Le Petit Wallon

Reportages dans les lycées de Garges-lès-Gonesse

La cour de récréation du lycée Arthur RimbaudLycée Simone de BeauvoirPlusieurs élèves de 3ème B se sont rendus au lycée général et technologique Simone de Beauvoir accompagnés de M.Cibert pour découvrir l'enseignement de détermination MI.SVT.Acceuillis par deux élèves et par M. Chantreau, professeur de MI.SVT, ils sont allés au laboratoire du lycée.(Suite page 5)

Lycée Arthur RimbaudD'autres élèves de 3ème B, accompagnés par Mme Perthuis, sont allés à la découverte du lycée Arthur Rimbaud. Ils y ont découverts un beau lycée propre et neuf, ainsi que des lycéens qui semblaient heureux d'y travailler avec beaucoup de matériel et des matières intéressantes.(Suite page 2)

SOMMAIRE : Orientation :Lycées p 2 à 5 Coiffeur p.6 Sports : Unss p.7Vie du collègeClasse à PAC p.8Théâtre p.9 Astronomie p.10à11Journal.. p.12SciencesExpériences p 13à15

Numéro 2. Mai Juin 2007

L'éditorial de M. PratVous voulez avoir des précisions sur l'orientation ? Vous voulez savoir ce qui est organisé au collège pour vous aider à choisir votre parcours ?Vous voulez savoir tout ce qui se passe à Henri Wallon ? Les projets en cours, la préparation des expositions, le théâtre, l'UNSS ,les ateliers scientifiques pour les primaires,l'école ouverte et autres choses ?Alors une seule chose à faire : lire ce numéro 2 du « Petit Wallon ».

Pour la deuxième fois, les élèves de 4ème B et 3ème B, aidés par une équipe d'adultes, réalisent une édition tout à fait intéressante. Lisez ce journal et faites le lire à vos parents et amis. Ils le trouveront passionnant.Je vous souhaite une bonne lecture, en souhaitant lire rapidement le numéro 3.

M. Prat Principal du collège et  directeur de publication.

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Cinq troisièmes en visite à Arthur RimbaudLe lycée Arthur Rimbaud se situe à Garges-lès-Gonesse, 99 avenue de la

Division Leclerc. Le lycée est vraiment propre et neuf. Les élèves possèdent une carte de lycéen qu'ils présentent à l'entrée. Au milieu du lycée, on se promène dans une belle cour remplie d'arbres et de bancs d'où on voit deux terrains de basket. A l'arrière du bâtiment industriel, il y a un garage où les élèves travaillent sur des voitures (réparation, peinture...).

Dans le lycée, on observe quatre bâtiments. Les bâtiments A et B sont destinés à: la filière tertiaire (logistique et vente),le bâtiment C aux filières tertiaire et industrielle et le bâtiment D exclusivement à la filière industrielle (carrosserie, mécanique et peinture).

La filière tertiaireLa filière tertiaire (service,

vente...) propose un BEP logistique et commercialisation et un BEP VAM (Vente action marchande). Mme Ducloux, l'un des trois chefs des travaux de l'établissement, nous a présenté les filières qu'elle maîtrise bien puisqu'elle en est la coordinatrice.

Nos reporters au magasin factice.

qui consiste à exercer toutes ses connaissances, par exemple sur un rayon de magasin factice fabriqué par le lycée; et une partie d'enseignements généraux : français, mathématiques, histoire géographie, EPS, anglais etc.(suite page 3)

Mme Ducloux chef des travaux de la filière tertiaire au lycée Arthur Rimbaud.

Le BEP logistique et commercialisation se prépare en deux ans. La formation inclut 6 semaines de stage en entreprise en première puis en deuxième année. La semaine d'un élève est divisée en plusieurs parties : une partie pratique de 14h d'enseignement professionnel,

Un des rayons du magasin factice.

