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PETITESANNONCES Page 34

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Un été aux couleursde la curiositéet de la découverte. Merci aux jeunes dePrévost, Piedmont,Sainte-Anne-des-Lacs etmême Saint-Hyppolitepour leur regard surnotre communauté etsur le monde.

Page 31Élection du 4 septembreAnalyse du vote et de laparticipation des citoyens.Des résultats qui diffèrentà Prévost, Sainte-Anne-des-Lacs et à Piedmont.Et les attentes du préfetde la Rivière-du-Nord,Y. Brière et de celui dela MRC des Pays-d’en-Haut, C. Garnier vis-à-visun gouvernementminoritaire.

0 Page 11

À la patinoire du lac Renaud, à Prévost, on retrouve différents équipements qui aurait besoin de rajeunissement afin queles jeunes puissent continuer à en profiter.

Pour conserver leur parc

Des citoyens prêtsà s’impliquer – page 3

Photo: Michel Fortier

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Essence de 1,5 ¢/ litrede plus pourle transport public ?C’est un des pointsdiscutés lors de larencontre de la MRCdes Pays-d’en-haut. Lesélus doivent identifierdes solutions quant àl’augmentation de lademande des services etle contrôle de l’inflationgalopante des coûts.

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Le Journal des citoyens — 20 septembre 2012 3

Plan directeur sur 5 ansMme Marisol Charland, directriceDéveloppement durable et collecti-vité, a ouvert la consultation en pré-sentant les étapes servant à informerles décisions de la ville pour l’entre-tien et l’utilisation des parcs etespaces verts existants. Le plandirecteur s’appuie sur une grilled’évaluation. La fréquentation, lesprincipaux utilisateurs (0-5 ans, 5-12 ans, famille), l’emplacement, laqualité des installations, les coûts

d’entretien sont parmi les facteursconsidérés.

Parc du lac RenaudMmeMarcelle Théorêt, présidente del’association du Lac Renaud a remisune pétition comptant 88 noms. Sesmembres ont exprimé le désir demaintenir une patinoire avec cabanede services, de conserver une aire dejeu et faire l’aménagement de l’es-pace boisé donnant sur la vallée.L’Association est prête à s’impliquer

pour y ajouter des sentiers d’inter-prétation. On aimerait que la pati-noire reste un lieu de rencontre sécu-ritaire pour les adolescents.

Parc ChristopherDe nombreux parents étaient présentspour appuyer les demandes del’Association. Des suggestions ontégalement été mises de l’avant pourfaire du parc Christopher un lieudavantage axé pour les jeunes familles,avec des jeux pour les 0-5 ans. Mme Charland a expliqué que lorsd’une consultation précédente, onavait suggéré la conversion du parcen espace vert, donner accès au Parcdes Falaises en y construisant un sta-tionnement. Monsieur GilbertTousignant, représentant du Co-mité régional pour la protection desfalaises (CRPF), a conseillé la pru-dence puisque le parc est ceinturé deplusieurs terrains privés et d’unmilieu humide : « y installer un sta-tionnement pourrait être probléma-tique», a-t-il ajouté. Il a reçu l’appuides conseillers Joubert et Parent.

Parc PrévostL’option retenue pour ce parc, situéà l’intersection des rues Prévost etChalifoux, est sa transformation enespace vert, avec des tables de pique-nique et un meilleur accès à larivière. Les jeux existants sont enmauvais état, peu utilisé par lesparents de jeunes enfants qui consi-dèrent que le parc est trop près de

l’eau et trop en retrait pour en faireun lieu sécuritaire pour leurs enfants.

Promotion de saines habitudes de vieMme Danielle Laroque, pour la pro-motion de saines habitudes de vie, asuggéré l’ajout d’affiches suggérantdes exercices pour les adultes quifréquentent également ces parcs.Mme Serena D’Agostino a, quant àelle, donné l’exemple de la ville dePortland en Oregon où des haltes àl’ombre sont prévues et a demandés’il était envisageable d’installer desbancs le long du Parc linéaire et deshaltes à différents endroits de la ville.Mme Charland a indiqué quePrévost venait d’installer trois bancsle long du Parc linéaire et que lamunicipalité entend mettre sur piedun comité pour développer unepolitique des aînés afin d’avoir unplan étoffé dès le printemps.

Prochaines étapesPour Stéphane Parent, conseiller dusecteur 6, la consultation a permisde clarifier les priorités des citoyens :conserver une patinoire et l’accès àde multiples activités au parc du LacRenaud. Il a souligné son impa-

tience de voir les travaux se fairerapidement, à temps pour l’hiverqui s’en vient. Jean-Pierre Joubert,conseiller du secteur 2, s’est dit heu-reux de la consultation. Il a réitéréson appui pour changer la vocationdu parc Prévost et améliorer l’accès àla rivière.Le maire Richer a indiqué que lesprochaines étapes seraient l’étudedes recommandations, issues desconsultations, par le Conseil d’iciun mois, suivi d’une discussion surle budget pour 2013. Il a insisté :«on ne dépense pas l’argent qu’on apas. Le budget doit considérer denombreux projets. Quand on plani-fie, on ne s’endette pas. »

Sondage sur les loisirs en ligneLes consultations se poursuivrontsous une autre forme. En effet, pourles deux prochains mois, les citoyenspeuvent répondre à un sondage enligne sur le site Internet de Prévost.On veut connaître l’avis des rési-dents sur les activités et sur les ins-tallations de loisirs. Pour ceux quin’ont pas accès à Internet, il est pos-sible d’utiliser les ordinateurs à labibliothèque.

Louise Guertin

Les citoyens riverains des parcs du Lac Renaud etChristopher sont venus en grand nombre à la consulta-tion publique, samedi le 15 septembre. Sur un ton positif,mais ferme, ils sont venus dire aux administrateurs et auxélus de Prévost, l’importance de conserver les équipe-ments actuels en les rajeunissant. Ils ont aussi suggéréd’autres utilisations pour assurer une fréquentation inter-générationnelle.

C’est à l’école Val-des-Monts que se tenait la consultation publique sur les parcs et espaces verts dePrévost

Le parc Christopher où plusieurs suggestions ont été faites pour son aménagement


Photo: Serena D’Agostino

Prévost – Parcs et espaces verts

Les citoyens exprimentleurs besoins


L’intérieur d’une voiturel’été = un four mortelpour votre animal…

Nous observons encore trop souventdes chiens emprisonnés dans uneauto durant la saison estivale. Agirde la sorte met en péril la vie devotre animal, pourquoi certainespersonnes en doutent toujours ?

La vulnérabilité des canidés à lachaleur est un phénomène connu.Ils sont incapables de transpirercomme l’humain. Ce n’est qu’en ha-letant qu’ils peuvent se refroidir.Lorsqu’ils entrent de l’air froid dansleurs poumons, ce courant pénètreles capillaires et réussit à diminuerlentement la température de leursang. Mais «haleter » est un exercicedemandant en énergie et seule-ment par cela, l’animal peut aug-menter sa température corporelle.Si par malheur l’air environnantavoisine les 45°c, la partie est per-due d’avance et l’animal suffoquerajusqu’au décès par coup de chaleur.

Certaines personnes croient quece n’est qu’en période de caniculeque l’on doit éviter d’emprisonnerson chien en voiture. Ce n’est pasle cas ! Même si la températureenvironnante tourne autour de15-20°c, l’intérieur de la voiturepeut augmenter jusqu’à 40°c.Le stress vécu par votre absence, lesoleil qui plombe dans la voiture ouseulement l’impossibilité qu’à lachaleur à s’évacuer sont tous desfacteurs qui influencent la tempéra-ture à l’intérieur de l’habitacle.À chaque 10 minutes, la tempéra-ture monte de 10°c. En 5 minutes,votre animal peut commencer àressentir les symptômes d’un coupde chaleur.

Quels sont ces symptômes ?Faiblesse extrême, vomissements,diarrhée, perte d’appétit, respira-tion rapide, langue rouge foncée etperte d’équilibre. Il en existe d’au-tres évidemment, je vous expose lesplus fréquents. Si vous notez cessignes, il est important de lesprendre au sérieux et de consulterimmédiatement un vétérinaire.En première intention, mouillerl’animal avec une serviette froidesur le thorax, le cou et sous lespattes peut aider. Offrir de l’eaufroide s’il n’est pas trop comateux.Mettre un ventilateur sur lui et li-bérez-lui le cou de son collier ou desa chaîne.

Lorsque l’on rencontre ce genrede situation, les propriétaires sesentent toujours mal à l’aise et bientristes de la tournure des évène-ments. Bien sûr, cet agissementn’est jamais fait de manière délibé-rée pour nuire à l’animal. Cepen-dant, aux yeux de la Loi, il peutêtre interprété comme un acte decruauté envers l’animal et doncconsidéré une infraction au Codecriminel. Si vous voyez un animalenfermé dans un véhicule, tentezde retrouver le propriétaire ouavertissez la police. Chaque minutecompte ! Évitez que cette voiture nedevienne son tombeau…

Dre Valérie DesjardinsHôpital vétérinaire Prévost « Quand la vérité n’est pas libre, la liberté n’est pas vraie » Jacques Prévert

SOMMAIRELes échos du conseil de Prévost 8

Les échos du conseil de Sainte-Anne-des-Lacs 14

Les échos du conseil de Piedmont 22

À voir à la gare de Prévost 25

27

Pour le plaisir du palais 28

Chronique Environnement d’Isabelle Neveu 32

Assemblée générale annuelleMaison d’entraide de Prévost

LUNDI, LE 15 OCTOBRE 2012, 19 HA LA GARE DE PRÉVOST au 1272, rue de la Traverse,Prévost. BIENVENUE À TOUS

Avis à nos précieux donateursPlusieurs vols sont commis sur le terrain de la Maison d’entraide.Dans la mesure du possible, nous vous demandons d’apporter vosdons de vêtements, jouets, articles ménagers ou autres durant lesheures d’ouverture.

Cette situation est d’autant plus déplorable, car ces dons sont des-tinés au financement des activités de la Maison d’entraide et aumieux-être de sa clientèle.

Étant donné les coûts élevés associés à la disposition des déchets,nous demandons votre collaboration afin que les vêtements, ob-jets et meubles que vous apportez soient réutilisables et propres.De plus, nous vous rappelons que les matelas, les ordinateurs et lematériel informatique ainsi que les téléviseurs ne sont plus acceptés.

1331, Victor, Prévost - Tél : [email protected]

Mission :Le Journal des citoyens est né du besoin exprimé

par un grand nombre de citoyens, de se doter d’unjournal non partisan, au service de l’information gé-néral et communautaire. Socié té sans but lucratif, ilest distribué gra tui tement dans tous les foyers desmunicipalités de Prévost, Sainte-Anne-des-Lacs etPiedmont.

Les Éditions prévostoises ont choisi la gare, sym-bole de l’activité communautaire, comme quartiergénéral du Journal des citoyens.

AVIS :Outre la publication exceptionnelle d’un éditorial,

les articles sont la responsabilité de leurs auteurs etn’engagent d’aucune façon le Journal des citoyens.

Tous les textes (article, opinion, annonce d’événe-ments ou communiqué) doivent être accompagnésdu nom, de l’adresse et du numéro de téléphone del’auteur.

On ne peut utiliser des textes ou des photographiessans autorisation du Journal.

La conception des annonces du Journal descitoyens est incluse dans nos tarifs. Toute reproductionen tout ou en partie des annonces est interdite sansla permission écrite du Journal.

Les Éditions prévostoisesC.P. 603, Prévost, Qc, J0R 1T0Tél. : 450 602-2794

Rédacteur en chef et directeur :Michel Fortier, rédacteur en chef tél. : 450 602-2794 [email protected] www.journaldescitoyens.ca

Conseiller juridique :Benoît Guérin [email protected]

Conseil d’administration et collaborateurs créatifs :Benoît Guérin, président, Yvan Gladu,Gilbert Tousignant, Rodolphe Girard,Normand Lamarche, Odette Morin,Louise Guertin, Georges Carlevaris,Stéphane Parent, Yvon Blondin,Lyne Gariépy et Johanna Fontaine

Révision des textes :Benoit Guérin, Yvan Gladu,Lauraine C. Bertrand, Normand LamarcheGleason Théberge et Louise Guertin

Journalistes :Louise [email protected]

Alisson Lé[email protected] [email protected]: vieprevost.blogspot.com

Direction artistique : Carole [email protected]

Infographie : Carole Bouchard et Daniel Bossis

Représentantes publicitaires: À Prévost : Fernande Gauthier, tél. : 450 [email protected]

Extérieur de Prévost: Lise Pinard, tél. : 450 [email protected]

Imprimeur : Hebdo Litho

Tirage certifié : 10 300 exemplaires

Distribution : Postes Canada

Dépôt légal :- Bibliothèque nationale du Québec- Bibliothèque nationale du Canada

ISSN 1496-2497 Journal des citoyens

Le Journal des citoyens reçoit l’appui de :

www.journaldescitoyens.ca

Benoit Guérin

Le 4 septembre dernier, nousavons élu un gouvernementminoritaire du Parti québécoisqui, nous l'espérons, saura durerplus que la moyenne des 18 à 24mois que durent ordinairementles gouvernements minoritaires.Il semble que tous les partis sontprêts à collaborer, ce qui est bonsigne. Nous avons aussi hâte deconnaître l'identité du ministrequi sera responsable de notrerégion et quelles seront les poli-tiques du nouveau gouvernementpour les médias communautaires,politiques qui pourront avoir uneinfluence sur notre journal.

Nouvelle représentanteVous trouverez plus bas un por-trait de notre nouvelle représen-

tante publicitaire qui au prin-temps prochain prendra la relèvede Fernande Gauthier, notreactuelle représentante, qui pren-dra une retraite bien méritéeaprès plus de neuf ans de loyauxservices.

Nouvelles du « Blogue »Pour la saison estivale, nousavons négligé un peu notre forumde discussion (Blogue), mais cetautomne nous nous remettons autravail au fil de la vie communau-taire et municipale de Prévost. Enprime ce mois-ci les résultats desélections provinciales de 2012par bureau de vote non seule-ment pour Prévost, mais aussipour Piedmont et Sainte-Anne-des-Lacs.

Doux souvenirs…nos aînés se racontent

La vente du livre Doux souvenirs… nos aînésse racontent connaît un très bon départ. Plusde 400 copies ont déjà été vendues. Les com-mentaires sont très positifs. Vous pouvezvous le procurer à la Maison d’entraide dePrévost, à la Gare de Prévost, chez Bonichoix,au Grimoire, entre autres, au coût de 10$. Lesprofits sont versés à la Maison d’entraide quien est l’éditeur.

Site internetLe lancement du site internet du Comité des aînés et de la Maisond’entraide de Prévost aura lieu vers la mi-octobre. Suivez-nous dansla prochaine parution de votre Journal des citoyens.

Visites d’amitié et téléphones amicauxLe but de ce programme est d’aider et soutenir les personnes âgéesen légère perte d’autonomie, vivant à domicile, souffrant de solitudeet d’isolement, dans le but d’améliorer leur qualité de vie.

Pour vous inscrire, inscrire un de vos proches ou en savoir plus,communiquez avec madame Michèle Desjardins, chargée de projetdu Comité des aînés, au 450 224-2507, à la Maison d’entraidede Prévost.

Répertoire des ressources pour les aînésLe répertoire des ressources est disponible à la Maison d’entraide dePrévost et dans les édifices municipaux.

Pour toutes informations sur les services offerts aux aînés pré-vostois, vous pouvez communiquer avec la chargée de projet,Michèle Desjardins, au 450-224-2507.

Le Journal de citoyens est heureuxde présenter une nouvelle repré-sentante publicitaire, Lise Pinard,qui s’ajoute à l’équipe de vente dujournal.Mme Pinard a une longue expé-rience à la direction d’une agencede publicité spécialisée en com-munication et saura offrir un ser-vice professionnel et chaleureux.Elle couvrira les territoires exté-rieurs à Prévost et prendra encharge les P’tites annonces.N’hésitez pas à la contacter !Tél. : 450 [email protected]

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Bienvenue à Lise!


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Nouvellesdu Service loisirs, cultureet vie communautaire

La vie communautaire en action…Club Soleil de Prévost

Activités : marche, danse en ligne, bingo (1er et 3e lun-dis du mois), shuffleboard (palet), scrabble, vie active,jeux de société. Pour plus d’informations et la program-mation complète, vous pouvez communiquer avecSuzanne Monette au 450 224-5612.Souper dansant : samedi 13 octobre à l’école Val-des-Monts sous le thème de l’Halloween. Information :Suzanne Monette au 450 224-5612 ou Micheline Allardau 450 438-5683.

La Mèche d’or, club amical de PrévostSouper avec danses sociale et en ligne au Méridien 74 :samedi le 22 septembre 2012.Méchoui BBQ chez Constantin : jeudi 4 octobre 2012. Assemblée générale annuelle : vendredi 19 octobre2012 à 15h au centre culturel de Prévost.Casino de Charlevoix et Manoir Richelieu : 29 et 30octobre 2012 (réservez au plus tôt). Pour toutes infor-mations ou réservation, veuillez communiquer avecNicole au 450 224-5142 ou avec Céline au 450 431-1662 ou encore par courriel à [email protected].

Société d’horticulture et d’écologie de PrévostPremière conférence de la programmation 2012-2013 :mercredi 26 septembre 2012 à 19 h 15. Tâches au jar-din à chaque saison par Daniel Fortin, ethnobotanisteet auteur. À l’église Saint-François-Xavier, 994, ruePrincipale à Prévost. Gratuit pour les membres, 5$ pourles invités. Tirage d’un composteur domestique! Pourinformation, consultez le site Internet auwww.shep.qc.com.

Diffusions Amal’Gamme22 septembre 2012 à 15 h : Ensemble Skarazula,grand fête médiévale. Dans les jardins de la Belle et laBelge, 2731, boulevard du Curé-Labelle29 septembre 2012 à 20 h : Le quartet Night Dreamerprésente « Jazzen ».6 octobre 2012 à 20 h : Massiel Yanira présente UnaVoz, soirée de musique latine. 13 octobre 2012 à 20 h : Confidences d’unStradivarius. Tous les spectacles ont lieu à l’égliseSaint-François-Xavier située au 994, rue Principale.Pour plus d’informations, consultez le site Internet auwww.diffusionsamalgamme.com.

Ciné-club de Prévost28 septembre 2012 à 19 h 30 : 30 tableaux. En pré-sence de la productrice du film Colette Loumède del’ONF. Dans ce documentaire atypique et autobiogra-phique, Paule Baillargeon se raconte.12 octobre 2012 à 19 h 30 : Soirée spéciale Courtsmétrages. Des cinéastes émergeants des Laurentides etdu Québec nous feront découvrir le film sous sa formebrève. En collaboration avec le Festival de cinémaindépendant de Saint-Sauveur. À l’église Saint-François-Xavier située au 994, rue Principale à Prévost.Pour plus d’informations, consultez le site Internet auwww.cineclubprevost.com.

Résidents de Prévost,

Bonjour,

Le choix de s’établir dans notre ville, plutôtqu’une autre, est en partie basé sur l’imagequ’elle projette. Cette image se reflète, entreautres, dans notre vitalité communautaire,dans nos attraits et nos services à la famille etaux aînés. Or, c’est un travail constant et sanscesse en évolution que de maintenir notreimage de marque. Votre conseil municipal metquotidiennement des efforts pour maintenircette identité unique et faire en sorte qu’ellesoit partagée par toute sa population. Il n’estpas surprenant, mais toujours très agréable, de

recevoir autant d’éloges concernant notreidentité prévostoise! Ces félicitations revien-nent à l’ensemble de notre communauté quiadhère à notre vision de ville champêtre, deprotection de l’environnement, de mise envaleur du patrimoine, de valorisation des orga-nismes culturels et communautaires, etc. Je mepermets donc de vous transmettre ma fiertéd’être Prévostois et j’en profite pour remerciertous ceux et celles qui souscrivent et propa-gent positivement notre identité localement,régionalement et même au niveau provincial.

Par ailleurs, notre ville doit également com-poser avec une identité régionale. De plus enplus présente et complexe, elle requiert defaire des choix judicieux dans le plus grandintérêt de nos citoyennes et citoyens. À titre demandataire des contribuables, nous devonschercher à obtenir toutes les informationsdans chaque dossier pour en faire une analyserigoureuse avant de prendre une décision qui

pourrait avoir un impact sur nos financespubliques, et ce, dans les différents rapportsque nous entretenons avec la Sûreté duQuébec, le ministère des Transports, le Centrelocal de développement de la Rivière-du-Nord,le Transport collectif et adapté, le Parc linéairedu P’tit Train du Nord, la Commission scolaire,les villes environnantes ou toutes autres enti-tés régionales.

Nous avons reçu le nouveau rôle d’évalua-tion 2013-2014-2015. À cet effet, nous tra-vaillons au maintien d’un gel du taux de taxa-tion ainsi qu’au contrôle du service de la dettemunicipale. Si nous voulons maintenir l’équi-libre budgétaire, la seule façon est de procéderà une analyse rigoureuse de nos dépenses et dechercher à diversifier nos revenus; la taxationa ses limites!

Bonne saison automnale!

Voici un résumé des principales décisionsprises lors de la séance ordinaire du conseilmunicipal du 10 septembre 2012.

• Relativement au déblaiement,au sablage et à l’entretien desrues en période hivernale, leconseil municipal a octroyé lecontrat 2012-30 à PavageJérômien inc. pour le secteur3 et le contrat 2012-31 à LesEntreprises Guy Desjardins.inc. pour le secteur 4.

• La firme Équipe Laurence, experts-conseil, aété mandatée pour la réalisation d’uneétude d’avant-projet pour la réfection duréseau d’aqueduc, de la chaussée et du drai-nage des rues Georges, Gérard, Centrale, del’Érablière et chemin du Lac-Écho, entre lesrues de l’Érablière et Boivin. Dans le cadre dece projet, le conseil municipal a égalementautorisé la présentation d’une demande desubvention dans le cadre du programmeinfrastructures Québec-municipal (PIQM).

• Une dérogation mineure a été accordéepour le lot 1918513 du cadastre du Québec,situé au 965, montée Sainte-Thérèse. Cettedérogation mineure vise à autoriser la créa-tion de deux lots constructibles avec unelargeur à la rue de 7,62 mètres chacun aulieu de 50 mètres, tel que prescrit par larèglementation municipale.

• Le conseil municipal a également autoriséune dérogation mineure afin de régulariserle bâtiment existant situé au 1130, chemindu Lac-Écho en établissant la marge avant à

4,52 mètres plutôt que 7,50 mètres, tel queprescrit par la règlementation municipale.

• Finalement, le conseil a autorisé la signaturedu protocole de développement PD-12-153relatif à la construction de la rue du Clos-du-Petit-Mont. Cette nouvelle rue desservi-ra 44 terrains avec services d’égouts sani-taires et pluviaux ainsi que l’aqueduc.

La prochaine réunion ordinaire du conseilmunicipal se tiendra le MARDI 9 octobre2012.

Germain Richer

le Mot du maire

Nouvelles du conseil

Sous une forme permettant un contact chaleureux entrele public et de grands acteurs de la scène québécoise, lesrendez-vous amoureux présentent des scènes les plus

marquantes du théâtre.Samedi 20 octobre 2012 à 20 h

Église Saint-François-Xavier, 994, rue Principale à PrévostBillets à la bibliothèque Jean-Charles-Des Roches et au

Service des loisirs: 20$ (et à la porte le jour de l’événement).Information : 450 224-8888, poste 244

www.lacomediehumaine.ca

Venez vivre une expérience théâtrale qui vous ravira.

Venez passer une

super

soirée avec nous!

CINÉ-FAMILLEBUREAUX FERMÉSLes bureaux administratifs et la bibliothèque de laVille de Prévost seront fermés le lundi 8 octobre en

raison du congé de l’Action de grâces.

DERNIÈRE JOURNÉE GRAND MÉNAGE

Samedi 6 octobre 2012 8 h 30 à 16 h, rendez-vous sur le site de

l’écocentre au 1144, rue DoucetL’opération grand ménage vous permet de vous débarras-ser des matériaux tels que : branches, pierre, bois, métal,asphalte, appareils ménagers, meubles, vitres, divers maté-

riaux de construction, tapis, gypse, matelas, etc.

RECHERCHESURVEILLANT BADMINTON

La Ville de Prévost est à la recherche d’un surveillant pourle badminton le lundi et le jeudi soir pour quelques heures. Tâches : accueillir les joueurs, faire payer les participants

qui n’ont pas de passes, faire la rotation des terrains, mon-ter et démonter les terrains, etc.

Salaire à discuter.Pour postuler, communiquez avec l’agente loisirs et sports

au 450 224-8888, poste 244.

ACTIVITÉ MULTISPORTSLa Ville de Prévost en collaboration avec Québec enforme offre une activité multisports gratuite aux

familles de Prévost. Plusieurs sports chaquesemaine dans une ambiance amicale afin de

faire bouger petits et grands.5-8 ans : Samedi 9 h 30 à 11 h9-12 ans : Samedi 11 h à 12 h 30

Début : 29 septembreEndroit : École Val-des-Monts

Durée : 5 semaines, une semaine sur deuxInscriptions par téléphone au 450 224-8888, poste 244.

SONDAGE

La Ville de Prévost désire connaître l’opinion des cescitoyennes et citoyens concernant son offre de

services en matière de loisirs, de culture, de sports etrelatif à la vie communautaire.

Ce sondage ne prend que quelques minutes à remplir.Vous courrez ainsi la chance de gagner un cours de

votre choix dans la programmation hiver 2013.Pour remplir le sondage, allez à l’adresse suivante :

www.surveymonkey.com/s/Y5S6YDZ Vous trouverez également ce lien sur le site Internet de

la Ville au www.ville.prevost.qc.ca dans l’ongletProgrammation loisirs et camps.

