Grant Vizirat, pour changer de profession et occupe le poste de superviseur des Habous de la ville d’El-Jadida, en plus d’Azemmour et de Doukkala, puis renoua à nouveau avec son ancienne profession en devenant traducteur assermenté auprès du tribunal jusqu'à sa retraite.

Le lien entre, El GuebbasEl GuebbasEl GuebbasEl Guebbas et Omar AlkhatibOmar AlkhatibOmar AlkhatibOmar Alkhatib est que le premier donna

au second sa propre fille; Miriam en mariage, qui enfantera; 1) le Dr. Abdelkrim (1921 - ….) 2) Abderrahmane, avocat, qui sera Ministre de l’IntérieurMinistre de l’IntérieurMinistre de l’IntérieurMinistre de l’Intérieur

(novembre 63 – août 64) et appartiendra au premier parti toc créé par Réda Guérira; le Front de Défense des Institutions

années. Mnabhi avait assisté aux couronnements des Rois; Édouard VII, George VI, et George VI en tant que délégué spécial du sultan du Maroc, et c’était durant son séjour à Windsor qu'invité du Roi Édouard VII qu'il fut honoré d'un G.C.M.G.

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Constitutionnelles (FDIC) le 20 mars 1963, et continua a exercer son métier d’avocat à Casablanca.

3) Ahmed, traducteur, 4) une fille Hiba (la mère du futur général corps d’armée ;

Housni Benslimane) , Le Journal Arabophone « As-Saada » du 17 /9/1953, assigne à Omar

Alkhatib dans son obituaire deux gendres en plus ; 5) Un Mouhtassib (Contrôleur responsable du service de la "Hisba".) de Salé, le fqih Moulay Abdelhamid Alaoui, le père du futur athéefutur athéefutur athéefutur athée féodalféodalféodalféodal,,,, vulgaire vulgaire vulgaire vulgaire et et et et gauchissantgauchissantgauchissantgauchissant; Ismail Alaoui (1940 - …). La "Hisba" est un Système de contrôle des poids, des mesures, des prix et de la qualité des denrées et ouvrages,….etc. et se prête facilement à être dévoyé de sa fonction primaire en devenant un outil de corruption et d’enrichissement illégal, comme tout système de control makhzenien, qui ne peut fonctionner d’ailleurs sans corruption, puisque cette dernière est endémique au Makhzen, et;

6) Un Khalifa du Pacha de Casablanca Abdessalam Hassar.

À noterÀ noterÀ noterÀ noter tout d’abord, qu’un gendre HassarHassarHassarHassar, n’a rien de surprenant pour

un AlkhatibAlkhatibAlkhatibAlkhatib Algérien ! c’est même une surprenante retrouvaille, puisque on dénombre des Hassars en Algérie aussi, et qui doivent avoir tous un lien lointain avec le mathématicien de Séville, al-Hassâr, du XII e siècle, qui est connu pour avoir écrit un livre célèbre sur les nombres portant le titre de; « Livre complet sur la science du nombre ».

On voit sur le tableau suivant le pedigree des Hassars de la ville de Salé jusqu’en

1925, date de la fin de la Révolte du Moujahid Mohammed Ben Abdelkrim dans le Rif.

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Je ne sais si Abdessalam Hassar, le Khalifa du Pacha de Casablanca, et

l’étudiant du commerce à Paris à cette date si précoce sont la même personne ! (un feedback des connaisseurs de la famille serait bien apprécié)

Mais déjà quelle percée dans la course à l’influence politique et

économique, alors que la majorité des marocains étaient encore à cette date entrain de résister à la pénétration Français le mieux qu’ils pouvait au Moyen et Grand Atlas et au confins de Figuig et de Tafilalet!

Le lien ombilical avec un mouhtassib Alaoui, qui donnera naissance au

chimérique et ganache Ismail, ne sort pas non plus de l’ordinaire, puisque El-Guebbas le grand parrain, faisait déjà parti des hommes du nouveau Makhzen protectorat et continuait à perpétuer le nom de cette nouvelle famille en sa personne ainsi qu’à travers sa progéniture, et ce, à l’instar des autres grandes familles du Makhzen, tels; les Ba-Hmad, les Jam’i, les Bargash, les Tazi, les Belyamani, les Boua’chrine, les Glaoui, …etc., qui ont servi l’ancien Makhzen et s’en sont servi à leur tour pour s’enrichir, ou perdre tout d’un coup, comme il adviendra de la famille de Ba-Hmad!