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Les particularités de l'enseignement professionnel sont d'apporter aux élèves les expériences du monde professionnel grâce aux stages : 10 semaines en BEP, 16 semaines en BAC pro (alternance).Par rapport aux collégiens, les lycéens travaillent environ dix-sept heures par semaine en atelier et ont une quinzaine d'heures de matières générales. Les élèves travaillent par dix dans chaque classe pour des raisons de sécurité.Les meilleurs élèves ont la possibilité de poursuivre leurs études vers une école d'ingénieur après la filière STI et un BTS automobile.D'ailleurs PSA (Peugeot Citroën), Renault ou Nissan font des dons au lycée pour que les élèves puissent appliquer les nouvelles technologies aux véhicules sur lesquels ils travaillent.(suite page 4)

(Suite de la page 2)Le BEP comptabilité est

maintenant en fermeture car le lycée se spécialise dans la logistique (les éléves intéréssés par la comptabilité sont envoyés à Goussainville).

Le lycée dispose aussi d'un entrepôt où les élèves apprennent à réceptionner, à vérifier et à ranger les produits. Ils suivent aussi les commandes, participent aux inventaires et parfois à la surveillance des stocks. Ils apprennent aussi à déplacer des palettes.

Par ailleurs, le lycée Arthur Rimbaud se situe à proximité de l'aéroport de Roissy où sont localisées des entreprises de services (DHL, FEDEX, La Poste...). Enfin, les diplômés ont des débouchés : se faire recruter par ces entreprises.

La filière industrielle : les métiers de l'automobileM. Clink Maillé est le chef des travaux de la filière industrielle se situant dans les bâtiments C et D. Les différents domaines de l'automobile sont : la carrosserie, la maintenance et la peinture (BEP, BAC pro, BAC en 3 ans, BTS).

Visite de l'atelier avec le chef des travaux.

Dans l'entrepôt du lycée avec les machines.

Les différents domaines de la maintenance sont la prévention comme le contrôle technique, la réparation des voitures accidentées et la peinture. Cette filière peut aussi déboucher sur l'expertise, les métiers de réceptionniste, de management et de formation.

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(suite de la page 3)Grâce aux conventions collectives

signées entre les entreprises, l'Etat et l'Education Nationale, les salaires dépendent des diplômes. Les élèves de la filière automobile d'Arthur Rimbaud ont des salaires garantis à leur sortie du lycée : CAP=1200 euros, BEP=1400 euros, DUT=1500-1600 euros.

Parmi les ateliers visités, il y avait le magasin pour ceux qui auraient besoin de certains matériaux pour la réparation des voitures. Puis il y a l'atelier carrosserie dans lequel on fait réparer les voitures (meulage, soudure). Dans certains cas les élèves

utilisent la voiture pour s'entraîner à la démonter ou à trouver ses pannes.

Par ailleurs, les élèves construisent un kart pour aller courrir en compétition sur le circuit PSA d'Aulnay-sous-Bois contre d'autres équipes lycéennes.

Olga, Sarah, Junaïd, Mejdi et Nabil

Nous avons ensuite visité l'atelier peinture dans lequel il y a un labo avec un logiciel de teintoguidage, puis l'atelier déchetterie dans lequel il y a des grands bacs pour mettre les ferrailles, huiles de refroidissement, filtres et batteries.

Enfin nous avons visité l'atelier recyclage dans lequel les voitures en fin de vie sont recyclées, remises à neuf ou démontées afin d'en prendre les pièces.

Les reporters : Junaïd, Sarah, Olga, Mejdi et Nabil devant le lycée.Visite organisée par Mme Perthuis

Les filles aussi peuvent être mécaniciennes.

Ceci est un moteur de voiture.