Merci de participer en grand nombre!

LOISIRS, CULTURE, SPORTSET VIE COMMUNAUTAIRE

COLLECTE DE BRANCHESSemaine du 8 octobre pour les secteurs :

Bon Air / Domaine Laurentien • Lesage et Terrasse desPins • Clos-Prévostois • Shawbridge • Patriarches •

Domaine des VallonsSemaine du 15 octobre pour les secteurs :

Montée Sainte-Thérèse • Lacs Renaud et René • DesChansonniers • Lac Écho et chemin du lac-Écho

COLLECTE DE FEUILLESLa collecte aura lieu les jeudis 18 octobre, 1er et 15novembre 2012. Le tout doit être placé dans des

sacs orange, transparents ou de papier. Les sacs noirsne sont pas ramassés. Vous pouvez également les

déchiqueter et les laisser sur votre terrain!

À ne pas manquer!

LES JOURNÉES DELA CULTURE

DU 28 AU 30 SEPTEMBRE 2012 Pour consulter la liste complète des activités, visitez lesite Internet de la Ville dans la section «Programmation,loisirs et camp» et dans le dernier bulletin municipal.

GRATUIT!

Du cinéma pour toute la familleEN PRIMEUR LE FILM L’ÈRE DE GLACE IV:

LA DÉRIVE DES CONTINENTSVendredi 19 octobre à 18 h30À l’église Saint-François-Xavier

994, rue Principale

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RENDEZ-VOUS AMOUREUX

Cette association permet à la Coopd’étendre ses services sur les deuxsites permettant ainsi que la cliniquede Prévost soit accréditée Groupede médecine familiale, commela clinique de Sainte-Hippolyte.L’accréditation GMF implique unestructure qui libère les médecins destâches bureaucratiques afin qu’ilspuissent augmenter les heures depratique, ce qui favorise l’intérêt desmédecins. Au moment de notre dis-cussion avec Michel Beauchamp,directeur général de la COOP santédes Falaises, deux médecins étaientofficiellement sous contrat pour lesite de Prévost. Selon monsieur Beauchamp, le sitede Saint-Hippolyte avait maximiséses capacités en terme d’accueil demédecins supplémentaires etd’heures de bureau. L’associationdes deux sites au sein de la Coopsanté des Falaises permet au site pré-vostois d’offrir une possibilité d’ac-cueil et d’expansion des servicesainsi que des heures de bureau deconsultation médicale au fil dutemps. Pour Claude Latour, bénévole res-ponsable de l’implantation pour lesite de Prévost, « le fait de s’être asso-cié à Saint-Hippolyte, permet d’êtreefficace immédiatement », un avan-tage non négligeable. Un responsa-ble de l’implantation doit s’occuperde l’installation des lignes télépho-niques, s’assurer que les prises decourant soient à la bonne place etqu’il y en ait le bon nombre, s’occu-per de l’achat des meubles, bref, ilvoit à toutes les choses concrètes.Pour le directeur Beauchamp, c’estgrâce à des individus tels que mon-sieur Latour que le projet a démarré

et qu’il avance aussi vite. «Je suis trèsconfiant parce que maintenant [avecl’association à la clinique GMF deSaint-Hippolyte] nous avons lastructure pour mettre en place lesservices dont nous avons besoin»,explique monsieur Beauchamp. Pour l’instant, les services offertsau site prévostois de la Coop santédes Falaises sont les suivants : unenutritionniste, une ostéopathe, unorthésiste, une dentiste et une phar-macie affiliée à la bannière JeanCoutu. Monsieur Beauchamp nousa confié qu’éventuellement une cli-nique voyage viendrait se greffer ausite prévostois.D’ici trois ou quatre ans, le direc-teur général affirme que la Coop des

Falaises desservira une partie impor-tante de la clientèle. Pour ce qui est des cliniques médi-cales, les membres auront accès auxdeux sites, qui offrent toutefois desservices différents : le site de Saint-Hippolyte offre des consultationssans et avec rendez-vous, tandis quele site de Prévost offre uniquementdes consultations sur rendez-vous.La Coop prendra possession de seslocaux le 15 octobre, afin d’installerles meubles et accessoires médicaux.Ce qui permettra à la Coop prévos-toise d’être en service pour le pre-mier novembre. Le conseil d’admi-nistration prévoit que d’ici janvier2013, les quatre à six mille pieds car-rés du tout nouveau site prévostoisseront complètement opérationnels.

Aude Provost

La Coop santé de Prévost,nouvellement Coop santédes Falaises, ouvrira sesportes le premier novembreselon les prévisions de sonconseil d’administration. Lenouveau nom est consécutifà l’association de la Coopsanté de Prévost avec la cli-nique de Sainte-Hippolyte.


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COOP santé de Prévost

Ouverture prochaine dela Coop santé des Falaises

Michel Beauchamp, directeur général de la Coop santé des Falaises, qui discute de l’avancement destravaux avec Claude Latour, bénévole et chargé de l’implantation sur le site en construction de Prévost.

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2493, boul. Curé-Labelle, PrévostTél. 450 436 7903

Télec. 450 436 1679

[email protected] exclusivesFerronnerie d’art

SculpturesSalle de montre

Photo: Aude Provost

Le Groupe Patrick Morin, quiexploite 15 centres de rénovationau Québec, construit sa 16e suc-cursale à Prévost. Avec un investis-sement de 7 millions $, le Centrede Prévost permettra la créationde 60 emplois et aura une superfi-cie de 60000 pieds carrés.On y retrouvera une boutiquedu luminaire au sein du départe-ment de l'électricité, un départe-ment de quincaillerie et de cou-vre-plancher, un département deplomberie axée sur les nouvellestendances, un service profession-nel en peinture et en décoration,la vente et l’installation de porteset fenêtres ainsi qu’un centre jardin.De plus, un comptoir entrepreneursera spécialement aménagé pourrépondre à cette clientèle distincte.

En affaires depuis 1960, la familleMorin a toujours la même missiond’entreprise : «offrir un excellent ser-vice à la clientèle grâce à l’expertise deses conseillers. » soit une équipe de

gens constructifs bien formés pouraccueillir et conseiller adéquatementla clientèle. L’ouverture officielle dela succursale de Prévost est prévue àl’automne 2012.

Somme toute, cette séance futrelativement calme avec une tren-taine de citoyens qui se sont présen-tés. La conseillère Berthiaume étaitabsente. À la période des questions,deux lettres furent déposées par descitoyens. La première par monsieurLouis Charbonneau, qui avait ques-tionné le maire en juin dernier sur lemode d’attribution des quarantebillets de spectacle distribués parDiffusion Amalgame et achetés parla Ville; n’ayant pas reçu de réponse,il demanda à monsieur le maired’être choisi pour recevoir une pairede billets pour chacun des spectaclesde la saison 2012-2013 de DiffusionAmalgame. Par souci de transpa-

rence, il a réclamé que la Villepublie les noms des heureux bénéfi-ciaires. La deuxième par monsieurGeorges Carlevaris qui désireconnaître le nom des personnes quiont appuyé la décision d’envoyerune mise en demeure aux quatremembres du comité de défense descontribuables. Dans la réponse demonsieur le maire à ce sujet, datéedu 28 août 2012 et destinée à mon-sieur Carlevaris, cette informationn’aurait pas été incluse et ce derniera réitèré sa demande. Monsieur Gilbert Tousignant, unrésident, déposa une demande quipourrait selon lui faire partie duprogramme des projets structurants

et qui contribuerait à créer un accèsofficiel à la réserve du Parc desFalaises. Monsieur Richer a réponduqu’il rencontrera à la fin septembre,les responsables de ConservationNature Canada et qu’il en discuteraavec eux.

Monsieur Yvon Blondin, montéeSainte-Thérèse, ce citoyen attendtoujours la raison officielle du retraitde la liste des comptes à payer de laVille depuis février 2012, celle-ciétait auparavant disponible auxcitoyens à chaque séance du conseil.Monsieur Richer invita, encore unefois, les citoyens qui veulent enprendre connaissance à se rendre àl’hôtel de ville. Monsieur Blondin aajouté un commentaire sur le nou-veau pavage qui fut fait sur une sec-tion de la Montée Sainte-Thérèse.Selon lui, le résultat est lamentableen ce qui a trait à la douceur de rou-lement, monsieur Richer réponditque ceci était un nouveau procédé etque la Ville était à évaluer l’effet àlong terme.

Monsieur Gilles Raymond, rueGuénette, cette personne trouveinadmissible que certaines rues dusecteur Vieux-Shawbridge soientlavées avec de l’eau qui provient duréseau PSL et qui fut traitée préala-blement. Monsieur Richer est d’ac-cord avec le principe et la Villepourrait considérer l’installationd’une borne sèche dans la Rivière-du-Nord.

Monsieur Steve McGovern, versantdu Ruisseau, ce citoyen veut savoir sitous les organismes subventionnéspar la Ville sont conformes aux règles

établies par Prévost pour être éligi-bles. La réponse de monsieur le mairesuivra subséquemment.

Module InfrastructuresDes contrats de déblaiement etsablage pour les chemins d’hiverpour les secteurs 3 et 4 ont étéaccordés. Le premier à PavageJérômien pour la somme de1053000$ et le deuxième à la firmeDesjardins pour un montant de1158000$; ces deux contratss’échelonneront sur une période decinq ans.

Module Sécurité publiqueUn avis de motion fut déposéamendant le règlement SQ-900-2010 concernant les interdictionsde stationner, arrêts obligatoires ettraverses piétonnières. Un citoyen àla période des questions informa lemaire que l’interdiction de station-ner était très souvent non respectéesur la rue Roméo-Monette.Monsieur le maire fera suivre l’in-formation à la Sûreté du Québec.

Module UrbanismeLe plan d’implantation et d’inté-gration architecturale fut acceptépour la rue du Clos-du-Petit-Mont.Nous y retrouverons 44 terrains etdes maisons jumelées y serontconstruites. Monsieur Bordeleauvote contre le projet et il expliquamême sa position : ces maisonspourraient être destinées à des cou-ples qui en sont à l’acquisition deleur première résidence et se retrou-veront, selon lui, avec une courarrière quasi inexistante, ce qui nefavorisera pas l’activité extérieurepour les jeunes enfants.

VariaUne demande d’aide financière aété déposée au P.I.Q.M. Une étudede faisabilité visant la réfection duréseau d’aqueduc des rues Louis,Georges, Gérard, Centrale,l’Érablière et Monte-Pente.

Une rencontre tripartite avec laSûreté du Québec, ministère desTransports et de la ville de Prévostaura lieu pour analyser la sécurité dela route 117 dans le secteur duDomaine Laurentien. Nous appre-nons que dernièrement au moinsune quinzaine d’automobilistes sesont vu signaler des contraventionsau montant de 237$ assorties de3 points de démérite parce que cesderniers n’auraient pas respecté lasignalisation routière (lignesblanches).

Monsieur le conseiller Parent s’estinsurgé sur le fait qu’il ne fut pasinformé en temps opportun sur lesrésultats d’analyse d’eau des lacs deson secteur et que ceci aurait pufavoriser la localisation du problèmeen temps réel. Monsieur Richerrépondit que les données sontremises à chaque réunion ducomité, et ce, à date fixe.

Le conseiller Joubert n’est visible-ment pas d’accord sur le fait que lesparcs des Clos-des-Artisans et duClos-Meunier sont défrayés entière-ment par un règlement de secteur etque, contrairement à une pratiquedu passé, le fonds général y contri-buait. Monsieur Richer répond quec’est la nouvelle norme.


Dr Simon Lachance m.v.Dre Sophie Gattuso m.v.Dr Michael Palmer m.v.

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Séance ordinaire du conseil municipal, le lundi 10 septembre2012.

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Centre de Rénovation Patrick Morin, à Prévost

Isabelle Pelletier et Pierre Desjardins de construction Desjardins, François Morin directeur développement, lemaire Germain Richer, la conseillère Brigitte Paquette, le fondateur Patrick Morin, le conseiller ClaudeLeroux, le président André Morin et la fondatrice Denise Benny, puis les directeurs Denis Morin, DanielLampron, Madeleine Morin, Benoît Morin et Michel Morin.


Cet organisme effectue un suivi del’état de la rivière depuis quatre ansdéjà, période où l’organisme a effec-tué un échantillonnage en diverspoints de la rivière du Nord.À l’examen de ces échantillons, ilest apparu que la rivière continued’être polluée. Une des raisons est lalégislation qui permet aux municipa-lités de rejeter de l’eau usée (eaud’égout) et non traitée dans la rivièreen cas d’urgence. Mais qu’est-cequ’un cas d’urgence ? Il s’agit d’uneforte pluie, de la fonte des neigesprintanière, bref de toute situationoù une quantité inhabituelle d’eauarrive dans le réseau d’assainisse-ment, qui se retrouve alors surchargé.Ce sont là des faits qui à première vuesemblent représenter une bonne ges-tion des eaux usées. Cependant unepart importante des surverses sur-viennent par temps sec. La cause estliée à la vétusté des usines de traite-ment ou leur inadéquation à la crois-sance de la population desservie. Cequi peut être évité, moyennant desinvestissements de mise à niveau oudes réparations.On remarque généralement unehausse de la concentration des coli-formes fécaux dans la rivière duNord après de fortes pluies; car,comme l’explique la porte-parolemunicipale de Saint-Jérôme, leseaux pluviales se mêlent alors auxeaux des égouts, ce qui cause unesurcharge du système d’épuration.

Un peu de physiqueTout ce qui monte redescend,comme le dit le dicton populaire. Larivière du Nord prend sa sourcedans le lac Brulé, situé dans la muni-cipalité de Sainte-Agathe, au nordde Val-David. À la sortie du lac, larivière serpente vers le sud, pouraller mourir dans l’Outaouais àSaint-André d’Argenteuil. L’eau selaisse tirer vers le point le plus bas, etles polluants qui y sont déversés sui-vent le même chemin. C’est ainsique la qualité de l’eau de la rivièredépérit plus on s’éloigne de sasource. Ainsi, la rivière du Nord estdavantage polluée à Saint-Jérômequ’à Val-Morin.

Saint-Jérôme corrige le tirParmi ses six points de déversementspermis (appelé ouvrage de surverse),la ville de Saint-Jérôme aurait effec-tué entre 243 et 314 surverses entre2008 et 2011, nous annonçaitFondation Rivières en juillet.«Comme partout ailleurs auQuébec, le réseau d’assainissementde la ville de Saint-Jérôme est conçupour traiter la grande majorité desdébits sanitaires. Cependant, dansles secteurs plus âgés de la ville, lorsd’épisodes de pluie intenses ou defonte des neiges, d’importantsdébits pluviaux se mêlent aux rejetssanitaires. Dans ces situations, lesdébits excédentaires ne pouvant êtretraités par les infrastructures d’assai-nissement sont acheminés à larivière selon les normes établies parles MDDEP. Sur les 279 déverse-ments à la rivière, seulement 25 ontété jugés problématiques, en raisonprincipalement de deux points desurverse défaillants. Le cas des deuxpoints de surverse est actuellement àl’étude et des fonds sont prévus auPTI (Programme triennal d’immo-bilisations) en vue de réaliser destravaux correctifs », de répondreSaint-Jérôme.Les travaux correctifs prévus visentnotamment à faire en sorte que leréseau d’égout soit fermé afin queles eaux de pluie ne causent plus desurcharge du système d’épuration.Ce qui représente un investissementimportant, car les réseaux d’égoutset d’épuration ont besoin d’uninvestissement de 100 millions $,par tranches de 20 millions par ansur cinq ans, selon une étude préli-minaire de la firme d’ingénieursDesseau. L’étendue des condui-tesproblématiques est importante :22 kilomètres sont à refaire etdemandent une intervention priori-taire; toujours selon cette étude.

Les affluents, source de pollution?Une autre source de pollution pro-vient des affluents qui se déversentdans la rivière et qui peuvent ame-ner parfois, des concentrationsimportantes de polluants dans larivière, notamment et selon des rele-

vés pris en période de pluie en juilletdernier, la rivière à Simon qui rejetteentre 800 et 1 600 UFC aux deuxpoints d’échantillonnage, la rivièreaux Mulets avec 2 000 UFC et legrand ruisseau avec 2 700, mais6 000 UFC en août 2011 contre2500 par temps sec. Ces troisaffluents sont tous situés àPiedmont et à Sainte-Adèle, relati-vement près les uns des autres.Ces doses importantes de coli-formes rejetés dans la rivière amè-nent un questionnement, caraucune municipalité ne déversed’eaux usées dans ces bras de rivière.Il n’y a pas d’usine de traitementd’eaux usées à ces endroits. Alorsd’où viennent ces polluants ?

Ce qu’en pense AbrinordInterrogé sur la source de ces pol-luants, Abrinord reconnaît que cesinformations sont inquiétantes,mais n’est pas en mesure d’en expli-quer l’origine. Il déclare par contrequ’un rapport diagnostique est enpréparation dans le cadre de sonPlan directeur de l’eau qui doit êtreremis au MDDEP en mars 2013.Un rapport diagnostique pourraitêtre connu en décembre de cetteannée. Rappelons que le Program-me d'échantillonnage du bassin ver-sant de la rivière du Nord, auquelcontribuent plusieurs municipalités,permet de recueillir des donnéesdont la validité scientifique estreconnue et de rendre ces informa-tions accessibles, notamment dansune perspective de santé publique.

Des travaux à terminerLe grand nombre de surverse d’eauxusées peut s’expliquer par le fait queplusieurs municipalités n’ont pasterminé leurs ouvrages de surverse,la séparation des égouts pluviaux deségouts sanitaires ou les améliora-tions de leurs usines d’épuration. Ilfaut donc rester prudents dans l’uti-lisation de la rivière pour nos loisirs.Comme les analyses le démontrent,nous n’en sommes pas encore autemps où nous pourrons utiliser larivière sans crainte aucune.

La relèveHuit élèves de la Comission scolairede la Rivière-du-Nord ont étérécompensés par le Centre d’inter-prétation de l’Eau, avec la remised’un prix lors du concours La magied’hydraulix 2011-2012, le 21 juin

dernier. Ce prix récompensait la réa-lisation d’un projet inspiré par uneactivité éducative sur le traitementde l’eau potable.Grâce à l’implication des jeunes,des solutions peuvent être apportéeset peut-être permettront-elles auxnouvelles générations de profiterpleinement de leur rivière...


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Rivière du Nord, des inquiétudes persistent

Surverses importantes en temps de pluie Aude Provost – Malgré une amélioration de qualité de l’eaude la rivière du Nord, d’importantes surverses d’eaux uséessurviennent encore dans la rivière. Ces déversements sontencore nombreux, particulièrement dans les réseaux deSaint-Jérôme, Mirabel et Lachute, selon Fondation Rivières.

Photo: Aude Provost

1,5¢ / litre pour le transport encommunLa MRC cherche des fonds pourfinancer le développement de sonréseau de transport public. Ainsi lesmaires du Conseil ont approuvé unprojet de recherche par la firmeVecteur5 afin d’évaluer le potentiel derevenu d’une taxe régionale sur l’es-sence de 1,5 ¢/litre. Si l’étudeconclut à une possibilité de revenusintéressants (les chiffres de 800000$ou 900000$ ont été avancés), laMRC des Pays-d’en-Haut de concertavec celles des Laurentides et d’unepartie d’Antoine-Labelle pourraitprésenter une requête à Québec.Des précédents existent. En effet, laMRC Haute-Gaspésie-Îles de LaMadeleine a obtenu l’autorisation depercevoir 1,5 ¢/litre pour la création

d’une régie intermunicipale de trans-port, approuvée par décret ministé-riel le 9 août dernier. Le Saguenayvise quant à lui une augmentation de1 cent le litre. À Montréal, la portionde la taxe sur l’essence pour le trans-port en commun est de 5¢.Monsieur Garnier, préfet de laMRC, a indiqué que ce type de solu-tions n’est jamais très populaire. Il aexpliqué que le transport collectifdans l’axe est-ouest n’est pas adéquat;il croit que le développement du ter-ritoire passe par de meilleurs servicesde transport en commun. La lignenord-sud avec un circuit Mont-Tremblant/St-Jérôme est un succèsmalgré des horaires restreints.

Le contrôle animalier, entre 2 et5$ par citoyenDepuis plusieurs mois déjà, les mairestravaillent ensemble pour trouver unesolution acceptable au problème de laprotection des animaux. Aucuneoption ne s’impose. Pour quatremunicipalités, Piedmont, Saint-Sauveur, Sainte-Anne-des-Lacs etMorin-Heights, il est pourtant pres-sant de mettre en place des servicesadéquats du contrôle animalier. On

s’apprête dans les prochains mois àlancer un appel d’offres. Le coûtavancé, à cette dernière rencontre,pour un contrat est de 5$ par citoyen.Mme Fortier, mairesse de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson, a indi-qué que son administration a trouvéune excellente alternative. Le contratqu’elle a signé pour sa ville se situeentre 4000$ et 5000$ par année(2500 habitants, ou moins de 2$ parcitoyen). Les maires de Piedmont etMorin-Heights, messieurs Cardin etWatchorn, sont à la tête du comitéchargé de proposer des solutions via-bles à leurs collègues. Ils ont encore àproposer une solution équitable.

L’interconnexionDans le but d’obtenir l’aide finan-cière de Québec, le Conseil a donnéun contrat à Vélo-Québec afin d’ob-tenir des propositions de tracé etréduire l’ampleur du projet initial.Un sous-comité composé du préfetmonsieur Garnier, et des maires dePiedmont, de Saint-Sauveur et deMorin-Heights analyseront les pro-positions et feront des recommanda-tions à leurs collègues. La MRC esten attente de la confirmation par lenouveau Conseil des ministres d’unesubvention de plus de 2 millionspour aller de l’avant et connecter lespistes cyclables du Corridor aéro-bique et du P’tit Train du Nord.

La MRC a reçu une subvention duMinistère des Transports (MTQ) de30750$ pour payer une partie descoûts de l’affaissement au kilomètre16,25. Les discussions devraientdébuter sous peu pour renégocier lebail avec le MTQ. Les élus espèrentobtenir un meilleur partage des res-ponsabilités et des dépenses pourl’entretien des pistes.

Le coût de nos ordures ménagèresLes élus sont à la recherche d’optionsayant comme résultats des économiesd’échelle pour le traitement desmatières résiduelles. Si plusieurs initia-tives comme les écocentres permettentde réduire le coût de la gestion dedéchets, le Conseil est à la recherchede solutions optimales pour répondreaux nouvelles exigences de Québecquant à l’augmentation du recyclagedes matières organiques comme lesrestes de table qui devrait entrer envigueur dès 2014.Un rappel : les prévisions de crois-sance de la population de la MRCpour les 20 prochaines années sontde 35%. L’impôt foncier des pro-priétaires de la MRC a augmenté enmoyenne, entre 2006 et 2011, de25%. (Exemple : Sainte-Adèle :29,2%; Piedmont : 26,9%; Saint-Sauveur : 23%; Wenworth-Nord :5,1%).

Pour l’occasion, une vingtaine debénévoles se sont dévoués pour cui-siner le blé d’Inde et les chienschauds. Une organisation réussiecompte tenu du nombre impres-sionnant de citoyens venus rencon-trer leur député. Des rafraîchisse-ments et croustilles étaient vendus,au profit de l’organisation L’Ami-edu Quartier de Saint-Jérôme.Un clown était également présentet a fait rire les enfants, mais égale-ment les parents. Ses sculptures deballons étaient originales et il a su

garder l’attention des enfants et lesfaire courir tout autour du station-nement de l’église Sainte Paule, oùse tenait la rencontre.

Les cinq heures de musique fran-cophone ont favorisé la belleambiance de cette fête. Le passagede Vincent Lemay-Thivierge, artistemusical francophone et candidatpour Québec Solidaire dans Saint-Jérôme, a contribué à nous rappelerl’importance que la protection de lalangue française a pour le députéDionne, car ce sont des valeursqu’ils partagent tous deux.

Épluchette du député

Rencontre avec ses concitoyens

Le député Pierre Dionne Labelle a profité de cette épluchette pour garder le contact avec ses conci-toyens, chose qu’il a faite en discutant avec eux et en allant les rencontrer dans la file d’attente qui s’éti-rait devant le kiosque à maïs et chiens chauds.


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MRC des Pays-d’en-Haut – Conseil de septembre

Une augmentation de l’essence de 1,5 cent le litre?Louise Guertin

À écouter discuter les maires et le préfet à la rencontre,tenue à Sainte-Anne-des-Lacs ce mois-ci, un thème émerge.Celui de l’arbitrage des projets et celui non moins diffi-cile, du financement.

Aude Provost

Le député Pierre Dionne Labelle a tenu à organiser uneactivité communautaire dans son quartier d’origine afinde garder le contact avec sa communauté et ses conci-toyens. Dans son quartier natal, le député n’a pas vouluparler de politique.

Photo: Aude Provost

Je ne crois pas vous apprendregrand-chose non plus en vous disantque dans notre comté, le comté deBertrand, le péquiste ClaudeCousineau a été réélu pour un5e mandat. Le député Cousineau adevancé son plus proche adversaireJean-Marc Lacoste de la CoalitionAvenir Québec (CAQ) par 4 300voix en récoltant 41,69 % du votedans le comté.Quelle a donc été la tendance danschacune de nos trois municipalitéssoit Prévost, Piedmont et Sainte-Anne-des-Lacs ?

Prévost la souverainiste?Prévost a toujours eu une réputationd’être souverainiste. À ce titre, lesélecteurs de la Ville de Prévost à40% (2350 voix) ont accordé leurvote à Claude Cousineau du PQ,élu avec une très faible majorité de193 voix. Son plus proche adver-saire, Jean-Marc Lacoste de la CAQa récolté 2157 voix soit 37% desvoix. La lutte à Prévost a été trèschaude comme dans plusieurs cir-conscriptions du Québec. Fait ànoter, les cinq autres candidats sesont réparti un maigre 1 381 votesdes électeurs prévostois. – Prévost adonc accordé ses voix au gouverne-ment péquiste de Pauline Marois.