Un mouhtassib Alaoui, ou tout autre aurait tellement à gagner d’une pareille alliance! À la mort d’Omar Alkhatib , qui survint le 12 septembre 1953 à El-

Jadida, le jour même de la mort du premier martyr marocain ; Allal Ben Allal Ben Allal Ben Allal Ben AbdallahAbdallahAbdallahAbdallah, le Journaliste ; Mohammed AlMohammed AlMohammed AlMohammed Al----AbbadiAbbadiAbbadiAbbadi du Journal

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Assa’ada ( دة���������ا) du 17 septembre 1953 rapporte que les membres de sa famille, ainsi que ses amis arabes et Français accompagnèrent le cortège funèbre jusqu’au cimetière, et qu’un Français du nom de Scoffoni ) �������( , le chef du troisième corps électorale (si la translitération Arabe est exacte!) prononça une eulogie, ainsi que l’Algérien Ahmed As-bai (��� l’écrivain publique ,(أ��� ا�� !

Ce qui est impensable dans un cimetière Ce qui est impensable dans un cimetière Ce qui est impensable dans un cimetière Ce qui est impensable dans un cimetière

MusuMusuMusuMusulman!lman!lman!lman! Et semble contredire ce que reporte le Dr. Et semble contredire ce que reporte le Dr. Et semble contredire ce que reporte le Dr. Et semble contredire ce que reporte le Dr.

Abdelkrim Alkhatib sur son père dans le livre Abdelkrim Alkhatib sur son père dans le livre Abdelkrim Alkhatib sur son père dans le livre Abdelkrim Alkhatib sur son père dans le livre .Parcours d’une VieParcours d’une VieParcours d’une VieParcours d’une Vie » ! » ! » ! » ! (Couverture) » (» (» (» (���ر ���ة))))

Surement, Ismail a été parmi les membres du cortège, puisqu’il avait au moins 13 ans à cette date, sans mentionner les plus âgés, dont Dr. Alkhatib et les autres.

Le troisièmeLe troisièmeLe troisièmeLe troisième membremembremembremembre de de de de cette cette cette cette (GFTGFTGFTGFT); Abdelkrim Benslimane, naquit à Fès et devint secrétaire du Pacha et Vizir ; Abdallah ben Ahmed ben Moussa, l’oncle du Grand Vizir ; Ahmad ben Moussa (1841 - 1900), puis secrétaire de ce dernier, qui l’utilisa dans ses correspondances avec l’étranger. (On le voit ici sur la photo, quand il était encore secrétaire du Ministère des Affaires Étrangères, assis à droite du Amine et diplomate Tétouanai Abdelkrim Berricha.

Après la mort du Grand vizir il continua à s’occuper des étrangers, jusqu’à

l’avènement de son voyage en France en 1901 comme ambassadeur. C’est à ce moment fatidique qu’il devint un agent à la solde

des français, comme le prouvent les documents du Musé de la guerre et ceux du Ministère des affaires étrangères de ce pays.

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Il occupera le poste de Ministre des Affaires Étrangères sous le règne de

Moulay Abdelaziz (1894 – 1908) et sera nommé Ambassadeur plénipotentiaire auprès du gouvernement français.

C’est lui qui signera le Protocole, qui portera son non et celui du ministre

des Affaires Étrangères Françaises Théophile Delcassé (1852 – 1923) (1ère photo à gauche ci-dessous) du 20 Juin 1901 pour interpréter et appliquer l’accord de 1845, qui a permis à la France de grignoter des territoires marocains dans la région de Figuig, en exploitant la mort récente du grand Vizir Ahmad Ben Moussa, et l’ignorance du jeune Sultan Abdelaziz. Protocole qui sera complété par un autre Protocole signé cette fois par Mohammed El Guebbas le 20 Avril 1902.

Ce qui va permettre au colonel Louis Hubert Lyautey(2ième photo)

d’avancer impunément de l’ouest algérien en grignotant à chaque fois des territoires marocains nouveaux, qu’il annexe a l’Algérie, tout en se faisant de nouveaux gallons (colonel en 1900, général de brigade en 1903, général de division en 1907.)2.

Le Le Le Le quatrquatrquatrquatrièmeièmeièmeième membremembremembremembre de de de de cette cette cette cette (GFTGFTGFTGFT)))) ; Fatima Ben Slimane, née en 1928, est la petite fille des deux anciens ministres Al Guebbas et Benslimane. Elle fit ses études dans une école de « fils de notables » et fut l’une des premières femmes à obtenir son baccalauréat pour poursuivre des études universitaires à l’Institut des Hautes Études créé par Lyautey.

Elle adhéra, très jeune au mouvement nationaliste et épousa en 1951 un

militant du parti d’Al Istiqlald’Al Istiqlald’Al Istiqlald’Al Istiqlal, Driss Hassar, qui sera directeur de cabinet de Mohammed Laghzaoui, Directeur General de La Sureté National entre 1956 et 1960.

