D E D A V I D L É O N

Production SortieOuest Scène conventionnée pour les écritures contemporaines BéziersPartenaire Théâtre Jacques Coeur Lattes,

Le Groupe M.I.A.O.U.

Avec le soutien du Fracas de Montluçon centre dramatique,le bureau d’accompagnement LYDLM

et le HtH CDN de Montpellier

M I S E E N S C É N E D U G R O U P E M . I . A . O . U .

J E U

S C É N O G R A P H I E

Chantier de création le 2 février 2017 au Théatre Jacques Coeur-Lattes. Création saison 2017/18

Se jouant de toute ambiguité sexuelle, supérieure, dans les arcanes du pouvoir.

La Nuit la Chair, traverse les troubles d’une rencontre. Celle d’une femme (un homme) avec un homme plus agé, d’une classe, David Léon tisse les voix pour conter une histoire sensuelle et amoureuse, touchant aux vertiges de l’érotisme. Il explore, avec un humour fin et une cocasserie des détails, les codes sociaux et le rapport fasciné / fascinant des deux personnages, rapport qui s’inverse constamment. Est-il possible d’etre complètement en face l’un de l’autre ? d’aller au-delà de notre solitude ontologique dans l’abandon de soi, le désir ? de trouver une place ? d’être soi ?

« La nuit la chair » est l’histoire d’un être qui se raconte en racontant l’objet de son désir. Cette altérité, cet homme différent, dominant socialement, et sexuellement. C’est l’aveu d’un secret, d’une fra-gilité, peut -être aussi d’un fantasme trompeur : celui d’une fausse passivité, d’une posture soumise qui paradoxalement révèle une volonté de puissance. C’est une longue litanie, le gigantesque poème d’une ardeur qui se démultiplie, se transforme, s’ajuste sans cesse. L’exploration d’une identité trouble, changeante, insaisissable. C’est une esquisse, une tentative de dépeindre quelque chose qui dès qu’on le nomme n’existe déjà plus. Les contours flous d’une fable qui échappe sans cesse à son prota- goniste. À l’inverse, créer une réalité par la parole (tantrisme) : faire exister une chose parce qu’on la dit. Pendant une heure, une comédienne invite les spectateurs à venir la rejoindre jusque dans son lit, à passer un moment avec elle. Dans cette forme perfor-mative, directe, impudique, nous essaierons de briser des tabous sans provoquer la gêne, de créer une véritable intimité avec les gens, une relation vivante avec le public. Quelque chose de sen-sitif, de sensuel, comme un portrait de Nan Goldin qui soudain s’animerait. Un rapport organique à la parole, à l’espace, au corps. Une animalité, une démesure, une folie. Une humanité.

Alexis Lameda-Waksmann

David Léon a suivi une formation de comédien aux conservatoires de Montpellier (ENSAD) et de Paris (CNSAD) où il a été formé par Ariel Garcia Valdès, Laurence Roy, Christophe Rauck, Dominique Valadié et Catherine Hiegel.

Il a joué notamment dans des mises en scène de Jean-Louis Martinelli, Lukas Hemleb et Alain Françon. Il a commencé à écrire au Conservatoire National Supérieur d1Art Dramatique de Paris. Accompagné par Joel Jouanneau, il y a présenté son premier texte : Comme des frères. Il est boursier du C.N.T en 2007 pour La robe bleue. Aux Éditions Espaces 34 il publie en 2011 une première pièce Un Batman dans ta tête, coup de coeur du comité de lecture du Panta Théatre, sélectionnée par le bureau des lecteurs de la Comédie-Française (2012) et par le comité de lecture du Théâtre de l’Ephémère. La pièce a été mise en scène en 2014 par la Cie Exit, interprétée par Thomas Blanchard au CDN les Treize vents et au Théatre La loge.

En septembre 2012, parait Père et Fils.

