Mariee Magazine Numero 96
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MariéeMagazine
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SEXO PIMENTER SA NUIT DE NOCES
PSYCHO
ENQUÊTEPLACE AUX
CEREMONIES LAÏQUES !RÉCEPTION
ZOOM SUR LES ANIMATIONS + COMMENT BIEN CHOISIR SON PHOTOGRAPHE ET SON DJ
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Magazine21 Édito 22 Ce qui fait « Pop ! » 24 Des films sélection26 Des livres et vous… 28 News35 Actu « Les fiançailles
font leur come-back »37 Actu « À qui confier
ses alliances »41 Actu « La wedding
nounou : encombrante ou indispensable »
44 Votre demande en mariage en quelques mots
Pour elle Jesus PeiroPour lui
Carlo Pignatelli
Réalisation Julien Navarre
NouvellesRUBRIQUES
46 Vrais Mariages Un oui grandeur nature
54 Vrais Mariages L’amour menthe à l’eau
62 Vrais Mariages Une romance catalane
70 Style La Bohémienne72 Style La Princesse74 Jeu concours 77 Actu « Enterrer sa vie
de jeune fille » 79 Enquête « Le bourdon
de la mariée » 82 Enquête « Cérémonie
laïque : le faste pour tous » 84 Sexo « Pimenter votre nuit
de noces »
Réception 87 Place à la fête ! 88 Animation : Les tendances
2015 93 Nos meilleurs souvenirs96 La bande son du D-day100 En bref
Décoration103 S’inspirer 104 Étoile des neiges108 Chic et champêtre112 Rétro romantique116 Dire merci dans les règles de l’art118 Une délicate attention
à votre image 120 En bref
Liste123 La liste de vos envies 124 Une liste qui vous ressemble126 Une table tendance128 L’électroménager se refait
une beauté130 Le high-tech au look vintage
• S O M M A I R E •
www.mariee.fr18
Bonnes adresses352 Salles de réception et traiteur354 Organisateurs de mariage356 Voyage 357 Traiteur358 Faire-part363 Beauté364 Dragées et chocolat364 Location de matériel366 Location de véhicule367 Animation368 Décoration372 Photo et vidéo374 Enterrement de vie
de célibataire376 Les adresses
de la rédaction378 Carnet d’adresses mode385 Abonnement386 Service lecteurs
mariée.fr
Mode191 Mes tenues de cérémonie192 Parlez-moi de… Margaux
Tardits194 Parlez-moi de… Laurent
Kapelski196 L’atelier des créateurs205 Un oui à la mairie208 Vos petits souliers209 Color Block210 Iconique211 Demoiselles à l’honneur217 Petits bambinos222 Bien choisir son costume228 Style Dandy Chic230 Style Le gentleman classique232 Coup de Cœur :
Mariées d’aujourd’hui248 Série mode Dis-moi
que tu m’aimes270 Making of : Shangri-La
Hotel, Paris272 News
Voyage133 Evasion134 Les îles africaines136 Luxe, calme et volupté138 Entre la Floride et l’Equateur140 L’île resplandissante142 Voyage en terre inconnue144 Lune de miel: Les Seychelles146 Lune de miel : Nouvelle
Calédonie148 En bref
Bijoux151 Oui !152 Comment choisir un diamant154 Belles et contemporaines156 Tout en légèreté158 Dis-moi oui160 Pour Lui162 En bref
Beauté167 Hair style168 La coiffure idéale171 Bohème chic177 Chignon classe183 Glam rock188 En bref
ACTUMariage
35www.mariee.fr
LES FIANÇAILLES FONT LEUR COME-BACK
Autrefois réservées aux familles prin-cipalement bour-geoises, les fian-
çailles étaient le passage obligé avant de pouvoir convoler avec l’être aimé. Plus qu’un bonheur, elles étaient perçues comme une obligation familiale et sociétale afin d’obtenir la bénédiction des parents et l’autorisa-tion de se marier avec celui ou celle de son choix. Avec la rupture à la fois culturelle, sociétale et politique de Mai 1968, les choses ont quelque peu évolué en France et les fiançailles ont petit à petit disparu, laissant place à des formes de mariage moins traditionnelles et conventionnelles.
