NOUVELLES FANTASTIQUES - Arsene76
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NOUVELLES FANTASTIQUES
Classe de 4e4
Collège Paul Bert Année 2018 – 2019
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Tannirra Smith 49 ans, est prof de physique chimie.
Des objets qui prennent vie dans sa salle de cours : des atomes, éprouvettes,
Elle s’est endormie en corrigeant les copies : 22h, elle avait bu, comme à son habitude
quelques bouteilles.
Quand elle boit elle s’endort. Alcoolique.
Réunion d’alcooliques anonymes le 30 novembre 2002 au Havre dans un hôpital
abandonné. Aujourd’hui au programme : comment arrêter l’alcool.
Je vais raconter l’histoire qui m’est arrivée il y a 10 ans, depuis ce jour j’ai arrêté de boire.
« BRAVO ! »
« Bonjour je suis Tannirra.»
« Bonjour Tannirra ! »
Comme à mes habitudes je corrige en buvant des verres de whisky quand j’ai eu des
hallucinations lorsque que je corrige la copie de Lilou Smith sa fille qui avait 13 ans.
Mon stylo à moi, les fiches des élèves, les bonnes et les mauvaises notes des élèves de la
classe 4eme4, les liquides et les éprouvettes graduées.
Tout à coup la lumière s’est éteinte et les objets ont pris vie dans la seconde qui vint.
Mon stylo m’a attaquée et s’est planté dans ma main et je l’ai cassé en mille morceaux et je
me suis évanouie de douleur.
Le lendemain matin le principal du collège m’a retrouvée au sol en tenant le stylo dans ma
main plein de sang.
Est-ce que c’est du surnaturelle ou mon hallucination ?
La suite à la prochaine réunion des alcooliques anonymes…
« AU REVOIR ! »
Clément
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Élisa se rend à l’hôpital pour faire le ménage, elle croise un collègue.
«Coucou Elisa ça va ? Tu vas faire le ménage à l’étage des enfants? »
«Coucou, oui je vais nettoyer là-bas pourquoi? »
«Comme ça mais fais attention il se passe des choses bizarres à cet endroit. »
«Si tu essayes de me faire peur ça ne marche pas. Allez à demain ! »
«À demain mais fais attention ! »
Après cette discussion, Élisa accomplit son travail sans le moindre incident.
Elle ne dormit pas beaucoup cette nuit-là, elle rentra dans l’hôpital et ne croisa personne.
Elle se dit : « c’est mon hallucination. »
Une voix terrifiante lui dit :
« Non nous sommes réels nous sommes tous réels.»
Cela glaça le sang d’Élisa .
Élisa rentra chez elle et entendait toujours toutes ces voix. Elle décida d’aller dormir quand
même.
1 semaine plus tard…. C’était un vendredi.
Élisa n’était pas allée travailler pendant 1 semaine parce que elle était gravement malade
après tous ces évènements.
Son collègue lui rendit visite le dimanche pour prendre des nouvelles. Elle dit
« ALALA JE NE ME SENS PAS BIEN DU TOUT ! »
« Ne t’inquiète pas on peut aller chez le médecin.»
Elle alla chez le docteur puis retourna travailler. Elle alla à l’étage. Ses migraines
recommencèrent.
Sa vue devenait floue elle vit une patte. Cette énorme patte était rouge de sang. Après elle
vit un énorme nounours aux yeux rouge. Elle était terrorisée. Elle tremblait et transpirait. Le
gros nounours l’attaqua. Elle mourut d’une mort affreuse. Depuis, cet hôpital ferma pour
violence sur leur employé.
Lucie
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Il y a 2 ans de cela, je fus adoptée par une famille d’accueil car mes parents maltraitaient
ma sœur. Jusqu’au jour où sa vie laissa place qu’à de simple souvenir.
Lorsque ma sœur, Katnisse, se fit tuer par mon père, je me trouvais dans le salon. Mon père
hurla sur Katnisse et la frappa au visage. Je voyais le corps de ma jumelle étendu au sol.
Depuis ce tragique jour, les médecins disaient que mon traumatisme pourrait me causait de
grosses comme de petites crises.
Aujourd’hui j’ai 15 ans et je vais pouvoir enfin vous raconter cette histoire, j’ai tant attendu!
Quelques jours après mon adoption et mon déménagement dans la ville du Havre, ma mère
adoptive me fit visiter les pièces de la maison.
La demeure était plutôt sombre, il y avait de vieux meubles anciens, le sol était en bois et
craquait au moindre pas. Ma chambre se trouvait à l’étage, il fallait monter de vieux
escaliers bruyants pour y parvenir.
Ma chambre n’était pas refaite, elle était vieille et sentait le renfermé. Après le repas je
m’installai confortablement dans le canapé et me mis à regarder les informations. Mon père
passait à la télévision, pour avoir commis le crime de ma sœur. Je regardai fixement mon
père, de tristesse mais aussi de colère.
Son regard se tourna vers la camera, il la regardait fixement, j’étais mal à l’aise, j’avais la
sensation d’être visée, il fit un sourire malveillant mais la télévision se coupa. Arrivée dans
ma chambre, je m’allongeai sur le lit qui grinçait, mais malgré ma peine, je me mis à
m’endormir.
Dans les alentours de minuit, je fis un énorme bond, quand je crus entendre les escaliers
craquer comme de la glace qui se brisait, je tirai ma couette jusqu’à mon cou en guettant le
moindre geste.
Le bruit s’arrêta, un gros blanc s’installa et quelques minutes après reprit. On n’aurait dit
qu’il ou elle marchait pieds nus sur le carrelage du couloir. Ma respiration s’accélérait, mon
cœur battait à plein temps, des rires se firent entendre, ils provenaient de chaque côté de la
pièce, la fenêtre s’ouvrit, la lune forma une ombre! Une ombre d’une personne qui marchait
dans la pièce. Je tentai de me cacher sous la couette, quelques instants plus tard le bruit
s’arrêta, je sortis lentement de la couette et regardai toute la pièce.
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Je me levai même si mon instinct m’indiquait le contraire. Quelque chose se cassa derrière
moi, je sursautai, regardai et me dis que c’était sûrement moi en me levant. Je marchai
seule dans la pièce, guettant les moindres faits et gestes. Je crus sentir un frôlement, je me
retournais mais ne vis rien.
Je m’approchai lentement de la porte, une ombre passa devant moi à grande vitesse. Je
sentis la peur m’envahir. Je reculai, reculai, et reculai. Jusqu’à ce que je me cogne contre
une commode et que je fis volte-face.
Dans la vitre je vis mon père, il avait toujours un sourire malveillant, j’avais énormément
peur !
Mais il mit son doigt sur sa bouche et mit son autre main sur la mienne.
Je le sentis contre moi, mon cœur s’emballa d’une vitesse immense, je me sentais devenir
blanche, mes bras devenaient mous, ma vision devenait floue, je me sentis tomber.
Lorsque je me réveillai, ma mère adoptive était à coté de moi, elle me tenait la main d’une
façon rassurante. Je lui dis:
«Que m’est-il arrivé?»
«Tu as fait une crise … Encore. Je t’ai trouvée par terre près de la fenêtre, tes parents t’ont-
ils dit que tu faisais du somnambulisme ? »
J’ignorai royalement sa question et lui fis part de ce que j’avais vu la veille.
«J’ai vu papa! Je l’ai vu!» Mes yeux devenaient humides sous le coup de l’émotion.
«Cela m’étonnerait que t.. » sans lui laisser le temps de finir je lui répétai d’une voix plus
ferme:
«JE L’AI VU!» elle ne répondit rien. D’une voix plus douce je continuais de lui parler.