En 2014, il publie une troisième pièce Sauver la peau. Lauréate de l’aide à la création du Centre National du Théatre, finaliste du Grand Prix de littérature dramatique 2015, elle a été mise en voix à Théâtre Ouvert par Stanislas Nordey en février 2014 puis mise en scène à Théâtre Ouvert en janvier 2015 par la Cie Exit, inter-prétée par Manuel Vallade. Sauver la peau est également créée pour France Culture dans une réalisation de Christophe Hocké.

Son texte Un jour nous serons humains a été présenté lors des Sujets à Vifs 2014 ( SACD/ Festival d’Avignon ) en collaboration avec le danseur chorégraphe Emmanuel Eggermont et mis en voix par Stanislas Nordey à Théâtre Ouvert. Le texte est Lauréat des Journées de Lyon des auteurs de Théâtre 2014, et coup de coeur du comité de lecture du Théâtre de l’Ephémère.

En 2016, parait La nuit La chair.

En 2017, paraitra Neverland, mis en voix par Blandine Savetier

Originaire du Venezuela, Alexis Lameda-Waksmann débute la mise en scène par Le Cervd, forme courte qu’il écrit et présente au Théâtre du Rond-Point dans le cadre du concours inter- conservatoires de la ville de Paris en 2006.

Il est ensuite assistant à la mise en scène au sein du Théâtre des Lucioles (Marcial Di Fonzo Bo, Élise Vigier & Pierre Maillet) sur plusieurs productions : La Estupidez, La Panique et La Paranoïa de l’auteur Argentin Rafael Spregelburd (Théâtre national de Chaillot, Théâtre de la Bastille, TGP St Denis), et en 2016/17 Vera du Tchèque Petr Zelencka (Comédie de Caen, Théâtre de la Ville).

Cette expérience l’incite à orienter son travail vers les écritures contemporaines, via la création de textes d’auteurs vivants, privilégiant des œuvres dont la portée socialxe et politique comportent une part de nihilisme et abordent le concept sociologique de post-modernité : Poignard du Brésilien Roberto Alvim met en scène la dépolitisation de notre génération et l’instrumentalisation d’une jeunesse en perte de valeurs, questionne notre capacité à nous engager dans des luttes, et l’utilité de cette démarche, le « comment » et le « pourquoi ». Un monde qui s’efface, de l’Américaine Naomi Wallace, est le portrait d’un jeune Irakien pendant la première guerre du golfe. La pièce sensibilise les jeunes spectateurs aux dérives des régimes totalitaires, mais aussi de la politique étrangère occidentale, évoquant la question du néocolonialisme.

Il fonde en 2014 sa compagnie Le Groupe M.I.A.O.U (Mouvement d’Interprétation Artistique Original et Utile), au sein de laquelle il souhaite faire découvrir des textes dramatiques inédits, en particulier ceux qui traitent de thèmes comme la recherche d’identité (culturelle, poli-tique, sexuelle), la société de consommation, la société du spectacle et l’extrême violence du monde contemporain.

En 2016, après une première résidence au Théâtre des Ilets/ CDN de Montluçon, il présente une lecture mise en espace de La nuit la chair de David Léon au Printemps des comédiens à Montpellier avec la comédienne Stéphanie Marc.

Comme acteur, il a joué dans des spectacles de Frédéric Bélier -Garcia, Rafael Spregelburd & Jean-Paul Wenzel. Il a tourné au cinéma sous la direction de Bertrand Bonello, Olivier Assayas et Julie Delpy.