Piedmont et Saint-Anne-des-Lacs, les CAQuistes ?Si les autres circonscriptions électo-rales du Québec avaient suivil’exemple des villes de Piedmont etSainte-Anne-des-Lacs, notre nou-veau gouvernement provincialaurait été formé par la CAQ etFrançois Legault.En effet, à Sainte-Anne-des-Lacs,la CAQ avec 696 voix (39%) mène

le bal alors que le péquisteCousineau suit tout de suite derrièreavec 621 votes (35%). Là encore, lerésultat est particulièrement serré,Lacoste l’emportant à Sainte-Anne-des-Lacs par seulement 75 voix alorsque les cinq autres candidats se par-tagent un maigre 459 voix.Suivant la même tendance,Piedmont aurait élu le CAQuisteLacoste avec 456 voix (38%) contre392 voix (33%) au péquisteCousineau. C’est à Piedmont que lelibéral Yannick Ouellette fait son meil-leur score des trois villes en obtenant21% du suffrage exprimé. Les autrescandidats se répartissent un mince 96voix des électeurs piedmontais.

En résuméEn moyenne, le vote de nos trois-municipalités combinées auraitdonné une légère avance à ClaudeCousineau du Parti Québécois, avec38% du vote et un peu plus de50 voix d’avance seulement surJean-Marc Lacoste de la CoalitionAvenir Québec (37% du vote).Finalement, le taux de participationà Prévost et Sainte-Anne-des-Lacs aété d’environ 63% alors qu’àPiedmont ce taux baisse à seulement51% des électeurs. Bien faible etdécevante participation de nos conci-toyens alors que le taux dans le comtéde Bertrand a été de 78% et qu’il sesitue près de 75% au Québec.Le vote de nos concitoyens sedémarque de la tendance provincialequi accordait 32% des vois au PartiQuébécois, 31% au Parti libéral et27% à la coalition Avenir Québecalors que dans nos municipalités lesélecteurs ont préféré la CAQ (37%)

aux libéraux (15%) alors que le PQrécoltait 38% du vote.Vous pouvez prendre connaissancedes résultats pour chacun des bureauxde vote et chacune des municipalitésdesservies par le journal sur le blogueau vieprevost.blogspot.comSource : Directeur général des élections duQuébec, comté de Bertrand, élection provinciale2012, résultats par ville et bureau de vote.

Louise Guertin

Les attentes de nos élus munici-paux ne sont pas moins grandessuite à l’élection d’un gouvernementminoritaire. « Il faudra que les partiscollaborent », dira Yvon Brière, pré-fet de la Rivière-du-Nord et mairede Sainte-Sophie. Il y a plusieursdossiers importants à régler rapide-ment. Pour le préfet de la MRC desPays-d’en-haut, Charles Garnier,deux dossiers, celui du Pacte fiscal etdu Pacte rural qui viennent àéchéance en 2013 pour le premier,en mars 2014 pour l’autre, font par-tie de l’équilibre budgétaire fragiledes municipalités. Il espère que lenouveau gouvernement les renou-vellera. « Il faudra voir sous quelleforme et à quel niveau. » Les besoinsaugmentent, il est à espérer que lesinvestissements du nouveau gouver-nement suivront.

Pacte fiscal – 747 millions en 2013Pour monsieur Garnier, ce sont dessources de revenus prévisibles et

structurantes. Le pacte fiscal, boni-fié par les Libéraux, sera de 747 mil-lions en 2013 pour toutes les muni-cipalités du Québec. Mis sur pied en1992, le Pacte fiscal devait aider lesvilles à payer pour de nouvelles res-ponsabilités. Monsieur Brière metaussi l’accent sur les besoins desmunicipalités : « Dans les dernièresannées, les gouvernements ontbalayé les coûts vers les municipali-tés : la police, les incendies, le trans-port. Les infrastructures routières nesont pas adéquates et il faut égale-ment faire plus pour le transportcollectif. Il faut trouver une solutionaux congestions sur la 15. »

Pacte rural Les deux MRC, Pays-d’en-Haut etRivière-du-Nord, sont encore large-ment rurales. La présidente deSolidarité rurale, Claire Bolduc sou-haite un programme bonifié. «Çafait partie du programme du PQ etdes engagements de MadameMarois. » Représentant 280 millionssur 7 ans à l’échelle du Québec, le

programme vise à soutenir la revita-lisation et le développement dumonde rural.Solidarité rurale travaille au dépôtd’un rapport, en janvier, où il seraquestion de décentralisation vers lesrégions. Est-ce qu’un gouvernementminoritaire voudra ou pourra s’enga-ger sur le terrain d’une gouvernancerenouvelée? Les organismes commu-nautaires sont également des parte-naires importants. Une réduction del’enveloppe aurait des effets immé-diats sur les communautés. En 2012,l’enveloppe budgétaire du fonds de laruralité pour la MRC des Pays-d'en-Haut s’élève à 324000$ et de306945$ pour la MRC de laRivière-du-Nord.

L’interconnexion – 2, 7 millionsdans les limbesAutre dossier en attente d’une déci-sion, important pour la MRC desPays-d’en-Haut, est celui de l’inter-connexion du Corridor aérobique etdu parc linéaire le P’tit Train du Nord.Monsieur Garnier explique: «Nous

avons eu la confirmation budgétairedu ministère des Transports à la finjuillet pour 2, 7 millions. Le dossier enest à l’étape d’être présenté pour déci-sion finale. J’espère que le nouveauConseil des ministres du Parti québé-cois approuvera notre projet. Nousavons revu le tracé pour réduire lecoût total. Nous avons un million enréserve. Si c’est approuvé, noussommes prêts à aller de l’avant avec ceprojet, sans règlement d’emprunt.»

Claude Cousineau – manque àgagner pour la santéInterrogé quant à ses priorités,Claude Cousineau, réélu pour uncinquième mandat sous la bannièredu PQ, n’a pas remis en question lespriorités émises par les préfets desdeux MRC.Il indique que, pendant la cam-pagne, les citoyens lui ont répétéqu’ils aiment le voir régulièrement.Il entend continuer à être présent surle terrain pour monsieur et madame

tout le monde et pour les organismescommunautaires comme la Maisond’entraide de Prévost à la recherchede nouveaux locaux.Il ajoute : « au plan régional,comme député des Laurentides,mon premier cheval de bataille serale dossier d’iniquité en matière desanté et des services sociaux». Selonle député, il y a un manque à gagnerde 60 millions et de 10 millionspour les organismes communau-taires. Il se dit prêt à travailler avecses collègues de toute allégeancepolitique pour faire avancer les dos-siers des Laurentides.On peut également penser à d’au-tres enjeux comme la pauvreté oul’environnement, peu ou pas discu-tés pendant la campagne électorale.La question reste entière : quepourra réaliser le gouvernementminoritaire de Mme Marois ? Detoute évidence, nos élus locaux espè-rent des solutions et misent sur lacollaboration des partis.


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Le PQ minoritaire - Claude Cousineau réélu dans Bertrand

Les attentes des élus locaux: la collaboration un prérequis

Petites mathématiques électorales :

Pour qui votent nos voisinsBenoît Guérin

Je ne vous apprends rien en vous disant que le PartiQuébécois dirigé par Pauline Marois formera un gouverne-ment minoritaire, premier gouvernement au Québecdirigé par une femme.

Résultat des élections provincialesComté de Bertrand

Normand Lamarche

• Les automobilistes et camionneurs ont dû emprunterdes détours pour accéder à leur destination puisque lechemin Fournel, intersection chemin Sainte-Anne-des-Lacs étaient en rénovation. Il est enfin asphaltédepuis quelques jours. On remarquera sur la photo duchemin Fournel un semblant de sentier à la gauche despoteaux, sous les câbles électriques. Ce futur sentierreliera le parc Henri Piette, l’hôtel de ville et lesbureaux des Loisirs à l’île Benoit, en passant devantl’église qui doit être éventuellement transformée en uncentre culturel. On aurait pu penser que les câblesauraient été enfouis, au moins devant l’église, questiond’esthétique dans le cadre de la revitalisation du centredu village mais les conseillers en ont décidé autrement,faute de budget disent-ils !

• Et non, ce n’est pas un hôpital en construction commese l’est demandé un citoyen lors de la dernière séancedu Conseil, c’est tout simplement le nouveau centre

Unimat qui devrait ouvrir ses portes en octobre pro-chain. Selon le maire Ducharme, les plans et devisétaient conforment à la réglementation municipalelors du dépôt et les règlements n’ont pas changé nonplus.

• Vous attentiez un colis et vous l’attendez toujours?Vous avez peut-être été victime de vol ! En effet, dansla nuit de 6 septembre, plusieurs cases postales, cellesqui servent à récupérer les colis, ont été ouvertes pardes malfaiteurs. Ces méfaits ont été commis, à notreconnaissance, aux casiers du parc Henri Piette ainsiqu’à ceux du parc Parent. La SQ fait enquête.


Les pratiques se sont déroulées les25 et 26 août derniers alors que les

températures frôlaient les 30oC ainsique le 8 septembre sous des pluiesdiluviennes et des vents à décoifferun porc-épic. La Municipalité avaitmis à la disposition du Service desIncendies une maison limitrophe au

parc Henri Piette qu’elle avaitacquise en 2011 pour y ériger éven-tuellement sur ce terrain la nouvellebibliothèque.Trois méthodes de combats d’in-cendie ont été pratiquées en situa-tion réelle : l’attaque rapide avecmoins d’effectifs pour la maîtrisehâtive d’un début d’incendie, lecombat avec localisation et sauve-tage de victimes et enfin l’attaque del’élément destructeur par ventila-tion à pression positive. Durant cesexercices, les pompiers ont égale-

ment eu l’occa-sion d’utiliser lagrenade DSPA(Dry SprinklerPowder Aero-sol), un outilqui peut s’avé-rer très efficaceselon les cir-c o n s t a n c e s .Une vidéo ad’ailleurs ététournée durant

ces exercices pour mieux évaluer leseffets de ce dispositif de combat.Malheureusement, après la fiction,on doit souvent faire face à la réalitéet c’est ce qu’ont dû vivre les pom-piers de Sainte-Anne-des-Lacs le 5septembre dernier, en tout débutd’après-midi, alors qu’ils répon-daient à un appel d’incendie à unerésidence du chemin du Bouton-d’or. L’occupante, une dame octo-

génaire qui vivait seule dans cettemaison, a été trouvée inerte et par-tiellement brûlée à l’intérieur de sademeure et son décès a été constatéà l’hôpital. Selon Sébastien, un voi-sin, les pompiers sont arrivés sur leslieux quelques minutes seulementaprès que le système d’alarme aitété déclenché. Les causes du sinis-tre et du décès sont toujours sousinvestigation.

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De la fiction à la réalité

La Municipalité avait mis à la disposition du Service des Incendies cette maison sur laquelle différentesméthodes de combat ont été pratiqués

Normand LamarcheUne trentaine de sapeurs-pompiers de Sainte-Anne-des-Lacs, de Mille-Îles, un de Saint-Colomban, un autre deSainte-Sophie ainsi qu’un académicien ont été soumis à unentraînement intensif réparti sur trois jours sous la super-vision du directeur du Service de la Sécurité Incendies deSainte-Anne-des-Lacs, M. Alain Charbonneau.

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Intersection chemins Fournel et SADL.

Le futur centre Unimat.

Préposées des Postes en train de changer des serrures.

Vue arrière de la maison de la rue Bouton-d’or dans laquelle une octogénairea péri.

Potiner, ence beau débutd’automne

Photos: Normand Lamarche


ScandinavieDepuis quelques années déjà, lesromans policiers scandinaves ont lacote. Grâce à l’immense succès de lasérie Millénium de Steig Larsson, unbon nombre de romans issus decette région paraissent régulière-ment. Ces récits mettent en scènedes inspecteurs souvent tourmentésqui doivent non seulement affronterun climat difficile, mais qui sontaussi confrontés à de nouveaux pro-blèmes sociaux.Les précurseurs de ce type depolars qui met en lumière les faillesdu système socialiste scandinavesont les Suédois Maj Sjöwall et PerWahlöö. Ils ont conjointement faitparaître dans les années 60-70 dix

récits mettant en scène l’inspecteurMartin Beck. Celui-ci est un êtreplutôt introverti et peu avenant,mais doté d’une très grande sensibi-lité psychologique lui permettantd’élucider les affaires de meurtre quilui sont confiées. Ces romans deprocédure policière sont souventcités comme exemple entre autres àcause de leur intérêt sociologique.

Parmi les auteurs scandinaves quiexcellent dans la création d’intriguespolicières et qui nous font découvrirces contrées nordiques, citons aussiles Suédois Henning Mankell etArne Dahl, l’Islandais ArnaldurIndridason, les Norvégiens JoNesbø et Karin Fossum, le Danois

Jussi Adler-Olsen et le FinlandaisMatti Yrjänä Joensuu.HaïtiDans son romanTonton Clarinette,Nick Stone nousfait découvrirHaïti plongédans le chaos, lapauvreté et la cor-ruption. Il met enscène un détec-tive privé, MaxMingus, engagé pour retrouver unenfant disparu 3 ans auparavant àPort-au-Prince. Accablé par la cha-leur intense enveloppant le pays,consterné par la misère et le désoeu-vrement de certains habitants de lacapitale, dérouté par les croyancesvaudoues qui animent une partie dela population et révolté face à la cor-ruption qui gangrène certainessphères du pouvoir, Mingus pour-suit sa quête souvent au risque de sa

vie. Avec ce roman campé àl’époque de Papa Doc et desTontons Macoutes, Nick Stone, lui-même d’origine haïtienne, nous faitdécouvrir l’histoire, les moeurs et lescroyances de ce pays tout en nousentraînant dans une enquête pour lemoins envoûtante.AllemagneLa trilogie berlinoisede Philip Kerrévoque avec beau-coup de justessel’Allemagne du IIIeReich. Son détec-tive, BernieGunther, un ex-commissaire de la police de Berlin,enfile les enquêtes qui l’emmènent àconstater avec désarroi la corrup-tion, l’hypocrisie et la cruautéhumaine qui marquent la ville àcette époque. Pour ajouter au réa-lisme de ses intrigues, Kerr met aussien scène des personnages histo-riques tels qu’Himmler, Goering etHeydrich.Kerr a par ailleurs publié Unedouce flamme, récit dans lequelBernie Gunther, exilé en Argentinedans les années 50, découvre lesliens entre le gouvernement Perón etles Nazis en tentant de démasquerles auteurs du meurtre d’une jeunefille. Dans ce roman, Kerr posebeaucoup de questions morales et

réussit très bien à intégrer les détailshistoriques à l’intrigue policière.AfriqueIl semblerait que de plus en plusd’auteurs choisissent l’Afriquecomme décor narratif. Des auteurscomme Michael Stanley, AlexanderMcCall-Smith, Malla Nunn, TaylorStevens et Kwei Quartey ont choiside faire évoluer leurs personnagessur ce continent, respectivement auBotswana, en Afrique du Sud, enAfrique Centrale et au Ghana.Deon Meyer est peut-être l’un desplus connus de ces auteurs. Il a déjàpublié 8 polars dont l’action se situeen Afrique du Sud. Les enquêtesqu’il propose servent souvent deprétexte à faire un portrait réalisted’une société qui se remet avecpeine des blessures profondes del’Apartheid. Jusqu’au dernier, sonpremier roman, introduit MatJoubert, capitaine à la brigade duCap, qui doit faire preuve d’unegrande perspicacité pour découvrirun meurtrier qui, pour perpétrer sescrimes, utilise une arme issue de la

guerre des Boers.Ce polar fait décou-vrir aux lecteurs lanouvelle Afrique duSud encore auxprises avec degrandes tensionspolitiques etraciales.

delecture de la bibliothèqueClub

de Sainte-Anne-des-Lacs

L’été tire à sa fin mais quel bel été ! J’espère que tous les citoyens ont pu en profiter.Comme vous pouvez le constater, les travaux de pavage sont terminés, et ce, selonl’échéancier prévu. Le lignage de ces nouveaux chemins sera fait dans les prochainessemaines.

Parlons un peu de l’Île Benoît. L’île, propriété de la municipalité depuis cinq ans par legstestamentaire, deviendra un parc public. Mais pas n’importe quel parc ! Le conseil a décidé,dans le cadre de l'essentielle protection des bandes riveraines, d’en faire un Jardin dedémonstration de régénération de ces bandes. Différents milieux arbustifs, arboricoles etfloraux seront aménagés à partir de plantes indigènes et des panneaux d’interprétationpermettront aux citoyens et visiteurs de se familiariser avec la flore riveraine. Les travauxont débuté en septembre et la deuxième phase sera complétée au printemps 2013.Ce jardin est unique en Amérique du Nord et nous en sommes très fiers.

Lors de la dernière séance, le conseil a formulé son désaccord avec la proposition deredécoupage des districts électoraux fédéraux et mandaté le maire pour faire les représen-tations nécessaires. Historiquement, nous sommes dans la circonscription Laurentides-Labelle avec les autres municipalités de la MRC des Pays-d’en-Haut et de la MRC desLaurentides. La proposition nous détache de notre appartenance naturelle et nousrattache à Saint-Jérôme, Sainte-Sophie et Sainte-Anne-des-Plaines, ce qui est tout à faitcontraire à nos affinités.

D'autre part, en ce qui concerne l’église et le presbytère, le conseil a donné desmandats à un architecte et deux ingénieurs pour procéder à des audits et faire desrelevés et mises en plan. Ces opérations permettront d’avoir une idée très précise de l’étatdes bâtiments et des correctifs à y apporter pour qu’ils respectent les normes actuelles deconstruction. L’an prochain, le conseil fera faire un plan fonctionnel et technique, orientésur la conversion de l’église en centre culturel et communautaire.

Le conseil a également reporté l’adoption d’une nouvelle politique de déneigement deschemins privés. Le rapport commandé à nos vérificateurs externes a cependant été déposéet une rencontre avec les représentants des chemins privés déneigés aura lieu sous peu. Lanouvelle politique sera adoptée en octobre prochain. Il en va de même pour l’adoption durèglement concernant les bandes riveraines qui a été reporté; une rencontre avec les mem-bres du conseil d’administration d’ABVLACS a eu lieu et les discussions se poursuivent.

En terminant, je profite de l’occasion pour remercier l'adjointe à l'urbanisme ChristineValiquette qui nous quittera à la fin du mois; elle a rendu d'excellents services à lacommunauté en faisant preuve d'un grand professionnalisme et nous lui souhaitons tousbonne chance dans sa nouvelle carrière.

L'automne s'installera bientôt et nous souhaitons qu'il le fera tout en splendeur, enlenteur et en couleurs !

Sainte-Anne-des-Lacs, la nature à l'état pur! Claude DucharmeMOT DU MAIRE

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ADMINISTRATIONTROISIÈME VERSEMENT, TAXES MUNICIPALES 2012Un petit mot à titre d’aide-mémoire pour vousrappeler que le dernier versement des taxes del’année 2012 deviendra dû le 3 octobre prochain.

ENVIRONNEMENTSUIVI DES INSTALLATIONS SANITAIRES

Le règlement provincial impose de vidanger votrefosse septique aux quatre ans pour une utilisationsaisonnière (moins de six mois par an) ou aux deuxans pour une utilisation à longueur d’année, indé-pendamment du nombre de résidents ou de lacapacité de la fosse septique. Pour une installationà vidange périodique, la fosse de rétention doit êtrevidangée aux six mois. De plus, tous les pro-priétaires d’un système Écoflo, Bionest, Enviro-septic, Écobox, Écophyltre ou autres doiventêtre liés en tout temps par contrat avec le fabricantdu système.

URBANISMEPISCINES ET SPAS

C’est le temps des corvées automnales ! Certainsd’entre vous procéderont à l’évacuation des eauxde leur piscine creusée, hors-terre ou spa. Ces eauxcontiennent du chlore, lequel pose des problèmesenvironnementaux, d’une part parce qu’il est trèstoxique pour les organismes aquatiques et, d’autrepart, parce qu’il réagit avec la matière organiqueprésente dans l’eau. Le Guide d’exploitation des pis-cines et autres bassins artificiels (MDDEP, 2005,p.38), précise qu’avant d’effectuer une vidangedans le milieu naturel, il est nécessaire de neutra-liser le désinfectant (chlore) présent dans l’eau.Cette «déchloration » peut être faite à l’aide d’unneutralisant de chlore (en vente chez les détaillantsde piscines).

SERVICES MUNICIPAUXLOISIRS, CULTURE ETVIE COMMUNAUTAIREJOURNÉE DE LA CULTURE

Vous trouverez la programmation complète desjournées de la culture de Sainte-Anne-des-Lacs àla page 3 de la brochure de la MRC des Pays-d'en-Haut distribuée récemment par la poste. Laprogrammation commune des municipalités de laMRC avoisinantes vous permettra de vous concoc-ter un petit circuit culturel à votre goût pour cettegrande fin de semaine (28 au 30 septembre).

UNE PREMIÈRE À SAINTE-ANNE-DES-LACS

Concert de Noël de Giorgia Fumanti. Cetteartiste de Sainte-Anne-des-Lacs de calibre interna-tional nous offrira un magnifique concert de Noël,le 15 décembre prochain à 20 heures à l’église. Ellesera accompagnée par le Chœur de jeunes deSaint-Sauveur sous la direction de DesneigesSimard, ainsi que par ses musiciens. Un concert deNoël qui nous enchantera, présenté par unechanteuse à la voix d'or, digne des grandes salleset des amoureux de belle musique ! Les billetsau coût de 35 $ chacun sont en vente auwww.giorgiafumanti.com section « BOUTIQUE »(payables par carte de crédit). On pourra aussi seles procurer au Service des loisirs, 5 chemin desOies (payables par chèque ou en argent comptant)et dans tous les dépanneurs d'ici.OFFRE D’EMPLOI – PATINOIRE

La municipalité recherche un candidat dont la tâcheconsistera à fermer le chalet de la patinoire tous lessoirs en semaine et, la fin de semaine, à en effectuerl’ouverture et la fermeture. Emploi à contrat, du débutde l’ouverture de la patinoire (vers le 15 décembre) à lafermeture (vers le 8 mars) et salaire à discuter. S.v.p. faireparvenir votre CV à l’attention de Mme StéphanieLauzon, au 773, chemin Sainte-Anne-des-Lacs,Sainte-Anne-des-Lacs, Québec, JOR 1BO, par téléco-pieur au 450 224-8672 ou encore par courriel à[email protected].

Des polars qui font voyager

Valérie LépineLes romans policiers, comme les guides de voyage, peuventnous faire découvrir de nouveaux paysages. Les amateursdu genre ne seront pas surpris de cette affirmationpuisqu’ils ont probablement déjà eu beaucoup de plaisir àdécouvrir les petits villages anglais d’Agatha Christie, laVenise de Donna Leon ou la Louisiane de James Lee Burke.C’est entre autres ce lien entre polars et découvertes cultu-relles que les membres du club de lecture ont exploré enaoût dernier.


Ce fut une soirée calme et sansanicroche. Le maire Ducharmeouvre l’assemblée par l’annonce quele bail avec Rogers télécommunica-tion avait été signé et le processus deconsultation publique amorcé. Lamunicipalité a déjà fourni la listedes propriétaires inclus à l’intérieurd’un périmètre équivalent à trois

fois la hauteur de la future tour de87 mètres. Le bail a une durée de5 ans, renouvelable 5 fois pour unepossibilité totale de 30 ans. Le loyerest de 1000$ par mois. En plus,Vidéotron versera 400$ mensuelle-ment et tout autre distributeur quivoudrait se greffer à la tour devraverser une allocation de 500$ parmois. Les loyers seront indexés et lamunicipalité pourra y installer sansfrais ses propres antennes de com-munications. Le maire avoue qu’il y a eu défi-cience dans le rythme des «Samedisdes élus » et il annonce que ceux-cireprendront le samedi 13 octobreprochain de 9 h à 12 h à l’hôtel deville, avis aux intéressés.

Finances et administrationLe redécoupage de la carte électoralefédérale à fait réagir monsieurDucharme. Sainte-Anne-des-Lacsfera dorénavant partie de la nouvellecirconscription «Curé-Labelle » aulieu de celle des « Laurentides » etserait jumelée à Saint-Jérôme,Sainte-Sophie et Sainte-Anne-des-Plaines et d’autres qui n’ont aucuneaffinité avec notre municipalité, dedire le maire. Il entend décrier cettesituation auprès de la MRC et denotre député fédéral Marc AndréMorin.• Il en coûtera près de 10300$ enfrais d’ingénierie de structure, demécanique-électrique et d’architec-ture pour évaluer l’église et le pres-bytère. La municipalité pourra seprévaloir d’une subvention limitée à12 500 $ pour ce projet par l’entre-mise du Fonds de soutien aux terri-toires en difficulté; on vise obtenirles audits pour novembre 2012.Afin de minimiser les frais pourdes conseils juridiques, laMunicipalité aura recours à unefirme de mini-conseils d’avocats aucoût fixe de 800$ par année, nom-bre d’appels illimités.

Travaux publicsLe rapport d’analyse sur le coût dedéneigement et de son financement,préparé par la firme comptableAmyot Gélinas, est déposé. L’étudeconclut « que la méthode actuelleutilisée ne permet pas de financer lecoût de déneigement selon le prin-cipe de la valeur foncière généralepour les services offerts à l’ensembledes citoyens ». Une rencontre avecles propriétaires riverains à un che-min privé s’est tenue jeudi 13 sep-tembre et la Municipalité doit faireune proposition de règlement lorsde la prochaine rencontre.

Le chemin des Petits-Soleils et unepartie des chemins des Pensées et de laPlume-de-feu seront municipalisés.

