Le Bleiberg
-
Upload
jacques-kunzler -
Category
Documents
-
view
248 -
download
4
Transcript of Le Bleiberg
![Page 1: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/1.jpg)
LE BLEIBERGLa mine de plomb de St Avold.
JF. SCHNEIDER / J.KUNZLER CPEPESC
![Page 2: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/2.jpg)
Aperçu historique
Le Bleiberg s’intègre dans la typologie des anciennes exploitations minières qui s’ouvrent dans la côte qui ceint la dépression du Warndt : Wallerfangen en Sarre, Falck, Hargarten-aux Mines, Longeville, St Avold, Cocheren. Elles sont creusées dans le grés intermédiaire et le métal recherché était soit du cuivre soit du plomb.
![Page 3: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/3.jpg)
Vue satellite du Warndt
![Page 4: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/4.jpg)
Au Bleiberg, la plus grande partie du réseau accessible aujourd’hui date des 16ème, 17ème et
18ème siècles.
![Page 5: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/5.jpg)
• Des fouilles archéologiques récentes ont cependant permis de mettre en évidence des zone médiévales plus anciennes (13ème au 15ème) grâce aux observations des techniques d’exploitation et du matériel retrouvé (tessons de poterie).
![Page 6: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/6.jpg)
Fouille archéologique dans la secteur médiéval inférieur en 1985
![Page 7: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/7.jpg)
« Fimel » ou coin trouvé lors de la fouille.
Tesson de poterie commune d’époque médiévale
![Page 8: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/8.jpg)
![Page 9: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/9.jpg)
• Une éventuelle exploitation gallo-romaine reste possible mais n’a pas été prouvée.
![Page 10: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/10.jpg)
![Page 11: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/11.jpg)
• Les archives médiévales sont rares mais un rapport de compte de 1551 mentionne que la mine n’est plus exploitée.
• Au 18ème siècle, les archives sont plus nombreuses et plus précises. En 1785, il y a 30 personnes attachées aux travaux du Bleiberg : 1 commis, 12 mineurs, 2 brouetteurs, un maître fondeur, un maître bocardier, 14 ou 15 laveurs (laveuses) et bocardiers. C’est sans doute un maximum pour le Bleiberg qui est à son apogée, les autres exploitations du Warndt étant en net déclin ou même fermées. En 1797 c’est l’arrêt des travaux.
![Page 12: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/12.jpg)
• La mine retrouve néanmoins une petite activité entre 1858 et 1862 au moment de l’exploitation de la mine de cuivre du Hautbois à Longeville.
• Compte tenu de son intérêt historique et archéologique, le Bleiberg est inscrit à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques.
![Page 13: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/13.jpg)
Minéralisation.
• Le plomb (ou le cuivre) se trouve dans le grés intermédiaire, immédiatement au-dessus du grés vosgien. 85% du minerai se présente sous forme de cérusite (taches blanchâtres) et 15% sous forme de galène (mouches noires ou grises de 0,5 à 3cm de diamètre).
![Page 14: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/14.jpg)
Minerai de plomb sous forme de mouches de
galène.
![Page 15: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/15.jpg)
Miroir de faille provenant du glissement d’une roche sur l’autre
![Page 16: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/16.jpg)
• Les travaux s’étendent sur 3,5 ha et jusqu’à 5 niveaux superposés au maximum. La longueur du réseau encore accessible est d’environ 2 km.
• Les anciens ont extrait 20 000 tonnes de minerai d’une teneur moyenne de 3 à 4%. Il ne connaissaient et n’exploitaient que la galène.
![Page 17: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/17.jpg)
Plan du système visitable actuellement
![Page 18: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/18.jpg)
Techniques d’exploitation.
• Au Moyen Age, les mineurs utilisaient une technique d’extraction particulière. Elle consistait à creuser d’abord au marteau et à la pointerolle des entailles de 3 à 6 cm de largeur, alignés sur le front de taille et espacées de 10 à 20 cm. Puis des coins métalliques étaient enfoncés dans ces encoches à l’aide d’une masse pour dégager de larges fragments de roches.
![Page 19: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/19.jpg)
![Page 20: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/20.jpg)
![Page 21: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/21.jpg)
• Les mineurs creusaient essentiellement des puits avec des extensions sous forme de
chambres peu élevées quand ils arrivaient dans une zone plus richement minéralisée.
![Page 22: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/22.jpg)
![Page 23: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/23.jpg)
![Page 24: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/24.jpg)
![Page 25: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/25.jpg)
• Du 16ème au 18ème siècle les puits sont délaissés au profit des galeries. C’est un style très typé, caractérisé par la perfection du travail et le souci esthétique. Les galeries sont toujours de section trapézoïdale, plus larges à la base (la sole) qu’au plafond (le toit). Les angles sont parfaitement marqués et forment une ligne continue et régulière, même sur la « sole ».
![Page 26: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/26.jpg)
Galerie trapézoïdale à l’esthétique remarquable
![Page 27: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/27.jpg)
![Page 28: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/28.jpg)
![Page 29: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/29.jpg)
• Les parements (cotés), toit et sole sont plans et le plus lisse possible. On travaillait exclusivement a la massette et à la pointerolle. Chaque coup était frappé exactement dans le sillon précédent, formant ainsi une trace continue en arc de cercle du toit vers la sole pouvant atteindre plus d’un mètre.
![Page 30: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/30.jpg)
Traces de pointerolles sur le
parement
![Page 31: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/31.jpg)
Simulation par Armand MULLER du travail au front de taille selon une
gravure tirée du « De Re Metallica » de Georg AGRICOLA (1556).
![Page 32: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/32.jpg)
De rares et précieuses inscriptions permettent de dater les techniques
de travail.