La mariée du XXIe siècleCeci était sans compter sur l’arrivée en force de la future mariée des années 2000, à la recherche du conte de fées, du mariage de princesse et de l’amour avec un grand A. En effet, la bride-to-be d’aujourd’hui
souhaite organiser le mariage de ses rêves et, si possible, en grande pompe. Pour ce faire, elle se redirige vers la tradition et souhaite suivre les différentes étapes qui mènent au grand jour. Attachée au romantisme et à tout ce qui brille, la future mariée est également très connectée et
influencée par les nombreuses stars, notamment hol-lywoodiennes, qui partagent sur les réseaux sociaux tous les aspects de leurs relations de couple dignes de véritables comédies romantiques avec happy end.
Place au romantismePar conséquent, la future mariée des années 2000 souhaite avoir LA demande en mariage magique qui rendra toutes ses copines vertes de jalousie, avec à la clé romantisme, champagne, pétales de roses, genou à terre et magnifique bague de fiançailles, générale-ment agrémentée de diamants pour le côté élégant et intemporel. Avec l’émergence de cette tendance, les
Véritable institution il y a encore plusieurs décennies, les fiançailles avaient depuis quelque temps disparu du paysage. Nouvelle forme de save-the-date,
elles séduisent aujourd’hui plus d’une future mariée à la recherche du véritable conte de fées. Zoom sur la tendance du moment, tout droit venue des États-Unis.
PAR NOÉMIE JOURDAN
LA MARIÉE DES ANNÉES 2000 SOUHAITE
« LA » DEMANDE EN MARIAGE MAGIQUE
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ACTUMariage
Pour ne pas vous tromper, optez plutôt pour du platine ou de l’or blanc. Le diamant fait toujours son effet, notamment le solitaire, mais les futures mariées les plus sophistiquées souhaiteront apporter une touche de couleur avec des pierres colorées. En ce qui concerne le style, les bagues vintage inspirées de l’époque Art déco et victorienne et les coupes de diamant princesse et coussin séduisent de nombreuses futures mariées. L’or rose fait aussi son entrée dans la cour des grands. Enfin, de plus en plus de futurs mariés souhaitent proposer à l’élue de leur cœur de réaliser une bague de fiançailles sur mesure pour que celle-ci soit unique, exceptionnelle.
C’EST UNE BONNE OCCASION POUR LES
FUTURS MARIÉS D’ÉVITER LE SAVE-THE-DATE
MESSIEURS, CHOISISSEZ-LUI…
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VOTRE DEMANDEEN MARIAGE
Août 2012, première fois à New York, la ville où je rêvais d’al-ler ! On avait prévu chacun une journée surprise pour l’autre.
Stéphane avance la sienne d’un jour à cause de la météo ! On part à pied pour le sud de Manhattan, un hélico nous attend pour survoler New York City. Magique ! Puis, on remonte toute la 5e Avenue pour faire du shopping et se promener en amoureux. Le soir, on se prépare, direction Times Square, mais surtout, le restaurant 360 ° du Marriott, au 49e étage ! Après une bouteille de cham-pagne, et juste avant le dessert, la demande arrive. J’étais complètement surprise, je ne m’y attendais absolument pas. On n’en avait pas vraiment parlé entre nous. Et il s’est sou-venu de la bague montrée deux ans aupara-vant dans une boutique à Paris ! Le petit plus, une Américaine qui se lève, vient prendre mon reflex et nous dit : « Oh my god, you’re just engaged, you need a picture of this moment ! » Et clac ! Oui, on a une photo de moi tout émue et de Stéphane tout stressé. Et on l’adore ! Maud Ehret-Pelletier
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Le soir où on a fêté mes 30 ans, le 6 décembre. La grande salle des fêtes, la famille, les amis, mon gâteau qu’il a amené devant tout le monde, la chanson Treasure
de Bruno Mars dans la sono, l’écrin et la bague sur le gâteau et cette plaque en chocolat sur laquelle il avait fait inscrire : « Marine, veux-tu m’épouser ? » Et tout ça après des mois et des mois à me dire qu’il tenait à ce que ce soit moi qui le fasse, le petit malin… Je me souviendrai toujours de son impatient et stressé « Alors ? » Alors que j’étais en train de pleurer. Nous, c’est pour septembre 2016. Marine Chauchard
Je ne connaissais pas Paris, alors Monsieur m’y a amenée pour nos 1 an. Il a fait exprès de m’énerver avant de monter sur la tour Eiff el. Une fois au-dessus de la ville des amoureux, je me tourne et je le découvre tout tremblant et ému ! Je vois la bague et il me dit : « Veux-tu devenir ma femme ? » J’ai fondu et lui ai sauté au cou avec un gros oui. Les gens autour de nous applaudissaient et criaient. Comme au cinéma, trop romantique ! Pascale Badal
AAAAAA Le soir du réveillon de Noël, il y a bientôt un an, il m’a fait
sa demande avec un beau discours et une belle bague.