Loisirs et CultureLa clôture du champ de balles seraremplacée suite à l’obtention d’unesubvention équivalente à 50% ducoût et le parc Parent aura sonmodule de jeu le printemps pro-chain. La maison du 719 cheminSADL, sérieusement endommagéesuite aux pratiques de nos pompiers,sera démolie très bientôt, questionde sécurité.

UrbanismeUne ouverture de poste d’assistantau Service de l’Urbanisme est crééesuite au départ de madameValiquette.

EnvironnementL’adoption du projet de règlement125-21-2012 modifiant la profon-deur de la bande riveraine de 15 à10 mètres est reportée au mois pro-chain, certains conseillers ayantmanifesté leur intention de rencon-trer les membres du conseil d’admi-nistration de l’ABVLacs avant destatuer.

Sécurité publique et incendieC’est la firme Hébert ZuritaArchitectes de St-Jérôme qui fera lesplans et devis de la future caserne.Cette phase est essentielle afin decompléter les demandes de subven-tions nécessaires à la réalisation duprojet.

Questions du publicEn réponse aux questions écrites,monsieur le maire confirme qu’iln’y a pas de sentier traversant le ter-rain loué à Rogers. Les sentiers sontplutôt sur une parcelle de terrainprivé adjacent que la municipalitéva tenter d’acquérir. Oui, il y auraconsultation publique avant l’adop-tion finale du PU et PPU versionfinale, mais cela ne se fera pas avantle début de 2013, question de révi-ser la réglementation en consé-quence. Un citoyen demande si,dans le réaménagement de l’îleBenoît, il y aura un accès prévu pourla baignade. Le maire de répondrequ’il n’y a pas de plage autour del’île, que c’est seulement du roc etque si la municipalité devait un jouroffrir la possibilité de baignade, lesite devra être sécuritaire et surveillé.En réponse à une autre question, lecoût moyen du remplacement decinq bornes de prise d’eau installéesdans quelques lacs a été de 6234$par borne.

Normand Lamarche

Séance du Conseil municipal du 10 septembre2012

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«C’est le début d’une périodetrouble », affirme dans un entretientéléphonique l’agent de communi-cation de l’Alliance de la fonctionpublique du Canada au Québec(AFPC-Québec) Patrick Leblanc.La perte de plusieurs emplois qu’ilqualifie de «qualité » affectera le ser-vice offert au citoyen par les agencesfédérales. Selon lui, vingt personnesqui s’occupaient d’entrer électroni-quement les demandes financièresdans le cadre du programme del’Assurance-Emploi à Boucherville,en Montérégie, perdront leuremploi, et ce, dans un effort dit derationalisation des effectifs. Même sitous ces documents « se retrouventsur Internet », M. Leblanc indiqueque plusieurs citoyens n’ont plusaccès à ces ressources et qu’ils serontles premiers pénalisés par ces cou-pures. Ceci est d’autant plus difficileà empêcher, puisque selon M.Leblanc les annonces de «dernièresminutes » couplées avec les « portesfermées » de l’employeur rendentdifficile, voire impossible, toutenégociation visant à amoindrir leseffets des coupures budgétaires surles employés. Rappelons que l’im-pact décrit ici contraste avec la posi-tion officielle du gouvernement.Selon le plan d’action économiquedu Canada de 2012, la « distribu-tion régionale des emplois du ser-vice public sera largement épargnée

par l’implantation des programmesde réduction des dépenses ».

Services affectésLes compressions budgétaires ontbel et bien des répercussions dans larégion. Chez certains fonctionnairesde l’État, ce n’est pas tant la perte deleur emploi qu’ils dénoncent, quel’absence de communication quesubiront les citoyens après la vaguedes changements d’effectifs. D’aprèsnotre enquête, 350 organismes de larégion des Laurentides ont accès auxsubventions offertes par le gouver-nement fédéral. Une situation quirisque de changer puisque des orga-nismes qui ont accès à un pro-gramme comme Emploi d’étéCanada devront utiliser unique-ment les ressources en ligne du gou-vernement fédéral pour être éligiblesaux subventions de l’État.Logiquement, en cas de difficulté,un organisme pourrait se tournervers les lignes téléphoniques deServices Canada. Toutefois, alorsque le service en ligne et ServicesCanada s’inscrivent dans cettevolonté du gouvernement de stan-dardiser le service offert au citoyen,les services téléphoniques ont déjàde la difficulté à soutenir lademande. Selon l’agent de commu-nication d’AFPC-Québec, septappels téléphoniques sur dix ne sontpas traités. Une tendance qui « s’ac-

centue » depuis 2007, affirme M.Leblanc.

Rôle du syndicatLa compression des postes au seinde la fonction publique a naturelle-ment incité des membres à commu-niquer avec leur syndicat, afin deconnaître leur stratégie dans ce dos-sier. Un manque d’information estégalement présent chez les employéstouchés par les compressions budgé-taires puisqu’une source au sein duministère des Ressources humainesrapporte qu’aucun communiquéinterne n’est parvenu à son atten-tion en ce qui a trait aux événementsorganisés par l’Alliance. Au niveaunational, l’AFPC-Québec a crééplusieurs événements pour sensibili-ser les citoyens sur les compressionsbudgétaires, dont la campagne enligne harpernousdeteste.ca. En répon-dant aux questions du Journal,M. Leblanc indique qu’en raison dunombre important de locaux auxQuébec, l’information sur les activi-tés de sensibilisation peut se perdre,ce qui fait en sorte que des membrespeuvent ne pas être informés desdémarches du syndicat. «Nousavons une structure complexe, jel’avoue ». Toutefois, il indique quedes efforts ont été entrepris pourformer les représentants syndicauxlocaux aux règles associées au redé-ploiement des effectifs, un termeutilisé dans les conventions collec-tives pour désigner les transferts depostes. Selon la convention collec-tive (Services des programmes et del’administration) qui s’applique auxemployés de la fonction publique,l’employeur peut proposer une offred’emploi raisonnable aux employéstouchés par les compressions. Notre

enquête a permis d’identifier qu’uncritère de distance a été émis parl’employeur, ce qui fait en sorte quecertains employés de la région n’au-ront pas la possibilité de solliciterun poste similaire. Questionné surla stratégie qu’envisageait l’AFPC-Québec envers l’employeur, M.Leblanc a affirmé que le syndicatferait « de son mieux » pour queleurs membres subissent le «moinsd’impact possible ».

Un portrait ambigu descompressionsL’absence d’information relativeaux postes affectés par les coupuresbudgétaires est encore flagrante, etce, plus de deux mois après l’adop-tion du projet de loi C-38. Seulesdes lettres d’avertissements envoyésaux employés touchés par les chan-gements d’effectifs donnent uneidée des compressions budgétairesau niveau du Québec. Une compila-tion de ces lettres effectuée parl’AFPC-Québec indique que sur les1990 postes touchés au Québec,près de la moitié seront situés à l’ex-térieur de Montréal et de Québec.Cependant, cette compilation n’in-dique pas les ministères touchés, cequi rend difficile d’identifier les ser-vices qui seront les plus affectés.pour le Canada, un article duDevoir énonçait que 2055 employésdu ministère des Ressourceshumaines avaient reçu cette lettre,ce qui en terme absolu est le minis-tère le plus touché par les compres-sions budgétaires. Aucune mentionde postes touchés par les compres-sions budgétaires sur les sites inter-net du ministère des Ressourceshumaines et du Conseil du Trésorn’a été trouvée, selon une vérifica-tion effectuée par le Journal.


Pierre Dionne Labelle�)�$#)��%�*!��$� �!�

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Me Paul Germainnotaire et conseillerjuridique

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Comment séparer mon patri-moine personnel de mon actifd’entreprise? Les travailleurs au-tonomes n'ont pas le choix : ilsdoivent se protéger.De nombreux travailleurs auto-

nomes et propriétaires de PME dePrévost, Saint-Sauveur et Saint-Jérôme ont de la difficulté à dis-tinguer les biens de leurentreprise de ceux qui leur appar-tiennent personnellement et quifont peut-être partie du patri-moine familial.Plusieurs fondateurs de sociétés

aujourd'hui florissantes dans la ré-gion des Laurentides racontentcomment ils ont hypothéqué leurpropre maison pour financer, àleurs débuts en affaires, leur déve-loppement commercial ou indus-triel. Certains vont même jusqu'àoffrir leur REER et celui de leurconjoint en garantie auprès de leurbanquier. Et ces personnes sontsouvent des gens âgés de plus de40 ans qui ont amassé laborieuse-ment leur pécule au fil des années.Danger en cas de difficultés finan-cièresNous tenons à avertir ces travail-leurs autonomes que ces chasses-croisés entre leurs différentspatrimoines les rendent extrême-ment vulnérables en cas de diffi-cultés financières, d'un accident,de maladie ou encore de pour-suite en responsabilité profes-sionnelle. Si la perte d'unimportant contrat entraîne delourdes conséquences sur le planpersonnel ou que le divorce duprésident affecte ses collabora-teurs, il y a matière à s'interrogersérieusement.Mesures à prendreUn certain nombre de mesurespeuvent vous être suggérées parvotre notaire pour séparer votrepatrimoine personnel de votreactif d'entreprise: Société par ac-tions (compagnie), fiducie, trans-fert au conjoint, etc.En tant que notaire, je peux

vous proposer deux autres me-sures clés : la rédaction d'un tes-tament qui constitue la démarchela plus structurée pour transmet-tre son patrimoine et celui de sonentreprise, tout en réduisant l'im-pôt payable au décès, et le man-dat en cas d'inaptitude quiprévoit le scénario qui prévaudraau sein de l'entreprise dansl'éventualité d'une dégradationmajeure de votre état de santé.Au cours des dernières décennies,

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Compressions de postes au gouvernement fédéralRéduction de services en région

Jean-Reno Chéreau

L’effet des coupures budgétaires commencera à se fairesentir sur les services fournis par la fonction publiquefédérale en région. C’est à partir du mois de septembreque plus de 80 postes répartis dans les Laurentides,Lanaudière et l’Abitibi-Témiscamingue seront touchés parles compressions financières découlant de la loi C-38,selon un document émis par l’AFPC-Québec.

Course deboîtes à savon

Le Club Optimiste de laVallée de Saint-Sauveur a tenuson 6e Grand Prix de Boîtes àSavon le 9 septembre derniersur la rue Viviane. Les enfantsagés entre 7 et 13 ans étaientinvités à s’inscrire. Les bolidesétaient fournis par le club et lajournée prévoyait un dînerpour les participants.

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Cette petite fête qui invitait les familles à se costumerpour l’occasion, n’était pas sans rappeler la fête desEnfants qui se tenait annuellement à la fin de l’été auClub de loisirs du lac Écho.Les diverses activités proposées sous forme de petitescompétitions, les costumes et le soleil qui était de lapartie, le samedi 18 août, ont permis aux familles des’amuser à la plage de ce club de loisirs privé, quiouvrait ses portes aux non membres pour l’occasion.Pour vous informer sur le Club de loisirs du lac Écho,contactez le 450-224-7090.


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Jeunes et moins jeunes ont aiméles jeux gonflables, les trampolinesavec élastiques et la cantine roulantedes marchés Piché.Il y a eu des activités pour tous lesâges : jeux gonflables pour tout-petits, pour jeunes et pour adoles-cents. Les parents, quant à eux, ont

profité de l’occasion pour se rassem-bler et discuter. Le maire, quelques conseillers etdéputés ont également participé aurassemblement qui a envahi le ter-rain de la gare le samedi 18 août der-nier. Monsieur le maire, GermainRicher, nous a confié qu’il était fortheureux du succès de cette journée.

Le clown, un contemporain deSol, a fait rire petits et grands avecses blagues : son grand nez rouge estapparu après s’être fait souvent fer-mer la porte au nez ! De même, leventriloque et son compère ontbeaucoup intrigué les visiteurs; alorsque le peintre et sa plume chatouil-leuse ont fait germer les sourires.

Fête de la famille

Une journée rassembleuse

Une refonte de la fêtedes enfants d’antan

Épluchette au Club de loisirs du lac Écho

La fête de la famille de Prévost est toujours un évènement rassembleur. Cette année, les nombreux jeuxgonflables, mais surtout les trampolines avec élastiques permettant des sauts incroyables, ont fait fureurauprès des jeunes. L’animation des clowns, ventriloques et mascottes ont ravi les jeunes et moins jeunes.

Photo: Aude Provost

Photo: Aude Provost

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Les diverses épreuves organisées lors de cette journée portes ouvertes au Club de Loisirs du lac Écho ont permis aux enfants du quartier de s’amuser et de porter leurs plus beaux costumes.


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Pour l’occasion, les professeurssont venus présenter eux-mêmesleur cours, et répondre aux ques-tions des futurs étudiants.L’ambiance était à l’interaction, auxéchanges et à la plaisanterie. Par

exemple, la professeure d’espagnolMarie-André Langevin nous a pré-senté son cours en mentionnantl’utilité d’apprendre une secondeou une troisième langue : « l’ap-prentissage des langues repousse

l’Alzheimer. » Madame Langevinmentionnait également l’utilisationde la rigolothérapie dans ses coursafin d’aider à l’apprentissage.Il y a ainsi plusieurs avantages àprendre des cours à l’Université dutroisième âge, pour la santé, pourl’humeur, mais à fortiriori pour ladiversité des cours offerts tels que lagestion des photographies numé-riques, l’histoire, la géopolitiques, lalittérature, la langues et d’autresencore. De plus, ces cours sontaccessibles dans les Laurentides.Pour vous renseigner sur la pro-grammation ou pour vous inscrire,vous pouvez visiter le site internet :www.usherbrooke.ca/uta/prog/lauren-tides/hlt ou contactez Serge Meunierau 450-227-6727 entre 9 h et 17 h.

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Des producteurs locauxproposaient aux visiteursdivers produits, tels quemiel, fruits et légumes,alcool de cassis, produitsde l’érable, produits gastro-nomiques, produits boulan-gers; la diversité étaitimpressionnante. L’avant-dernier d’une série de cinqdimanches qui se terminait le 9 sep-tembre, l’éco-marché permis auxgens de goûter aux produits et de lesreconnaître lorsqu’ils font leursachats », explique la dame qui s’oc-cupe du kiosque des produits gastro-nomiques. En plus de donner unaccès plus facile aux produits locauxet d’offrir une diversité de produits,tels les patates rates, les roudinis oules petsons cultivés par LauraineNadon.Ce marché permet aux visiteurs dedécouvrir de nouveaux aliments et

de s’approvisionner de leurs pro-duits préférés. La plupart des expo-sants sont certifiés biologiques, maisceux qui ne le sont pas proposentdes produits locaux de qualité. Carcomme nous l’ont expliqué plu-sieurs producteurs, les coûts et exi-gences nécessaires à la certificationbiologique sont très difficiles àatteindre.

Les exposants nous ont expliquéqu’ils appréciaient particulièrementrencontrer les visiteurs et discuteravec eux. Ce qui leur permet notam-ment de savoir quels produits plai-sent plus ou moins et pourquoi. Parexemple, monsieur Francis Senécalest producteur d’olives Kalamatafarcies. Il nous a expliqué que cer-taines de ses variétés pourraient trèsbien être retirées du marché sanstrop de problèmes. Par contre, sesolives farcies au chorizo, s’il lesretire, il se fera « crucifier sur la placepublique» précise-t-il.


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Les divers produits proposés aux passants ont alimenté les garde-mangers piedmontais en produits frais et gastronomiques, au bonheur de tout un chacun.

Aude Provost

Le lancement de la programmation d’automne del’Université du troisième âge, antenne de l’Université deSherbrooke, a attiré une cinquantaine de personnes à lagare de Piedmont le 6 septembre dernier.

Pour les commerçants, c’est une occasion de se faire connaître, alors que pour les clients, c’est un foired’idées gourmandes.

Photo: Aude Provost

Photo: Aude Provost

Photo: Aude Provost

Les inscriptions allaient bon train à la gare de Piedmont, alors que les étudiants clarifiaient les der-niers détails pour leur inscrpition.


Avant l’acception de l’ordre dujour, modification de le point 17 quise lira comme suit : Résolution pourautoriser la directrice des finances àaffecter 50000$ et non 35000$ dusurplus libre pour effectuer les tra-vaux suivants, chemins de laMontagne et des Hauteurs, et30000$ au lieu de 15000$ pour desabris de boîte aux lettres.

Courrier expressTV Cogeco fait une demande auxmunicipalités de la MRC des pays-d’en-Haut pour la visibilité de l’émis-sion «Le rendez-vous desLaurentiens ». Piedmont a répondupositivement en octroyant la contri-bution demandée de 300$.Accusée réception d’une lettre demonsieur Jean Guimond envoyée auComité régional pour la protectiondes falaises pour l’utilisation de sonlot 2313440 comme chemin de tra-verse pour le transfert d’une vieillevoiture d’un terrain voisin. Lettre du capitaine PaulCharbonneau de la SQ des Pays-d’en-Haut, nous avisant que l’agent

Julie Leduc a été nommée marrainede la municipalité de Piedmont.Demande de subvention du Centred'aide personnes traumatisées crâ-niennes et handicapées physiquesLaurentides.

Mot du directeur généralLe directeur général, GilbertAubin, affirme que la santé financièrede Piedmont est excellente.Il croit aussi qu’il est faux de pré-tendre que les droits de mutationimmobilière, versés à la municipalitépour les constructions nouvelles,sont la raison des surplus financiers,il représente à peine 300000$ sur unbudget de 6000000$. D’après M.Aubin, la volonté du nouveau gou-vernement québécois d’imposerdavantage le gain en capital peutavoir un effet négatif sur le dévelop-pement immobilier dans lesLaurentides.M. Aubin s’est prononcé sur lemémoire de monsieur ClaudeDuchesne d’Alma / Lac Saint-Jeanprésenté en commission parlemen-taire à Québec sur l’évaluation muni-cipale, qui permettrait aux municipa-

lités d’octroyer un crédit de taxe pourceux qui auraient à subir une aug-mentation de taxe résidentielle exces-sive de l’ordre de 40% par exemplealors que la médiane est de 10%.Cela est le lot de personnes retraitéesdont le revenu est stable et qui sou-vent ne peuvent faire face à ces aug-mentations et se voient forcées devendre. D’après le directeur général,la municipalité de Piedmont estcontre, en fonction d’un principed’équité pour l’ensemble des contri-buables, car à la disposition de la pro-priété ou à la vente de la propriété, cecrédit pour taxe ne serait pas rem-boursable, donc ce manque à gagnerdevrait être compensé par un trans-fert sur l’ensemble des contribuables.

Règlement no 803-02-12D’après cette modification aurèglement 803-11 sur la tarificationpour l’utilisation d’un bien ou d’unservice de la municipalité et selonl’un des 13 articles présentés(www.municipalite.piedmont.qc.ca/upload/document/803-02-12.pdf), il encoûtera pour un raccordement-aque-duc, 2500$ et 3000$ pour un aque-duc-égout (entrée à construire). Sil’on constate la présence de roc, lescoûts seront majorés en consé-quence. Il peut être intéressant denoter que l’article fait aussi mentiondes coûts reliés aux certificats d’auto-risation et aux permis de construc-tion.

EntrefiletNomination de Guylain Forgetcomme directeur adjoint des travaux

publics, de Sylvio Beauséjour respon-sable de l’entretien des bâtiments etde Stéphane Poulin coordonnateur àl’entretien hivernal.Suite à une demande des proprié-taires de condo du voisinage, la villemandate l’équipe Laurence pourfaire une étude et colliger les donnéesafin d’obtenir un certificat d’autori-sation du MAMROT (ministère desAffaires municipales des Régions etde l’Occupation du Territoire) pourla construction d’une passerelle pié-tonnière entre le chemin Cormier etle chemin de la Promenade; le toutpour la somme de 4 350 $ plus taxes.Résolution pour autoriser le direc-teur général à signer un contrat avecBell Canada pour une location d’es-pace relié au service de la tour decommunication à la station de pom-page chemin du Cap pour 5000$par année pendant 10 ans.Un premier salon des métiers estprévu pour le 17 et 18 novembre, onprévoit 14 kiosques à la salle polyva-lente de la gare, l’échevin Marie-France Allard a indiqué que c’est unbon moment pour commencer sonmagasinage du temps des fêtes.

Les journées de la culture se dérou-leront les 29 et 30 septembre à lagare, le samedi sera réservé auxadultes et le dimanche aux enfants.C’est l’entreprise Arc-en-ciel quiaura le contrat d’entretien pour lebureau et la cafétéria au garage muni-cipal pour un an au prix de 280$ parmois.Résolution pour le renouvellementde l’adhésion de la municipalité àTourisme Laurentides.Les états financiers au 31 août 2012indiquent des revenus 5933500$,des dépenses de 3437299$ et unsolde de 2496201$

Question du publicLouise Guertin demande au maireCardin où on en est avec le projet deremplacement de l’aqueduc de laCorniche, le maire a répondu que leministère a refusé la demande de sub-vention tant que la municipalitén’aura pas utilisé les fonds du pro-gramme de la taxe d’accises surl’essence au montant de 798000$ et ilveut faire les travaux avant décembre2013 pour ne pas perdre la subven-tion, aucune autre option n’est envisa-gée pour réduire le coût aux citoyens.

Assemblée du Conseil de Piedmont du lundi 6 août, à20 h, présidée par le maire Clément Cardin.

Pour des conseilsd'experts,Luc Lambert etMichel Monette,nos spécialistesà votre service.

50 ans de service cette année !

À mettre à votre agenda

Aménagement de la carrière Charbonneau

Séance d'information au cours de laquelle des proposi-tions seront exposées sur l'aménagement de l'anciennecarrière Charbonneau, une visite des lieux est prévue. –Samedi 22 septembre 2012, à 9 h 30, à l’Hôtel de Ville.

Nos deux activitésestivales ont eu un franc succès. Desmembres ont visité quatre jardinsdans Lanaudière sous un soleilradieux. Notre concert champêtrefut très apprécié par près de deuxcents personnes qui ont eu le plaisird’écouter de la douce musique dansun jardin magnifique. Merci à noscollaborateurs et surtout à nos hôtes,

Claire et Norman qui ont été d’unegénérosité et d’une gentillesse excep-tionnelle.La Société d’horticulture et d’écolo-gie de Prévost vous invite à venir assis-ter à la première conférence de la sai-son 2012-2013 qui aura lieu le mer-credi 26 septembre. Pour inaugurernotre nouvelle saison, nous aurons leplaisir de recevoir notre conférencier

chouchou, monsieur Daniel Fortin,ethnobotaniste et auteur. Nos mem-bres réguliers le connaissent bien etl’apprécient pour l’étendue de sesconnaissances horticoles, pour sestalents de vulgarisateur et pour labeauté de ses photos. Pour cette rencontre, nous luiavons demandé une conférence surmesure en présentant les tâches sai-sonnières et récurantes pour l’entre-tien d’un jardin. Cette rencontreinteractive permettra à l’assistance

de demander des précisions sur desproblématiques particulières.Monsieur Fortin nous présenterales grandes lignes de travaux à effec-tuer dans nos jardins l’automne, leprintemps et l’été. Chaque présenta-tion sera suivie d’une période dequestions sur nos problématiquesparticulières. Quelle est la meilleurepériode pour diviser les vivaces ?Pour tailler les arbustes? Pour mettreen terre les bulbes de printemps oud’été ? Pour enrichir les plates-bandes, etc. Je suis assurée que

Monsieur Fortin trouvera la réponsejuste à chacun de vos questionne-ments.Notre conférence aura lieu le mer-credi 26 septembre, à 19 h 15, à lasalle de spectacle de l’église Saint-François-Xavier, au 994, ruePrincipale, à Prévost. Nos confé-rences sont ouvertes à tous, que voussoyez membres ou non. Nous vousattendons en grand nombre.Notre programmation complètepour l’année 2012-2013 est disponi-ble sur notre site: www.shep.qc.com

Dans un premier temps, pensons àbouturer les plantes que nous désironsconserver pour la saison prochaine(géranium, coléus, impatiente) et àdiviser nos vivaces devenues tropgrosses. Elles auront le temps de s’en-raciner avant les premiers gels.Savez-vous que l’automne est uneexcellente période pour transplanterles vivaces et les arbustes? Les plantesprofitent d’un soleil moins intense etne sont pas soumises à des périodes desécheresse. Elles s’enracineront douce-ment et seront toutes pimpantes pourla saison estivale. De plus, les centresde jardinage offrent des rabais impor-tants de fin de saison, profitez-en!Vous pouvez aussi prendre del’avance sur vos semis d’annuelles rus-tiques : alysse, centaurée, cléone,coquelicot, coréopsis, euphorbe pana-chée, pavot somnifère, gaillardeannuelle, souci, tournesol, gypsophile,lin annuel, pourpier et j’en passe. Ence qui concerne les semences devivaces, allez-y gaiement, car àquelques exceptions près ( hibiscus,

phlox des jardins, pulmonaire etrenouée pour ne nommer que celles-là) vous pouvez les semer à l’automne.En agissant ainsi on respecte davan-tage les cycles de la nature, car c’est àl’automne que les plantes livrent leurssemences pour continuer le cycle de lavie. N’oubliez pas non plus que vouspouvez ramasser les semences de vosfleurs préférées pour les planter dansune autre partie du jardin ou encorepour les partager avec des amis.Plantez aussi les bulbes à floraisonprintanière : tulipes, jonquilles, nar-cisses, jacinthes, fritillaires et alliums.N’oubliez pas d’ajouter quelques cro-cus et perce-neige dont la floraisonhâtive nous enchante à tout coup.Il n’est pas nécessaire de faire legrand nettoyage des platebandes.Débarrassez-vous seulement du feuil-lage malade et attendez au printempspour rabattre les plants au sol. Ilsseront ainsi mieux protégés du froid etla majeure partie de la plante compos-tera durant la saison froide. Vous pour-rez par la suite laisser ce qu’il en reste

(en tout ou en partie) au pied de celle-ci, car ces résidus font office de com-post fertilisant. Vous n’avez plus qu’àcouvrir de paillis et le tour est joué.Si cela est possible, il est préférabled’acclimater vos plantes d’intérieursur une période de 7 à 10 jours avantde les rentrer définitivement à l’inté-rieur, vous réduisez ainsi le stress de laréadaptation. Il faut vérifier sous lesfeuilles et le long des tiges si elles nesont pas les hôtes de petits insectesindésirables. Si c’est le cas, un bon jetd’eau, avant de remiser les boyauxd’arrosage, devrait faire l’affaire.Et s’il vous reste quelques plants detomates non mûres, il existe plusieursvieilles recettes pour faire rougir cesdernières : les envelopper individuel-

lement dans du papier journal; lesentreposer dans une boîte de soulier àla noirceur; arracher les plants et lessuspendre tête en bas dans une remiseou un grenier à la chaleur ou encoreles mettre sur le rebord d’une fenêtreensoleillée… mais les résultats restentdiscutables. La meilleure méthode estsans contredit de déposer une bâcheperforée qui laisse passer la lumièretout en protégeant du froid, égale-ment très efficace pour accélérer le

mûrissement des poivrons et despiments. Si vos plants sont en pots etque vous avez le privilège de posséderun solarium ou une petite serre, trans-portez-y vos pots dès que les tempéra-tures se maintiennent sous 10 0 C.Sinon, il vous reste toujours l’optionde transformer ces belles grossestomates vertes en excellent ketchup ouconfiture… et là les bonnes vieillesrecettes de nos grand-mères prennenttoute leur valeur.