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L'enseignement de détermination MI SVTSevilay, Kinza, Nathalie, Jennifer et Jordan se sont rendus le mardi 6 mars 2007 au lycée général et technologique Simone de Beauvoir, accompagnés de M.Cibert pour découvrir l'option MI.SVT (Mesure Informatique dédiée aux Siences et Vie de la Terre). Accueillis par M.Chantreau (professeur d'MI.SVT) et par deux élèves étudiant l'option, nous sommes allés au laboratoire du lycée.

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Avec une séance de 3h par semaine et seulement 28 places, cette option est une nouveauté au lycée depuis la rentrée 2006-2007. Le programme de la matière est généralement choisi par le professeur. En effet, c'est un programme parallèle à celui de SVT du niveau seconde générale et technologique. Par groupe de deux, les élèves sont chargés de répondre à une problématique à chaque début de séance donnée par le professeur. Effectué sur ordinateur, le travail sera rendu sous forme de diaporama. Mais il peut y avoir des expériences avec l'utilisation du microscope.

Un élève ayant pris l'option MI. SVT peut ensuite s'orienter vers tous les baccalauréats généraux et technologiques (S, ES, L, STG, STI, STT...). Cette option permet de développer l'utilisation et la maîtrise de l'outil informatique dans la pratique des sciences.

Elle nous permet aussi de développer l'autonomie et la réflexion dans la réalisation d'expériences scientifiques. Un professeur de MI.SVT nous a rendu visite au collège le mardi 27 mars. Une autre visite des élèves de seconde a eu lieu lundi 7 mai de 8h30 à 9h25 pour les 3D et 3E puis à 9h25 pour les 3B, 3C, et 3F. Par ailleurs, le jeudi 29 mars de 14h à 15h30, deux groupes sont allés se renseigner sur l'option .Sévilay et Kinza.

Un squelette de grenouillejahosan.

Pour plus d'informations, un site est à votre disposition sur : http://simone95svt.free.fr/MI/index.php

Il affiche les travaux faits par les élèves.

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RENCONTRE AVEC UN COIFFEURNous sommes allées dans le salon

de coiffure « Relais des arts » qui se trouve à Château d'eau à Paris. Ce salon est très chaleureux parce que les murs sont peints de couleurs vives. Le salon est assez spacieux et confortable.

Nous y avons rencontré un coiffeur qui s'appelle Galois. Celui-ci exerce son métier dans ce salon. Nous l'avons interviewé car c'est le seul homme et il travaille au milieu de plusieurs femmes.

Il est mince et pas très grand. Il est noir, a des cheveux noirs bouclés et bien soignés. Séduisant, il s'habille bien : il sait marier les couleurs, il aime les vêtements de qualité.

A l'écoute de ses clientes, attentif, il satisfait tous leurs désirs. Il n'était pas gêné et était très souriant pour mettre à l'aise les gens.

Le Petit Wallon: Qu'est-ce qui te plaît dans la coiffure ?Galois: J'aime la coiffure, ça me plaît. J'aime prendre soin des cheveux surtout ceux des femmes.

Le Petit Wallon: ça ne te dérange pas de travailler dans un milieu féminin ?Galois: Non, au contraire, j'aime bien être au milieu des femmes.

Le Petit Wallon: Comment as-tu fait pour arriver jusque là ?Galois: J'ai commencé à la maison, je ne coiffais que les garçons et quand j'ai commencé à bien coiffer, je suis allé dans un salon de coiffure et j'ai rencontré un homme qui coiffait très bien les femmes, tellement bien que, à force de le regarder, j'y ai pris goût. Il m'a proposé d'aller à l'école, j'y ai étudié 3 ans, à l'école de commerce à Kinshassa. Je suis spécialiste en coiffure africaine et je sais faire tout ce qui est esthétique. J'ai beaucoup voyagé et je suis à Paris depuis 2 ans.

Nathalie et Olga.avec la participation de Kinza et Jennifer

Galois

Le Petit Wallon: As-tu toujours aimé ce métier ou as-tu d'abord voulu faire autre chose ?Galois: Non, j'ai commencé à coiffer. C'était un passe-temps et j'ai aimé directement.