«Si je devenais folle … Alors comment pourrais-tu expliquer que je saigne de la bouche? Il
me tenait la bouche … Je m’en souviens!»
Elle me regardait, me prit la main plus fermement et m’expliquait alors:
«Bon, et bien je ne voulais pas te le dire dans ces conditions, mais apparemment je n’ai pas
vraiment le choix. Ton père a été exécuté… Je suis désolée ma puce» Amélie
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Le portrait
Je vais vous racontez ce qui m’est arrivé. Il s’est passé une chose si bizarre et si
inexplicable. Vers l’âge de mes 16 ans mes parents avaient divorcé et j’avais dû aller habiter
avec ma mère car mon père avait un travail qui prenait beaucoup trop de place dans sa vie.
Le mercredi 16 juillet 2009 je rentrais de l’école à pied car ma mère m’avait avertie le matin
qu’elle ne pourrait pas venir me chercher. J’ouvris la porte de ma maison, enlevai mes
chaussures et rangea mon manteau dans le placard. J’avançai vers la cuisine et je
découvris ma mère pendue. Pris de panique je partis frapper à la porte des voisins pour
demander de l’aide. Puis les voisins appelaient les pompiers, les pompiers arrivèrent alors
et j’avais donc était prise en charge par mon père qui fut prévenu de l’incident. Une semaine
après cette tragédie je décidai donc de dessiner un portrait de ma mère car elle me
manquait beaucoup et surtout pour avoir un souvenir de
son beau visage. Le portrait étant fini, je décidai de
l’encadrer et de l’accrocher dans ma petite chambre si
sombre et si étroite pour pouvoir y mettre un peu de gaieté.
Un soir d’orage, je décidai d’aller me coucher de bonne
heure car il n’y avait plus de courant dans la maison.
Cette chambre me faisait encore plus peur avec tous ces
éclairs qui faisaient refléter certaines ombres un peu
étranges.
Je réussis quand même à m’endormir quand vers 3 heures
du matin j’entendis un bruit étrange.
Je me levai pensant que c’était mon père qui était levé et je
décidai de descendre pour le rejoindre. Arrivée dans le salon, il n’y avait personne. Je
remontai donc dans ma chambre un peu apeurée. Je me recouchai et j’entendis une
nouvelle fois le bruit «touc touc touc» je commençai à m’inquiéter et là tout à coup le portrait
de ma mère se mit à bouger, je me cachai sous ma couverture noire à rayures blanches et
le portrait tomba sur le sol poussiéreux, je me levai pour regarder le portrait et le dessin que
j’avais fait avait disparu et à côté il y avait un long cheveu brun comme celui de ma mère. Je
raccrochai le cadre et je retournai dans mon lit soudain une silhouette sortit du portrait.
Ilona
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Les monstres de l’Undergroud
Dans un petit village vivait une jeune fille nommer Frisk elle vivait avec sa mère dans ce
village. Elle avait deux frères, un qui se nommait Jack, son frère jumeau Chara, et les trois
triplets, elles se nommaient Susie, Alexandra et Alice. Ce village était décoré de roses
blanches et rouges, de pommier et de buisson.
Comme tous les matins je me levais à 6h25 du matin pour aller prendre mon petit déjeuner,
comme j’étais grande pour m’occuper de moi-même je préparais mon petit déjeuner toute
seule. Après avoir pris mes bonnes tartines de Nutella avec mon jus de pomme, je vis mon
frère Jack en pleurs et je lui demandai:
« - que t’arrive-t-il petit frère ?!
-j’ai vu un monstre sous mon lit!! »
Et je le savais, mon frère avait encore rêvé d’un monstre sous son lit. Je le pris dans mes
bras et je lui donnai un baiser sur son front pour lui dire pour la 15ème fois que les
monstres n’existaient pas. Après avoir fait le déjeuner à toute ma famille, je me rendis dans
ma chambre pour me préparer pour aller à l’école. Je mis mon pull bleu avec des traits
violets, mon short marron et mes chaussures marron clair.
Je pris mon cartable, sortis de la maison, et je pris le chemin pour aller à l’école. Sur le
chemin je rencontrais mes copains de classe qui prenaient le même chemin que moi.
Arrivée à l’école je me mis dans mon rang et mon prof arriva très en colère et nous dit : « qui
a pris le cartable de Julie ce matin ? »
Très vite je compris que c’était Nathan et son gang qui avait encore prit son cartable donc
moi et mes amis dîmes: « -C’est Nathan et son gang!!!! »
Le prof furieux cria sur le jeune garçon et ses amis, toute la classe se moqua du gang qui
eux était gêné se faire réprimander en publique. Après on commença le cours par du
français (c’est une des matières que j’adore, je suis premier de la classe pour cette matière).
À la fin des cours, je rentrais chez moi, mais je m’arrêtai car j’entendis des chèvres (sauf
que dans mon village on n’avait pas de chèvres), je me rendis vers les cris des chèvres. En
regardant derrière le buisson, je vis trois chèvres debout qui portaient des vêtements
recouverts de terre, tellement j’avais peur je restais figée, et j’entendis une chèvre parler,
elle disait : « - nous revoilà chez nous, notre chez nous qui a été pris part les humains !
Jeunes monstres venez à la surface ! »
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Et des monstres sortirent de la terre, des squelettes, une personne de feu, des oiseaux de
glace, des grenouilles et mouches qui parlaient et une araignée servante.
De peur je criai d’une voix très aigue. Une chèvre qui portait une robe violette et blanche,
s’approcha et me fit un câlin. Je ne compris pas, un monstre ça attaque normalement, non? )
et me dit:« - jeune fille comment t’appelles-tu ? »
Je répondis à voix basse: « Frisk… »
Et c’est à ce moment que je compris que ces monstres voulaient la paix avec les gens de
mon village, donc je les accompagnais à mon village, tout le monde avait peur, et moi je les
rassurais en leur disant : «ils ne veulent pas la guerre mais la paix !!!! »
Et là tous les villageois commencèrent à s’approcher des monstres, un peu méfiants. Mais
quelques minutes après les monstres et les villageois se réconcilièrent, deux nouvelles
maisons furent construites spécialement pour les monstres, un bar fut ouvert. Moi je
m’amusais avec mon meilleur ami Asriel.
Manola
Olivia Danarah, femme de 25 ans, vivait dans une ville nommée Amsterdam. J’habitais
avec sa mère et son petit frère de 15 ans. J’étais médecin secouriste dans un hôpital très
sombre et pauvre, pas beaucoup de revenus donc pas de quoi financer une maison.
Un lundi j’allai au travail avec mon amie Lova nous marchions quand je vis mon fiancé
Mayjor, Lova me demanda si je voulais bien aller à une fête avec elle.
Je le regardais.
Mayjor : « Vas avec ton amie »
Évidement je ne disais pas la vérité, mes amis et moi avions prévu d’aller visiter l’endroit
hanté près de chez moi. Cet endroit était vieux et abandonné.
Jade
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Le fantôme du cadre
Lors d’une soirée dans une maison abandonnée,
des personnes racontaient des histoires, lorsqu’un
moment quelqu’un rentra dans cette maison et
cette personne était Guillaume Delaporte. C’était un ancien policier de 40 ans. Il s’avançait
et commençait :
« Il y a 4 ans je rentrai chez moi et j’étais fatigué, je rangeai mon pistolet et allai me coucher.