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SOCIÉTÉS D’HORTICULTURE ET D’ÉCOLOGIE

Piedmont poursuit ses efforts pourembellir et surtout fleurir les rues dela municipalité avec, pour unedeuxième année, son concoursMaisons fleuries. Un comité com-posé de bénévoles passionnés defleurs et d'aménagement paysager achoisi les gagnants dans quatre caté-gories : « résidentielle unifamiliale »,« résidentielle multi-logement »,« commerciale » ainsi que pour lacatégorie «mention spéciale » pourlaquelle les résidents devaient s'ins-

crire. Les lauréats seront dévoiléslors de cette rencontre de la Sociétéd'horticulture et d'écologie duGrand Jardin.L’événement se tiendra mardi 25septembre, à 19 h 30 à la salle poly-valente de la gare de Piedmont, au146, chemin de la Gare, Piedmont.Gratuit pour les membres d'unesociété d'horticulture et d'écologiedu Québec, 5$ pour les non-mem-bres. Pour information : [email protected]

PrévostTâches au jardin à chaque saison

Sainte-Anne-des-Lacs

L’automne au jardin

Piedmont

La qualité de l’eau

Doris Harrisson

Mi-septembre, les journées raccourcissent et le fond del’air se rafraîchit peu à peu. C’est le temps de préparer nosjardins à passer l’hiver.

SOCIÉTÉD'HORTICULTUREET D'ÉCOLOGIE DU

GRAND JARDIN

VERT

La Société d'horticulture et d'écologie du Grand Jardinvert vous invite à sa prochaine conférence sur la qualité del'eau dans notre région. Elle sera donnée par MathieuMadison, agent de projets à L'Abrinord.

Céline Lamarche

Quel bel été de rêve! De la chaleur et desfleurs à profusion!

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Prévost dans ta caméra

C’est avec plaisir que leCiné-Club de Prévost invitetous ses membres à la soi-rée spéciale de projectiondu projet «Prévost dans tacaméra», qui aura lieu le 20septembre prochain.

Au cours de l'été, sept jeunes dePrévost, Cédric Claveau, EstévanDrouin, Maggie Deneault, JérémieLajoie, François-Xavier Alarie,

Daphné Germain et JulieDandurand, ont participé à uncamp d’une durée de trois semainesqui leur a permis d’apprendre denombreuses notions autour desmondes du cinéma et du journa-lisme. Ils se sont familiarisés avecl’utilisation d’une caméra vidéo etont réalisé leur propre reportage detrois minutes chacun. La protectiondes falaises, la survie des antiquaires,la vie des aînés, la gare de Prévost,l’histoire du lac Renaud et la pra-

tique du soccer sont quelques unsdes sujets qui les ont inspirés.Nous profiterons donc de la soiréedu 20 septembre dès 19h, pourvous présenter le résultat de leur tra-vail à l’église St-François-Xavier,994 rue Principale, Prévost.

Trente tableaux de PauleBaillargeon à Prévost!

« Toutes les vies méritent d’êtreracontées, transfigurées par le souve-nir, la mienne autant qu’une autre »,raconte Paule Baillargeon en ouver-ture de son long métrage Trentetableaux. Gagnante du Prix Jutra-Hommage 2012, l’existence de cettecomédienne, scénariste et réalisa-trice mérite certainement qu’on yprête attention. Elle a fait partie despremières femmes cinéastes duQuébec, aux côtés de Léa Pool etd’Anne-Claire Poirier. Femme enga-gée, féministe et souverainiste, elle amarqué le milieu artistique par sontalent, sa fougue et son tempéra-ment intense et passionné.Dans son film, nous la retrouvonsà 37 ans, puis à 11 ans, puis à 65 anset sommes témoins des grandesscènes de son existence, de sa luttecontre la dépression, de son enfancesans dessins, des grands paysages de

son Abitibi natal, de sa fille Blancheet de sa relation fusionnelle et spiri-tuelle avec son chien, Watam.Lors de la projection de Trentetableaux qui a lieu le vendredi28 septembre à 19 h 30 (994, ruePrincipale, Prévost), à l’Église Saint-François-Xavier, le Ciné-Club dePrévost accueille la productrice dufilm Colette Loumède de l’ONF. Laréalisatrice Paule Baillargeon se dittrès peinée de ne pouvoir être desnôtres, compte tenu d’un nouvelengagement théâtral auquel elle nepeut se soustraire. La projection serasuivie d’échanges avec l’invitée etgageons que suite à ce merveilleuxfilm, les discussions seront animées !Le film s’inscrit également dans laprogrammation des Journées de laculture de Prévost. Le coût d’entréepour cette projection est une simplecontribution volontaire.

En octobre, soiréeCOURTS MÉTRAGESMathieu Leblanc

Au Québec, le courtmétrage est bien méconnupar le public de masse. Onpeut même comparer cegenre filmique avec la pou-tine, qui est un met quasi-extraterrestre chez lesSénégalais !

Pas facile non plus pour le réalisa-teur de créer un univers en seule-ment 5 ou 20 minutes et de s'yplonger tête première. Le publicconsomme généralement du longmétrage qui est beaucoup plusimmersif et accessible, voyant lecourt métrage comme une carte devisite ou un démonstrateur visuelafin d'annoncer son savoir-fairecinématographique et ainsi appâter

les producteurs pour un futur longmétrage. Le court métrage est aussila bête noire du financement, carson approche anti-commerciale nelui permet pas de favoriser le box-office, qui prend de plus en plusd'importance dans le décor québé-cois il n'est présenté que dansquelques salles obscures des festivalsaffiliés au genre. De plus dans noscinémas, trop rares sont les occa-sions de projeter «les courts» enavant-première de films commer-ciaux. Par contre, soulignons que lecinéma du Carrefour du Nord a eula bonté de le faire dans sa présenta-tion Ciné-répertoire : un beau gestepour la relève.Pourtant le court métrage nouspermet de visionner plusieurs petitsfilms en peu de temps et de créer dumême coup une véritable diversitéde genres et d’opinions. Ces filmsnous sortent de notre confort ciné-matographique déjà préétabli par lagrosse machine hollywoodienne etnous offrent un tout autre point devue sur l'univers filmique.Les cinéastes seront présents etvous expliqueront avec passion leurdémarche et leur parcours. La soiréeest réalisée en collaboration avec leFestival du court métrage de Saint-Sauveur (FISS). Bref, pour tousceux et celles qui sont enclins à vou-loir découvrir les courtes produc-tions des cinéastes émergents desLaurentides, le Ciné-Club vousconvie à sa soirée COURTSMÉTRAGES, le vendredi 12 octo-bre prochain, à 19 h 30, à l’égliseSaint-François Xavier de Prévost.

Pour plus d’information concernant la pro-grammation du Ciné-Club de Prévost, consul-tez le site www.cineclubprevost.com ou devenezmembre du groupe sur Facebook. Contact : 450224-5793

Encore plus pour septembre et octobre www. cineclubprevost. com


À TOUTES LES PERSONNES INTÉRESSÉES

DÉPÔT DU RÔLE D'ÉVALUATION FONCIÈRE(RÔLE TRIENNAL 2013-2014-2015)

AVIS PUBLIC

PRENEZ AVIS que le rôle d'évaluation triennal 2013-2014-2015 a été déposéle 12 septembre 2012 et que toute personne peut en prendre connaissanceà la Place de la Mairie, située au 2870, boulevard du Curé-Labelle à Prévost,pendant les heures régulières de bureau soit :

- du lundi au vendredi de 8 h 30 à 12 h 00 et de 13 h 00 à 16 h 30.

Toute personne ayant un intérêt à contester l'exactitude, la présence oul'absence d'une inscription au rôle d'évaluation, dont elle-même ou une autrepersonne est propriétaire, peut déposer une demande de révision à ce sujetauprès de la Municipalité régionale de comté de la Rivière-du-Nord,située au 161, rue de la Gare, bureau 200, Saint-Jérôme (Québec) J7Z 2B9,tél. (450) 436 9321.

Cette demande doit être déposée avant le 1er mai 2013 et être effectuéesur la formule prescrite par la règlementation, à défaut de quoi elle estréputée ne pas avoir été déposée.

DONNÉ À PRÉVOST, CE 20E JOUR DU MOIS DE SEPTEMBRE DE L’AN DEUXMILLE DOUZE (2012).

Me Laurent Laberge, avocat Greffier

ENTRÉE EN VIGUEUR

AVIS PUBLIC

Lors de la séance ordinaire du conseil tenue le 9 juillet 2012, le conseilmunicipal a adopté le règlement suivant :

• Règlement 607-2 «Règlement amendant le règlement sur les plansd’implantation et d’intégration architecturale (Assujettissement de la zoneH-275) »;

Ce règlement est entré en vigueur le 29 août 2012, après avoir reçu l’appro-bation de la municipalité régionale de comté de la Rivière-du-Nord, en vertud’un certificat de conformité, tel que prévu par la Loi sur l’aménagement etl’urbanisme et peut être consulté à la mairie de Prévost, sise au 2870,boulevard du Curé-Labelle, durant les heures de bureau.

DONNÉ À PRÉVOST, CE 20E JOUR DU MOIS DE SEPTEMBRE DEUX MILLEDOUZE (2012).

Me Laurent Laberge, avocat Greffier

Gare de Piedmont

Benoit GuérinUn train entre en gare à Piedmont, probablement dans les années 1930. Merci à Donald Labelle pour les informa-tions sur l’hôtel Bellevue. Carte postale originale : Collection personnelle de Benoit Guérin

Paule Baillargeon

Par Odette MorinPlacez dans la grille la première lettre de la réponse de chaque énigme.Vous obtiendrez ainsi le mot ou le nom recherché.1 – Petite étendue d’eau stagnante.2 – Larve des amphibiens.3 – Point d’eau dans le désert.4 – Montréal en est une.5 – On l’appelle parfois « demoiselle ».6 – Sa femelle donne le caviar.Mot (ou nom) recherché: Il y en a une que l’on ne voit qu’en plein jour.

1 – Sa langue désigne une personne médisante. 2 – Rue ou situation sans issue.3 – Saule connu pour sa flexibilité. 4 – Mouche à feu. 5 – Le canal de Panama en relie deux.6 – Blanche, elle n’est pas de tout repos.Mot (ou nom) recherché: Il a besoin de crins.

Solution page 32

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En attendant, comme une récolte,nous recevons les toiles d’une artistequi depuis plus de quinze déjàenseigne la peinture. Nous recevonsactuellement la gagnante du choixdu public du Symposium de pein-ture 2012, Linda Desroches. Vouspourrez voir ses toiles à la galerie dela gare jusqu’au 26 septembre. Desoeuvres vivantes et vibrantes reflé-tant la personnalité enjouée demadame Desroches.Malgré un si bel été, les bénévolesde la gare ont vécu un moment detristesse en se remémorant la pré-sence de deux bénévoles que lamaladie nous a enlevés l’été 2011.Je parle d’Élie Laroche et deFernand Breault, dont la présenceactive et la générosité ont embellidurant plusieurs années les journéespassées à la gare en leur compagnie.

Ils resteront dans noscœurs.Avec septembrerevient le temps decélébrer les arts et laculture et ce sont desprésences surprisesque nous vous propo-serons à la gare les 28et 29 septembre.N’oubliez pas! Lesbénévoles du Comitéde la gare vous attendent chaquejour de 8 h 30 à 16 h pour partagervos aventures et votre quotidien.Pour en savoir plus, consultez nosweb et Facebook en ligne ou contac-tez-nous.

Nouvelle vidéo du symposiumLes organisateurs du symposium depeinture de Prévost (tenu du 1er au

5 août dernier) vous invitent àvisionner les deux vidéos réaliséesdans le cadre du 15e anniversaire,disponibles sur le site : www.sympo-siumdeprevost.qc.ca et sur Youtube. Ces vidéos relatent entre autresl’histoire du symposium et de lagare de Prévost, vous font découvrirles artistes, l'atmosphère vécue pen-dant le symposium, divers événe-

ments du 15e, des hommages auxfondateurs Lise Voyer et Jean-PierreDurand, l'esprit de la poursuitepour 2013 et le pourquoi d'un sym-posium de peinture. Les vidéos ontété réalisées par Nicole Deschamps,dans le cadre du 15e anniversaire.Sur le site, vous trouverez aussi lesPrix et mentions remportés par lesartistes en 2012, ainsi qu’une rétros-pective depuis 1998 !

Il s’agissait d’un hommage, maissurtout d’une célébration à lamémoire d’Élie Laroche. Car LeJournal avait reçu à titre posthume,une mention d'honneur décerné parl'Association des médias écrits com-munautaire du Québec. «Cettereconnaissance nationale du travailbénévole d'un homme qui a laisséune trace indélébile de son implica-tion, à la gare de Prévost, au Journaldes citoyens et dans sa communauté,nous voulions qu'elle soit offerte àl'emblème même de l'Action com-munautaire, à la gare de Prévost »,de dire Michel Fortier qui avait bap-tisé Élie : le garagiste communiste

pour cette manière qu’ilavait de jamais laisser tom-ber un client, surtout paspour une question d’ar-gent.Cette plaque commémo-rative sera exposée à la gare,à l’initiative de BenoîtGuérin, qui a exprimé l’im-portance que cet hommagese retrouve à la gare où Éliea tant contribué et pourlaquelle il a tant donné. Demême, l’hommage qu’avait rendu leJournal à Élie dans ses pages de sep-tembre 2011 a été laminé et offert à

la gare. Comme l’a dit monsieur lemaire : «C’est un départ triste pourla communauté, mais on est trèsheureux de cet hommage. »

Aude Provost

Afin de célébrer le premier anniversaire du décèsd’Élie Laroche, ses proches et les gens qui ont partagésa vie se sont rassemblés à la gare le mardi 21 aoûtdernier autour d’un buffet préparé par Odette Morin.

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Catherine BaïcoianuMême si les rayons chauds du soleil continuentde nous dorer la peau, déjà un parfum d’au-tomne effleure nos narines. Les soirées sontfraîches et la terre de l’aube nous offre d’autresparfums que ceux de l’été. – Bientôt, les cou-leurs embelliront les montagnes, et les tartesaux pommes réjouiront nos papilles!

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Hommage à Élie Laroche

Mention pour le «garagiste communiste»

Photo: Aude Provost

Benoit Guérin, président du Journal ds citoyens a renduhommage à Élie Laroche.

La gagnante du choix du public du Symposium de peinture2012, Linda Desroches, jusqu’au 26 septembre à la gare dePrévost

Les joies de l’automne à la gare

Photo: Catherine Baïcoianu

Danielle –Bonjour, Pierre, depuiston retour de vacances, as-tu pris letemps de t’inscrire aux activités demise en forme de la municipalité ?

Pierre –Oui, pour une fois, j’aidépassé le stade du voeu pieux. Jesuis passé à l’action. J’ai utilisé lemode d’inscription par internet.Cela m’a facilité la vie, je dois mêmedire que cela m’a permis de fairele saut.

Danielle –Parfois, il faut un petitrien pour faire une différence dansses décisions et conséquemmentdans ses actions. Je suis ravie que tuaies pu intégrer dans ton horaire dutemps pour t’occuper de ta santé. Jecrois savoir que ton automne estpassablement chargé.

Pierre –Oui, en effet, mais juste-ment en m’inscrivant à cet atelier de

12 semaines, je m’oblige à prendrece temps qu’autrement, je meconnais, je n’aurais pas pris. Lesurgences, il y en a tellement.

Danielle –C’est une bonne straté-gie et une façon adéquate de main-tenir ou réduire ton poids. Savais-tuque l’énergie qu’utilise ton corpspour simplement vivre (respirer,maintenir ta température corporelle,transformer tes aliments…) repré-sente 60% de ta dépense d’énergie?Cela s’appelle le métabolisme debase. En faisant de l’activité phy-sique, tu en augmentes le niveau dedépense énergétique. Savais-tu quedepuis que tu as quarante ans, tonmétabolisme a tendance à ralentirde 2 à 3% par décennie parce quec’est naturel de perdre du muscle.Aussi, compte tenu de ton âge tu asprobablement ralenti d’au moins

5% ta dépense d’énergie. Ta déci-sion de faire de l’activité physiqueavec un peu de musculation contri-bue à maintenir ton métabolisme debase à un niveau élevé. C’est vrai-ment stratégique… tu rajeunis.

Pierre –Oui, je suis fier de moi.Une chose en entraîne une autre, j’aipromis à ma voisine de marcheravec elle dans le quartier au moinsdeux soirs par semaine; pas long-temps, environ trente minutes. Enla croisant par hasard, d’un sujet àl’autre, on a trouvé deux trenteminutes qui nous convenait; elleavait raté la période des inscriptions.On a commencé hier.

Danielle –Wow! Je constate que tute donnes de bonnes conditionsfacilitant la réalisation de ton plande te maintenir en forme. Un coursqui te structure et des marches

actives à proximité de chez toi etavec quelqu’un; c’est vraiment sou-tenant. En plus, face à tes préoccu-pations cela va t’aider à te reposermentalement. C’est gagnant surtoute la ligne. Je ne sais pas si toi etta voisine êtes ouverts à une sugges-tion, mais la voici : prenez dixminutes pour faire de la muscula-tion, les autres jours. Une journée lehaut du corps, une autre pour le basdu corps. Au besoin utilisez desboîtes de conserve pour faire vosmouvements.

Pierre – J’ai vu qu’à la bibliothèquemunicipale il y a des livres sur lesujet.

Danielle –C’est parfait. Commen-cez simplement. Et si ta voisine a desenfants, tu pourrais lui suggérer d’enfaire avec ses enfants ou ses petitsenfants. Pour eux aussi c’est la rentrée.

Suzanne MonetteSoulignons l’anniversaire de nosfêtés de septembre 2012Le 1er, Annette Desjardins, HervéArseneault - le 2, Laurette Bélisle - le4, Clairette St-Amour, MarietteVaillancourt - le 6, MadeleineVallières, Jean-Paul Alarie, Jean-PaulAlain - le 8, Pauline Lépine, LuciaMonette - le 9, Réjeanne Garneau - le10, Julienne Legault, MoniquePaquin - le 11, Nicole Lebrun - le 12,Roger McCarthy - le 14, Pierre-PaulViger (gagnant du gâteau) - le 15,

Audrey Thibault - le 19, VivianneDegarie, Johanne Dussault - le 20,Benoit Morrissette - le 21, Rénald Cyr- le 22, Fernand Larose - le 24, GaétanBaril – le 26, Suzanne Monette - le 27,Carole Bourgeois. Un grand merci àtous nos fidèles et généreux comman-ditaires. Ce geste est très apprécié partous nos membres.

Ehoui, l’automne est déjà à notreporte. Toutefois, il ne faut pas s’enfaire, car nous reprenons toutes nosactivités. Alors, il y aura de l’action

pour tous les goûts. L’aquaforme estdéjà en cours le mardi soir jusqu’au23 octobre; info : Micheline, 450438-5683. Notre souper/danse du 8septembre, avec Michel et Nicole,est déjà du passé, mais nous vousinvitons à notre prochain sous lethème «Halloween » le 13 octobreprochain à 18 h, à l’école Val-des-Monts de Prévost. Le costume n’estpas une obligation, mais cela crée del’ambiance; info : Suzanne, 450 224-5612 et Micheline, 450 438-5683.Les cours de danse avec Michel etNicole, du 10 septembre au 3décembre, les lundis de 15h 45 à 17h 30; info : Thérèse, 450 224-5045.Le shuffleboard (palet), du 10 sep-tembre au 3 décembre, tous les lun-dis à 13 h; info : André, 450 224-2462. Vie Active, du 12 septembreau 28 novembre, à 10 h 15; info :Ginette, 450 569-3348 et Pauline,450 227-3836. Le scrabble, du 12septembre au 5 décembre, à 13 h;info : Cécile, 450 592-1023. Lebingo, les 1er et 3e mardis de chaquemois, du 4 septembre au 4 décem-bre, à 13 h 30. Compte tenu des

élections, le bingo débutera le 18septembre; info : Thérèse, 450 224-5045. Jeux de société (cartes, domi-nos, etc.) le 4e mardi du mois, à13 h 30, du 25 septembre au 27novembre; info : Gilles, 450 436-1749. Comme vous pouvez leconstater, il y en a pour tous lesgoûts.Méchoui chez Constantin, le jeudi27 septembre. Souper/danse avecanimation, forfait incluant le souper,taxes, pourboire et transport. Prix :30$/membre et 33$ non/membre;info : Suzanne, 450 224-5612 ouMicheline, 450 438-5683.Séjour au Manoir du Lac Williamà Saint-Ferdinand, «Noël d’au-tomne » les 28, 29 et 30 octobre.Une chambre est encore disponibleau Manoir. Vous pouvez égalementvous inscrire sur la liste d’attente, encas d’annulation; info : Suzanne, 450224-5612 ou Micheline, 450 438-5683.Terminons avec cette vérité : «Lesanniversaires sont bons pour nous,plus nous en avons, plus nous vivonslongtemps.

Nos sorties et activités à venir

Entre Claude Thibault et Suzanne Monette, le vrai Père Noël, en tout cas il est aussi sympa-thique que celui de nos rêves d’enfant. Et le père Noël préfère le gâteau aux carottes que lui apréparé et offert l’équipe de Bonichoix.


450-431-5061

Ce texte ne remplace aucunement les textes de loi envigueur et ne peut être reproduit sans autorisation.

Garantie légaleou garantie prolongéeEn automne, pour la rentrée desclasses, vous vous procurez un or-dinateur dans une grande chaînede magasins d’électronique. Aussi-tôt un modèle choisi, voilà le ven-deur qui vous vante les vertus dela garantie prolongée (supplémen-taire) sur la machine, garanties quipeuvent parfois vous coûter plu-sieurs centaines de dollars. Quefaire? Ces garanties en valent-ellesle coût?Selon une étude menée par

l’Union des consommateurs, « lesconsommateurs n’acquièrent pra-tiquement rien qui ne leur soitdéjà consenti par la garantie lé-gale ». La Loi sur la protection du

consommateur précise qu’un biendoit pouvoir « servir à un usagenormal pendant une durée raison-nable, eu égard à son prix, aux dis-positions du contrat et auxconditions d'utilisation du bien ».C’est donc dire que pour un bienparticulier la garantie légale peutoffrir une protection pour unedurée supérieure à celle d’une ga-rantie prolongée selon le type debien, et la garantie légale elle, esttotalement gratuite et s’appliqueautomatiquement sans aucune in-tervention de votre part.Notez bien aussi que le fabricant

garantit dans la majorité des cas lebien contre les défauts de maté-riaux et de main d’œuvre pour unepériode donnée. Pendant et à la finde cette période de garantie du fa-bricant, la garantie légale continueà s’appliquer et protège votre bien.Les garanties prolongées qui

vous sont offertes comportent desexclusions parfois importantesconcernant l’usure normale et au-tres qui font en sorte de réduireson utilité. Souvent les vendeursnous font des déclarations erro-nées, voire mensongères, sur laportée des garanties prolongées.Dans certains cas le texte des ga-ranties sera plutôt difficile à com-prendre et n’est pas rédigé defaçon à ce que le consommateurpuisse comprendre la portée de lagarantie prolongée.En magasin, le vendeur doit,

avant de vous proposer d'acheterune garantie supplémentaire, vousremettre un qui vous informe de lagarantie légale et vous lire le textesuivant : « La loi accorde une ga-rantie sur le bien que vous achetezou louez : il doit pouvoir servir àson usage normal pendant unedurée raisonnable. » Par la mêmeoccasion, le commerçant doit aussivous informer verbalement del'existence et de la durée de la ga-rantie gratuite du fabricant. Vousvoulez en savoir plus ? Le vendeurdevra vous expliquer commentprendre connaissance des autrescaractéristiques de cette garantie.Alors quand on vous propose

une garantie prolongée deman-dez-vous si le prix demandé envaut le coût et si vous en avezpour votre argent compte tenu dela (faible) probabilité de bris del’appareil.

Danielle Laroque

La rentrée en santé

Horizontal1- Maîtrise de soi - Argon. 2- Qui a la forme d'une grande plante ligneuse.3- Négation - Préfixe - Se termine en septembre.4- Énervent - Article arabe. 5- Étendue de terre - Limon d'origine éolienne.6- Sigle d'un parti politique français - Bref récit.7- Ville d'Angleterre - Thallium- Sortis.8- Saisi - Oiseaux. 9- Entrelacés - Classification des huiles.10- Télé-Québec - Peut s'attaquer aux mœurs publiques.11- À l'ouest de Madagascar - Change la forme.12- Stophes de sept vers - Point cardinal.