Il y a beaucoup de clientes à coiffer.

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ORIENTATIONORIENTATION

L'U.N.S.S est une association déclarée sous la loi du 1er juillet 1901. C'est une fédération sportive mise en place par le ministère de l'Éducation Nationale de la Jeunesse et des Sports qui participe à la mise en oeuvre des objectifs de l'association. Elle est membre de la confédération du sport scolaire et universitaire et du comité nationale olympique et sportif français.

En 1888, la 1ère association sportive scolaire a été créée pour la pratique du sport. En 1945, l'association sportive est obligatoire dans le second degré. En 1950, l'enseignant d'E.P.S dispose d'un forfait de trois heures dans son service pour animer l'A.S. En 1975 l'A.S.S.U se scinde en :U.N.S.S (Union Nationale du Sport Scolaire)F.N.S.U (Fédération Nationale du Sport Universitaire)En 1981 l'U.N.S.S passe sous tutelle du ministère de l'Éducation Nationale.William et Ahmed (après recherche au CDI)

SPORTSSPORTS

Le Petit Wallon : Etes-vous content de votre terrain ?M. Duros : Je préfère avoir un terrain synthétique au lieu du « terrain des vaches » parce qu'il est dégradé et impraticable.

Le Petit Wallon : Pourquoi l'UNSS a-t-elle été fondée ?M. Duros : On souhaite donnner accès à différentes pratiques sportives aux élèves pour un prix peu élevé. L'objectif est d'inciter les éléves à pratiquer dans un club.

Le Petit Wallon : Qui pratique un sport à l'UNSS ?M. Duros : Les éléves volontaires sauf les 4ème C et les 5ème C parce qu'ils ont choisi l'option sports. Ils sont donc obligés de participer à l'UNSS, c'est leur contrat de classe.

Le Petit Wallon : Quelle est l'ambiance dans le groupe foot ?M. Duros : L'ambiance est bonne quand il y a des victoires mais moins agréable en cas de défaites.Rabie et Janzeb

Venez à l'UNSS !

M Duros qui s'occupe de l'UNSS foot

L'UNSS AU COLLEGELes professeurs nous proposent

beaucoup de sports par l'intermédiaire de l'UNSS : football, badminton, basket-ball, ping-pong, handball. Cela se passe le mercredi aprés midi. Les élèves qui participent à l'UNSS font des compétitions le mercredi après midi.

Le Petit Wallon : Est-ce-que l'UNSS continuera l'année prochaine ?M. Duros : Oui pour l'année prochaine.

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La 5ème C, classe à PACLa 5ème C est une classe à Projet Artistique et Culturel (classe à PAC). Les classes à PAC ont débuté au collège en 2006.

La classe à PAC de Mmes Brossaud et Nicolas est une classe qui fait de la peinture sur porcelaine (le terme technique est la céramique).

Sur cette porcelaine, on reproduit des dessins à l'aide d'une peinture à porcelaine (elle résiste à la chaleur). Elle se cuit à 250°C dans les fours de la cantine du collège. Seuls les élèves de 5ème C font ce projet qui a lieu chaque mardi de 15h à 16h dans la salle de Mme Brossaud.

Les élèves étudient des textes du Moyen Age avec Mme Nicolas et en reproduisent certaines scènes sur des assiettes.Une exposition de toutes leurs réalisations aura lieu en fin d'année, vers le mois de juin.

Jordan Pierre et Zafer

Un élève dessinant sur une assiette d'après un modèle

Les élèves de 5ème C en plein travail.

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Les élèves s'expriment à travers le théâtre

Les élèves se préparent avantla répétition.