Le Le Le Le cinqucinqucinqucinquièmeièmeièmeième membremembremembremembre de de de de cette cette cette cette (GFTGFTGFTGFT)))) ;;;; Hiba Alkhatib , la sœur du Dr. Abdelkrim Alkhatib épousera un Benslimane et

enfantera en 1935 le future Général Housni Benslimane. Ainsi que son

2 Ce qui fera que les nationalistes durant la révolte de My Abdelhafid, dans un comportement de colère intense, le sortiront de sa tombe et le bruleront !

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frère Abdelkrim Benslimane. Ce dernier deviendrait un membre du comité exécutif de la centrale syndicale l’Union Marocaine des l’Union Marocaine des l’Union Marocaine des l’Union Marocaine des TravailleursTravailleursTravailleursTravailleurs (UMT).

Le Le Le Le sixsixsixsixièmeièmeièmeième membremembremembremembre de de de de cette cette cette cette (GFTGFTGFTGFT)))) ;;;; El-Fatmi Benslimane, L’oncle de Housni et Abdelkrim , marié lui aussi a une

fille d’El Guebbas, fut choisi pour faire partie du « Conseil de Conservateurs du Trône », en attendant le retour effectif de Mohamed V de son exil.

Il sera même nommé à la tête du gouvernement, sauf que le parti de

L’Istiqlal s’opposera à la constitution de ce Conseil, non conforme à celui proposé à Aix-les-Bains et approuvé par Mohamed V à Antsirabé, selon lui.

Il sera nommé quand même Ambassadeur en Arabie Saoudite.

Le Le Le Le septseptseptseptièmeièmeièmeième membremembremembremembre de de de de cettecettecettecette (GFTGFTGFTGFT)))), , , , Driss Hassar, qui sera directeur de cabinet de Mohammed Laghzaoui, Directeur General Directeur General Directeur General Directeur General de La Sureté Nationalde La Sureté Nationalde La Sureté Nationalde La Sureté Nationaleeee entre 1956 et 1960. Il suivra Laghzaoui à l’Office Chérifien des Phosphates, pour être nommé ultérieurement par Hassan II, Directeur de la Sureté Nationale, puis Directeur de l’Office Chérifien des Phosphates.

Driss Hassar donnera en mariage l’une de ses fille à Housni

Benslimane, qui héritera lui aussi de la Direction de la Sureté Nationale, quand Oufkir vint a occuper le poste de Ministre de l’Intérieur.

Le Le Le Le huithuithuithuitièmeièmeièmeième membremembremembremembre de de de de cette cette cette cette (GFTGFTGFTGFT)))), , , , Yahia Benslimane, Le fils de Fatmi Benslimane, fut gouverneur, et directeur du secrétariat du Palais royale, et épousera une fille du lieutenant-colonel Mohammed Ababou (1938-1971), directeur de l'école des sous-officiers d'Harmemmou (future Ribat al Kheir). qui codirigea avec le général Medbouh3, aide de camp de Hassan II, le coup d'État militaire de Skhirat, le palais estival du Roi aux environs de Rabat, le 10 juillet 1971.

Fatmi BenslimaneFatmi BenslimaneFatmi BenslimaneFatmi Benslimane tendra ses tentacules vers le Parti de

l’Istiqlal en mariant une de ses filles à M’hammad Boucetta (1ère photo) membre du comite exécutif, avant d’accéder au poste de secrétaire général du Parti après la mort de Allal al-Fassi (2ième photo), contre les désirâtes des Istiqlaliens dont la majorité voulaient eux le polytechnicien; Mohammed Douiri (3ième photo), que Hassan II n’aimait pas!

3 Tous les deux originaires du Rif,

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Le Le Le Le neuvineuvineuvineuvièmeèmeèmeème membremembremembremembre de de de de cette cette cette cette (GFTGFTGFTGFT)))) ; ; ; ; Mohamed Saâd Hassar (4ième photo), natif de Salé, née le 21 février 1953, neveu d’Abdelkrim Benslimane et Lauréat de l'École spéciale des travaux publics de Paris. Il avait entamé sa carrière en tant qu'ingénieur, chef de la division de la planification et de la programmation au ministère des Travaux publics le 1er janvier 1975. Il roula sa bosse un peu partout depuis, pour finir Wali et secrétaire général du ministère de l’Intérieur actuel.

Le Le Le Le dixidixidixidixièmeèmeèmeème membremembremembremembre de de de de cette cette cette cette (GFTGFTGFTGFT)))) Mohamed Benslimane le petit fils de Fatmi Benslimane et Pacha de Fès, poste qu’occupait son grand père d’ailleurs, Maria Lalla ZinebLalla ZinebLalla ZinebLalla Zineb (1ère photo), la fille du Prince My AbdellahMy AbdellahMy AbdellahMy Abdellah (2ième photo), la diplômée de l’Institut supérieur du commerce et d’administration des entreprises (ISCAE).