Vertical1- Ils portaient le pantalon à rayures. 2- Science des nombres. 3- Nota bene - Usées - Révérend père. 4- Sorte d'automate - Pour éclairer. 5- À la fin d'une url - Contraction- Pascal. 6- Titre ottoman - Test. 7- Le marteau, l'enclume et l'étrier. 8- Pas adeptes de symboles du passé. 9- Petit cube - Prénom anglais - Vient au monde.10- Venu au monde - Rêverie. 11- Certifiée - Fourrage. 12- Pas du domaine du rêve - Ouie- Conjonction.

MOTS CROISÉS Odette Morin

par Odette Morin, septembre 2012Solution page 32


En effet, la remorque del’Écho’Scouade, appelée Unité derécupération mobile (URM), s’estarrêtée pour le temps d’une journéeà Saint-Sauveur avec une équiped’animatrices passionnées par lesenjeux environnementaux. Cettedernière offrait, entre autres, la pos-sibilité au grand public de consignerleurs différentes cannettes et bou-teilles de plastique. Le but premierdes animatrices Rachel Lacombe,Raphaëlle Devatine et Léa Ketkoprésentes à l’évènement était, sansaucun doute, de promouvoir leprincipe des 3RV, soit réduire, réuti-liser, recycler et valoriser. Par la pré-sence de plusieurs visiteurs à leurkiosque tout au long de la journée,l’Écho’Scouade a atteint avec succèsson objectif de sensibiliser et respon-sabiliser les gens présents à Saint-Sauveur à la gestion des matières

résiduelles. C’est avecétonnement, maiségalement beaucoupde fierté que j’aiconstaté que cetteastucieuse initiativeamène avec triomphele souci de l’environ-nement au cœur même de notre vieactive.

Qu’est-ce que l’Écho’Scouade ?Créée en 2010 par le ConsortiumÉcho-Logique en collaboration avecRecyc-Québec et Boissons gazeusesenvironnement, l’Écho’Scouade par-court le Québec durant la périodeestivale dans les différents évène-ments et festivals qui agrémentent lavie des Québécois et Québécoises.Spécialisée en développement dura-ble et en récupération, l’équiped’animation aborde les festivaliers à

propos de l’écoresposabilité de cha-cun d’entre nous. Que faut-il mettredans la poubelle, le bac de récupéra-tion et le compost ? Elle offre égale-ment des pistes de solution afin queles festivaliers puissent être écores-ponsables autant à la maison qu’àl’extérieur. En somme, apprendre ens’amusant dans une ambiance fes-tive, tel est le principe mis de l’avantpar l’Écho’Scouade.Pour plus d’information surl’Écho’Scouade ou pour découvrircomment vous pourriez être un éco-citoyen visitez www.echoscouade.com

Isabelle Neveu

À travers une musique entraînante, du sable blanc,des palmiers et une foule de visiteurs présents àSaint-Sauveur spécialement pour cet évènement àsaveur cubaine, l’Écho’Scouade, une équipe de sen-sibilisation aux principes de l’écoresponsabilité, estpassée à l’action le 31 août dernier.

L’Écho’Scouade de passage à lafête cubaine de Saint-Sauveur

Rachel Lacombe, animatrice de l’Écho’Scouade, présente l’Unité deRécupération Mobile (URM).


Ciné-clubcherche bénévoles

Nous cherchons présentement àcréer une banque de bénévolespour faire partie de notre équipe.Ce peut être simplement aider àl'accueil pour quelques minutesou remplir une tâche bien spéci-fique. Votre participation seraitbien appréciée et peut-être qu'unjour vous voudrez vous joindre auconseil d'administration.Le fait de donner votre nom nevous engage en rien et soyezassuré que nous respecteronsvotre disponibilité. Si vous avezdes talents qui pourraient bénéfi-cier au club, prière de nous enfaire part. Au plaisir de vousaccueillir au sein des bénévoles duCiné-Club de gagnante du prixJutra - Hommage Prévost.

Ciné-GroulxLe dimanche 23 septembre, à14h, Ciné-Groulx présentera lesmeilleurs courts-métrages duFestival international du filmd'animation d'Annecy 2012, enprésence de Laurent Million, undes organisateurs du festival qui ytravaille depuis 25 ans. Plusieurssurprises vous attendent: tirage,mots envoyés pour l'occasion pardes grands de l'animation, etmême un extraordinaire filmbonus, à découvrir sur place, quele Festival a sorti de son chapeau àsouvenirs... Le théâtre Lionel-Groulx est au 100, rue Duquet- Sainte-Thérèse, téléphone : 450434-4006

Exposition àla Gare de PiedmontExposition textiles et peinture les22 et 23 septembre.Les rendez-vous Art-Thé présenteleur dernière exposition pour2012. L’artiste textile MarjoleinDallinga et la peintre RenéeNoreau exposeront leurs œuvres àla salle polyvalente de la gare dePiedmont. La MRC des Pays-d’en-Haut vous convie à prendre le théet à rencontrer les artistes de 13 h à16 h, samedi et dimanche 22 et 23septembre au 146 chemin de laGare à Piedmont.

Exposition à Val-DavidÀ Val-David, deux expositions du15 septembre au 18 novembre.

Après avoir exposé dans les grandescapitales comme Paris, Tokyo ouBerlin, l’artiste Jérôme Fortin pré-sente son exposition Dans le blanc.Jeune artiste de la relève, ChloéBeaulac s’est inspirée du rocherÉlisabeth du parc Dufresne pourson exposition Au cœur du magné-tisme. Le centre d’exposition deVal-David, situé au 2495, rue del’Église, ouvre ses portes du mer-credi au dimanche de 11 h à 17 h.Hélène Tremblay conte et raconteles poètes, le samedi 29 septembreà 14 h, dans le cadre des Journéesde la culture, le Centre d’exposi-tion de Val-David présente Hélène

Tremblay. Accompagnée du musi-cien Laurent Bélec, l’interprèteconte et raconte les mots deMiron, Langement, Morence,Prévert et autres poètes.

Club de marchedans les LaurentidesMarcheurs de niveau intermédiairerecherché pour randonnées de 4 à6 h en montagne. Les sorties seferont aux deux semaines.Bienvenue à ceux ayant fait lechemin de Compostelle. Pourinformation : [email protected] ou Claudette au 514609-4100

Panier d’épicerie pourconsommateur avertiL’association coopérative d’écono-mie familiale (ACEF) tiendra unecauserie Panier d’épicerie pourconsommateur averti le mardi 25septembre à 19 h au 42b rueTurgeon à Sainte-Thérèse. Laconférence abordera comment êtreun consommateur averti; on ydonnera des trucs avant, pendantet après le magasinage. Pour s’ins-crire, téléphoner au 450 430-2228

Semaine mondiale del’allaitement maternel Défi allaitement le 29 septembre à11 h. Nouri-source invite lesmamans de la région à participer àl’activité qui se déroulera à la sallecommunautaire Notre-Dame deSaint-Jérôme situé au 655, rueFillion de 9 h à 13 h. On prévoitégalement de l’animation pour lesenfants, spectacle de magie etdîner.

Marchés publics àSt-Jérôme et Val-DavidLes producteurs maraîchers de larégion seront Place de la Gare àSaint-Jérôme jusqu’au 30 novem-bre : le mardi de 6 h à 17 h; le ven-dredi de 6 h à 21 h et le samedi de6 h à 16 h. Le marché d’été de Val-David se tiendra, quant à lui,jusqu’au 6 octobre, les samedis de9 h à 13 h, face à l’église. Pourd’autres activités, consulter :Laurentides.com

L’arthrite:Mieux s’informerLa Société de l’arthrite lanceun nouveau site www.arthrite.caoffrant de l’information personna-lisée sur les types d’arthrite, desoptions de traitement et des avisd’experts. L’arthrite est une mala-die touchant des personnes de toutâge et l’une des principales causesd’invalidité.

Ciné-MaraisCiné-muet : Chicago réalisé parFrank Urson, 1927; jeudi, 27 sep-tembre 2012 à 19 h 30. Prix:6$/8$Au gré de la plume arctique réalisépar Joël Health; jeudi, 4 octobre2012 à 19 h 30. Prix: 6$Intouchables réalisé par ÉricToledano et Olivier Nakache;jeudi, 11 octobre 2012 à 19 h 30. Prix: 6$République, un abécédaire popu-laire réalisé par Hugo Latulippe;jeudi, 18 octobre 2012 à 19 h 30.Prix: 6$

ACTIVITÉS

Le mot septembre évoque simple-ment le rang septième que le moisoccupait chez les Romains, quandl’année commençait en mars. Maismalgré ce quasi-anonymat, c’étaitun mois important à cause du chif-fre lui-même, symbole du parachè-vement dans toutes les cultures.Encore aujourd’hui, c’est le couron-nement du six plus un de la nature,le jour où, selon les Livres, la créa-tion a été jugée parfaite : ledimanche chrétien, le samedi juif, levendredi musulman. Nous savons,bien sûr, que la perfection n’est pasde ce monde, mais comment ne pasen rêver, surtout avec les catas-trophes actuelles et, pire encore,celles qui s’annoncent. Commentdouter de nos chances de gagner lemillion si la misère nous guette,comment refuser la symbolique desvies parallèles que nous offrent loi-sirs, alcools, écrans et jeux, commentne pas croire au sept dont abusentles casinos ? En Inde, où diverses religions affir-ment que la vie est une illusion,

cette promesse de perfection, c’est leseptième chakra, celui de l’œiléveillé au-dessus des deux autresaprès la montée d’harmonie venuedu contrôle de l’énergie des glandessexuelles. Chez les Mayas, ce sont lessept étoiles des Pléiades, à la forme siexceptionnelle, et celles de laGrande Ourse. Elles nous ont d’ail-leurs valu en Occident d’appelerseptentrion la zone nord du ciel, etleur glyphe mésoaméricain sert àdésigner le dieu des Sept Soleils suc-cessifs, dont la fin prochaine d’uncycle prévu pour décembre pro-chain, paraît-il, a fait craindre unenouvelle fin du monde.

Car c’est notre lot, surtout aprèsles vacances d’été, voyageuses etmarcheurs de la vie sans cesse àgagner, que d’avoir besoin de croireen une magie nécessaire, à devoirnous la fabriquer de bonheurs quo-tidiens, à l’image des sept couleursde l’arc-en-ciel, pour éliminer denos vies le gris des jours de routine.

Et c’est sous la Lune, cercle-écrandes rêves de tous les humains que cesept d’espoir est né. De ses à peu prèsvingt-huit jours de cycle, que sesquatre phases, visibles de partout surla Terre, traduisent en périodes éter-nelles et pratiques de sept jours. Enlatin, septimane, devenu semaine :récurrence immuable du temps qui adonné au nombre la valeur d’unabsolu. On a par la suite trouvél’écho dans les sept planètes visibles,les sept ouvertures du corps, la jonc-tion des quatre points cardinaux, del’en-haut, de l’en-bas et du centrequ’est l’être humain. Sceau deSalomon, six faces du dé dont lesfaces opposées totalisent sept…

C’est du quotidien profond quenous tirons nos rêves et les réalisons.Et septembre, avant d’être celui duretour à l’école, est le mois de l’ac-complissement, des récoltes. Chezles anciens Grecs, c’était le mois dubœuf, βοέδρομιων, qu’on célé-brait pour sa contribution aux tra-vaux des champs, avant le mois del’aigle, notre octobre, où il faudrarentrer chez soi.

Bonne chance !

SeptembreGleason Théberge

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"pour un beau sourire en santé"

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Dre Marie-Hélène PrimeauDre Isabelle Poirier

Œuvre de Jérôme Fortin

Photo: Isabelle Neveu

Je suis née à Shawbridge en1975, et j’ai habité Prévost,secteur Shawbridge, pour la

majeure partie de ma vie. Petite fille,j’étais nostalgique des années 1950-60 que mon père me contait.J’enviais le portrait de l’époque qu’ilme décrivait, avec son foisonnementde boîtes à chansons, restaurants,salles de spectacles, que je n’avaispas connu, mais qui semblaientenrichir la vie culturelle, touristiqueet surtout communautaire de notrevillage. Je regrettais aussi tous cesbâtiments anciens, disparus avantma naissance, et que je ne verraisqu’en photos. Je regrettais uneépoque me ramenant à mes racines.Comment avaient-ils pu tous dispa-raître?Jeune adulte, j’ai assisté à une levéede la protection du patrimoine parplusieurs citoyens, qui ensemble ontsauvegardé certains bâtiments ayantune importance significative dansnotre histoire, telle que la gare.J’avais espoir que notre villageregarde le futur en étant fier de sonpassé. Quand est venu le momentd’acheter une maison, c’est toutnaturellement vers Prévost que jesuis revenue. Je me suis impliquéedans la vie culturelle et communau-taire. Je construisais mon nid, dansce bel arbre qu’était notre village.

Avec son petit centre où tout étaitaccessible à pied (vidéo, épicerie,caisse populaire, etc.), et un bonratio maison/espace vert, avec songolf, son marché aux puces, le par-cours dans les montagnes, nulbesoin de faire de la route pourtrouver des activités à faire.J’appréciais ces éléments que jecroyais immuables, que je tenaispour acquis.Mais voilà que même ces endroitssont menacés : le centre du village aété déplacé plus au sud, on ne peutrien y faire, les commerces vont làoù la population est la plus dense,puis j’apprécie bien le IGA, et ilnous reste encore les restaurants dufaubourg. Mais le golf, que va-t-illui arriver? Les rumeurs parlent d’undéveloppement immobilier. Le mar-ché aux puces existe encore pourl’instant, mais la plupart des gens del’extérieur le croient fermé, occa-sionnant une chute drastique del’achalandage, entraînant le départde plusieurs vendeurs. Pourtant, laplupart des villes commencent àavoir des marchés saisonniers, et lemarché de Prévost avait bonne répu-tation même à l’extérieur de larégion. Et que dire des falaises? Avecun mouvement pour les sauvegarder(avec un certain succès du côté dePrévost), qu’arrivera-t-il du secteur

de Piedmont, dont une partie, enbas des falaises, aurait, à ce qu’ondit, été achetée par le même promo-teur immobilier que le golf ? Je réa-lise que j’assiste présentement à unautre cycle de disparition de notrepatrimoine.Si personne ne réagit, nous allonsperdre des piliers de notre patri-moine. Car le patrimoine n’est pasque bâti, il peut être naturel, commepour les falaises et le golf. Golf quiexiste depuis 1923 et qui est un desplus vieux et des plus beaux duQuébec. Ses arbres sont magni-fiques. La nature belle, et la vie ani-male diversifiée. J’y ai même croiséun chevreuil en cavale l’autre soir.Doit-on laisser ces monuments dis-paraître au nom de l’évolution de

notre ville ? Je vous rassure, je ne suispas contre le changement ou contrele développement résidentiel. Notreville est belle et les gens désirent yhabiter. Mais s’ils sont venus habiterici, c’est pour certains attraits pro-pres à Prévost, pas seulement parcequ’il y avait des quartiers résiden-tiels. Il faudrait donc être prudent etne pas détruire ce qui a attiré lesgens ici, et qui ne pourra être rem-placé. Idéalement, le golf resteraitun golf. Mais les lieux pourraientaussi changer de fonction, saufqu’ils devraient conserver leur inté-grité. Par exemple le golf pourraitdevenir un parc, un musée, tantqu’il demeure un espace vert accessi-ble aux citoyens.

Ce n’est pas en faisant table rasedu passé que nous construironsnotre futur, mais bien en conservantdes richesses impossibles à acheterautrement, car le cachet de l’âge etl’âme d’un village ne se monnayentpas, il se patine avec les années.Nous devons trouver un moyen devaloriser notre passé afin de faireface au futur sur des bases solides. Etpar valoriser, je ne parle pas seule-ment de mettre des pancartes disantque telle et telle maison date de telleannée, mais bien de conserver etcréer un lieu, un village, une ville,où les gens auront envie de se pro-mener, de découvrir, et par le faitmême, de lire ces petites pancartes.Lyne Gariépy, Prévost

Ketchup (aux fruits)Une recette de grands-mères? Pas néces-sairement, car vous pouvez actualiser etpersonnaliser ce grand classique en yajoutant toutes sortes de bonnes choses,comme des raisins secs, des fines herbes,des graines de moutarde, des épicesentières ou un mélange d’épices, commele cari, le garam masala, etc. J’ai goûté àun p’tit mélange concocté par une demes innombrables nièces sur le thèmedu ketchup. Fait à base de bok-chois, sarecette était sublime ! Les ingrédientsincontournables qui relèveront le goûtseront aussi les agents de conservation, ils’agit du sucre, du sel et du vinaigre. Nosaïeules en mettaient beaucoup, alors leketchup pouvait être conservé sur lestablettes du garde-manger presque indé-finiment. Je préfère mettre une quantitéréduite de ces trois ingrédients etconserver mon ketchup au frigo. Pour legoût, les épices à marinades sont incon-tournables. On peut les mettre dans uneboule à thé ou l’on peut fabriquer unpetit baluchon (bien ficelé) avec uncarré de mousseline ou d’un autre tissubien propre. Le premier ingrédient duketchup est la tomate rouge ou verte.Pour un ketchup vert, on ne prend quedes légumes verts ou à chair pâle commeles tomates vertes, les poivrons verts, lespommes ou les poires et l’on met plus desucre. D’autres légumes peuvent êtreajoutés à vos recettes de ketchup. Il y a lepoireau, le chou-fleur, le chou, l’ail, lacourgette, le piment fort, la carotte, etc. Ingrédients- Tomates fraîches en dés (pelées ounon), 1,8 litre (8 tasses)- Fruits (pommes, poires et/ ou pêches)en dés, 4 tasses (ex. : 4 pommes et 2poires)- Oignons hachés ou émincés, 2 tasses(1 gros oignon espagnol) - Céleri haché ou en dés, 2 tasses (4branches)- Poivrons hachés en lamelles ou en dés,2 tasses (2 ou 3 poivrons, peu importela couleur)- Piments forts hachés très finement,¼ à ½ tasses, au goût et facultatifs- Sucre, 450 ml (2 tasses) ou plus augoût- Sel, 30 ml (2 cuil. à soupe) - Vinaigre blanc, 225 ml (1 tasse)

- Épices à marinade, 15 ml (1 cuil. àsoupe) dans une boule à thé ou unemousselinePréparationMettez tous les ingrédients dans unegrande casserole (idéalement en inox),amenez à ébullition, baissez le feu (à feudoux) et laissez mijoter (sans oublier deremuer régulièrement) le tout pendantenviron 1 h 30. Cette recette donne à peuprès 1,8 litre (8 tasses) de ketchup.

Sauce tomate maisonPrenez des tomates de votre jardin ou dumarché, idéalement des tomatespulpeuses comme les tomates italiennes,les Brandy Wine ou autres. Pelez-lesaprès les avoir plongés dans l’eaubouillante pendant une minute, puisdans l’eau glacée pour arrêter la cuisson,ensuite, taillez-les en gros dés. Pourenviron 2 litres (une dizaine de tasses) dedés de tomates, vous aurez besoin d’ungros oignon espagnol haché, de 4 à 8gousses d’ail hachées, d’environ 30 ml (2cuil. à soupe) d’huile d’olive, de deuxfeuilles de laurier et d’environ 2 cuillèresà soupe d’herbes fraîches ou séchées,comme du romarin, de l’origan, dubasilic, de l’estragon, du persil, etc. Vousferez brièvement revenir l’oignon et l’aildans l’huile d’olive, puis vous ajouterezles tomates et les herbes. Vous ajouterezun peu de sucre pour couper l’acidité (15à 30 ml soit de 1 à 2 cuil. à soupe) et dusel (15 ml soit 1 cuil. à soupe). Vouslaisserez mijoter le tout à feu doux(remuez régulièrement) et à mesure quedu liquide remontera à la surface, vousle prélèverez à l’aide d’une louche. Vousconserverez ce précieux liquide pour leservir comme consommé de tomates oupour en faire une délicieuse soupeminestrone en y ajoutant des pâtescuites, des légumes, des légumineuses,etc. Le but de cette démarche, c’estd’avoir une sauce qui a une belleconsistance. J’oubliais, pour une bellecouleur et une texture homogène, vouspourriez passer votre sauce au pilon àpommes de terre à partir de la mi-cuisson et y ajouter une petite conservede pâte de tomates (156 ml). Temps decuisson : au moins une heure.

Sauce piquante maison Pas nécessaire de se brûler la langue autroisième degré pour apprécier lespiments. Cette recette a comme base lepoivron rouge doux et vous y ajoutez laquantité de piments forts qui corres-pond à votre seuil de tolérance person-nel. Si comme moi vous avez eu labonne idée de cultiver ce cadeau du Cielque sont les piments d’Espelette, voussavez qu’ils ne sont pas très piquants. Enpassant, ce fut chez moi une annéeexceptionnelle pour la culture despiments. Je les plante dans de gros potsde plastique noir, car ces légumes sontdes amateurs de sol chaud. De cettefaçon, les piments et aussi les poivronsmûrissent plus tôt. Pour la recette quisuit, j’ai utilisé 3 piments d’Espelette et½ piment de Cayenne long. Cela donneune sauce très conviviale qui laissera surleur appétit les vrais amateurs de«piquance ». Il faut être prudent avec lespiments que l’on trouve au supermar-ché, car certains d’entre eux, comme les« habanéros », vous donneront un avant-goût de l’enfer!N.B. Avec les piments forts, il est préfé-rable d’enlever toutes les graines demême que les membranes blanchâtresqui les retiennent. Je vous conseille for-tement de porter des gants chirurgicaux.Ingrédients- Poivron rouge (pelé ou non), 1 haché- Piments forts, de 15 à 100 ml (1 cuil.à soupe à ½ tasse) selon la variété etvotre goût- Ail, 4 à 6 gousses hachées- Vinaigre blanc, 75 ml (1/3 de tasse)- Sucre, 15 ml (1 cuil. à soupe)- Sel, 5 ml (1 cuil. à thé)PréparationMettez tous les ingrédients dans unecasserole, portez à ébullition et laissezmijoter (à feu doux) pendant 7 à 10minutes. Passez la sauce au mélangeur.Cette sauce se conserve au frigo. Cetterecette donne environ 335 ml (1 ½ tasse)de sauce.

Bon appétit !

Avec Odette Morin

Après la récolte…


Septembre, le mois de la rentrée! Retour au travail, retour aux études,retour à la routine et pour moi, septembre est synonyme de vacances!

Mais c’est aussi un retour aux dé-couvertes, puisque l’automne nousamène son lot de nouveautés, soitdes nouveaux produits, soit des clas-siques sur des nouveaux millésimes.

C’est donc avec plaisir que je dé-guste le Château St-Roch 2010,Côtes-du-Rhône, en blanc! Un vinélaboré avec des cépages qui sontessentiellement rhodaniens : Gre-nache blanc (60%), clairette (30%)et bourboulenc (10%). Ce vin nesubit aucun élevage sous bois maissa structure pourrait facilement lesupporter. Il en résulte un vin blancà la robe très pâle, limpide et bril-lante. Au nez, les arômes floraux etde fruits exotiques (ananas)sont très invitants. En bouche,nous avons droit à une belleacidité, une certaine profon-deur et des notes florales (aca-cia) en rétro.

Un vin très plaisant à pren-dre en apéritif, sur une en-trée d’escargots aufromage de chèvre et to-mates séchées, un plat depâtes servi avec une saucemornay aux courges gril-lées! Château St-Roch2010, Côtes-du-Rhôneà 17,35$ (10678181)En rouge, nous connaissonsbien le sangiovese de laToscane, là où ce cépageest roi et la base de plu-sieurs grands vins commele Chianti Classico, le Vino

Nobile di Montepulciano et le Bru-nello di Montalcino. Peu d’amateursconnaissent l’Émilie-Romagne, enfait cette région est surtout connuepour ses vins vedettes comme leLiano ou le Moma et l’associationavec la région d’origine reste sou-vent un mystère pour les consom-mateurs de ces vins.L’Émilie-Romagne fait partie de lazone nord de l’Italie, cette régiontraverse le pays d’Est en Ouest, lesamateurs de voitures y retrouverontles écuries Ferrari, Masareti et Lam-borghini. Les amateurs de bonnebouffe se régaleront avec le jambonde Parme, le saucisson de Bologne et

le vinaigre balsamique de Mo-dène. Les curieux feront la dé-couverte du sangiovese sous unautre jour avec le Scabi 2010,Sangiovese di Romagna.

Ce vin à la robe rubis aux refletsviolacés est limpide et brillant.Au nez, nous avons de laconfiture de fruits rougesdes champs et en bouche,un vin avec de l’ampleurprésentant un très beléquilibre tanin/acidité.Nous avons même droit àune touche de poivre enrétro. Un excellent vin àprendre avec un mijoté debœuf ou les «pastas al ragubolognese » Scabi 2010,Sangiovese di Romagnaà 16,70$ (11019831)

MANON CHALIFOUX – SOMMELIÈRE ET CONSEILLÈRE EN VINS, SAQ SÉLECTION SAINTE-ADÈLE

Votre potager vous a comblé cet été ou peut-être avez-vousprofité des bas prix au marché ou à l’épicerie du coin?Voici quelques recettes pour faire durer le plaisir encoreplus longtemps.

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Prévost 2012, la fin d’une époque?

Aude Provost

Cette exposition permet de voir les oeuvres de plusieursartistes locaux et d’échanger avec eux sur leursdémarches. La diversité des techniques laissant les visi-teurs pantois : fourrures, lainages, toiles, céramiques,poèmes agrémentés de paysages de fleurs, sculptures surpierre, bijoux, il y avait de quoi faire le plein d’inspirationartistique lors de cette exposition.