Le 30 mai prochain, nous nous dirons oui. La magie de Noël.
Stéphanie Verlaguet
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ACTUMariage
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Je le taquinais depuis plusieurs mois au sujet du mariage, juste pour
savoir si nous allions dans le même sens. Neuf mois de grossesse, puis le jour de la naissance de notre fille, le 25 octobre 2012, de retour dans la chambre, nous étions tous les trois dans le lit, il m’a regardée et m’a dit : « J’y pense depuis quelque temps. Je trouve important et normal que nous ayons le même nom de famille. » Après une nuit blanche, je n’ai pas trop réagi, et aussi beaucoup d’émotion en peu de temps, mais quand il m’a dit « Veux-tu être ma femme », j’ai dit oui sans hésiter, même s’il m’a dit : « Je pensais que tu serais plus contente que cela. » Le 6 juin 2015, nous serons enfin mariés et cela sera l’un des plus beaux jours de notre vie. Audrey Ory
Pour le 1er décembre 2014, nous sommes allés à Strasbourg au marché de Noël. Nous avons fait le trajet en train. Une fois arrivés à bon port, nous sommes sortis de la gare et un vent glacial nous a souhaité la bienvenue ! Déjà l’odeur de la cannelle, des bis-
cuits et du vin chaud nous titillait les narines. Nous nous sommes promenés, main dans la main (ou plutôt gant contre gant…). Nous sommes allés sur la place du marché où il y avait la cathédrale. Mon chéri a vu qu’il était possible d’aller sur la plate-forme. C’est ainsi qu’après avoir monté 330 marches, nous sommes arrivés à 66 mètres de hauteur. Une fois que nous étions seuls avec une magnifique vue sur Strasbourg, mon chéri a mis un genou à terre et m’a demandé si je voulais l’épouser ! J’ai bien évidemment répondu oui ! Priscillia Metz
Un samedi matin, alors que je faisais tranquillement ma grasse mat’, mon cher et tendre avait tout prévu. Lorsqu’il est rentré de faire ses achats (viennoiseries, bouquet de fl eurs et petit tour chez le coiff eur), il m’a tendrement réveillée par de gros bisous en me disant qu’il allait me préparer mon petit déjeuner. Il a eu le temps de se changer de mettre sa plus belle tenue, il est arrivé dans la chambre, tout ému, avec cet immense bouquet de fl eurs, a mis un genou à terre devant moi et m’a demandé : « Veux-tu être ma femme ? » Il m’a présenté une splendide bague. Étant tellement surprise par cette demande inattendue, j’ai mis quelques secondes avant de réaliser et de lâcher un grand oui. Nous allons nous marier le 18 juillet 2015, j’ai vraiment hâte, je l’aime tellement. Gladys Corbet
Le 1er juillet 2014, lors de vacances aux Canaries, sur l’île de Tenerife plus précisément, Anthony s’est agenouillé
au pied du volcan Teide, a sorti la bague et m’a dit : « Cette fois-ci, c’est la bonne bague, je veux que tu sois ma femme ! »
Et oui, Anthony a précisé que c’était une bague de fi ançailles car, lorsqu’il m’offrait une bague avant de faire sa
demande, il me disait : « Ce n’est pas encore la bonne, mais c’est une bague quand même. »
Sa demande a été tout simplement magique ! Notre mariage est prévu le
1er août 2015. Mélanie Fouconnier
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PSYCHO Bien-être