Le Le Le Le OnzOnzOnzOnziiiièmeèmeèmeème membremembremembremembre de de de de cette cette cette cette (GFTGFTGFTGFT)))) ; ; ; ; Abdelkader BenslimaneAbdelkader BenslimaneAbdelkader BenslimaneAbdelkader Benslimane, ancien SAPien qui a rejoint Mr Osman pour enfanter, sur ordre du corrupteur de tous les corrupteur; le despote Hassan II, le Parti du Rassemblement National des Indépendants (RNI). Il occupera illico, après le Ras de Marée virtuel aux legislatives, fabriqué par le Ministère de l’Intérieur, le poste; Ministre du Commerce, de l’Industrie, des Mines et de la Marine marchande dans le Quatorzième gouvernement (20 novembre 1972- 10 octobre 1977), de Mr. Ahmed Osman, puis Ministre des Finances (25 Avril 1974 - 10 Octobre 1977) dans le remaniement du Gouvernement de Mr. Osman du 25 avril 1974.

Il quittera le (RNI), pour fonder le Parti National Démocrate (PND)

en 1981 aux côtés de; Khalli Hanna Ould Errachid (1ère photo), le ministre des affaires du Sahara (1977 – 1995) et président du CORCAS depuis le 25 mars 2006, Mohammed Arsalane El Jadidi (2ème photo), nommé en 1981 Ministre du Travail et de la Promotion Nationale, Abdallah Kadiri (3ème photo), qui sera choisi pour occuper le poste de Secrétaire Général du PND. C’était un colonel de l’armée, limogé après le coup d’État de Skhirat, avant d’hériter du parti

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d’Arsalane El Jadidi, Mohammed Jalal Essaid (4ème photo) élu président de la deuxième Chambre, Moussa Saâdi (5ème photo); ingénieur géologue et ancien ministre de l’Énergie et des mines (1977-1985), et d’autres anciens députés du RNI.

L’entente ne durera pas longtemps entre ses corrompus sans foi ni loi, et il

finira par être expulsé, avec Khalli Hanna Ould Rachid et Moussa Saadi, suite à une bagarre aux gourdins digne de la mafia Newyorkaise!

Son avenir ne sera pas compromis pour autant puisque le Grand Parrain;

Hassan II l’enverra en Tunisie comme ambassadeur du Maroc en février 1995. Là, il occupera en même temps le poste de Délégué du Maroc au COMITE PERMANENT CONSULTATIF DU MAGHREB , qui est une autre création bidon, mais à l’échelle régionale des ennemis jurés de toujours! Qui partagent plus du syndrome de Malik Ibn Nabi, que d’autres choses!

Il aurait demandé par la suite à être déchargé de ses fonctions dans la

perspective de reprendre une vie politique active, vu que sa circonscription de Rommani n'avait pas fait l'objet d'élections partielles.

Le plus plaisant dans cette longue et tortueuse marche de Abdelkader

Benslimane, c'est qu’il avait aussi en tête, la fin justifiant toujours les moyens, de rejoindre un autre parti, le Mouvement National Démocratique!! (MND) du tortionnairetortionnairetortionnairetortionnaire notoire de Derb Moulay notoire de Derb Moulay notoire de Derb Moulay notoire de Derb Moulay CherifCherifCherifCherif de de de de

CasablancaCasablancaCasablancaCasablanca dans les années de Plomb dans les années de Plomb dans les années de Plomb dans les années de Plomb;;;; Mahmoud ArchaneMahmoud ArchaneMahmoud ArchaneMahmoud Archane (photo)!......

Ce qui en dit long sur l’homme et ses principes!

Le Le Le Le douzidouzidouzidouzièmeèmeèmeème memmemmemmembrebrebrebre de de de de cette cette cette cette (GFTGFTGFTGFT)))) ; ; ; ; Omar Benslimane (1ère photo), fils de Abdelkader Benslimane, qui lui a voulu voir plus grand et plus loi que le père en créant un Part postiche; le Parti National de la Génération-Indépendance (PNGI)

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Le huppé Omar, en digne rejeton de son père, n’a pas lésiné sur les moyens. il commença d’abord par publier une revue sous le nom L’Événement, et a choisit son siège au Twin Center (1ième photo), les deux tours jumelles de Casablanca.

Ce qui n’est pas un mauvais début, quoique de mauvais augures, pour des jeunes

entrepreneurs, qui basent leur parti sur des critères d’âge et de professions, en le rendant exclusif pour des nantis, ayant profité de la manne laissée par leurs parents, pour élire domicile dans ce nouveau centre d’affaires.

Et que veut Omar et acolytes? ;

"Le PNGI entend affirmer sa détermination à contribuer, sans relâche, à la;

1) consolidation de la démocratie !!!! et à; 2) l'approfondissement de l'État de droit!!!!, conformément à la constitution!!! et aux lois en vigueur!!!.