La grossesse est un état spéci-fique qui exige une adaptationconstante et peut se dérouler defaçon plus ou moins harmonieuse.En effet, si certaines femmes ontune grossesse facile jusqu'à la fin,beaucoup d'autres sont incommo-dées à un moment ou à un autre decette période de leur vie.

L'ACUPUNCTURE ET LE SUIVIDE GROSSESSE

Étant d'abord une médecine pré-ventive, l'acupuncture peut jouerun rôle très efficace dans le suivide la grossesse. Elle présentel'avantage majeur d'éviter le re-cours aux médicaments dont onredoute les effets tératogènesc'est-à-dire les risques de malfor-mations du fœtus. De plus, desséances d'acupuncture permettentà la femme enceinte de prendre untemps d'arrêt, de se reposer, de s'al-longer, de se détendre, touteschoses qui ont un effet bénéfiquesur son état et l'incitent à prendresoin d'elle dans une période exi-geante de sa vie. La femme en-ceinte aura avantage à consulterun acupuncteur qui par la prise«des pouls »*, l'examen de la langueet un questionnement minutieux,peut détecter les divers troubles degrossesse. L'identification précoced'un déséquilibre permet de le trai-ter facilement et de prévenir ainsicertaines complications futures.

* « les pouls » selon les critères de lamédecine traditionnelle chinoise

Durant la grossesse l'acupuncturepermet de :• soulager les nausées et les vomis-sements

• soulager l'anxiété et l'angoisse• traiter les saignements de nez• traiter la constipation• traiter les troubles de la circula-tion, l'enflure et la lourdeur desjambes

• soulager les douleurs lombaires,du sciatique et les douleurs abdo-minales et pelviennes

• prévenir les menaces d'accouche-ment prématuré

•modifier la position du fœtus encas de présentation de siègeentre la 30e et la 34e semaine(taux moyen de réussite 85%selon des études récentes)

Pour la préparation à l'accouche-ment, l'acupuncture permet de :• déclencher le travail en cas dedépassement du terme ou d'indi-cations thérapeutiques

• favoriser l'assouplissement dupérinée

• stimuler la contractilité utérine• réduire le temps de travail de 4 à6 heures selon les études

FRÉQUENCE DES TRAITEMENTSNormalement la femme dont lagrossesse se déroule bien devraitvoir son acupuncteur une fois parmois jusqu'à la fin du huitièmemois de grossesse, et deux à troisfois pendant le neuvième mois. Cesdernières séances sont destinées àcalmer l'anxiété, à soulager la fa-tigue et à favoriser l'assouplisse-ment du périnée et du col del'utérus. Ainsi, les femmes en-ceintes arrivent à terme dans debonnes conditions physiques etpsychologiques.

Source : www.acupuncture-quebec.com

Judith Leduc, acupuncteure

2955, boul. Curé Labelle, PrévostTél. : (450) 224-2322

www.physiodesmonts.com

Le centre culturel de Saint-Hippolyte accueillait pour cetteexposition annuelle, du 17 au 19août dernier, plusieurs artistes,parmi lesquels le sculpteur invitéJeff Watson.

Jeff WatsonCe dernier utilise des pierres dures,telles que le marbre, l’albâtre ou lecalcaire pour ses oeuvres. Il aimeallier les parties brutes et les endroitspolis. Ses oeuvres sont « l’imagemiroir de la nature ». Cet hommereste très accessible et passionné, etdevient volubile lorsqu’on luidemande de nous expliquer sadémarche artistique ou de nous faireune démonstration de sculpture. Avant d’être artiste, cet homme depierre était chercheur en écologie eten environnement. Sculpteur à pleintemps depuis 2005, sa sensibilité à lanature transparaît dans son art. Lesformes, les mouvements, les texturesque la nature créée le fascine et il s’eninspire pour sculpter la pierre. Par exemple, l’aventure du SednaIV avec Jean Lemire lui a inspiré unesérie de quatre sculptures d’icebergs,

accompagnées d’un poème qu’il acomposé en collaboration avec safemme afin de transmettre un mes-sage environnemental.

Jacques CorbeilJacques Corbeil, très actif dans lemilieu culturel de Saint-Hippolyte,exposait une oeuvre réalisée avecAntony Dipiza, un Compagnon,bénéficiaire de l’organisme du mêmenom situé à Montréal. Avec beau-coup d’affection dans la voix et defierté, il a présenté leur œuvre etexpliqué que les profits de la venteiront directement aux Compagnonspour un prochain projet de collabo-ration.

AteliersPlusieurs artistes présents à cetteexposition donnaient au public l’oc-casion d’apprendre des rudimentsde la sculpture ou de la peinture,grâce à des ateliers où les visiteursn’avaient qu’à apporter leur créati-vité. Instruments et médium four-nis, les sculpteurs en herbe ont eudroit aux conseils et idées de troissculpteurs : Jeff Watson, artiste

invité de l’évènement, JacquesCorbeil et Serge Le Guerrier. Lapeintre Gyslaine Binette a distribuépinceaux et couleurs aux jeunes etmoins jeunes, en leur donnantquelques conseils, mais en leur lais-sant aussi la liberté requise pourcréer.

Le Sentier Art-NatureSitué à l’arrière du centre de pleinair Roger-Cabana, ce sentier estjalonné des œuvres réalisées parplusieurs artistes depuis l’été der-nier, au rythme de quatre œuvrespar année. Il est surprenant deconstater à quel point les œuvress’intègrent dans leur environne-

ment. Pour certaines, c’est le pan-neau interprétatif qui nous indiqueoù porter le regard, nous permettantde découvrir des formes dessinéesdans de grosses pierres ou un héronen bois de grève, posé au bord d’unpetit marais.Lors de l’inauguration des nou-velles oeuvres réalisées dans le sen-tier, le député Pierre Dionne Labelleest venu admirer le travail desartistes de cette année et des annéespassées.Ce sentier est situé au 2060, che-min des Hauteurs, à Saint-Hippolyte, et sa visite est gratuite.

Montagn’Art

La sculpture sur pierre,naturellement

Les ateliers de poterie et de peinture ont permi aux néophytes et artistes de mettre la main à la pâte, quece soit pour une oeuvre à ramener à la maison ou pour contribuer à une sculpture sur pierre. Lesartistes qui ont porté le chapeau de professeur pour ces quelques après-midi ont fort apprécié leur expé-rience : les sculpteurs Jeff Watson, Serge Le Guerrier, Jacques Corbeil et la peintre Gyslaine Binette.

Photo: Aude Provost

Il s’agit en fait d’une participationà l’événement qui se tient depuismaintenant 10 ans : l’École d’été del’Institut du Nouveau-Monde(INM). Cet événement est l’occa-sion pour des centaines de jeunes de15 à 35 ans d’assister à des confé-rences diversifiées avec des acteursengagés dans leur milieu. Différentsparcours sont proposés au partici-pant, tels que démocratie et partici-pation citoyenne, culture et artengagé, développement durable etenvironnement, solidarité et coopé-ration internationale.

En fait, une fois par jour, chaqueparcours se réunit pour développerdes projets réalisables, qu’il pourra,avec de la volonté, mettre en œuvreune fois l’école d’été terminée. Biensûr tout est volontaire, et l’organisa-tion d’un projet ne signifie pas ledevoir de l’implanter dans sa région,mais disons qu’une participation àl’école d’été découle sûrement d’undésir de participer à la vie citoyenne.

Le parcours médias citoyen estquant à lui un peu spécial. Il s’agiten fait de couvrir les quatre jours del’École d’été, à l’aide de différentsmédias tels le vidéo-reportage, l’écri-ture journalistique et les médias

sociaux. Question d’ajouter unenouvelle expérience à ma feuille deroute, j’ai ainsi choisi d’explorer levidéo-reportage.La première journée est bien enri-chissante : le groupe des médiascitoyens reçoit la visite de MyriamFahmy, responsable des publicationsde l’INM et directrice de l’ouvrageL'état du Québec, et de Lisa-MarieGervais, journaliste au journal LeDevoir pour le volet éducation.Je me prends à me demander si lemétier de journaliste m’intéresseréellement. Au fond, c’est un travailprécaire qui nécessite d’habiter aucentre-ville, de travailler lorsque lanouvelle sort, d’être constammentdans l’inconnu, de respecter desheures de tombée fixes, tout en gar-dant des critères de qualité élevés.Mais comme Lisa-Marie a dit :« travailler au journal est comme unecause ». Travailler pour s’instruire,pour comprendre, pour s’impliquer.Travailler pour instruire une société,c’est tout de même un bel emploi…Pour finir la journée, l’INMconvie ses participants à un 5 à 7avec les trois porteurs de la causeétudiante de ce printemps : GabrielNadeau-Dubois, Martine Desjardins

et Léo Bureau-Blouin. C'est un desplus beaux moments de l'événe-ment, non seulement parce qu'il aamené tout un chacun à se ques-tionner à nouveau sur ses valeurs,mais aussi pour l’énergie de solida-rité qui a régné dans la salle. Celaamène à croire que ce mouvementcontestataire s’étendra au-delà de laquestion des droits de scolarité.Et à la toute fin du 5 à 7, après unerencontre avec Martine Desjardins,présidente de la Fédération étu-diante universitaire du Québec(FEUQ) ont été produit un article,et une vidéo, crées aux petites heuresdu matin…Après quelques heures de sommeilet le souvenir d’une soirée mémora-ble, la journée qui s’annonce est envoie de l’être tout autant, avec plusd’une dizaine de conférences aux-quelles les participants pourrontassister selon leur intérêt. J’ai choisipour ma part Le journalisme d’en-quête avec Brian Myles, président dela Fédération professionnelle desjournalistes du Québec (FPJQ), etjournaliste au Devoir. Encore unefois, je redécouvre le journalismegrâce à son expérience. Myles donneainsi des conseils aux aspirants jour-nalistes, et donne son avis sur lesélections québécoises.Ensuite vint le dîner-conférenceavec Thomas Mulcair, chef du Partinéo-démocrate du Canada. Malgréun discours à teneur électorale, soninitiative à prendre part à l’École

d’été est bien satisfaisante. D’ailleurs,aurait-on imaginé Stephen Harperfaire de même?

J’ai pu en apprendre davantage surla politique internationale et lesélections étasuniennes, et ce avec desinvités d’une connaissance généraleimpressionnante; il est dommage dene pas pouvoir assister à toutes lesconférences. De plus, le contexteélectoral a fait que Pauline Marois,Jean-Martin Aussant et FrançoiseDavid n’étaient pas présents; desacteurs politiques qui auraient sûre-ment plu au jeune auditoire del’École d’été.

Enfin, mon séjour s’est terminédans l’auditorium en compagnie del’ensemble des participants. Il étaitmaintenant temps de faire le bilandes conclusions auxquelles chaqueparcours était arrivé. La quantité deprojets réalisables évoqués durantl’événement est vraiment impres-sionnante, et j’ose espérer que cer-tains se concrétiseront.

Il est étonnant que quatre joursaient pu passer si vite ! Malgré lesjournées intensives, cela en a valugrandement la peine. Après tout,l’école d’été est bien plus que lesconférences et les tables rondes, c’estaussi les nouvelles rencontres et lesrepas au cours desquels se rassem-blent des gens de tous les horizons,qui discutent de sujets qui les pas-sionnent. – Voir sur le Net eeme-dia.inm.qc.ca.

Rétrospective d’un séjour à l’école d’été de l’INMAlisson Lévesque

Jeudi matin 16 août, Montréal, station Berri-Uquam.Dépliant un courriel imprimé la veille regardé une cin-quantaine de fois au moins depuis, je relie encore une foisles indications pour me rendre à l’Université du Québec àMontréal (UQAM) où je passerai la majeure partie de montemps durant les quatre prochains jours.


Odette Morin

Un projet pharaonique

Le projet de pipeline NorthernGateway de la compagnie Enbridgesuscite de grandes inquiétudes enColombie-Britannique (C.-B.). Ils’agit du plus grand projet jamaisentrepris par cette compagnie. Aucoût de 6 milliards de dollars, cepipeline double servirait au trans-port de plus de 525000 barils depétrole (issu des sables bitumineux)par jour sur une distance de1172 km, à partir de Bruderheimen Alberta, jusqu’à Kitimat en C.-B.Quant au tuyau jumeau, il transpor-terait quotidiennement 193000barils de condensat, une substancequi sert à alléger le pétrole durantson transport. Le pétrole acheminéserait destiné à être vendu sur lemarché asiatique en particulier enChine. Quelque 600 superpétrolierspartiraient de Kitimat chaque annéeparallèlement au transport de gaznaturel, car dans la même localitéon s’affaire à construire uneimmense usine de liquéfaction degaz naturel.

Plusieurs risques de catastrophesenvironnementalesCe pipeline traverserait des cen-taines de ruisseaux et de rivières, ilpasserait en hautes montagnes où lesrisques de glissements de terrainsont élevés, il percerait des forêtsdenses abritant des espèces mena-cées comme l’ours blanc deKermode que les autochtones sur-nomment « spirit bear ». Il traverse-rait d’immenses bassins versantscausant d’autant plus de dommagedans l’éventualité d’un déverse-ment. En arrivant à Kitimat, onentre dans une zone d’activité sis-mique importante. Il est bien connuque la côte de la C. B. pourrait émi-nemment connaître un séismemajeur qui pourrait causer un tsu-nami. Entourée de montagnes, cetteville est située dans une anse ducanal Douglas un fjord de plus de90 km de longueur. Par contre, c’estplus de 140 km que l’on doit par-courir avant d’arriver en haute mer,car la côte nord de la C. B. est extrê-mement échancrée. Cette régionmagnifique doit régulièrement faireface au déchaînement des éléments.On y enregistre des vents de forced’ouragan, un épais brouillard cou-

vre parfois la région rendant la navi-gation impossible. Dans le canalDouglas, lors d’une tempête, il peuty avoir des vagues aussi hautes quedes tours à bureaux, c’est d’ailleurslà où l’on a observé la deuxième plusgrosse vague jamais enregistrée aumonde. C’est aussi un endroitreconnu pour l’abondance et ladiversité de la vie aquatique. Lesbaleines à bosse et les orques s’ycôtoient et les saumons empruntentce canal pour aller frayer dans leurrivière natale. Les autochtones quiconstituent plus de 30% de lapopulation de la région, verraient,non seulement leurs terres ances-trales traversées par le pipeline, maisils anticipent aussi les dangers dedéversement qui mettrait en péril lapêche de subsistance qu’ils prati-quent dans le canal depuis bien deslunes.

Enbridge : un bilan peu reluisantEnbridge est une compagnie alber-taine basée à Calgary qui se spécia-lise dans le transport d’hydrocar-bures par pipelines. Elle opère leplus long système de transport depétrole brut au monde. Hélas,Enbridge bat aussi de tristes recordspour le nombre d’incidents ayant

causé des déversements d’hydrocar-bures au Canada et aux États-Unis.Plus de 804 déversements entre1999 et 2010. Entre 1999 et 2006,610 incidents auraient causé ledéversement de plus de 21 millionsde litres de pétrole soit 132000barils. En 2010, plus de 3 millionsde litres (20000 barils) de brut sesont déversés dans la rivièreKalamazoo au Michigan, après larupture d’un de leurs pipelines. Lacompagnie a été sévèrement blâméepar les autorités étasuniennes, car 17heures après l’incident, la compa-gnie n’avait encore rien fait pourcolmater la brèche. De plus, la com-pagnie savait depuis cinq ans que cepipeline comportait des fissures.C’est pour Enbridge, une moyenneau bâton de 65 déversements parannée de 2000 à 2010 inclusive-ment. En juillet 2012, il y a eu undéversement au Wisconsin, ce quin’aide vraiment pas la caused’Enbridge et son projet NorthernGateway.

La résistanceLa population de la C. B. n’est vrai-ment pas chaude à l’idée de ce pipe-line. Enbridge a investi plusieursmillions dans une vaste campagne

publicitaire qui fait l’éloge de leurprojet. J’ai appris que dans les ciné-mas où la pub d’Enbridge était dif-fusée, les gens se levaient et se met-taient à la huer. Plus de 74 groupesautochtones ont créé des lois quibannissent les pipelines de leurs ter-ritoires. Des organismes ont étécréés pour empêcher la constructionde ce pipeline. D’autres, qui s’occu-pent déjà d’environnement ontemboîté le pas dans cette lutte, parexemple «Dogwoodinitiative.org »qui offre via leur site, une pétition(dogwoodinitiative.org/notankers/)que tous peuvent signer. Quant àChristy Clark, la première ministrede la Colombie-Britannique, endéclarant que sa province n’allaitpas prendre de tels risques environ-nementaux à moins de toucher sapart des profits, elle aurait vraimentdéplu aux promoteurs du pipeline, àla première ministre de l’Alberta et,on le devine, à Stephen Harper.Lueur d’espoir pour Enbridge, legouvernement des Territoires duNord-Ouest l’a invitée à venir passerson pipeline chez eux.Sources : Nathan Vanderklippe et Stuart A.Thompson (Globe and Mail), watershedsenti-nel.ca, pipeupagainstenbridge.ca, dogwoodini-tiative.org

Des pipelines et des hommes

C’est donc le 21 juin qu’elle arriveaccompagnée de dix étudiants etdeux professeurs dans la capitale deDakar. C’est de là qu’ils prendrontun autobus en ruine qui les mèneraau petit village de Cherif Lo, où sesitue leur famille d’accueil.

L’habitationLa maison n’est évidemment pascomme nous pourrions nous l’ima-giner. Seules les chambres sont pro-tégées d’un toit et le sol est en terrebattue. Malgré la très grande pau-vreté, les habitants du village luisemblent tout demême heureux.Après quelques jourspartagés avec lesSénégalais, ils ontsurnommé le groupe« toubab ». Ce motsignifie blanc dans lalangue Wolof. Lacommunication estplus difficile,puisque les gens neparlent ni français, nianglais. Malgré quele Sénégal soit uneancienne coloniefrançaise, seuls leshommes étant allés àl’école parlent notrelangue dans le village.

Mode de vieViolaine a adoré vivre avec sa familleadoptive. Lors du repas, tous s’as-soient autour d’un grand plat parterre et mangent avec la main droite,car l’autre sert à l’hygiène. « Audébut c’est étrange, mais on s’yhabitue! » Au menu, poisson et rizjour après jour. Cependant, ils peu-vent varier le menu avec des ara-chides et des mangues fraîches, desaliments abondants au Sénégal.Pour ce qui est de l’hygiène, ça n’apas été chose facile, la latrine rem-

place la toilette et pour se laver ondoit utiliser un seau d’eau.

Au quotidienPendant son séjour, Violaine et songroupe ont rénové une classe pri-maire qui était dans un piètre état.Plâtrer, sabler et peinturer occupaitleurs matinées pendant ces quatresemaines. Le résultat final estconcluant ! L’après-midi se passaitau sein de sa famille qui était poly-game. Ceci signifie qu’il y avait unpère, mais aussi deux mères! Plutôtinhabituel pour nous, mais tout àfait courant là-bas. Les enfants sontnombreux dans ces familles etdébordent d’énergie, mais parfois ilsne savent comment la canaliser.Malheureusement, beaucoup nevont pas à l’école et les activités sontlimitées, mais il faut comprendrequ’ils vivent à un autre rythme quele nôtre. J’ai appris à relaxer dit-elle,

« inch’Allah » commelui disait un sénégalais :si Dieu le veut. Maiscela signifie aussi derelaxer et prendre sontemps. Il n’y a pas depresse!Pour conclure,Violaine a adoré sonexpérience et a l’inten-tion d’y retourner, maisdans un autre contexte.Bientôt étudianteen sciences infirmièresà l’Université deMontréal, elle aimeraitvivre une expérience detravail dans un centrede santé en tantqu’infirmière.

C’est bien beau une nouvelledemeure, un nouveau décor et unenouvelle routine, mais ça exige unenouvelle tournée pour délimiter ceterritoire ! Mais ce territoire,jamais je n’avais prévu le partageravec des canards... et comme ilssont près d’une quarantaine, il abien fallu que je leur laisse un peude mon espace ! Ça peut paraîtresimple, mais la première fois qu’ilssont arrivés, j’ai entendu ce bruitincroyable, comme celui que fontles musiciens d’un orchestre sym-phonique lorsqu’ils accordentleurs instruments. Mon maître aeu beau me dire de ne pas bouger,je n’ai pas pu résister à aller tenterde leur sentir le dessous de laqueue. Bien mauvaise idée, il suffitqu’un seul s’envole pour que toutela troupe suive... Alain n’était pasbien content.Mais il n’y a pas que des palmi-pèdes dans mon nouvel environ-nement, heureusement ! Il y aChanel (comme dans mon rêve oùje me suis retrouvé au XVIIe siè-cle !), une golden retriever touterousse, mais toute aussi char-mante. Il y avait aussi cette odeurlaissée par un de mes congénèresque j’ai fini par rencontrer : une

épagneul brune, Dixie. Elle est unpeu angoissée et elle se ronge lapatte. En écoutant Alain échangeravec sa maîtresse, j’ai compris quecette inquiétude lui était transmisepar sa maîtresse, ils viennent euxaussi d’emménager et ça n’a pasété facile. Il y a aussi plein de nou-velles odeurs qui appartienent cen-sément aux prochaines rencontresque je ferai, mais en attendant, onest retourné sur la terrasse. Lescanards y étaient; cette fois-ci, j’aidécidé de les observer de loin, sansles déranger pendant que monmaître, lui s’offrait un verre deporto. En soirée, j’ai bien fait rire demoi quand j’ai sursauté à cetétrange bruit qui m’a fait dresser lepoil sur le dos. J’avais beau tournéla tête d’un côté et de l’autre, reni-fler l’air et scruter du regard, labête qui réussissait à émettre un telbruit devait être énorme ! Alainm’a dit que c’était un ouaouaronet qu’il était de la grosseur d’uneballe de golf !Il y a parmi le groupe, un canardaveugle et Alain m’a raconté cetteblague : «Tu as vu, il est toujoursaccompagné de sa cane blanche, sacanne blanche, tu saisis, Porto !»Moi je veux bien battre de laqueue pour lui faire plaisir, mais jen’y comprends rien à sa blague.

Vous pouvez m’écrire, mon maîtrese fera un plaisir de me lire voslettres: [email protected]

Porto, le chien qui parle Voyage

D’étudiante à Toubab… au SénégalLysandre Babin

Récemment, j’ai eu la chance de rencontrer ViolaineMongeau-Pérusse une jeune prévostoise âgée de vingt ans,étudiante au cégep Bois-de-Boulogne qui vient de réaliserun stage d’initiation en coopération internationale auSénégal. Même si la préparation du voyage n’a pas été detout repos (souscription, grève étudiante, crainte de nepas partir), le départ se fait tel que prévu en juin pourprès de quatre semaines. L’objectif? Vivre un choc culturelau quotidien dans la campagne sénégalaise.

Violaine Mongeau-Pérusse à Cherif Lo, avec un enfant du village

Photocourtoisie

Photo: Alain Pilon

Chaque jour a été un nouveaudéfi, une aventure qui n’a cessé dechanger de directions. Un jour, ilfallait couvrir le lancement du livrepour les aînés de Prévost et le sui-vant, faire la superbe découverted’un apprenti du club adomédia.

Porter sur ses épaules la bonnetransmission des nouvelles et ame-ner les jeunes à jouer le rôle dejournaliste ont été une granderesponsabilité, mais une belleresponsabilité…

Aller au-delà de ma gêne, ne pastenir compte de l’inconnu, poserdes questions, développer des rela-tions professionnelles, espérer satis-faire les gens concernés, tenircompte de mes propres opinions…Impossible de reculer, on comptaitsur moi pour rendre un article à lahauteur de l’événement. Bref, leJournal c’est tout ça en même

temps. C’est tout ça, ma rémunéra-tion, et elle m’a donné bien plus quece « vrai » salaire qu’on m’a accordé.

Puis, que dire de ce club adomé-dia ? Quel mandat que celui d’avoirsous son aile une vingtaine de jeunesqui ont une totale confiance en unejeune journaliste ! Que ce soitLaurie, de Piedmont, Céleste, deSaint-Hippolyte, les jeunes du campde jour, de Sainte-Anne-des-Lacs,Julien, de Prévost… Quels jeunes !Pour ces ados à la veille de prendrepart à la vie de société, vivre aussi tôtune expérience dans le mondemédiatique est un magnifique pasvers une génération engagée.

Et quel beau mandat donc d’incar-ner cette confiance qui s’est insinuéenaturellement en moi; les jeunes medonnant le rôle de l’experte, quevoulez-vous, j’ai dû le prendre! Bref,pour moi, le club adomédia c’est

plus que permettre àdes jeunes d’écrire dansun journal, car je croisbien que le plus impor-tant est de confirmer àses ados que la curio-sité est la plus belle desqualités.

Travailler ?Il est certain que par ce magnifiqueété que dame Nature nous a donné,passer des journées devant l’ordina-teur fût parfois torturant. Que cela aété dur de faire des recherches, delire d’anciens articles, d’écrire, deréviser, de reréviser, alors que monesprit m’envoyait d’idylliquesimages de plages de sable, de routesparcourues en vélo, d’amis assisautour d’un feu…Mais en repensant à tous les événe-ments que j’ai couverts, à tout ceque j’ai accompli, et à tout ce que

j’ai désormais la certitude de pou-voir entreprendre, je souri de fierté.… Et enfin, le plus grand desavantages, la crème de la crème, lemust d’avoir été engagée au Journal,est d’avoir eu le privilège de connaî-tre cette équipe. D’avoir rencontrédes personnes attachantes, d’avoircréé des liens, d’avoir partagé debonnes anecdotes, d’en avoir apprisun peu plus sur chacun d’eux, et derepartir avec tout ce beau mondederrière moi qui m’appuie et medonne confiance… Ça, c’est la plus

grosse et la meilleure des récom-penses.Je salue ce Journal qui m’a donnéune chance de me redécouvrir l’ins-tant d’un été, celui qui aura été lepremier à me lancer réellement,celui dont je parlerai à qui veut l’en-tendre, de mes premiers pas dans lemonde de l’information et qui, j’ensuis sûre, ne cessera de faire décou-vrir à la communauté, des jeunesmerveilleux, et à ces jeunes, leurcommunauté riche d’histoires inté-ressantes.