Pendant la nuit la télé s’allumait toute seule et puis s’éteignait, ensuite les lumières
s’allumaient aussi. Vers 1 heure du matin j’entendis un grésillement de lumière, je me levai
même si j’étais fatigué. Je courais pour voir ce qui c’était passée. Une chose passait par le
cadre qui était tombé. Soudain je vis un fantôme passer une main par une main, pied par
pied et puis la tête. Cette chose ressemblait à ma femme qui était morte lorsqu’elle était
passait de l’objet, il y a 8 ans maintenant, à ce moment je pensais être fou mais non je
l’avais bien vue et elle me parla.
Mais quand elle me parlait je ressentais un frissonnement. Je n’osais pas lui parler et quand
je lui parlais elle ne comprenait pas car pour elle c’était un autre langage car elle était
d’origine allemande mais quand elle parlait elle parlait presque de l’allemand mais je ne
comprenais pas tout et j’essayai de lui répondre mais je ne comprenais pas. Donc c’était
dur de lui répondre puis elle me parlait encore et encore même si je ne lui répondais pas. À
3 heures du matin le fantôme disparut tout d’un coup comme si elle mourait. Mais elle
disparut comme ma femme mourut et puis à la même heure. Quand elle disparut je
ressentis de la tristesse et de l’inquiétude car je ne savais pas pourquoi elle était là mais
c’était bizarre. Depuis ce jour, je ne vis plus cette chose. Mais vous allez me dire que
j’hallucinais et depuis tout ce temps je ne disais à personne tout cette histoire car tout le
monde me penserait fou ou que j’aurais tout inventé mais il faut que vous me croyiez car un
jour ceci vous arrivera peut-être un jour.
Axel
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Je vais vous raconter une histoire qui date de 1964, une année ou les humains vivaient en
paix…
Jusqu’à un JOUR!
Voici mon histoire, un garçon nommé Eren Jäger et ses deux amis Mikasa et Armin.
Je vivais tranquillement avec ma mère mon père et ma sœur Mikasa. Pendant un jour banal
j’étais partis acheter du bois avec Mikasa et d’un coup j’ai vu un énorme titan mais Mikasa
ne l’avait pas vu et me dit que j’étais fou mais de la terre volait.
Dans mon village, je n’étais pas le seul mon père ma mère aussi le voyaient.
Le lendemain nous partîmes dans un autre village mais on dormait dans de la paille, on
mangeait une fois par jour et c’était seulement du pain.
Il y avait une queue car mon père travaillait car avoir un médecin dans sa ville était très rare
maintenant donc c’était normal. J’attendis le soir au moment où il arrêtait de soigner les
gens.
Suite à ça je dormais dans un lit, je me lavai et le lendemain je fêtais mes 18 ans je pourrais
enfin m’inscrire à l’armée contre ces titans fantômes mais pour l’instant je dormais à côté de
Mikasa et Armin.
Le lendemain on fêtait mon anniversaire en même temps que Mikasa et Armin.
L’anniversaire fini, on partit tous ensemble s’inscrire à l’armée avec Mikasa et Armin mais
Armin venait juste pour nous suivre mais c’était devenu un grand stratège Mikasa une
guerrière forte et moi euuhh un nul…
À la fin de l’entraînement, on nous annonça qu’on allait à la ville rose car depuis qu’on était
partis les gens étaient décédés pour une raison inconnue. Pendant la nuit, mon père
m’injecta un «virus» et me dit « protège Mikasa et Armin » mais j’ignorais les effets, dès que
le jour se leva, je ne parlais pas de ce que mon père m’avait injecté.
Nous partîmes pour le village Rose.
Arrivés au village, l’atmosphère était étrange dedans. Notre but : savoir pourquoi. Après le
briefing, nous partîmes tous de notre cotée avec notre groupe mais tout ne se passa pas
comme prévu…
On nous signala les premiers morts des soldats suite à ça le groupe où il y avait Armin et
moi-même se fit éliminer sauf Armin un autre soldat et moi-même.
Mais il se passa quelque chose d’horrible, je me fis manger mon bras et suite à la perte de
mon bras un titan m’attrapa et me mangea.
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Armin avait assisté à la scène, il était en pleurs il venait de perdre son ami devant ses yeux
mais je compris en quoi consistait le virus que mon père m’avait injecté, et j’attendis et je
pensai à exterminer tous les titans du monde de ma main !
Et d’un coup un gros coup d’éclair tomba du ciel comme celui qui avait causé l’apparition du
titan fantôme et un titan fantôme sous l’éclair apparut, et c’était moi. Je tuai tous les titans
que je voyais tous de a à z et un moment je vis Mikasa dans une mauvaise posture j’allai la
secourir et là je tout compris, ce que m’avait dit mon père, pourquoi moi, j’avais absolument
tout compris. À la fin, tout le monde se demandait « qui
est ce titan fantôme ?! Il est gentil?» et d’un coup je
sortis du corps du titan fantôme et mon bras était de
retour je n’avais aucune blessure.
A suivre dans les aventure d’ Eren Jäger !
Allan
C’était un vendredi soir mon jour préféré ! Il s’est passé quelque chose de grave… Je vais
vous raconter ce qui m’est arrivé. J’étais avec mes copains (Guillaume Aurélien et Gabin),
nous étions en train de jouer à action et vérité. Le moment était venu, mes amis me
posèrent la question « action ou vérité ? » je répondis vérité, il me demanda quelle était ma
plus grande peur. Alors c’était mardi il y a deux semaines quand j’avais tapé l’autre là...
heuuuu... comment il s’appelle ?
Guillaume me dit que c’était Mathéo. Je me fis exclure de mon collège, maintenant tous les
jours, tous les soirs...
Maël
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Maintenant que l’histoire est terminée, je vais pouvoir vous la raconter.
J’en tremble encore…
Tout commença le 8 mai 2003.
C’était le jour où ma mère nous annonçait :
« Les enfants, avec votre père, on a dû prendre une grande décision ».
On les a regardés, mon frère Paul, ma petite sœur Faustine, et moi, avec de grands yeux.
«Nous avons décidé de déménager ». Mon père ajouta : « J’ai eu une promotion de travail,
très importante pour moi, mais ce travail se situe à quarante-cinq kilomètres d’ici. Nous
sommes obligés de déménager. En plus, nous avons trouvé une superbe maison à la
campagne, loin de la ville, ce qui fait très plaisir à votre mère ! »
J’ai demandé : « Est-ce que je vais changer de collège ? »
Mon père me répondit que non mais que je devrais prendre le car.
Le lendemain, nous commencions à faire les cartons. J’étais un peu triste de quitter ma
chambre, mais il le fallait bien. Deux semaines après, nous mettions les cartons dans le
camion et nous quittions notre appartement. Après une heure de route, nous arrivions enfin.
Le désastre !!! Il y avait une vieille grange avec des vaches et des moutons que le
propriétaire nous avait laissés, et puis un grand jardin avec un chêne sur lequel était fixée
une balançoire. Quand nous sommes rentrés dans la maison, il faisait noir et un vieux rat
sortit de la maison à notre entrée. Bonjour les dégâts !
Ma mère ajouta : « Quelle jolie maison ! Il manque juste un peu de lumière et un coup de
chiffon dans toute la maison. » Je voyais qu’elle n’était pas si contente que ça avec son
sourire en coin. Alors, avec mon frère et ma sœur, nous nous sommes mis tous les trois à
nettoyer la maison de fond en comble pendant que mes parents déchargeaient les cartons
du camion.
Après avoir passé trois heures à tout nettoyer, je choisis enfin ma chambre, la plus grande
évidemment, mais je découvris très vite des choses étranges. Il y avait des traces de sang
sur le mur, sur le parquet et les vitres étaient rouges. Je commençais à m’inquiéter mais ça
n’était que le début. J’ai dû donc nettoyer les traces de sang sur les murs et les vitres. Après
avoir vécu ce moment désagréable de nettoyage, nous avons décidé d’aller au restaurant
puis au cinéma. Nous passâmes une superbe soirée.