STEPHANIE MARC

COMÉDIENNEFormation théatre universitaire de Montpellier

Théâtre Vous reprendrez bien un peu de liberté M.e.s : Jean-Louis HourdinJe m’efforcerai de te suivre Danse Rita Cioffi- Stéphanie Marc / Michel HouellebecqLe Cercle des Utopistes Anonymes de Eugène Durif. M.e.s : Jean Louis Hourdin Philippe de Camille Laurens et co-m.e.s avec Cécile MarcTambours dans la nuit de Bertolt BrechtM.e.s : Dag JeanneretOccident de Rémi De VosM.e.s : Dag JeanneretAmore Variétés de S.Marc, ‘spectacle musical’ M.e.s : Stéphanie Marc Le Pays lointain de J.L LagarceM.e.s : Luc SabotRoméa et Joliette de S.VallettiM.e.s : Michel FroelhyMarilyn Monroe / Entretiens d’après Michel Schneider M.e.s : Stéphanie MarcHamlet de Shakespeare. M.e.s : Frédéric BorieStabat Mater Furiosa de J.P. Siméon M.e.s : Dag JeanneretMontaigue et Capulet de E. Durif M.e.s : Stéphanie MarcDes Fins-épilogues de Molière M.e.s : Alain BéharMonsieur de Pourceaugnac M.e.s : Dag JeanneretPartition de J.Y. Picq. M.e.s : Dag JeanneretTêtes Farçues de E Durif. M.e.s : Denis LanoyL’entrée des musiciens de M. Gluck.M.e.s : Jean-Marc BourgUlyssindbad de Xenia KalogeropoulouDivertissement bourgeois de E. Durif

M.e.s : Dag Jeanneret, compagnie In situCinéma de Tanguy VielM.e.s : Hélène Azéma, compagnie L’esquifOccident, de Rémi De VosM.e.s : Dag Jeanneret, compagnie In situ COLLABORATION ARTISTIQUELa distance qui nous sépare du dernier poème de Jean Cagnard. M.e.s : Catherine Vasseur et Jean Cagnard, compagnie 1057 rosesAmore Variétés de Stéphanie Marc Production Sortie OuestMarylin Monroe / Entretiens d’après Michel SchneiderM.e.s : Stéphanie MarcMonsieur de Pourceaugnac de Molière M.e.s : Dag Jeannerat, compagnie In SituLe pain dur de Paul Claudel M.e.s : Dag Jeanneret, compagnie In situPhilippe de Camille Laurens M.e.s : Cécile et Stéphanie Marc

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M.e.s : Catherine Beau /Eugène DurifLes Clampins Songeurs de E. Durif Don Juan revient de guerre de O.V.Horvath M.e.s : Denis LanoyMasse Brute d’A. Béhar. M.e.s : Cécile Marc For ever Mozart de J.L.GodardM.e.s : Stéphanie Marc et Cécile MarcCabaret mobile et portatif de E. Durif M.e.s : Catherine Beau / Eugène Durif

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CÉCILE MARC

SCÉNOGRAPHIELa brebis galeuse d’Ascanio CelestiniM.e.s : Dag Jeanneret compagnie In SituSouvenirs Assassins de Serge Valletti M.e.s : Dag Jeanneret, compagnie In situLa peau d’Elisa de Carole Frechette M.e.s : Mama PrassinosAu pied du Fujiyama de Jean Cagnard M.e.s : Catherine Vasseur compagnie 1057 rosesPoison de Lot Vekemans M.e.s : Dag Jeanneret compagnie In situTambour dans la nuit de Bertolt Brecht M.e.s : Dag Jeanneret, compagnie In situLa distance qui nous sépare du dernier poème de Jean Cagnard. M.e.s : Catherine Vasseur et Jean Cagnard, compagnie 1057 RosesAtchafalaya d’Isabelle Aboulker M.e.s : Catherine Vasseur, Opéra JuniorAmore Variétés de Stéphanie MarcRadio Clandestine d’Ascanio CelestiniM.e.s : Dag Jeanneret, compagnie In situLe voyage d’Alphonse d’Anne-Eve Seignalet, M.e.s : Anne-Eve Seignalet, Compagnie NocturneStabat Mater Furiosa de Jean-Pierre Siméon

GROUPE M.I.A.O.U.

APE: 9001-ZSIRET: 802 874 172 00017

18, rue des Ecouffes 75004 ParisTel : 06 09 09 84 48email : groupemiaou@gmail.comwww.groupemiaou.com

Conception graphique : Joseph Benoit

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