![Page 33: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/33.jpg)
La mine servit d’abri pendant la dernière guerre:gravure de Joseph DEMANGE, commerçant à St Avold
(frère de Victor D., fondateur du R.L) le jour de la libération de la ville.
![Page 34: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/34.jpg)
Recherche de zones plus richement minéralisées par
un sondage de plusieurs mètres de profondeur au toit
de la galerie.
![Page 35: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/35.jpg)
• Au 19ème siècle on utilisait encore la pointerolle, le pic mais aussi et surtout la poudre noire. Les trous de fleuret avec parfois les restes de bouchons d’argile sont encore visibles.
![Page 36: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/36.jpg)
• L’aspect anarchique du réseau est lié au fait qu’il n’existait pas, et n’existe pas encore aujourd’hui, de méthode efficace pour localiser le minerai. Les galeries de recherche étaient percées dans le flanc de la colline et lorsqu’ils rencontraient un « nuage » plus richement minéralisé, les mineurs pratiquaient des extensions en chambres.
![Page 37: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/37.jpg)
Certaines galeries se sont recoupées fortuitement sous terre pour
donner ce réseau labyrinthique.
![Page 38: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/38.jpg)
![Page 39: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/39.jpg)
![Page 40: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/40.jpg)
![Page 41: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/41.jpg)
• Le système comporte actuellement deux entrées mais les accès étaient beaucoup plus nombreux. Certaines galeries comme la « Speckamma » ne sont plus accessibles. D’autres sont à redécouvrir lors de travaux en surface.
![Page 42: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/42.jpg)
Entrée supérieure ou « Bleiloch »
![Page 43: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/43.jpg)
• Le mineur au front de taille utilisait une lampe à huile qu’il suspendait par un grand crochet dans des petits trous creusés à cet effet dans le parement. Les chandelles de suif (graisse animale) étaient placées dans des « niches à lumière » creusées dans le parement pour baliser le chemin du brouetteur.
![Page 44: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/44.jpg)
Lampe à huile utilisée par le mineur au front de
taille.
![Page 45: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/45.jpg)
Niche à lumière avec sa chandelle de suif
permettant au brouetteur de trouver
son chemin
![Page 46: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/46.jpg)
• Compte tenu de l’abaissement de la nappe phréatique ces dernières décennies, il n’y a plus beaucoup d’eau au Bleiberg. Mais il n’en a pas toujours été ainsi. Vers 1930 encore, certaines galeries étaient entièrement inondées. Ce problème était souvent résolu par le simple pendage de la galerie vers l’extérieur, favorisant ainsi l’écoulement naturel de l’eau. Parfois les eaux d’infiltration étaient collectées dans de petits caniveaux creusés latéralement dans la sole ou le parement de la galerie.
![Page 47: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/47.jpg)
Les problèmes d’exhaure étaient résolus par le creusement de
rigoles (ci-dessus) ou la pose de voies de roulement surélevées
(ci-contre).
rigole d’exhaure
![Page 48: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/48.jpg)
Le « Puits » (8m de profondeur), sans doute destiné à la
recherche de minerai dans les couches inférieures.
![Page 49: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/49.jpg)
Traitement du minerai.• Le minerai, sorti à l’aide de brouettes est
passé au « bocards » (marteaux-pilons hydrauliques) où il est concassé. Puis il est tamisé et livré aux laveurs ou laveuses (plus nombreuses). L’eau évacue le sable alors que les parties lourdes restent au fond des stries des planches.
• La dernière opération est la fonte. Il y avait deux fourneaux : l’un pour la fonte, l’autre pour l’affinage.
![Page 50: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/50.jpg)
BocardPlanches à laver
Tiré du « De Re Metallica » de Georg AGRICOLA 1556
![Page 51: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/51.jpg)
• A l’origine le lavoir devait se trouver non loin de l’entrée inférieure. Il est fait mention d’une « Bleiwäsch » à l’entrée de Dourd’hal. Enfin, on installa, juste avant la Révolution, lavoir et fonderie près du moulin d’Oderfang.
• Le plomb entrait dans la composition de l’émail, de la faïence. Il avait également d’autres usages : vitraux, tuyauteries, balles, scellements, toitures.
![Page 52: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/52.jpg)
Biologie.
• L’ensemble des galeries et salles du Bleiberg forment un milieu intéressant mais fragile de type cavernicole qui accueille une faune discrète mais riche : crustacés, insectes, chauves-souris.
![Page 53: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/53.jpg)
Grands Murins en hibernation.
![Page 54: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/54.jpg)
• Les chauves-souris, mammifères protégés, sont particulièrement bien représentées. Neuf espèces et deux genres ont été observés et identifiés. Elles occupent le site (accrochées aux parements ou logées dans de petites anfractuosités) de novembre à avril lors de leur phase d’hibernation (période sensible ou l’animal ne doit pas être dérangé).
![Page 55: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/55.jpg)
• Ainsi le Bleiberg est protégé par un arrêté préfectoral de biotope et il est inscrit dans le projet européen Natura 2000 (mise en place de zones spéciales de conservation). Cela permet un contrôle administratif officiel, un suivi scientifique programmé et toute action de préservation.
•L’accès de la mine est réglementé et l’office de tourisme de St Avold y organise des visites en été.
![Page 56: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/56.jpg)
Soutènement réalisé par la CPEPESC dans une zone
d’effondrement.
![Page 57: Le Bleiberg](https://reader034.fdocument.pub/reader034/viewer/2022051400/55a2f6231a28aba71b8b45ee/html5/thumbnails/57.jpg)
• Photos:
• Jacques KUNZLER
• Jean-François SCHNEIDER.
• Texte et montage: Jacques KUNZLER.
• Guide: Charles WEBER