Nous sommes rentrés à la maison et le cauchemar continua. Il y avait des traces de sang
énormes sur la porte. Mes parents était terrifiés et ma mère sortait sa phrase préférée « Ce
n’est pas grave, ne vous inquiétez pas, tout va s’arranger ! Il doit y avoir une explication ».
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Je prenais ces traces de sang comme un signe de bienvenue. Je me couchais terrifiée en
pensant à la journée du lendemain. Je passais une très mauvaise nuit à ne faire que des
cauchemars. Le matin même, mes parents m’avaient informée que le propriétaire avait
interdit à mes parents d’ouvrir trois portes car il y avait toutes ses affaires et que c’était
personnel. Moi, têtue comme je suis, j’hésitais à écouter mes parents et à ouvrir les portes.
Je décidais de faire ma têtue et d’aller voir ce qui se cachait. Je décidais d’ouvrir une
première porte. J’ouvris et je découvris un garage avec une moto, un atelier de bricolage et
une tondeuse. Je découvris que sur la tondeuse, les roues étaient rouges et qu’elles
baignaient dans le sang, à côté d’elle, il y avait des gants de chirurgien. Je sortis de la pièce
avec un petit pincement au cœur. J’ouvris la deuxième porte, et je découvris qu’il y avait
comme une salle d’opération avec un lit d’opération et tout le matériel de chirurgie. J’en
déduisais que le propriétaire était un chirurgien. J’avais froid et j’étais aussi terrifiée que la
veille. Je pris mon courage à deux mains et j’ouvris, enfin, la troisième porte.
La porte donnait sur une pièce sombre et lugubre, il s’agissait d’une sorte de cave. Il faisait
très noir et très froid. Aussi, j’allumais la lumière de mon téléphone et je descendis l’escalier.
La pièce était bleue. Je fis une horrible découverte. Je n’en croyais pas mes yeux. Là, sur
une étagère, il y avait des bocaux, je voyais des bocaux avec des cœurs humains dans un
liquide, comme du formol, pour conserver les organes en bonne état. Le soit disant
chirurgien était en fait un meurtrier. Je sortais en courant de la pièce en claquant la porte
derrière moi. Je gardai le secret pendant deux jours. Et puis, de plus en plus de choses
étaient étranges : la balançoire s’était transformée en corde, les rideaux volaient tous seuls,
les portes s’ouvraient toutes seules également et mon miroir était cassé et la tondeuse avait
disparu. Le lendemain je devais aller nourrir les vaches et les moutons, je découvris que les
vaches étaient mortes par un coup de couteau et il restait un mouton sur les six. J’étais
terrifiée. Trois semaines étaient passées avec les mêmes choses étranges et je découvris
notre voisin pendu au chêne.
Héléna
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Je suis dans un hôpital psychiatrique depuis des mois, on pense que je suis folle, que je
délire depuis ce jour où je l’ai revue, elle, laissez-moi vous raconter ce qui m’est arrivée:
Comme tous les vendredis, après la sonnerie de l’école, j’allais acheter des roses pour les
déposer sur la tombe de ma sœur. Elle s’appelait Valentine, elle avait les yeux bleus, des
cheveux châtains et était assez grande pour son âge. Elle était décédée le jour de ses dix
ans, on n’en connaissait pas vraiment la cause, mais ce n’était pas une mort naturelle.
Arrivée au cimetière, je partis en direction de son tombeau. Je déposai donc les fleurs, puis
je commençai mes devoirs. Quand je les eus finis, je restai là pensant aux bons moments
passés ensemble.
Puis mon portable sonna, c’était ma mère, elle commençait à s’inquiéter de mon absence.
Cela ne m’étonnait pas, il était vingt-trois heures. Je me levai, mis mon sac sur mon dos
puis me dirigeai vers la sortie. Lorsqu’un petit frisson de peur m’envahit. De la brume
descendait, le vent commençait à souffler, on ne voyait plus aucun nuage dans le ciel, c’était
la pleine lune. C’était sombre, très sombre.
C’était la première fois que je restais aussi tard au cimetière.
Soudain, je vis au loin une silhouette, elle s’approchait de plus en plus de moi. J’étais
paralysée, mon sang se glaça dans mes veines, j’arrivai à peine à respirer, ma gorge se
noua, j’étais paniquée. Quand elle fut assez proche pour que je la voie, j’étais stupéfaite! Je
devais sans doute rêver, ce n’était pas possible!
Etais-je devenue folle?
L’apparition qui était là, n’était autre que ma sœur. Les mêmes yeux, la même tête, la même
Valentine, il n’y avait aucun doute, c’était ma sœur. Puis elle ouvrit la bouche, elle était
revenue pour se venger.
Elle me parla, me raconta comment sa mort s’était déroulée. Je n’en croyais pas mes yeux,
la personne qui l’avait tuée n’était autre que moi. Ce n’était pas possible !
Elle me détestait, elle m’en voulait. Je m’approchai pour la serrer dans mes bras, pensant
qu’elle me le pardonnerait, quand soudain elle me poussa brutalement en me disant de
partir loin et de ne plus revenir.
Et depuis ce jour, je la haïssais. Elle me disait, d’un air monotone, qu’à chaque fois que je
dormirais, elle pénétrera dans mes rêves pour me rendre folle. Voilà sa vengeance.
Sur le chemin du retour, j’étais terrorisée par la peur de revoir ma sœur, et complètement
perdue à cause des évènements qui venaient de se produire. Une fois rentrée, je racontai
tout à mon père et à ma mère.
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Au début ils croyaient que je rigolais, mais je me rendis rapidement compte qu’elle m’avait
griffée en me repoussant, la griffure sur mon épaule gauche était la preuve que l’apparition
de ma sœur était réelle. Comme toutes les nuits, ma sœur me hantait et comme cela durait
depuis des jours, je ne pus m’empêcher de leur raconter de nouveau ceci. Me pensant folle
ils m’envoyèrent dans un hôpital psychiatrique, et je ne vis plus jamais ma sœur. Elle avait
réussi à me piéger dans cet hôpital…
Léa
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Je n’ai jamais connu mes parents, ils me livrèrent à des scientifiques quand j’étais petite je
ne sais pas tout à fait à quel âge mais j’étais petite il m’arrive d’avoir des visions de mon
enfance quand j’étais encore heureuse avec mes parents, je grandis dans un laboratoire où
on faisait des expériences sur moi. Je ne connaissais pas mon prénom ni mon âge. Je finis
par fuir mais quand le scientifique me remarqua il me cria: «tu ne survivras pas! Les
expériences t’ont rendu folle!» J’errais dans les rues d’une petite ville pendant deux
semaines, je ne savais même pas comment elle s’appelait. Je me nourrissais en volant le
pain que le boulanger déposait tôt le matin dans les sacs de pains devant les portes des
maisons et je ne sortais que la nuit de ma cachette car le jour on pouvait me voir et je ne
voulais pas qu’on me voie, sinon les scientifiques m’auraient retrouvée et je ne voulais pas
vivre l’horreur que j’avais vécue pendant si longtemps. Un jour, je décidai de trouver mes
parents, je n’eus pas besoin de me renseigner, une vision m’avait suffi. Sur la route je me
sentais suivie, des chuchotements se répétaient sans cesse derrière moi mais je me
retournais et je ne voyais rien. Je songeais à ce que le scientifique m’avais dit, peut-être
qu’il avait raison, peut être que j’étais folle. Mais je me concentrais sur la route je voulais
retrouver mes parents. Après une journée de marche la nuit tomba, les chuchotements
recommençaient, j’avais froid et je me sentais mal. D’un coup, une lumière m’éblouit
quelque chose arrivait sur moi à toute vitesse, c’était une personne mais je ne voyais pas
son visage c’était arrivé si vite, je l’avais vu dans ma vision sa peau était blanche mais dès
qu’elle me toucha le bras elle disparut, je me retrouvais seule, terrifiée, fatiguée. Mais je ne
pouvais pas abandonner, pas maintenant. Plusieurs jours de marches passèrent, je dormais
dehors, la femme n’était pas revenue jusqu’au soir où je vis une maison inhabitée, j’avais
longuement hésité avant d’y entrer. J’essayais d’entrer dans les salles d’en bas, elles étaient
toutes fermées alors je montais à l’étage, toutes les portes étaient fermées sauf une, alors
j’y entrais. Je voulais y dormir mais mes visions m’en empêchaient, dès que je fermais les
yeux, je voyais la femme tout près de moi. Je n’en pouvais plus alors, au bout d’un moment,
je décidais de partir mais en me levant, j’entendis du bruit dans la pièce d’à côté. J’avais
peur, mais je marchais jusqu’à la prochaine pièce. J’ouvris la porte, rien. Juste quelque
chose de bizarre, pourquoi la porte était-elle ouverte? Mes idées était troublées mais je pris
mon courage à deux mains et avança, la pièce était sombre, le bois du parquet était abîmé
et la porte d’une armoire était ouverte. Curieuse, j’allais voir, l’armoire était vide, quelque
chose tomba dans mon dos, je me retournai furtivement et derrière moi, la femme, elle était
là encore une fois, j’étais figée, je ne pouvais plus bouger.