3) Il réitère son attachement aux institutions supérieures de la nation et déclare s'inscrire en droite ligne de toute action patriote et citoyenne tendant à initier des réformes tous azimuts ayant pour souci majeur la modernisation de la vie publique et le renforcement des liens séculaires unissant le peuple à la Couronne!!!!! "

Un charabia que partagent Toutes les formations politiques issues de la même

boite Pandorienne boite Pandorienne boite Pandorienne boite Pandorienne corruptrice corruptrice corruptrice corruptrice de Hassan IIde Hassan IIde Hassan IIde Hassan II, qui submergent l’arène politique par cette propagande toc, sans se lasser de répéter, les mêmes niaiseries, alors qu’ils ne font que perdurer un système réputé avarié, hors temps, et résistant à toute réforme, pour continuer à en profiter seules, par un commensalisme tentaculaire sauvage et suranné, en bloquant par ces tactiques idiotes, le vrai processus Churacratique, longuement du,

Un autre volet de leur propagande concernent l’Éducation, et ils n’y vont pas par

quatre chemins pour dire; "La base de toute politique quelle qu’elle soit est bien évidemment le niveau et la

performance de son système éducatif. Génération IndépendanceGénération IndépendanceGénération IndépendanceGénération Indépendance incrimine le système d’éducation actuel qu’elle accuse de tous les maux.

L’État en continuant à se désengager!!!!, devrait encourager l’école

privée!!!!! sans faillir à sa mission de contrôle pour que celle-ci réponde aux critères retenus par un consensus national sur les choix fondamentaux, et ne soient pas , et ne soient pas , et ne soient pas , et ne soient pas de simples affaires commerciales qui profitent vilement de la de simples affaires commerciales qui profitent vilement de la de simples affaires commerciales qui profitent vilement de la de simples affaires commerciales qui profitent vilement de la défaillance du système publicdéfaillance du système publicdéfaillance du système publicdéfaillance du système public."

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Mon commentaire: Il est tellement facile pour des gourous façonnés à chaud, issus des écoles

Jules FerryienneJules FerryienneJules FerryienneJules Ferryienne de la Mission Culturelle FrançaiseMission Culturelle FrançaiseMission Culturelle FrançaiseMission Culturelle Française, dont l’avenir fut si méticuleusement bien tracé par des parrains portant la double nationalité, et ce bien avant le Protectorat Français, comme une précaution, au cas ou les choses tourneraient mal !, et qui concernant l’emploi, n’eurent que l’embarra du choix, soit chez le Makhzen, toujours preneur de ses enfants prodiges, qui ne font que remplacer leurs illustres pères pour bons services rendus, des siècles durant, soit chez leurs parrains directes pour diriger des entreprises familiales, soit chez les multinationales, ou même dans le réservé fief des différentes succursales de l’ONA si rémunérateurs…., de penser à réformer l’école des autres va nu-pieds de marocains, qui elle s’est spécialisée, et ce depuis l’indépendance, et contre la volonté des nationalistes, dans la production de chômeurs anciens et nouveaux, qui n’eurent et n’auront toujours, eux aussi, que l’embarra du choix, entre;

1) se pendre avec une corde au cou, haut et court, 2) de s’immoler par le baptême du feu devant le publique, 3) d’essayer leur chance dans le détroit, avec un double choix encore, qui

consiste soit; a) à finir comme dessert pour les requins, ou; b) à réussir la traversée et être repris par la police Espagnole, pour être

renvoyé illico à l’enfer, d’où ils ont essayé de s’évader, avec une bonne dose d’humiliation d’appoint pour ne pas récidiver de sitôt.

4) faire la grève de la faim, pour aboutir immanquablement, à court ou à long terme, au même résultat probant!

Et ils ont le culot d’ajouter sans papilloter;Et ils ont le culot d’ajouter sans papilloter;Et ils ont le culot d’ajouter sans papilloter;Et ils ont le culot d’ajouter sans papilloter;

" et le système payant tiendrait compte des possibilités matérielles tiendrait compte des possibilités matérielles tiendrait compte des possibilités matérielles tiendrait compte des possibilités matérielles des différentesdes différentesdes différentesdes différentes couches socialescouches socialescouches socialescouches sociales, et laisser jouer une certaine péréquation qui permettrait aux enfants d’origine humble de profiter des installations publiques au même titre que les nantis" C’est un peu le partage, du Juge singeJuge singeJuge singeJuge singe, du livre de lecture de mon école primaire d’avant juste l’indépendance, à qui deux chats se disputant une pièce de

fromage, lui demandèrent de juger entre eux,! Sur qu’Omar Benslimane et ses acolytes, qui n’ont jamais entendu parler,

de la justice d’Omar, le Calife, n’avaient pas le même livre de référence.