Au collège Henri Wallon, est mis en place un atelier théâtre qui se déroule le vendredi de 15 h à 17 h au C D I. Mme Patritti, professeur de français et Mme Perthuis, documentaliste, s'occupent de cet atelier avec l'aide d'une intervenante Mme Blondel, actrice, professeur de théâtre et directrice de troupe. Elle est également auteur de pièces de théâtre, dont « Noûn , le rire de la baleine » qui sera joué par les élèves de l'atelier théâtre, le 24 juin 2007 à l'espace Lino Ventura.

Le Petit Wallon : Est-ce-que cela fait partie de vos heures de cours ?Mme Patritti : L'atelier théâtre fait partie à 50 % de mon emploi du temps donc une heure.Mme Perthuis : Oui, c'est inclus dans mon emploi du temps.Le Petit Wallon : Combien d'élèves y participent ?Mme Patritti : Au début ils étaient 16 maintenant ils ne sont plus que 13 élèves à y participer, ils se sont engagés en mai dernier pour l'année 2006-2007.

Le Petit Wallon : Depuis combien de temps l'atelier théâtre a été mis en place ?Mme Perthuis : C'est la 3ème année de l'atelier théâtre mais l'année dernière cela n'a pas fonctionné.

Le Petit Wallon : Comment avez-vous eu l'idée de cet atelier ? Et avez-vous de l'expérience personnelle ?Mme Perthuis : Moi, personnellement j'aime beaucoup le théâtre, c'est quelque chose qui m'attire énormément, j'ai apprécié d'en faire en tant qu'élève, mais je n'ai pas vraiment d'expériences personnelles à part quelques stages. C'est pour cela que j'ai proposé à Mme Patritti de collaborer à cet atelier avec moi.Mme Patritti : J'ai accepté avec plaisir, car le théâtre est une chose que j'aime beaucoup. J'ai de l'expérience personnelle, j'ai commencé à la fac à 18 ans, j'ai fait deux représentations plus tard à Paris. De plus, en tant que professeur, je l'enseigne tout le temps.

Le Petit Wallon : Que faites-vous dans la vie ?Mme Blondel : En fait j'ai une double casquette : je suis à la fois dans l'atelier théâtre et dans un projet de lycée pour le bac. J'ai fait des études à l'université. Je suis maintenant comédienne dans une compagnie, directrice de troupe et j'écris également du théâtre depuis 15 ans. Trois de mes pièces ont déjà été publiées et deux autres non publiées sont jouées à Paris.Sérine et Marina

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Une classe de CM2 de l'école Jacques-Prévert à Garges-lès-Gonesse vient au collège Henri-Wallon pour faire des sciences. Cela se passe le vendredi de 13h30 à 15h30. Les élèves travaillent sur l'astronomie.

Nous avons rencontré M. Vincent, professeur de physique-chimie au collège Henri-Wallon, qui anime un atelier de science. On lui a demandé ce qu'il pensait de cet atelier.

Le Petit Wallon : Pourquoi avez-vous fait cet atelier ?M.Vincent: Pour montrer le collège aux CM2 et aussi pour leur faire découvrir la science.

Le Petit Wallon : Que pouvez-vous dire de l'ambiance de la classe ?M.Vincent: Les élèves travaillent quand on leur demande et silencieusement.

Le Petit Wallon : Aimez-vous ce projet ?M.Vincent : Oui parce que ça change. Les élèves sont beaucoup plus calmes et beaucoup plus intêressés par rapport à ceux du collège.

Le Petit Wallon : Depuis combien de temps faites-vous cet atelier ?M.Vincent : C'est la 3ème année que je fais cet atelier avec les élèves de CM2.

Le Petit Wallon : Avez-vous constaté des changements dans le déroulement de cet atelier ?M.Vincent : Ca dépend du nombre d'élèves et de moi.

Le Petit Wallon : Travaillez-vous en classe entière ?M.Vincent: Non, je travaille en demi groupe. Ça a l'avantage de permettre un meilleur suivi individuel des élèves.

Le Petit Wallon : Souhaitez-vous continuer cet atelier l'année prochaine ?M.Vincent: Oui.

