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S?ÎT''^ 'f JOURMAL Li Inmfeo: 5 eeaxfSm» Le Suméro : S «tnihnflg^ G. VIXLAV ^ » s IM-SB5BSIOM-S i ' 0|90 c* l 1ipw. 1 JEtAdasMi. a ■a ^ 0.»KSr^ïïr' ?5?•* »•- .... ii,;»» titaamm ua jt'ucaoi ap-mmu ■ ■a i.u a. Las «aagnaae, siduMt, «ta., «onccouot Pans asz bsnuB dà J Etf«a» heàâêmatun. Ün «a..«.................. Six mois.. A fe. toai las Imreaax de posta. •*» L'àbeiinâmat att payidde al d* plma droit jasqu’A réoeptios d'avis oeottaira. SenSs, l» SS Mars i90S. La Il est pea de pn^ranuBes électoranx qui ne cempertent la réfume des frais dejnstiee. C’est une des pins faciles à accomplir car les difScaltés qu’elle sonlère peorent être apla nies par la Toleaté ds léfislaiatir sans dom mage par l’Etat. M. Cliepiiiet n’arait pas manqoé de l'ins- crire en ijoane place dans la profession de foi qall adressa en 1898 anx électeurs de la 1» circonscriptioa dé Senlis. c Je m’engage, disait-il, à rédamm la Jostice gratuite pour tons, afln d’assurer i tous nne ^ l e proteetioB de la ldi. Cette gratuiti doit être absolue en matièrè correc tionnelle: en matiira dTile; les frais de procédtire, qni dérorent les petits héritages » et détruisent la petite propriété, doivent être Mnsidérabiement réduits par la simplifica- tûin du Code de procédure. > Telle était la promesse qu’avait faite M. Chopinet, non sans solennité. Or, qa'a lait la majorité de la Chambre, i laquelle appartenait M. Chopinet, pour opé rer cette réforme capitale? Bien, absolu ment rient Le dépoté Chopinet a onblié et ses pro messes de eandmat et l’enguement qu’il avait pris. Cela n’est pas peurm as surpren dre, mais la censtatation s’impose de son inertie et de l’indiÆérence (pi’il a témoignée pendant tonte la dnrée de la 1^'slatore pour les réformes qu’il devait faire aboutir. M. Chopinet nous objectera peut-être que depuis 1898, une amélioration notable a été apportée, celle en rerta de laquelle les droits en matière hypothécaire ne sont plus des droits fixes, mais des droits proportionnels. Pour ce qui est des frais de procédure qui dévorent les petits héritages et qui absorbent le produit des ventes judiciaires, ils n’ont subi aucune réduction. On sait que les ventes judiciaires ont lieu ou par autorité de justice, lorsque des créanciers font saisir les biens de leur débi teur, pu, lorsqu’au décès d’un propriétaire, des mineurs sont appelés à sa succession. Dans ce dernier cas, la loi se propose de sauvegarder les intérêu des mineurs, qui pourraient être compromis par des arrange ments indélicats ; — mais en voulant les protéger, elle les écrase, car étant donné le taux exorbitant des frais, lorsqu’il s’agit de petites propriétés, ce sont les fiais ^ i ab sorbent tout, au détriment des créanciers en des héritiers. La constatation suivante en est la meil leure preitve. Si nous prenons las ventes de plus de 10.000 francs, le taux n’est que de 2,33 0/0; pour les ventes de 5.000 à 10.000 francs, il est de 9,52; pour celles de 2.000 à S.OOOfr., de 16,18; de 1 000 à 2.000 francs, de 26,23; de 500 à 1.000 francs, de i2,9i ; et au-des sous de 500 francs, de /06 0;0l .éinsi, tons ceux dont les immeubles ne ' dépassent pas nne valeur de 500 francs et nui sont contraints à nne vente judiciaire, non seulement ne touchent pas un centime du prix de la vente, mais ont encore à sor tir de leur poche une trentaine de francs. Ce n’est donc pas une question fiscale, ni politique, qui s’impose au législateur, mais bien une question d’humanité. La justice vend tous les ans pour 500.000 francs de petites propriétés valant environ 500 francs : pour les vendre, elle fait 600.000 francs de frais, et cela d’nné façon régulière et constante. Voilà ce que M. Chopinet sait aussi bien que nous; cet état de choses absolument inadmissible l’a laissé complètement indif férent. Sa profession de foi parlait de cette ré forme facile à opérer, sans trouble et sam secousse, pour employer sa délicate expres sion, au cours des quatre années de la lé gislature, et jamais époque n’a été plus troublée ni plus remuée que la période du rant laquelle M. Chopinet a siégé au Parle ment. Il faut conclure. Ce qu’il importe designaler dans la réforme qui doits’opérer, c’est le tarif progressif à rebours gui frappe plus lourde ment la petite propriété que la grande. Q faut que les ventes de 500 francs et an-des- sc is soientfaites gratuitement par les avoués. Four les dédommager des pertes qu’ils su biront de ce fait, le droit proportionnel pour ies ventes supérieures au chiffre de 500 fr. serait élevé. Il y aurait ainsi compensation. La solution apparait simple et pratique, et le remède que nous indiquons guérirait !B mal dont souffre la petite culture, les petits commerçants et les ouvriers. Puisque