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Leur point fort de ce parti de petits nantis, c’est d’avoir osé boycotter en 2002 les élections en affirmant que;

«««« les élections au les élections au les élections au les élections au Maroc ressemblent à une foireMaroc ressemblent à une foireMaroc ressemblent à une foireMaroc ressemblent à une foire », », », »,

Pour qu’on ne puisse entendre plus parler de lui! JJJJe e e e citerais, enfin, sans prétendre être exhaustif, citerais, enfin, sans prétendre être exhaustif, citerais, enfin, sans prétendre être exhaustif, citerais, enfin, sans prétendre être exhaustif, ni ni ni ni

très exacte dans les détails, pour faitrès exacte dans les détails, pour faitrès exacte dans les détails, pour faitrès exacte dans les détails, pour faire un raffiné, sans re un raffiné, sans re un raffiné, sans re un raffiné, sans l’aide des contribuables concernés, l’aide des contribuables concernés, l’aide des contribuables concernés, l’aide des contribuables concernés, un un un un dernierdernierdernierdernier membremembremembremembre

de de de de cette cette cette cette (GFTGFTGFTGFT)))) ; ; ; ; Ismail AlaouiIsmail AlaouiIsmail AlaouiIsmail Alaoui (1941 -…), l’enfant prodige fils du Fqih et victime à la fois, qui à l’opposé de tous les fqihs de la période enverra son fils, non pas dans les écoles libres des nationalistes qu’encourageaient Mohamed VMohamed VMohamed VMohamed V (mort en 1961) et le Sheikh Al-Islam Mohammed Ben Larbi AlaouiMohammed Ben Larbi AlaouiMohammed Ben Larbi AlaouiMohammed Ben Larbi Alaoui (mort en 1964), mais dans l’école coloniale professant le paradigme colonial de Jules Ferry, (photo montrant le Roi Mohammed V plaçant la pierre inaugurale d’une école libre sous le regard attentif de My Larbi Alaoui).

Donc on voit bien qu’on a affaire dans ce cas, à un autre type

d’Alaoui, très influencé du coté maternel, que paternel! Le petit Ismail, une fois embarqué dans sa galère francophone, aura le

vent en poupe et poursuivra ultérieurement ses études de lettresétudes de lettresétudes de lettresétudes de lettres au

lycée Lyauteylycée Lyauteylycée Lyauteylycée Lyautey à Casablanca, puis à la faculté faculté faculté faculté des lettres et des sciences humaines des lettres et des sciences humaines des lettres et des sciences humaines des lettres et des sciences humaines de l'université Mohammed V de Rabat, avant de rejoindre l'institut de géographie l'institut de géographie l'institut de géographie l'institut de géographie de de de de l'université de Paris l'université de Paris l'université de Paris l'université de Paris ---- Sorbonne Sorbonne Sorbonne Sorbonne. De 1965 à 1969.

Et aussi sûr que la terre est ronde, géographie solide à l’appui, le

petit Ismail a tout simplement subit un lavage de cerveau en règle à la Jules Ferry (1832 – 1951) (1ère photo), comme tout petit Français de l’hexagone!

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Ce qui explique, seulement en partie, sa phobie affichée de la chose

Islamique, au vu du rôle du frère de sa mère, son oncle maternel ; Dr. Alkhatib, qui s’affiche lui, comme le parangon de la chose pseudopseudopseudopseudo----IslamiqueIslamiqueIslamiqueIslamique dans le Royaume, puisque le PDJPDJPDJPDJ ainsi que le nouveau parti de Khalidi (2ème photo en haut), « Annahda Wal Fadila » (Parti de la Renaissance et de la Vertu) (PRD) issu de ce dernier, sont des créations d’Alkhatib ! !

Allez Allez Allez Allez donc donc donc donc comprendre quelque chose à ce potcomprendre quelque chose à ce potcomprendre quelque chose à ce potcomprendre quelque chose à ce pot----

pourri fpourri fpourri fpourri familialamilialamilialamilial !!!! qui couvre tout le spectre politique qui couvre tout le spectre politique qui couvre tout le spectre politique qui couvre tout le spectre politique de de de de l’extrême gauche à l’extrême droite, et avec toutes lel’extrême gauche à l’extrême droite, et avec toutes lel’extrême gauche à l’extrême droite, et avec toutes lel’extrême gauche à l’extrême droite, et avec toutes les s s s colorations possibles, s’étalcolorations possibles, s’étalcolorations possibles, s’étalcolorations possibles, s’étalant ant ant ant en nuances en nuances en nuances en nuances entre entre entre entre ces ces ces ces extremesextremesextremesextremes !!!!

Ismail rejoint les rangs du parti communiste marocain (PCM) en 1962 à

l’âge de 22 ans, pour être élu par les camarades de charades; membre du comité central au 3ème congrès, en 1966.