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celle qui s’est mariée à 27 ans. Ce n’était pas l’engagement personnel qui me peinait, au contraire, mais l’idée d’avoir toute une étape de ma vie derrière moi. D’avoir vraiment enterré ma vie de jeune de fille… »Jean-Claude Kaufmann, sociologue qui scrute l’inti-mité des couples, explique : « Le mariage a été pendant longtemps un passage nécessaire pour tout jeune couple qui souhaitait vivre ensemble. Aujourd’hui, il a perdu son caractère obligatoire, mais reste un marqueur symbolique. Cet engagement marque un changement d’identité et ferme la séquence de la jeunesse. »
Mais plus que le poids de l’institution, la page tournée ou les promesses de fidélité, pour nombre de jeunes mariées, le grand coupable de ce cafard, c’est le jour J. Les plus touchées par le wedding blues sont celles qui se sont ultra-investies dans la préparation de leur cérémonie. Celles qui ont trimé pendant des mois, seules ou avec leur mari, à faire les plans de tables, à visiter les salles, à écumer les traiteurs ou à courir les boutiques pour trouver la déco parfaite. Pour cou-ronner ce marathon de stress, voilà que la journée tant attendue au cours de laquelle elles ont été au centre de toute l’attention passe toujours trop vite. Le carrosse redevient citrouille, le conte de fées est terminé. Sans qu’elles aient vraiment eu le temps de la savourer. « Tout le monde en a profité, s’est amusé, sauf moi, soupire encore Priscilla. J’ai préparé mon mariage à fond. Je vou-lais que tout soit parfait, conforme à mes rêves de princesse. Je vivais mariage, je dormais mariage… Pendant un an, j’ai frôlé l’hystérie et, puis une fois le mariage passé, plus rien. » Un sentiment partagé par Mathilde : « Notre mariage a occupé nos soirées, nos week-ends, nos vacances pendant neuf mois, raconte la jeune femme de 30 ans mariée en 2013. Nous avons tout fait nous-mêmes. Les livrets de messe, les menus, les faire-part. Tout était dans la même typogra-phie, le papier était de la même nuance de blanc que ma robe… Et puis après, je me suis sentie vidée, désemparée… Je n’avais plus rien à faire. »
Rien de plus normal après ce tourbillon organisa-tionnel, selon Sophie Cadalen. « Le mariage est vécu au-jourd’hui comme une mise en scène, une vitrine sociale obli-gée. Les mariés sont comme des comédiens qui investissent des rôles et le répètent pendant des mois. Mais à force de privilégier l’événementiel, on néglige l’intimité de cette fête. Une fois la représentation terminée, la pression se relâche et la déprime comble ce vide. »Celles qui sont passées par là l’assurent. Au bout d’un moment, la nostalgie, la mélancolie disparaît. « Nous nous avons fait de nouveaux projets, raconte Mathilde. Quelques mois après notre mariage, nous nous sommes lan-cés dans la recherche d’un appartement. » Pour Priscilla, il existe des moyens de se prémunir de cette déprime. « En acceptant de déléguer », assure-t-elle. Elle qui va se remarier a fait appel à un wedding planner.
« Je ne voulais pas sombrer de nouveau dans mon obsession de perfection. Nous avons choisi également d’étaler la noce sur trois jours. Pour avoir le temps de voir nos invités et d’en profiter. » Pour Audrey Jennequin, la meilleure des préventions est de « bien savoir pourquoi on se marie ». « Le mariage n’est pas une révélation, une transformation, assure le wedding planner. Il ne comble pas de manque et ne change pas ce qui n’allait pas auparavant. Une fois passé, il faut garder en tête que la salle va se vider, que les époux se retrouveront à deux, et que si on s’est uni, c’est avant tout pour l’autre, pour regarder ensemble vers l’avenir. » En bref, gardez à l’esprit que le mariage n’est pas une finalité, mais un tremplin.