Alisson Lévesque

En cette fin d’été qui approche à grands pas, perdue entre mes travaux de finsde session et mon bien-être à moi, je songe à ce super été passé au Journal…Bien que j’aie tardé à dire oui à cette aventure, j’aurais bien aimé dire non à cetau revoir…

Le Journal des citoyens — 20 septembre 2012 31 L

Mon stage de journaliste

Long et court été passé au Journal

Alisson Lévesque en plein travail durant la fête nationale, à la gare de Prévost.

Ayant été présente le 14 et le 15août, voici comment le jour et la nuitse vivent avec ces mastodontes d’airchaud et de couleurs.

Le jourLe 14, mon regard se pose sur le festi-val qui s’active dès 13 h. Les jeuxgonflables, la maison hantée, la fêteforaine, le stand avec simulation detir de l’armée canadienne, le rallye dela zone du lait, le musée d’interpréta-tion des montgolfières : trop dechoix ! L’animation, très réussie,grâce aux bénévoles qui, malgré lasueur, semblaient aussi heureux queles festivaliers. On trouve de tout.Malgré l’absence totale d’eau potableet le coût exorbitant de certaines acti-vités et des restaurants, j’ai été agréa-blement surprise par l’innovation. Difficile de ne pas retrouver soncœur d’enfant lorsque 125 ballonsdécollent, formes libres, colorées,constellant le ciel devant la foule auxyeux ébahis. La maison hantée, l’élé-phant, tweety bird et l’astronaute ontvraiment charmé le public, dont cepetit garçon, aux cheveux bouclés,qui avec un charmant rire exaltés’évertue à dire au revoir à chaqueballon. Un moment magique quilaisse profondément émue par autantde beauté, de splendeur, de noblesseet d’élégance nous transportant ail-

leurs, donnant l’impression de sentirle vent, imaginant toucher le ciel avecles pilotes. J’ai partagé ce moment avec mameilleure amie qui souriait commemoi et me dit «… je me sens petite ! ».Que voulez-vous, même les grands,parfois, veulent devenir petits. Alorsc’est ce qu’on a fait avec un brin defolie, en allant batifoler dans les jeuxgonflables. Fous rires des spectateurslorsqu’on s’est bataillée pour embar-quer la première! Une ambiancejoyeuse, légère, aussi légère qu’unemontgolfière valsant avec le vent.

La nuitLe soir, place aux spectacles, à granddéploiement de ballons. Je croyaisavoir vu le summum en terme d’en-volée des montgolfières. Mais non: lanuit, les montgolfières offrent unnouveau spectacle sous la directionde Serge Postigo, qui a créé de lamagie. Envoûtant, élégant avec leCirque du Soleil, une bonne dose depoésie, les montgolfières devant unrideau de feux d’artifice : le Soleil lanuit. Dans un costume chatoyant,un personnage enchanté, sur unoiseau tout aussi incroyable, défilait,au son d’une musique d’inspirationceltique, devant les spectateurs. Dansune tour, des danseurs envoûtés, parle rythme endiablé de la musique,

une chanteuse à la voix ensorcelanteen quête de liberté, de désir, celui devoler. Wow! Chapeau!

Des spectacles pour tous les goûtsIl y a eu Vincent Vallières en pre-mière partie de Pierre Lapointe. Ducharisme, beaucoup de charisme.Deux types d’énergie; l’un chantantOn va s’aimer encore devant une foulebrandissant cellulaires et briquets,l’autre de sa voix lyrique faisant dan-ser la foule en chantant Dans la forêtdes mal-aimés. Des spectateurs sous lecharme de ces deux artistes. L’unplutôt mignon, une voix douce, desairs d’étés évoquant des soirées aubord d’un feu ou nos premiersamours, pleins de jeunesse, de can-deur, et d’une simplicité le rendanttout simplement irrésistible. Et l’au-tre avec un cynisme, une arrogancemaîtrisée, n’enlevant rien à soncharme, une attitude « hipster » quej’aime bien chez Lapointe. Ses chan-sons, sombres et profondes, rappel-lent Baudelaire.

Le lendemain soir, le 15 août,c’était LA grosse production! Mika,débarquait de Londres pour nousoffrir ses plus récents succès : Elle medit, Rain, Grace Kelly, et en primeur,quelques chansons de son prochainalbum : The Origin of Love. Il me faitsourire quand il parle l’anglais avecl’accent British et le français avecl’accent de Paris. J’ai trouvé ça char-mant. Le spectacle était léger, rafraî-chissant, avec juste assez d’effets spé-ciaux, une mise en scène très simple,à la fois coquine et espiègle, ce qui nedénaturait pas l’image du chanteur.On aurait dit que tout le Québec

était venu pour voir Mika. L’artistes’est donné à fond et semblait vrai-ment heureux d’être là. Malgré cer-taines difficultés avec les notes aiguësdans les premières chansons, il a étéfantastique et dynamique pour lereste. D’excellents musiciens et desairs qui n’ont laissé personne indiffé-

rent. (Même la sécurité ne put répri-mer un petit hochement de tête aurythme de Take It Easy). En un motou deux…, je dirais : Pop, funky,espiègle et charmant. Le festival desmontgolfières... Saint-Jean-sur-Richelieu est un must de l’été !

Au festival international des montgolfières de Saint-Jean-sur-Richelieu

Sous un ciel de jour et sous un ciel de nuitGabrielle Morin-Lefebvre

Pour la 15e édition du festival international des montgol-fières de Saint-Jean-sur-Richelieu, 350000 festivaliers onteu le droit à un spectacle à très grand déploiement : 125montgolfières, 1,5 millions de pieds carrés, plusieurs airesd’animation et des spectacles variés allant du cirque duSoleil à Carly Rae Jeapsen et à Pierre Lapointe. Présente les14 et 15 août, j’ai pu apprécier ces mastodontes d’air chaudet de couleurs, le jour comme la nuit.

Laurence Berthold

Saviez-vous que le volleyball deplage en était à sa première pré-sentation aux Jeux du Québec deShawinigan ? La région desLaurentides était représentée pardeux gars de chez-nous, CharlesBerthold, 14 ans, de Prévost, etNicolas Thibeault, 16 ans, dePiedmont. Afin de se préparer àcette compétition, qui se dérou-lait du 30 juillet au 3 août der-nier, Charles et Nicolas se sontentraînés 24 h par semaine, et ce,durant tout le mois de juillet.Beau temps, mauvais temps, ilsse présentaient et participaientaux entraînements dûment pré-parés par leurs deux entraîneurs,Ghislain Guénette et Jean-Daniel Lalonde.Lors de cette compétition,Charles et Nicolas ont terminé

7e au Québec. À chaque partie,ils ont offert un spectacle impres-sionnant et des jeux époustou-flants. Fort heureux de son expé-rience, mon frère Charles espèrepouvoir répéter cette aventurelors des prochains jeux dans deuxans.Charles et Nicolas évoluentpour l'Académie Lafontaine surle circuit scolaire et pour le clubCarcajou en volleyball civil.Bravo les gars !

Jeux du Québec

Nous yétions!

Photocourtoisie

Photo: Aude Provost

À la recherche du mot perdu 1 2 3 4 5 6É T O I L E

1 – Étang2 – Têtard3 – Oasis

1 2 3 4 5 6V I O L O N

1 – Vipère2 – Impasse3 – Osier

SO

LuTi

ON

De

SJe

ux

Mots croisés - Odette Morin

Concours

Charade__________________________________________________

À la recherche du mot perdu_______________________

Qui suis-je ? ____________________________________________

Septembre 2012

Charade- Mon premier est la capitale del’Italie.

- Mon deuxième est la partie d’unetasse que l’on tient dans la main.

- Mon troisième n’est pas aujourd’huini demain, mais la journée quiprécède.

- Mon tout est une femme qui estl’auteure d’œuvres littéraires.

Placez dans la case appropriée, la pre-mière lettre de la réponse de chaqueénigme, vous obtiendrez ainsi le mot re-cherché.

1 2 3 4 5

� � � � �1 – Précédé de « heavy », c’est un

style musical.2 – Celle de l’érable à sucre est grise

et parfois très rugueuse.

3 – Sport qui consiste à se renvoyer

une balle (duveteuse) par-dessus

un filet.

4 – Sert à convertir en électricité

l’énergie générée par le vent.

5 – Doigt de pied.

Mot recherché: Dans les médias, elle

prédit le temps qu’il fera.________

À la recherche du mot perdu

Qui suis-je ? Voici les trois indices qui désignent le même mot. 1 – Je suis un État (pays) d’Asie centrale situé entre la Russie et la Chine.2 – J’ai un climat très aride avec des hivers très rigoureux.3 – Ma monnaie est le « tugrik » et ma capitale est Oulan-Bator.

COUPON-RÉPONSE

4 – Île5 – Libellule6 – Esturgeon

4 – Luciole5 – Océans6 – Nuit

Le gagnant duDÉFI de septem-bre 2012 estAlec Garand, 9ans de Prévost.

RÉPONSES D’AOÛT 2012CHARADE :Eau – Parle – Heure = Haut-parleur MOT RECHERCHÉ : 1 2 3 4 5

Z È B R E1 – Zombie2 – Énergie3 – Berger4 – Repas5 – ÉclairQui suis-je? La Côte d’Ivoire

Le gagnant sera choisi au hasard parmi tous ceux qui auront eu les bonnes réponseset verra son nom et sa photo publiés dans le journal suivant. Toutes les réponses y se-ront aussi publiées. Le concours est ouvert à tous les jeunes (18 ans et moins) desmunicipalités desservies par le Journal, c’est-à-dire : Prévost, Piedmont et Sainte-Anne-des-Lacs. Nous acceptons un coupon-réponse par personne, et les fac-similés sont acceptés.

Vous avez jusqu’au 8 du mois suivant la parution du journal pour déposer votre coupon-réponse dans la boîte du concours DÉFI à la bibliothèque Jean-Charles Desroches de Pré-vost au 2945, boul. du Curé-Labelle; ou postez-le aux Éditions Prévotoises, concoursDÉFI, C.P. 603, Prévost, Qc., J0R 1T0 ou par courriel [email protected].

nvironnement – CHRONIQUE D’ISABELLE NEVEU

Odette MorinAmusez-vous et courez la chance de gagner, tous les mois, unecarte-cadeau d’une valeur de 30$ à la librairie Renaud-Bray enparticipant au concours DÉFI.

Nom --------------------------------------------------------------------

Ville --------------------------------------------------------------------

Âge ----------------------------- Tél------------------------------------


Comme vous le savez, il existe plu-sieurs produits sur le marché afin devous faciliter la tâche à l’heure dulunch. Portions individuelles et metspréparés nous charment sur les éta-gères de notre épicerie favorite. Toutcomme moi, vous avez probable-ment remarqué que ces produitscomportent de nombreux embal-lages dont certains sont superflus. Àce stade, on peut les qualifier de pro-duits suremballés.

Selon Recyc-Québec, 26% detous les déchets que l’on génère sontdes emballages. Une partie de ceux-ci sont essentiels, car ils sont utilisésafin de protéger le produit pendantle transport et pour assurer sa qua-lité lors de sa manipulation et de saconsommation. En revanche, ce quireste n’est souvent employé quepour accentuer l’attrait et la visibi-

lité du produit, favorisant ainsi savente.

Après avoir constaté que lesemballages engraissent nos pou-belles d’une façon considérable, onpeut tous se poser la question sui-vante : comment est-il possible deréduire le nombre d’emballages quenous utilisons quotidiennement?Bien qu’il n’existe aucune solutionparfaite, il y a tout de mêmequelques astuces dont j’aimeraisvous faire part. Tout d’abord, l’achatdes fruits et légumes au détail ainsique l’achat du fromage, de la char-cuterie et de la boucherie à la coupeest avantageux. En fait, ces servicesvous permettront de vous procurerla quantité de produits dont vousavez réellement besoin, tout en vousdonnant la possibilité de choisirl’ensemble de vos articles, ce qu’iln’est pas possible de faire lorsqu’on

opte pour les produits préemballés.De plus, dans la mesure du possible,il est préférable de s’abstenir d’ache-ter des portions individuellespuisqu’elles produisent énormé-ment de déchets et qu’elles sont sou-vent moins bon marché que lesgrands formats. Pourquoi ne pasacheter de grands pots de yogourtafin de le mettre vous même dans depetits contenants réutilisables? Voicidonc de bonnes options pour dimi-nuer notre consommation d’embal-lages.

Quoi qu’il en soit, la lutte contrele suremballage est très complexe etc’est pourquoi je vous propose dejeter un œil sur ce que vous avezl’habitude d’acheter, et ce principa-lement, parmi les produits que vousplacez dans votre boîte à lunch. Lesimple fait de choisir des produitsqui conviennent réellement à nosbesoins avec des emballages quinous sont nécessaires est une bonneaction. Une action qui coûte peu,mais qui rapporte beaucoup.

Isabelle Neveu

En plus d’amener rapidement le retour à l’école et au travail, lafin des vacances estivales a installé de nouveau une routine quo-tidienne au sein de plusieurs familles. Cette dernière inclut sou-vent la préparation de boîtes à lunch à maintes reprises au coursde la semaine. Voilà une tâche qui peut être bien simple pour cer-tains et un vrai casse-tête pour d’autres.

Un produit moins emballé pour

une planète plus en santé!


Diffusions Amal’Gamme Information : 450 436-3037 ou [email protected]

– Yvan Gladu

Spectacles à la salle de concert de l’église Saint-François-Xavier, 994 rue Principale, Prévost

Après avoir été thérapeute, celui-cis’investit dorénavant pleinementdans les spectacles de fascinationsurtout depuis 2007, alors qu’il s’estassocié avec la boîte Entourage. Letout nouveau spectacle Intemporelest d’ailleurs une primeur pour lesAgathois. Avant de le présenter àl’ensemble du Québec en 2013,celui-ci passera du temps en Francedès le mois de septembre pour y pré-senter d’une part le spectacle, maisaussi pour développer un volet télé-visuel avec des émissions semblablesà celles présentées au Québec.Chaque minute passe donc, ironi-quement, sans que l’on s’en aper-

çoive et le spectateur assiste au débutde l’existence humaine, de l’ère pré-historique à l’époque futured’hommes robotisés. Mais encore,Messmer revisite les classiques ciné-matographiques et les styles demusiques swing, rock, jusqu’au rap.Comme un chef d’orchestre,Messmer lance ses directives aux fas-cinés et ceux-ci les exécutent sansretenue. Non seulement les diffé-rents scénarios de Messmer sontsavamment imbriqués l’un dans l’au-tre, mais les fascinés sont eux-mêmesdivertissants à en faire pleurer de rire.Messmer leur donne ainsi des pistes,mais leur laisse le champ libre pour

fabriquer à leur façon l’histoire danslaquelle ils sont plongés.Comme quoi le subconscient resteun terrain mystérieux et fascinant.Durant l’entracte, Messmer gardeune dame âgée hypnotisée, avec lui,avec consentement de son mari,dans les coulisses, pour y tournerune petite vidéo… Aussi stupéfaiteque les spectateurs, celle-ci s’aper-çoit en train de faire des pompes quirendraient jaloux les jeunes hommesles plus entraînés : elle débute à deuxmains, puis à une, et enfin à undoigt…À moins d’avoir suggéré mentale-ment à tous d’y voir cette dame fairedes pompes, Messmer a, avec cetteseule preuve, réussi à fasciner bonnombre de gens aux pouvoirs dusubconscient.

Un spectacle dont vous êtes le héros, a dit Messmer. Pourles spectateurs, le fascinateur est toutefois resté Messmerlui-même. Avec le lancement de son dernier spectacle,Intemporel, celui-ci confronte les plus sceptiques quant àl’existence réelle du magnétisme et de la suggestion, dutransfert d’énergie et de la télépathie…

Hydro Québec, partenaire d’Amal’Gamme

Les Grands Classiques

La première raison d’être du Quartet Night Dreamera été l’exploration de la musique de Wayne Shorter,jazzman célèbre. Ravis de leur expérience, les quatremusiciens de l’ensemble ont décidé d’une nouvellecollaboration.

Massiel Yanira

Una Voz, un soleil sur scène

Ville de Saint-Colomban, partenaire d’Amal’Gamme

Jazzen

La série les Grands classiques Hydro-Québec proposeraaux mélomanes des virtuoses de grande renommée qui ontfait leur marque sur la scène nationale et internationale.

Cette série constitue une occasionsans pareille de pouvoir voir etentendre ces artistes dans notrerégion, et ce, à un prix des plusabordables. Cette série accueillera :Le samedi 27 octobre 2012 :Vélitchka Yotcheva, violoncellisteet Patrice Laré, pianiste, fonda-teurs de la Société de Musique dechambre de Montréal. Le dimanche 4 novembre 2012 :un concert réunissant deux desmeilleurs solistes canadiens derenommée mondiale, AlexandreDa Costa au violon et WonnySong au piano.Le samedi 23 mars 2013 célé-brera le retour du pianiste PierreJasmin dans la région, dans une

soirée consacrée aux plus bellessonates de Beethoven.Le samedi 13 avril 2013 :Mathieu Gaudet, vedette mon-tante du milieu de la musique auQuébec nous offrira les plus bellespièces de Schumann.Le samedi 18 mai 2013 nousrecevrons Raoul Sosa en concertdans un programme piano deuxmains et pièces virtuoses pour lamain gauche seulement qui a étéhonoré comme Membre del'Ordre du Canada en 2009 poursa contribution à l'avancement dela musique au pays en tant quepianiste, compositeur, chef d'or-chestre et professeur et pour ladétermination avec laquelle il apoursuivi sa carrière.

Michel Dubeau, Andrée Boudreau, Richard Dupuis et Alain Boyer

Andrée Boudreau (piano), AlainBoyer (batterie), Michel Dubeau(saxophone) et Richard Dupuis(basse) ne sont pas les premiersvenus. Chacun a fait partie de diffé-rentes formations musicales, desorte qu’à eux tous, ils cumulentpresqu’un siècle d’expérience. Ilssont toutefois encore animés d’unegrande curiosité pour le monde duson, ce qui les pousse à élargir leurroute et englober l’Orient dans leurhorizon.C’est ainsi que la flûte japonaiseou shakuhachi fera partie de lanouvelle palette qu’ils sont à com-poser. On sait déjà que plusieursgrands du jazz (Coltrane, Corea,Towner …) seront de la partie : les

mélodies et les structures serontadaptées pour faire place à la voixdu shakuhachi. Réciproquement,des thèmes traditionnels japonais,idiome habituel de la flûte, seronttraités à la façon du jazz modal.Des échanges de haut vol nousattendent, intercalés de différentsduos sur le mode ludique ou deméditations plus classiques. Ce sera l’exploration d’une pla-nète sonore où l’Orient etl’Occident s’interpellent, se sédui-sent et trouvent un langage com-mun.Le samedi 29 septembre 2012,à 20 h, à l’église Saint-François-Xavier, 994, rue Principale, Prévost(Entrée : 25$).

En espagnol ou en français, ellechante aussi bien ses propres compo-sitions que le répertoire traditionnellatino-américain. Sur scène, elle estaccompagnée de trois excellentsmusiciens. Partout où elle passe, l’ar-tiste charme par son authenticité etsa joie de vivre. Son univers musical,empreint de rythmes enlevants etvariés, vous fera vibrer, danser et tra-verser les frontières… Massiel Yaniraconnaît un parcours diversifié, et ce,de par sa relation privilégiée avec lestrois pays marquants de son enfance(Canada, El Salvador, Haïti).

Née à Montréal d’une mère latino-américaine et d’un père québécois,elle grandit entre ces deux cultures.Massiel quitte le Québec à l’adoles-cence et s’installe à San Salvador, enAmérique centrale. Cet environne-ment lui permet d’approfondir sesconnaissances de la langue espagnoleet de la culture latino-américaine. Deretour au Québec, elle complète sonbaccalauréat en chant classique àl’Université McGill en 2003. Aprèsavoir exploré différentes avenues, lamusique latine s’impose alors natu-rellement au cœur de sa démarche.

C’est à l’automne 2008 qu’elle ren-contre Alexandre Cattaneo quideviendra le réalisateur et l’arrangeurde son plus récent projet de création«Una Voz».Pour vous, le samedi 6 octobre, à20 h, toute la beauté des rythmeslatins.

Massiel Yanira présente «Una Voz», un spectacle chaleureuxet teinté d’émotions tiré de son premier album du mêmetitre.

Massiel Yanira

Confidences d’un Stradivarius meten vedette la jeune violonisteCaroline Chéhadé (Prix JohnNewmark 2005 et 2006; Prixd’Europe 2007). Lauréate duConcours 2009 de la Banque d’ins-truments de Musique du Conseildes Arts du Canada, Caroline a leprivilège de jouer, pendant trois ans,avec un instrument d’exception : le

Stradivarius Windsor-Weinstein,fabriqué en 1717. Avec comme fil conducteur lessouvenirs de celui qu’on surnommeaffectueusement «Windsor », leconcert prend la forme d’un récitpassionnant d’où émergent toutnaturellement des oeuvres-clé durépertoire violonistique. De Bach àProkofiev en passant par Mozart,

Ravel et Sarasate, «Windsor » nousraconte avec verve, émotion ethumour son incroyable (et pourtantbien réelle) destinée... Avec la comé-dienne Catherine B. Lavoie à la nar-ration et Philip Chiu au piano. Lesamedi 13 octobre 2012, à 20h.

Carole Chéhadé

Caroline Chéhadé

Confidences d’un Stradivarius

«Avez-vous déjà eu l’intuition que votre existence pourrait défierles siècles? Pouvez-vous concevoir de vivre 293 ans? Moi, j’étaisbien loin de me douter du long périple qui m’attendait à ma sortiede l’atelier de la Piazza San Domenico... On m’appelle Windsor.Windsor-Weinstein.» (...)

PRENEZ NOTE...que la fête médiévale et le spectacle Skarazulaprévus le 22 septembre ont été annulés

Messmer au Patriote

Sainte-Agathe complètement fascinée

Spectacles d’ici avec Alisson Lévesque


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Marie-Pier Racine en est à sa 4e année dans la pratique de l’acupuncture. Après des études de3 ans au Collège de Rosemont, elle est membre de l’OAQ et de l’AAQ. Elle continue de se perfectionner enallant chercher de nombreuses formations : la fertilité, le suivi de grossesses et la pédiatrie. Existant depuis5000 ans, l’acupuncture est une médecine énergétique chinoise. Elle évalue l’être humain dans son ensemble etvise une circulation harmonieuse de l’énergie dans le corps. L’outil thérapeutique utilisé pourtraiter est l’aiguille d’acupuncture. Très différente des aiguilles servant aux vaccins ou aux prises de sang,l’aiguille d’acupuncture est comparable à un cheveu en terme de diamètre et est presqu’indolore.

L’acupuncture peut vous aider dans plusieurs problèmes notamment : la fatigue, l’anxiété, l’insomnie, lesallergies, les migraines, les douleurs, les bouffées de chaleur et bien plus encore. Les changements de saison sontdes périodes favorables pour traiter les déséquilibres, alors profitez de l’arrivée de l’automne pour vous fairetraiter en acupuncture. Elle pratique à la Clinique de Physiothérapie et Ostéopathie Fadi Eid depuis 2010.Voir l’annonce en page 12. Pour une consultation, veuillez communiquer au 450 822-2677.

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Lysandre Babin

L’équipe de soccer u-16 masculin duClub FcBoréal a remporté la médailled’or face aux neuf équipes qui pre-naient part au Tournoi de Terrebonnedu 17 au 19 août dernier.

Pour Dominique ladouceur et Peter Dulude,respectivement gérante et entraîneur pourl'équipe u-16m FcBoréal et, l’esprit d’équipe,l’effort, la persévérance et la camaraderie les ontmenés vers cette belle victoire, bien méritée.

Ces jeunes hommes entre 15 et 16 ans ontfourni à leur équipe le meilleur d’eux-mêmessous la supervision de leur entraîneur PeterDulude.Une attitude positive ainsi qu’un respectmutuel ont fait que ce tournoi soit des plusconstructifs et valorisants. Un gros bravo à cesjeunes qui ont tout donné pour gravir la pre-mière marche du podium! L’équipe voudraitsouligner le soutien des commanditaires quiont cru en eux, de même que celui des parents,de leur soutien et de leur encouragement.

Le soccer à l’honneur

Go! Fc Boréal Go!

Quand tout lemonde s’y metRenée Caron

Le club de plein air de Prévost aorganisé une corvée pour le main-tien de la qualité des sentiers duParc de la coulée, le 16 septembredernier.

Mais ils ont encore besoin d'aide pour fairele ménage d'automne. Les intéressés peuvents’adresser à clubpleinair@ ville.prevost.qc.ca.Rappelons que le Club plein air de Prévostest un organisme à but non lucratif qui existedepuis 2001. Sa principale mission est de pro-mouvoir la pratique des sports de plein airtypiques à notre région. À Prévost, la nature setrouve dans notre cour et le Club plein aircherche à nous en faire profiter pleinement, etce, à l’année. Les membres entretiennent lessentiers du parc de la Coulée qui sont tracés etbalisés pour la pratique de la marche, du vélode montagne, du ski de fond et de la raquette.Carte des sentiers : www.ville.prevost.qc.ca/pdf/pdfgeneral/cartecoulee.pdf

Toute une équipe de jeunes au travail

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