Le Petit Wallon : Y aura t-il des changement ?M.Vincent : Oui l'année prochaine je travaillerai avec une seule classe au lieu de deux.

(suite page 11)

Les primaires apprennent l'astronomie et le jardinage au collège

M. Vincent le professeur qui anime l'atelier d'astronomie pour les élèves du primaire.

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(suite de la page 10)Le Petit Wallon : Auriez vous voulu travailler sur un autre thème que l'astronomie avec les élèves de CM2 ?M.Vincent : J'aimerais bien faire de la chimie, ça me plaît plus que l'astronomie.

Les élèves trouvent que la classe est calme et d'autres qu'elle est bruyante. Ils apprécient l'atelier et ils nous ont dit qu'ils travaillent sur la Lune, l'ombre et la Terre.

La Lune, ses phases et ses éclipses, est un des sujets étudiés dans l'atelier d'astronomie.Photo prise par la sonde Galileo (Nasa)

Il existe un deuxième atelier scientifique au collège dirigé par M. Gibrac, professeur de SVT. Les élèves de CM2 travaillent sur le jardinage.

M. Gibrac reçoit les élèves en demi-groupe au collège. Le but de cet atelier est de leur apprendre à utiliser le matériel de SVT : microscope, loupe ...

Ils préparent le jardin, font des expériences et des observations.

Julie et Tressy

Publicité :

« Entre ciel et mer »

une sortie au Futuroscope

organisée dans le cadre de l'école ouverte

par Mlle Mercadier etM Gibrac

les 5 et 6 juillet 2007(déjà complet !)

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Le projet journal consiste à écrire des articles pour le journal que vous êtes en train de lire. Il parle de divers sujets tels que le sport, les activités proposées au collège ou les expériences scientifiques.Il concerne les classes de 3èmeB et 4èmeB qui travaillent en groupes. Ce projet est pris en charge par les professeurs des deux classes.Le projet journal se déroule tous les mardis de 8h30 à 10h20. «Ça fait trois ans que les professeurs cherchent à ce que les élèves maîtrisent mieux la langue française et le langage scientifique. Cette année, on a décidé de faire un journal », rappelle monsieur Lambert, professeur de mathématiques. La plupart des professeurs des deux classes participent au projet, ainsi que Mme Lenoir, la professeur d'appui du RAR, les documentalistes et deux assistants pédagogiques. En plus des professeurs, il y a des intervenants extérieurs qui aident les élèves.

Ces intervenants sont Mme Cabasso qui travaille à l' E.M.A.P (Ecole Municipale d' Arts Plastiques), Mlle Nadia Cherif et M. Jean-Baptiste Paulin qui travaillent pour l'Exploradôme, une association scientifique.Mme Cabasso aide les éleves à faire la maquette du journal. Mlle Cherif vient au collège pour montrer des expériences scientifiques sur les forces et la pression de l'air aux élèves, qui feront l'objet d'articles (page 13 à 15).M. Paulin a réalisé avec un groupe d'élèves la maquette d'un site qui sera la version sur ordinateur du Petit Wallon. Avec le matériel de l'Exploradôme les élèves s'entrainent à faire des reportages photos et vidéo.Deux numéros du journal sont déjà parus cette année. L'an prochain une classe de troisième poursuivra le projet, il y aura surtout les élèves de la 4ème B actuelle mais il reste des places pour les élèves intéressés... Pierre, Zafer et Jordan

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Le projet journalcollègecollège

L'atelier d'arts plastiques : réalisation d'une fresqueL’atelier Arts Plastiques

fonctionne depuis le mois de janvier au collège. Les classes de 6ème D et 3èmeA ainsi que d’autres élèves, de manière ponctuelle, participent à la réalisation d’une fresque reprenant des morceaux d’œuvres de différents artistes tel que Matisse, Van Gogh ou encore Klimt. Cette fresque, faite à la peinture, mesure environ 2 mètres 40 sur 2 mètres.