Quelle voltige en si peu de temps pour le petit Alaoui prodige! Qu’un poids lourd de penseur théoricien du PC Français; comme Roger

Garaudy (3ième photo ci-dessus), puisse repenser sa route, pour retrouver l’Islam, alors qu’il venait de loin, ne semble guère donner matière à réfléchir à notre féodal!

Et c’est bien la différence entre ce qui sonne vrai et ce qui a tout l’air d’un

toc. Notre Ismail, prenant de l’âge, sans gagner en matière grise, a eu même le

culot d’affirmer sans sourciller, après avoir fait connaître dans les journaux qu’il ne se présentera pas aux législatives du 7 Septembre 2007, alors qu’il était donné candidat à Sidi Slimane, sous prétexte de laisser la place aux jeunes du parti, vira à 180 degré à nouveau, pour dire; qu’il n’a rien dit, et qu’il reste dans la course, et que les jeunes du parti peuvent toujours attendre sa mort!

Et il n’a pas trouvé mieux pour matelasser sa campagne, que d’annoncer à

la manière de Don Quichotte, que si les secrétaires généraux de la Koutla, dont il est membre, ne sont pas reconduits dans leurs fonctions, le Maroc subira surement un séisme social!

Pire encore! Il a choisi de se présenter à Taounate, dans le Rif, le fief du

Cadi révolutionnaire et musulman irréductible; Mohammed ben Abdelkrim Al-Khattabi, que Cheikh Al Islam My Larbi Alaoui, voulait accompagner en exil en 1925.

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Donc, à moins que le huppé Ismail, le francophone communisant, fasse appel, aux liens conjugaux, qui unissent son oncle maternel, Dr. Alkhatib, aux Rifains, à travers sa femme, la fille du ministre des Affaires Étrangères d’Alkhattabi, je ne vois pas comment il puisse récolter des voix à Taounate!

Surtout, sachant que lorsqu’un journaliste s’enquêta auprès d’Ismail,

concernant sa Platform électorale, et ce que réserverait son parti pour les Taounatis, il répondit tout simplement que;

Le PPS, ne leur promet rien!

Ce qui est vrai, puisque les partis, sous la constitution despotique

Hassanienne, toujours en vigueur, ne leur permet guère de gouverner, ou de mettre en œuvre, les promesses boueuses qu’ils ne cessent de délivrer gratis à leur électeurs!

Mais au lieu de commencer par le commencement, c'est-à-dire; œuvrer

pour rédiger une nouvelle constitution, tenant compte des nouvelles données sociales, on les voit pratiquer cette politique d’Autruche, qui les sert si bien personnellement, sans avoir aucune incidence ou bienfait sur leurs électeurs!

Ce qui est une drôle de façon de faire de la politique à la PPS! En

demandant aux chômeurs du Rif, de donner leurs voix à un féodal invétère de Salé, sans le côtoyer, et sans même le connaître de près, et sans rien espérer recevoir en retour!

Donc, à ne pas s’y méprendre dans tous ce jeux inextricable, on a bien la une oligarchieoligarchieoligarchieoligarchie dans laquelle la plupart des pouvoirs sont détenus par une petite partie tentaculaire de la société, qui ne se contente pas seulement de monopoliser pouvoir, influence, prestige et argent,…etc., mais envenime la vie politique en créant des partis guignols incapables de gouverner!

Un danger des plus mortels pour n’importe

quelle sorte de gouvernement et des plus iniques avec les principes de la Churacracie.

Le GRAND Problème, presque tabou, dans cette affaire,

c’est que le Roi Mohamed VI, qui a hérité de cette poudrière de son père, est pris en otage, pour protéger les intérêts du groupe et non l’inverse!

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N’est ce pas en perspective, ce dont a rêvé le criminel de guerre OufkirOufkirOufkirOufkir,

chaperonné par la CIA, et qu’a réalisé, le bienheureux Abdelkrim Benslimane, sans se salir les mains, et même sans complot ourdie ou planning de sa part, ou de l’un des membre de cette Grande Famille du Makhzen.

Il a simplement hérité de cette navrante situation par pure inertie du

système makhzenien, pour être trappé ainsi que sa famille, dans cette imbroglio politique, qu’ont vécu d’autres Grande Familles aux services du Maghzen, comme les Jam’i, les Ba-Hmad,…. et tout récemment; Driss Basri, le honni serviteur de Hassan II, que le Makhzen vient juste d’enterrer, pour sauver les apparences, dans le cimetière des Chouhada ! (Martyrs) de Rabat, et non dans son fief à Settat!, après un exil forcé en France, plein de remord, d’amertume et de souffrances!