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cérémonie laïque permet ainsi de faire du sur-mesure. Du lieu au déroulé de la cérémonie, en passant par les chansons ou les textes lus, tout est fait pour coller au mieux à la personnalité des époux.Mais alors qu’ils ont carte blanche, on retrouve bien souvent les codes des cérémonies traditionnelles. Robe blanche pour la mariée, entrée au bras du père, échanges des vœux, des alliances, préparation de la célébration auprès de l’officiant… Même les rituels – allumer une bougie, mélanger deux sables de cou-leurs différentes, planter un arbre et même boire du vin – rappellent les instants sacrés des cérémonies religieuses. Comme s’il était difficile de s’affranchir de ces figures socialement imposées. « Certains rites sont culturellement associés au fait de se sentir marié, explique Anne Delacour. Les couples adaptent certaines étapes, ajoutent des rituels novateurs, mais gardent souvent une
trame qui permet à leur cérémonie d’être reconnue comme un mariage par leurs invités. » « On a toujours voulu donner un caractère sacré, solennel à l’union entre un homme et une femme, ajoute l’historienne Agnès Walch. La cérémo-nie civile, inventée par les Révolutionnaires, était déjà un décalque absolu de la religieuse. On a du mal à réinventer le mariage. »
« Au moment de notre mariage, les cérémonies laïques n’étaient pas encore très connues en France. Nous avions assisté à celle d’amis à nous aux États-Unis et ça a été comme une évidence. À l’époque, nous ne cherchions pas l’originalité, mais l’authenticité. Mira étant musulmane et moi athée, nous voulions célébrer notre amour, mais aussi que tous nos invités puissent s’y retrouver. Pendant la cérémonie, nous avons vraiment senti l’union de nos deux familles. Il n’y avait pas de concessions à faire, ni d’un côté ni de l’autre. Nous avions donné
carte blanche à Andy, notre ami qui a joué à merveille le rôle d’officiant. Nous ne savions pas qui allait parler, l’ordre, ni quelle forme allait prendre l’échange des vœux. Ce qui était encore plus émouvant. Cela nous a permis aussi de concilier nos attentes respectives et de donner un aspect plus personnel à notre cérémonie. Mira est arrivée dans une voiture ancienne, un véritable carrosse de princesse, puis a été accompagnée par son père sous un grand cèdre, comme un clin d’œil au Liban, son pays d’origine. Et moi, je suis arrivé sur mon vélo ! »
« Nous nous sommes mariés l’été dernier dans un joli caveau du Beaujolais, avec vue sur les vignes. Nous ne sommes pas croyants, et l’église juste pour les photos, ça ne nous intéressait pas. Nous voulions tout de même un moment solennel pour célébrer notre union. Mais parce qu’elle est plus personnelle, la cérémonie laïque demande plus de travail ! Il faut choisir les chansons, veiller à ne pas faire trop long et faire en sorte que tout le monde respecte le ton donné à ce moment de partage. Au final, la cérémonie est plus
sincère, plus émouvante. Même si nous avions fait une répétition la veille, le jour J, nous avons été submergés par l’émotion. Il y avait aussi plus de spontanéité, de rires : nos invités ont massacré les gospels chantés ! Je portais une robe blanche, il y avait des livrets de cérémonie, nous avons échangé nos alliances, mais je suis rentrée au bras de ma mère. Si nous avons gardé quelques symboles traditionnels pour bien signifier que c’était un mariage, pas un spectacle ou juste une fête, nous les avons adaptés pour créer notre propre moment. »
Thomas et Mira, mariés en 2012
« Nous ne cherchions pas l’originalité, mais l’authenticité »
Marjeline et Rémi, 30 ans
« La cérémonie est plus sincère, plus émouvante »
ON RETROUVE BIEN SOUVENT LES CODES DES CÉRÉMONIES TRADITIONNELLES
TÉMOIGNAGES DE COUPLES QUI ONT OPTÉ POUR CETTE TROISIÈME VOIE
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Faire monter l’excitation.
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Indispensables dans vos bagages.