17
Mais je pensais à revoir mes parents. Ҫa me donnais du courage. Alors je courais vers cette
femme en me disant «ce n’est qu’une imagination elle n’existe pas» et comme la première
fois, dès que je lui touchai la main, elle disparut. Je n’avais pas le temps de réfléchir, je
courais jusqu’à la porte je dévalais les escaliers jusqu’à la porte d’entrée. Sous la pluie, je
courais seule dans la nuit, je pleurais, j’avais peur, je voulais retrouver mes parents.
Plusieurs semaines de marche passèrent, des nuits horribles m’empêchèrent de dormir, je
dormis peu, je mangeai peu, je me perdis à plusieurs reprises, mais je gardais espoir, mes
visions m’aidaient. Un jour, je vis une maison, je savais que c’était là où étaient mes parents
j’avais vu cette maison plusieurs fois dans mes visions. J’entrais, je voyais une télé allumée,
ce qui prouvait la présence de quelqu’un. J’attendis plusieurs heures, personne n’arrivait, la
nuit tomba, je fatiguais. Je m’allongeais quand un bruit assourdissant venant de la porte
d’entrée me fit sursauter. Je me levais lorsque deux personnes entrèrent dans la maison.
Prise de panique, je montais en haut me cacher, mais les deux personnes me suivaient. Je
me retournai. Je me demandais si c’était bien mes parents. Mais mon doute s’évapora
quand je vis que la femme avait un collier que j’avais vu dans mes visions. Puis, elle parla:
«Mathilde?». Je ne savais pas quoi dire, la seule chose qui sortit de ma bouche fut : «
maman?» L’homme regarda la femme, il s’approcha de moi et me dit «je crois que nous
avons des choses à se dire, Mathilde». Le lendemain je me réveillais avec toutes les
réponses à mes questions et avec des parents, mes parents. Je n’étais plus une fille livrée à
des scientifiques par ses parents mais une fille enlevée par des scientifiques ni une fille
sans âge mais une fille de 14 ans. Ce jour-là, je passai la meilleure journée de ma vie. Le
soir, je m’endormis très vite et me sentais en sécurité. Jusqu’au moment où j’entendis des
cris venant de la chambre de mes parents. J’arrivai à toute vitesse quand je vis la femme qui
me hantait depuis mon départ du laboratoire. Mais cette fois ci je n’avais pas peur j’étais
persuadée que ce n’était que mon imagination après tout ce que j’avais vécu. Comme les
fois précédentes dès que j’eus un contact physique avec cette femme elle disparut. Plus
tard je me retrouvais allongée par terre dans le laboratoire avec le collier de ma mère dans
la main.
Mahaut
18
Démoniaque
Un jour d'hiver je suis allé au restaurant avec quelques amis à la fin du repas. On parlait de
cadavre dans l'ancien hôpital de la Clusaz plus précisément d'un enfant.
Un jour, une bande d'amis et moi allions dans l'ancien hôpital de la Clusaz. Tim et moi
allions dans le funérarium, on ouvrit chaque tiroir frigorifique mais rien personne. À ce
moment, j'entendis un bruit dans le couloir et nous vîmes nos deux autres amis s'enfuir. Le
lendemain, nous n'y retournâmes pas. Je les invitai chez moi pour discuter de ce moment
étrange. Tim nous dit qu'il avait ressenti quelque chose de pas normal mais ça ce n'était que
dans le funérarium et quand il avait ouvert le tiroir frigorifique d'un enfant de 10 ans.
Julien dit : «on y retourne quand»
moi je dis : «demain si cela vous dit»
mais pendant la nuit personne n'avait pu dormir.
Le lendemain matin, nous y retournâmes tous mais un de mes trois amis ne voulait pas
venir car il avait trop peur et cette personne était Tim ce qui veut dire que moi je serais tout
seul dans le funérarium avec une sensation bizarre. Tout d'un coup j'entendis un bruit qui
venait d'une chambre j'y allais mais mes amis n'étaient pas dedans mais un enfant avec des
allures bizarres, Son langage était étrange on aurait dit du grec ancien, il me regarda et je
vis qu'il avait un œil rouge comme le sang et un œil orange comme la flamme du feu et des
ailes déchirées comme si il s’était pris dans des branches d’arbre et je me souvenais que les
démons avaient ce genre de regard. L'enfant me regarda d'un air méchant et me dit «gia na
fygete i diaforetika tha paei strava» qui signifie «partez ou cela va mal se passer j’eus un
moment de panique et je partis en courant laissant mes deux amis tout seuls. Mais avant
de sortir de l’hôpital j’aperçus l’enfant devant la porte de sortie essayant de m’empêcher de
sortir et en profita pour me donner une peluche et un bout de tissus. Le soir même Julien
m'invita chez lui avec Lucas & Tim, je leur raconta que j'avais vu un enfant de 10 ans avec
un œil rouge et un œil orange comme les démons et il me dirent qu'ils n’avaient pas vu la
même chose mais ils eurent peur et prirent la fuite. Mais avant de sortir ils avaient aperçu
l'enfant devant la porte d'entrée pour nous empêcher de sortir. Mais une scène étrange se
déroula comme si l'enfant se téléportait. «Mais il m'a donné un bout de tissus et une peluche
mais elle ressemblait étrangement à la mienne mais celle-ci était décapitée.» Deux ans plus
tard, les constructeurs avaient détruit l'hôpital et plus aucune trace du petit garçon de 10 ans
mais le bout de tissus et la peluche étaient toujours chez moi.
19
Étais-je fatigué? Mais pour moi cela fut vraiment réel.
Mathéo
20
C’était il y a 5 ans, je me trouvais à l’hôpital quand j’appris par un médecin que j’avais le
cancer du sein.
Je ne me sentais pas bien, angoissée, fatiguée, comme paralysée par la peur de mourir.