Et rare seront ceux qui méditeront sur cette fin ingrate, mais prévisible

pourtant, de l’homme, qui osa connoter le terme Chouhada coumira (Martyrs du pain), à des centaines de morts et de disparus en 1981, victimes des atrocités de son service, pour terminer son séjour ici bas, en chahid moumoute au coté d’autres grands chouhada moumoutes corrupteurs, tels ; Ahmed Réda Guérira (1ere photo), Ahmed Alaoui (2ieme photo), Driss M’hamdi (pas de photo), général Abdelhfid Alaoui (3ieme photo), général Ahmed Dlimi (4ieme photo), général Oufkir (5ieme photo), et tant d’autres, qui tous ont grandement souffert aux crépuscules de leurs vies, ou moururent d’une façon atroce et tragique.

Une toute petite rétribution bénigne ici bas, par comparaison à ce qui

attend tous ces bourreaux, sans foi ni loi, là haut. Les Américains ont une sorte de maxime pour designer cette situation

trappe, qu’ils énoncent en quatre mots seulement;

TOO CLOSE FOR COMFORT4 Donc, attendre un changement, ou une

sortie précoce de ce ténébreux tunnel où le Maroc se trouve en ce moment historique, en misant sur des passes temps, comme les élections

4 Trop rapprochè pour raster comfortable

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du 7 Septembre 2007, c’est un peu, comme attendre le père Noel!

De la Praxis du Makhzen La justice marocaine, qui n’a jamais vu juste, comme le lui a voulu et à

dessein le despote Hassan II, et qui de surcroit s’est dotée d’un ministre gauchisant, qui avait une dent contre ses citoyens, s’est une nouvelle fois de plus singularisée en inculpant plus de mille personnes, présumées coupables potentiels, ou hypothétiques de terrorisme, dans l’un des plus flagrants

actes de terrorisme d’État envers des citoyens démunis, sans la moindre preuve!

Et pire encore, c’est qu’au lieu de demander justice pour ces victimes,

comme l’ont fait les journalistes de la presse libre, et les instances nationales et internationales des droits de l’homme, nos cinq nullards de politiciens polichinelles, qui sont une insulte à la bonne gouvernance, restèrent muets à leurs appels, et à leurs tribulations, et poussèrent même l’effronterie honteuse, de les mettre au pilori, en créant leur comité pantin, pour les soumettre à leurs foudres dans leur piètres sorties électorales, alors que d’après leurs conduites, comme le lecteur vient d’avoir un avant gout amère, ils devraient, et depuis une belle lurette, être derrière les barreaux !

Ce qui montre une fois de plus le genre de politiciens monstres, arrivistes

et fascistes qu’ils représentent au sein de la communauté marocaine. Et quoique, sachant pertinemment que leur présence comme leur absence

dans le futur parlement de l’après septembre 2007, ne ferait aucune différence, tant que la constitution Hassanienne gérant ce jeux de dupes, reste en vigueur, au lieu d’avoir rejoint son auteur dans sa tombe, puisqu’ils ne gouverneront pas, et seront incapables de mettre à exécution leurs pseudo programmes politiques sous la constitution actuelle, si vraiment ils pouvaient formuler un programme !

Encrassés comme ils le sont et n’aspirant qu’a meubler le parlement et à

toucher leur triste salaire des dupes, comme ils l’ont toujours fait depuis un demi siècle déjà, semble le seul but qui en vaut la chandelle dans leur médiocre de vie.

Ma Fatwa Primo;

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Il est grand temps de se débarrasser de ce

Makhzen obsolète, et de se préparer serieusement à entrer royalement dans le 21ième siecle, en jetant la constitution de Hassan II aux oubliettes de l’histoire, ainsi que sa triste memoire avec, et commencer à penser serieusement à réécrir une nouvelle constitution, libérée des anciens carcans, dans le but express de servir les interets de tous les Marocains, et non seulement ceux d’une infime minorité, qui ne peut etre en l’occurrence; de part sa structure et de sa dynamique, que mafieuse, ou oligarchique !

Second; Au vu des corruptions endémiques

généralisées, qui touchent tous les secteurs et toutes les institutions de l’État et qui ravagent, le gouvernement, l’Armée, les Partis politiques, la Justice, etc., il est impératif de former un comité de salut public, composés de marocains intègres, connus pour leurs probités, leurs compétences, pour penser et rédiger la dite constitution.

J’appelle à tous les citoyens et à toutes les citoyennes, qui nous lisent, et qui épouseraient pareil agenda, de nous faire connaître leurs avis et leurs positions, et de se faire les vecteurs pour répandre la nouvelle, car il en va de l’avenir du pays et du future des générations à venir.

لكممع ى اللهريلوا فسمقل اعة وادالشهب والم الغيإلى ع وندترسو ؤمنونالمو ولهسرو لونمتع ا كنتمئكم بمنبفي

Et dis : “œuvrez, car Allah va voir votre œuvre, de même que Son messager et les croyants, et vous serez ramenés vers Celui qui connaît

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bien l'invisible et le visible. Alors Il vous informera de ce que vous faisiez”5.

A suivre

5 At-Tauba - 9.105. ا��� ���� �رة ا