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La lenteur, le meilleur chemin jusqu’à l’extase.
Vous ne comptiez pas vivre votre nuit de noces sans musique ?
Tous les sens doivent être sollicités pour permettre à cette nuit d’amour de devenir torride.
Trouvez les mots justes.
Le célèbre recueil indien de positions tient toujours ses promesses. L’ouvrir, c’est transformer sa nuit en un festival de jouissance où acrobatie et agilité sont souvent recommandées. Toutefois, sachez que certaines positions donneront un coup de fouet à votre nuit d’amour. Ainsi, n’hésitez pas à favoriser les positions en « face-to-face ». Se voir crée davantage de plaisir et ce serait dommage de commencer votre mariage sans vous contempler. L’adrénaline que ce grand jour vous aura procurée vous permettra également de tenter des acrobaties telles que la brouette thaïlandaise ou encore le collier de Vénus. On vous conseille d’entamer tout de suite les échauffements !
PENSEZ AU…
Kâma-Sûtra « lune de miel »
VOUS AUREZ LE PLAISIR DE VOUS VOIR
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Tout droit venue de l’univers de la mode, Margaux Tardits a décidé de se lancer en 2011 dans la création de
robes de mariée sur mesure après avoir tra-vaillé pour les plus grands tels que Balenciaga, Oscar de la Renta ou encore Lanvin. Riche de son expérience dans les métiers du stylisme, de l’artisa-nat et de la fabrication, Margaux Tardits dispose d’un savoir-faire incontestable qui lui permet de créer des robes de mariée originales à partir de matières nobles. Son credo ? Délicatesse, légèreté et tenue.
Où se situe votre atelier ?— L’atelier est situé aux portes de Paris, à Montreuil plus exactement. Nous partageons les locaux avec des architectes, des designers, des graphistes, des photographes… Des créatifs, en somme. Il y règne une véritable dynamique de travail, les gens sont aussi très solidaires, c’est une ambiance privilégiée. Aujourd’hui, l’espace devient trop petit, compte tenu des commandes grandissantes de robes. Nous sommes donc à la recherche d’un nouvel endroit, dans Paris même, cette fois.
Comment menez-vous vos rendez-vous avec les futures mariées ?— J’aime avoir un premier entretien avec mes mariées afin qu’elles me racontent leur histoire : la demande en mariage, le style de mariage qu’elles aimeraient… Cela me fait toujours rêver et m’aide surtout pour imaginer ensuite la robe de leurs rêves. Je fais de mon mieux
pour les embarquer avec moi dans mon monde, puis pour leur proposer mes idées. Les rendez-vous se déroulent entre des
essayages de modèles de la collection et des esquisses pour les robes sur mesure.
Quel est le processus de création ?— Pour pouvoir comprendre le mieux possible ce que souhaite la mariée, je lui pose quelques questions sur son mariage. Cela me projette tout de suite dans son univers. Ensuite, nous parlons de sa robe, puis nous la dessinons ensemble, en suivant le style qu’elle aime et, bien sûr, en tenant compte de sa silhouette, c’est très important !
Combien de croquis et d’essayages sont nécessaires ?— En général, je leur fournis trois croquis, mais par-fois il suffit d’un seul ! Ensuite, une fois le croquis vali-dé, nous pouvons commencer à dessiner la robe gran-deur nature à travers deux essayages en toile et deux en tissu, pendant lesquels nous validons les lignes de la robe et les matières. Cela est valable uniquement pour le sur-mesure, car il y a aussi les modèles de la collection que l’on peut essayer directement.
Quelles sont vos dernières actualités ?— Après trois ans d’activité confidentielle, c’est-à-dire exclusivement par le bouche-à-oreille et sur recom-mandation, nous venons de lancer notre première collection capsule en semi-mesure, ainsi que notre site Internet. Beaucoup d’autres projets sont encore à venir.
Margaux Tardits a accepté de nous ouvrir les portes de son atelier. Partez à la rencontre de cette jeune styliste de talent, qui crée des robes
pour les futures mariées sur mesure et avec passion.
PAR NOÉMIE JOURDAN
MARGAUX TARDITSParlez-moi de…