Mes parents étaient là, eux aussi.
Ils me regardaient silencieusement, ils ne pouvaient pas comprendre. Ils ne comprenaient
pas. La nuit était tombée, mes parents étaient partis. Cela faisait maintenant 1h que
j’essayais de dormir mais j’en étais incapable, j’étais toujours aussi paralysée par cette peur,
je commençais à m’endormir quand j’eus une envie de vomir. Je me précipitai dans la salle
de bain, la tête au-dessus des toilettes. Je vomis quelques secondes plus tard mon repas du
soir. En me relevant, j’observais cette salle de bain très étrange. Elle était sombre et sale,
surtout le miroir au-dessus du robinet. Il était sale, il y avait des traces. Je m’approchai du
robinet et j’entendis un bruit, je regardai autour de moi, je ne vis rien. Je rinçai ma bouche
qui avait le goût de vomi puis j’entendis une voix. Je me relevai d’une telle vitesse que je ne
vis même pas mon reflet dans le miroir. Il n’y avait rien. Ni dans la chambre, ni dans la salle
de bain, juste moi en train de me poser des questions sur moi-même : Suis-je folle ?
Puis en me regardant, je vis nettement mon reflet dans le miroir, mais ce n’était pas
totalement moi. C’était le reflet de mon cancer, je n’avais plus de cheveux, plus de force,
plus aucun courage, le cancer m’avait envahi. Soudain une peur insurmontable s’accrocha à
mon corps, j’étais paralysée par cette ombre. Tout à coup, cette chose sortit du miroir et
m’attrapa. Elle avait de si longs ongles qu’elle me griffa. Elle me tirait de toutes ses forces.
Elle ne réussissait pas car j’étais tellement paralysée que j’étais maintenant une sorte de
glaçon impossible à déplacer. Je me réveillai brusquement de cette paralysie que je crus
avoir rêvée depuis le début, mais en revoyant mon ombre je retins mon souffle, m’évanouis
soudainement et tombai par terre. Quand je me réveillai, mes parents étaient ici, je me
trouvais dans mon lit. Les médecins m’avaient sûrement déplacée mais j’étais tellement
sous le choc que je ne m’étais pas rendue compte.
En me voyant ouvrir les yeux, mes parents bondirent sur moi : « Ma chérie, tout va bien ?
Les médecins t’ont retrouvée par terre très tôt ce matin dans la salle de bain, que s’est-il
passé ? » J’hésitai quelques secondes à leur dire la vérité, cette étrange et épouvantable
vérité, mais j’eus peur de leur réaction alors je répondis avoir glissé et m’être évanouie
après le choc.
Mes parents étant partis chercher du café, j’étais seule dans ma chambre. Je décidais donc
avec peur et inquiétude de retourner dans la salle de bain.
21
Je m’approchai du miroir en tremblant et me vis moi, toute pâle. Je ne sais comment et
pourquoi je lâchais un étrange sourire sûrement pour me détendre.
Mon sourire se baissa vite quand j’aperçus des traces de doigts et des griffures. Les
griffures que cette ombre de moi-même m’avait laissées sur le bras. Tout à coup, mon
souffle se coupa, mes doigts tremblèrent, une sueur épouvantable inonda mon visage. Je
réalisais que ce que j’avais vécu la nuit dernière était réel, que cette chose m’avait vraiment
attaquée. Que le cancer m’avait attaqué.
Sasha
Un soir tard d’hiver, je rentrais du collège chez moi en empruntant la route du cimetière de
Fécamp. Il avait neigé tout l’après-midi et la nuit commençait à tomber petit à petit. En
descendant la côte j’entendis quelque chose. C’était un cri d’homme, je pouvais y ressentir
toute sa souffrance. Mais il ne pouvait y avoir aucun homme ou femme à cette heure-ci à
part le garde du cimetière. Effrayé par celui-ci, mes jambes commençaient à partir toutes
seules à une allure plus que rapide. Je ralentis tout doucement car je commençais à faiblir
et j’avais un énorme point de côté. D'un coup, l’impression d’être suivi me hanta, j’entendis
des pas juste derrière moi et quand je tournai la tête il y avait mes propres traces de pas et
en regardant bien, je pus distinguer d'autres traces. Elles étaient plus grandes que les
miennes. Je finis par rentrer et je me lassai rapidement de cette peur qui m’avait envahi
pendant au moins 10 minutes. Je compris finalement que j’étais seul à la maison et que mes
parents étaient partis chercher le dîner chez des amis. Mais je me sentais bien dans ma
peau. Je finis par m’asseoir sur le canapé niché sous une couverture chaude et fluo. À
minuit, mes parents n’étaient toujours pas rentrés et je commençai à me sentir mal à l’aise.
Mais je ne voulais pas les appeler au cas où ils penseraient que je ne pouvais pas me
garder tout seul à la maison. La télévision était dans le coin de la pièce juste à côté de la
grande baie vitrée de la maison. Je regardais l’un de mes films d'horreur préférés c'est-à-
dire le film Annabelle 2. Quand tout à coup du coin de l'œil, je vis quelque chose bouger
dans la baie vitrée. Dans l’obscurité et avec la neige qui tombait, je distinguai la silhouette
d’un homme qui marchait vers la fenêtre, à mesure qu’il se rapprochait, je pus distinguer son
visage et cela me remplit d’horreur. Le visage de cet homme était cicatrisé et ses yeux
étaient blancs et fous. Ces vêtements étaient déchirés et sales, remplis de terre.
22
Effrayé je tirais la couverture chaude sur ma tête et je tentais de me cacher. À ce moment-là
je ne pouvais à peine bouger. Lentement je tirais la couverture de mon côté juste assez pour
regarder du coin de l’œil.
L’homme était toujours là et me regardait directement alors que la neige tombait juste
derrière lui. Il mit la main dans son manteau. Sur celui-ci il y avait marqué « Sécurité ». De
sa poche il sortit quelque chose. C’était un long couteau, terrifié, je ramenai la couverture
sur ma tête en espérant que le fou penserait que c’était juste un tas de couverture assis sur
le canapé. Je réussis à déplacer ma main dans ma poche et je sortis mon téléphone
portable, en panique je composai le 911, quand l’opérateur demanda : « Quelle est votre
urgence ? » Je plaçai le téléphone devant mon visage et je murmurai : « il y a un homme
derrière ma fenêtre ! Il a un couteau ! S’il vous plaît venez vite ! » Je restai immobile sous la
couverture, finalement j’entendis des sirènes à l’extérieur de la maison, je me précipitai vers
la porte d’entrée et je laissai entrer les deux officiers ! En vérifiant l’extérieur de la maison la
policière me déclara à haute voix : « il n’y a aucune trace de personne à l’extérieur de la
maison. »
Je leur murmurai : « il était juste là et me regardait droit dans les yeux, je le vis de mes
deux yeux. »
Le policier me prit par l’épaule et me dis à voix basse :« Ce n’est pas possible la neige est
complètement tranquille s'il y avait eu quelqu'un là-bas il y aurait eu des traces de pas.
Romain tu as sûrement regardé trop de film d’horreur ; à force tes yeux peuvent te jouer des
tours. »
Les officiers se retournèrent pour partir quand soudain la policière s’arrêta NET. Elle tira le
canapé sur lequel j’étais assis, sa mâchoire tombait et ses yeux s’écarquillèrent sous le
choc; moi et le policier eûmes le souffle coupé à ce moment-là. Sur le tapis derrière le
canapé il y avait eu des traînées de traces de pas mouillés et un couteau jeté. Le policier
déclara : « Tu ne regardais pas l’homme par la fenêtre, tu regardais juste son reflet, depuis
le début il se tenait juste derrière toi. »
Romain
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La voiture folle
Je m’appelle Hamirez Scar je vais vous vous raconter mon histoire. Il faisait nuit, très nuit,
trop nuit, en réalité on n’y voyait rien. Cette nuit-là je devais rentrer chez moi.