Elle sera accrochée à la fin de l’année de manière définitive. Vous pourrez la trouver dans le hall du collège.

M. Bisciglia et les élèves dans l'atelier

sciencessciencesUne expérience à faire : la pression atmosphérique face

au poids de l'eau

Manipulation 

1. Remplis le verre d’eau.2. Prends le carton et pose le sur le verre.3.Tiens le carton sur le verre et Retourne le délicatement.4. Retire ta main et observe

Comment ça marche ?

Le carton ne tombe pas parce que l’air exerce une poussée vers le haut et empêche la chute du carton soumis à son poids.

Matériel

La pression atmosphérique est la pression de l'air en un point quelconque de l'atmosphère terrestre.

J'observe : « Le carton ne tombe pas ! L’eau reste dans le verre !! »

L'air est invisible pourtant il est présent et exerce une force tout autour de nous. D'autres forces existent comme la gravité qui fait que tout objet lâché subit une chute.

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Steven

sciencessciencesUne expérience à faire : le poids de l'air

Manipulation

1. Pose la bouteille vide sur la balance.Note son poids.2. Prends la bouteille de la balance. Avec une pompe à vide, pompe l’air qu’il y a à l’intérieur de la bouteille.3. Pose cette bouteille sur la balance,Note son poids.

Matériel :

J'observe : « Il y a une légère différence de poids entre les deux bouteilles. La première pesait 158,5g et la seconde 158,3g.»

Comment ça marche ?

L’air a une masse mais, lorsque, avec une bouteille en plastique, nous faisons la même expérience, nous trouvons deux fois la même chose.C’est parce que nous n’avons pas vidé tout l’air.

L'air pèse 1,3 g par litre.

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Steven

sciencessciencesUne expérience à faire : la balle flottanteMatériel :

Un sèche-cheveuxUne balle de ping-pong

Manipulation

1, Allume le sèche-cheveux et positionne le verticalement2, Mets la balle dans le flux d’air, observe.3, Incline le sèche-cheveux légèrement, observe.

J'observe : «  La balle flotte à la verticale. Elle flotte aussi quand on incline le sèche-cheveux.Elle tient jusqu’à une certaine limite d’inclinaison de l’ordre de 20° »

Comment ça marche ?La pression de l’air au-dessus du ballon est inférieure à la pression en dessous du ballon. Cela génère une force dirigée vers le haut. C’est ce qui permet au ballon de flotter.

C’est ce même principe qui permet aux avions de voler.

Karim réalise l'expérience sous le regard de M. Vincent

En soufflant au dessus de l'aile, elle se soulève.

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Steven

Steven

Directeur de PublicationM. PratLes professeurs Mlle Abidol, Mlle Brossaud, Mlle Coucaud, Mme Simon, Mlle Grandjean, Mlle Lenoir, Mme Perthuis,M. Ait Mesghat, M. Cibert, M. Lambert, M. Péron, M. VincentLes intervenantsMme Cabasso (EMAP)Mlle Chérif et M. Paulin (Exploradôme)Les élèves :Expériences sur l'airAbraham, Walid, Steven, Vikram,Faouzi,Boubacar, Karim et Mahamadou.Les dessins sont de Steven.InfographieThibault, Jessica, Nassim, France, Maryline, Joséphine, Christine, Anissa, Maxime, Romain, Johanna et Matthieu.Préparation du site « Petit W@llon »Laurren, Sira, Andrew, Mazlum, Bérangère,Rita, Prescillia et Naomi.ReportagesSévilay, Jennifer, Nathalie, Kinza, Janzeb, Rabie, Mejdi, Olga, Nabil, Jordan, Pierre, Sérine, Tressy, Ahmed, William, Zafer, Junaid, Sarah et Julie.

Les élèves de 3ème B.

JournalJournal

Les élèves de 4ème B.