Dans cette rue noire et sombre avec des maisons en briques effritées et des poubelles en
fer il faisait froid.
Après avoir fini de tourner l’émission « Pimp My Ride » avec toute l’équipe et on avait bien
arrosé la soirée après, je rentrai à pied car ma Mustang avait un problème de moteur. Dans
la rue je pensais à des pains aux chocolats, des bons pains au chocolat tout gras et huilé.
Dans la pénombre je vis une voiture à l’arrêt plein phare, tout d’un coup elle démarra le
moteur et fonça sur moi. Alors au dernier moment je sautai vers la droite et l’esquiva au
dernier moment. Mais la voiture ne s’arrêta pas et continua à rouler tout droit et percuta
quelqu'un. C’était effroyable ! Mais quelque chose de plus effroyable m’avait encore plus
choqué, il n’y avait pas de conducteur! Et je repartis chez moi en pensant que j’avais déliré
car il était tard et que j’étais fatigué. Le lendemain matin je partis chercher le journal (même
si plus personne ne va chercher le journal) et je vis les gros titres : « UN HOMME
PERCUTÉ PAR UNE VOITURE FOLLE ! » je me mis à trembler, j’étais en sueur j’avais très
froid, j’étais tétanisé! Alors je partis au poste de police, encore fébrile et disant au policier :
« je suis témoin du meurtre d’hier ! » Tout médusés, les policiers étaient sidérés. Ils me
conduisirent dans la salle d’interrogation et ils me posèrent plein de questions auxquelles je
répondis justement et honnêtement. Ils me croyaient tous sauf sur un point, la voiture sans
conducteur. Ils disaient que je devais rentrer chez moi, je ne devais pas m’inquiéter et qu’ils
faisaient de leur mieux pour arrêter le coupable. Après 9 mois je me disais que tout cela
n’était qu’une illusion qu’il était tard.
Mais un soir longtemps après la voiture folle avait recommençait. Elle recommença comme
avant: elle alluma ses phares à l’arrêt et avança sur moi à 100 km h. Je ne vis la voiture, et
cette fois ci elle ne me rata pas. Elle me percuta et m’envoya à 7 mètres au loin en me
faisant ricocher contre un lampadaire en me cassant le bras. 5 minutes après quelqu'un qui
m’avait vu appela une ambulance, 37 minutes après je mourus. Pourtant la police fit son
rapport et fit cette conclusion : « aucune trace digitale a été découverte sur le volant, la
voiture n’a pas de plaque d’immatriculation, et n’a pas de numéros de série, d’ailleurs la
voiture n’est même pas homologuée. Après être examinée par les scientifiques, ils
déclarèrent que la voiture n’avait jamais eu de conducteur.
William
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Le château de Vienne
J’étais avec ma sœur Jazz et ma meilleure amie Loïs. Nous faisions une soirée pyjama et
nous nous racontions des histoires qui faisaient peur et au moment où elle me passa la
peluche c’était à moi d’en raconter une, alors je parlai : « c’était il y a 2 ans et c’était un soir
très agité, nous étions en vacances en Nouvelle-Aquitaine à Vienne avec notre amie de
vacances. Elle s’appelait Élia, elle nous amena dans un château. Elle entra avec nous et
tout à coup elle courut à droite du château et nous la perdîmes de vue. Nous nous trouvions
devant un immense château sombre et seuls. La porte d’entrée menait à un grand escalier
blanc vieilli par le temps. Aux deux extrémités, la chambre gothique et la salle de réunion de
spiritisme. Nous marchions stressés par ce qui pouvait arriver comme un surgissement ou
une apparition. Mes jambes tremblaient de plus en plus, à chaque pas que je faisais, j’avais
de plus en plus de frissons. Nous entrâmes dans le château et nous répétions « bonjour » à
travers tout le couloir mais aucun bruit. Un petit bruit pas effrayant répondit à notre
salutation, une voix féminine. On se dit « c’est peut-être notre écho ?» nous avancions pour
découvrir ce sombre et mystérieux château. Au moment de partir, une ombre noire traversa
les deux pièces laissant une traînée noire glisser sur le sol. Nous étions effrayés et nous
allâmes voir dans la salle de réunion de spiritisme mais la seule chose que nous vîmes
c’était un tas de poussière noire sur le pas de la porte. Sans autre inquiétude nous allâmes
nous coucher.
Le lendemain matin, tandis que Jazz dormait, je descendis déjeuner dans la salle et je vis
une femme debout sur le côté de la cheminée, vêtue d’une longue robe jaunâtre. Sans m’en
rendre compte, je criai et la femme partit dans le mur, Jazz descendit en courant dans les
escaliers et me demanda « pourquoi cries-tu comme ça ?» «j’ai vu une dame avec cette
robe bleue jaunâtre et…»» je ne puis avoir le temps de finir ma phrase que ma mère nous
appela pour manger, après avoir fini de manger je continuais mon histoire « … et elle avait
une brosse bleue à la main.» Nous décidions de faire une séance de spiritisme et de trouver
qui était ce fameux esprit. On alla dans la salle de spiritisme et commençâmes par la table
de ouija et un homme répondit, il se nommait Félix et nous lui demandâmes si nous
pouvions contacter cette dame alors il nous répondit « oui », et parla avec nous, elle
s’appelait Alice et elle était morte d’une maladie je lui dis que je l’avais vue se matin à côté
de la cheminé, il dit que c’était elle et qu’elle ne voulait pas me faire peur, nous lui
demandâmes si elle pouvait me toucher et je la sentis me caresser le bras. Nous la
remercions et nous la laissions.
25
Avant de partir je retournais à l’endroit où je l’avais vue et j’aperçus un bout de tissus de sa
robe, je le gardai précieusement dans une boîte qui était dans la chambre d’Alice.
Nous avions décidés de partir de ce château et sur le retour je croisai Élia et je partis la voir
énervée, je lui dis que ce qu’elle avait fait n’était pas très sympa et qu’elle ne vienne plus
nous parler. Après être rentrée ma mère nous demanda où nous étions passées je lui
répondis : «nous étions chez Élia dormir. » Notre mère avait essayé de nous appeler mais
nos téléphones étaient restés dans notre maison de vacances, alors elle avait appelé Élia et
lui avait dit qu’on était chez elle donc elle avait préparé un coup monté et nous nous en
étions pas rendus compte, comment avions-nous fait pour être aussi stupides pfff !
Donc voilà mon histoire je passais l’ours en peluche à Jazz et elle commença à raconter
son histoire mais Loïs l’arrêta et me regarda, elle me dit « alors si cette histoire est vraie
peux-tu me montrer la boîte ?» alors je lui montrai et je sortis le bout de tissus et me mis à
pleurer.
1 mois après Loïs vint me voir et me dit : « tiens ! » Elle me tendait une enveloppe, je
l’ouvris et il y avait un mot : je t’invite en vacances avec moi pendant une semaine le
02/07/19 (le jour de ton anniversaire) au château de Fougerais. Je me mis à pleurer et la
remerciai, hâte d’être à mon anniversaire !
Emma
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La fumée blanche
C’était un matin, très tôt je me rendais à mon arrêt de car en passant par un bois caché
avec un château abandonné. Je passais par-là pour me raccourcir le chemin. Mais un jour
quand je passai par là le château semblait habité car de la fumée sortait de la cheminée.
Par curiosité je m’approchai et je rentrai et j’arrivai dans une grande salle. Tout de suite la
porte se ferma j’avais froid. Je sentis un frôlement passer près de moi puis j’entendis un
petit chuchotement. Au bout de la pièce un petit feu de cheminée brûlait, ça me rappelait
l’incendie de ma maison avant de déménager. Mais une chose bizarre m’échappa, il y avait
comme des personnages qui sortaient du feu puis les chuchotements revenaient on me
disait : « je vais te tuer ». Au loin j’apercevais un roi et une reine ils habitaient sûrement là
avant. Soudain on m’enleva mon collier que mon père m’avait offert avant sa mort dans
l’incendie. Je me précipitai en courant dans l’escalier je rentrai dans la première pièce, ça
me sembla être une chambre d’enfant. Il y avait un enfant dans le berceau qui me disait
dans l’oreille soit de le sauver ou de me tuer. Je sautai par la fenêtre et j’atterris dans un
buisson.
Le lendemain j’avais rêvé de ne plus avoir mon collier autour du cou je me réveillai en
sursaut, je vérifiai et je ne l’avais plus.
Zoé
27
Les gardes de la salle de sport
C’était à Fécamp, un homme d’à peu près trente ans, qui vivait dans un petit appartement
sur le port, était passionné de handball et se rendait tous les soirs au stade Coubertin. Le
problème de Samuel était qu’il fumait un peu(Cannabis). Alors ce jour-là, il fuma plus sa
drogue avant d’aller au stade. Enfin bref il raconte mieux son histoire que moi.
J’étais chez moi et je m’apprêtais à partir au stade. J’avais un peu fumé donc je n’étais pas
au max de ma forme. J’arrivais au stade et il n’y avait personne. Je me préparais pour
m’entrainer mais je me sentais très mal et j’avais très mal à la tête. Je galérais à descendre
les marches pour arriver sur le terrain. Je n’arrivais pas m’entrainer alors je décidai de
repartir chez moi pour me reposer mais quand j’arrivai devant la porte de sortie, elle était
fermée. Je me rendis compte que j’étais enfermé ici et je commençais à déprimer.
J’entendis des bruits provenant du local à ballon. Je pris mon courage à deux mains et je
me dirigeai vers le local. Du premier regard je ne vis aucun changement par rapport à
d’habitude mais en y regardant de plus près, des ballons étaient sortis du chariot. Sans me
poser de question je les remis à leur place et je sortis du local. Je ne savais toujours pas
comment sortir du stade et cela me rendais dingue. Je me dis que je pouvais sortir par les
fenêtres mais elles étaient beaucoup trop hautes pour les atteindre. J’aurais pu sortir par les
égouts comme une petite souris mais pas sûr de sortir de l’autre côté ! Je n’avais plus
aucune solution, j’allais devoir tenir jusqu’à demain matin. Je me sentais si mal, il faut dire
que la drogue ne m’aidait pas trop. Je tournais en rond pendant de longues minutes, je
devenais presque fou. Soudain le bruit qui provenait du local, il y a de cela 2H, se
reproduisit mais cette fois on entendait beaucoup plus de ballons tomber au sol. Vu que je
n’avais rien d’autre à faire et que je déprimais j’y allai, je me disais « Quitte à mourir ici,
mieux vaut mourir en se battant contre quelqu’un ». Je retournai donc dans le local et cette
fois, tous les ballons étaient au sol. Il y avait une atmosphère plus lourde que la dernière fois.
D’un coup, un ballon se mit à tourner sur lui-même très rapidement suivi des autres. Je ne
comprenais rien de ce qui se passait et soudain les ballons se mirent à parler tous en même
temps. Ils ont tous dit la même phrase «Sors de cette salle immédiatement». Une terreur
incroyable s’empara de moi et je me mis à courir vers la porte pourtant fermée à clefs. Je ne
sais pas par quelle miracle j’avais réussi à ouvrir la porte mais je l’avais bien ouverte et je
partis le plus vite possible. Le lendemain, quand le garde arriva à la salle, la porte était
ouverte (forcément puisque j’étais sorti) et les ballons n’étaient plus dans la salle.
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Depuis ce jour, j’ai arrêté la drogue mais j’ai toujours peur que les ballons soient tous près
de moi…
M’ont-ils suivi…?
Lucas
LE MIROIR
Ce soir, moi Lilou Smith, 13 ans je vais vous raconter mon histoire.
L’année dernière j’allais chez mes amis en pleine nuit pour une soirée Ouija. Cette soirée se
déroulait parfaitement quand soudain je me sentis mal. Je ressentis d’horribles frissons. Je
décidai donc de quitter la pièce pour me passer de l’eau sur le visage. Je remarquai un
détail étrange, le miroir était fissuré. Mes amis virent que je ne revenais pas, ils décidèrent
donc de venir dans la salle de bain. Ils me retrouvèrent au sol avec la joue coupée. Naomie
remarqua que le miroir était brisé. Elle s’approcha et vit mon reflet debout dans le miroir qui
la fixait. Elle le dit à Julie et Noanne qui virent la même chose. Elles se retournèrent toutes
en même temps pour fuir la salle de bain et tout à coup, la porte claqua, mon reflet sortit du
miroir et la lumière s’éteignit. Le lendemain, je me réveillai, et une fois debout, je me
regardai dans le miroir et je vis ma joue blessée et le miroir en morceau. A cet instant, je
compris ce qu’il c’était passé et que ma vie allait changer.
Flora
29
Nouvelle élève
Quand j’étais petite, j’avais eu une enfance heureuse avec ma sœur et ma mère mais j’avais
beaucoup d’anxiété. L’année dernière une nouvelle élève arriva dans ma classe. Quand je
repense à elle j’ai des frissons. Elle était petite, la peau très
pâle, ses cheveux étaient noirs toujours tressés, elle ne parlait
jamais, ces habits étaient noirs et ses cernes lui donnaient une
image de fille possédée comme dans les films d’horreur. Elle
écrivait souvent sur sa table des mots comme suicide, mort,
etc...
Personne ne la remarquait à part moi et ses yeux étaient d’un
gris clair. Je n’avais jamais entendu sa voix jusqu’à ce jour-là.
J’allais à la cantine quand elle passa à côté de moi et me dit :
« -Tu vas voir on va bien s’amuser !
-Euhhh...on se connaît ? »
Pas de bruit, aucun son ne sortit de sa bouche.
Le lendemain je faisais mes devoirs dans ma chambre quand j’entendis toquer à la porte. Je
descendis très vite et je la vis elle était là. Elle me regardait avec insistance.
« - Tu...tu es dans ma classe ?
- Tu vas me répondre ?
-Tu t’appelle Anna ? »
Son sourire devenait malveillant au fil des secondes.
Je finis par perdre mon sang froid et je lui fermai la porte au nez. Je retournai dans ma
chambre, je découvris un bout de papier sur lequel était inscrit un numéro de téléphone. Je
compris très vite qui s’agissait numéro de cette fille. Je descendis montrer le bout de papier
à ma sœur et lui expliquer l’histoire.
Elle me regardait et me dit d’un air surpris :
« -On a frappé ? »
J’étais étonnée de sa question, sa chambre était près de la porte d’entrée.
« -Oui. Tu n’as rien entendu ?
-Non pourtant je ne faisais pas de bruit. »
On entendit des bruits qui provenaient de la chambre de ma sœur. On alla voir ce qui se
passaient et on la vis elle était là. Elle fonça droit sur moi et…
Bali