M. Chopinet tfa pas pu faire atjoutir une réforme aussi élémentaire, il nous faut un député qui s’engage à la faire voter par la Chambre. Nous l’aurons. — Elts. éveutneSmufflit anx stojiriks d’an asatrm la ' sauvegarde. * » * Tous les échos de la Chambre ont répété I hier : < Amnistie 1Amnistie I > On a demandé l’amnistie pour les condamnés de la Haute- Cour, l’amnistie ponr frits de grève èt frits cOnnesee, l’ammstie ponr crimes et délfts mili- taires, pour délits de pécha, de chasse, de rou lage, pour les contravmitioas cyclistes, etc., etc. Finalement, après des discasEions fort animées, la Chambre a repoussé l’ensaaibie de ces pro positions. * • * Le Sénat travaillait, pandiot ce tampedi ; dans la séance d’hier, il s’est arrêté un instant Sur le budget de la marine, pais a expédié les budgets de la jostice, defjntërienrst des cultes, ainsi que le budget des finanmwj des monnaiee et des médailles. X. Loyer avaft été élu 011898 par 8.3S9 voix, contre 6JB6 à ■. Pinl Lafnvia. dépuié sor- laA, soaialfrte,et iM u eu ISBepv S);2]ff voix. enutrs& éllàH . GbsBqoièee,'sdsiaSsta. . H l ’avait pas Fintealisn ds se rnrésaatsr anx éiaetinis jpoehaiBes.' La eandidatitre de Hfline. ^ Bépoiadaiit A une adresse du Coniilé eaia de BemiiemanL IL Hdins, a dédazé' qu’a défeudprit, aux éleOions produises, le drapeau répnblieaiu contre le denier assaitt qui va tari être livré, n esL dit-Q, sfir Ai snecës. La sauté dalL Waldeek-Bonssean. lés plaies de IL Waldecta-Bousseau sont eiea- trisées; les bandages ont été enlevés hiw mytia. Le présidait du consolrqirendra sas oeema- tiens uudi ^odiaiB. hliéàiari > fixa le déficit de 4901. Et il nous «1 hrissaprévng asmoiBsàiûant j^nr 4902, ____ . -------------------------------------------------------- p^er yriyinSre os ce dernier budget, soit suivi d’un autre amprnnL En ^Iffté, restdiannaat. Xbis M. Pi«*e Horm est md venu à coalesta’ un chiffra que les^üaistériels eux-mêmes se trouvrat dans lajpécessité de majorer. _ Ce pas à 340 m uions que s’élève le défleit,...mais à- 345 m uion s. Nous étions dmie am,dessaus de la vérité. J s a ^ ' auet d^nsister. Cela montre BéaBBiafus le cas qu’il &ut frire des asser tions ttaéraires 'd’un fenctioanaire qd est ”****^ « dttbâtiment » 1 V. G. ün incident s’est produit hier à Stockholm, dans la séance de la deuxième Chambre dn Biksdag. Le député libéral Hedin a dédaté qu’il avait porter plainte contre le comte Wacht- meister, ministre des finances, et qu’Q dSsauii- dait que l’affÛTS fût examinée par la commis sion constitutionnelle. H a ensuite remis au président de la Chambre un pli caxdieté conte nant la plainte en question. La Chambre a renvoyé l’affaire à la commission coustitntion- nelle. Le mandat de six ans. La gauche déssocrariqua du Séuat a décidé de voter définitivemaiit la loi tendàut i porter de quafre à six ans la dnrée dn mandat de député, à la condition que fr Chambre sd t renouvelée par moitié. Lé Conmès des » Jaunes ». Les € Jannes », qui viennent ffafflrmer la pnissauca de ledr erganisatio^ vont tenir io r premier Congrès nationai leSm, 38et 29mats, au Salen des Familles, aveniu de Saint-llaadé. Pliis de 1.300 Syndicats légalvunt enimip«i« y seront représentés, dont 1.057 Svndieats a s > coles. LE FAIT DU JOUR F *eu la CSlxax3al3x*à. L’anniversaire do 18 mars. ' Les snrvtyaBt» de la Cotamnne Mt célébré, Bunti, rtmiiTfirsAird da IS mus. Rasieiin rdiK BiOBs p^liqnet ont en lien à Pans: Oa y a Ait Papoioi^ dô la Conunsno st duaté iss lousgos dtt aüiustàre actiieL BBklËTIII POLITIQUE minislère des a ^ r e s étrangères a fait communiquer à ia presse une importante dé- eia.-ation des gouvernements français et russe, êa réponse à la conclusion dn récent traité acalo-ja^nais. Cette déclaration, qui sera communiquée par ies représentants diploma tiques des deux nations o amies et alliées j> aux ministres des affaires étrangères de toutes les paissances signataires qu protocole de Péidn dn ! septembre 1901, ludique d’une frçon très claire et très nette queUe sera la politique de l’alliance franco-russe vis-à-vis de l’aliiance anglo-japonaise. 11 y est dit que, dans le cas où, soit faction agressive de tiércw puissances, soit de nouveaux troubles en Chine, mettant en question l’i n t ^ ^ et le libre développe ment de cette puissance, deviendraietit une menace pour lesn propres intérêts, les deux gouvmnemeafr aBlée m léserveat d’aviser Les députés vont être prochaine ment licmiciés. Ils sont d’ailleurs attendus avec quelque impatience par les électeurs de leur circonscription.. L’époque est prochaine où nos législa teurs vont se trouver sur des charbons ardents. Le moment de rendre des comp tes est arrivé, et ils redoutent un peu d’expliquer certains votes et de recon naître qu’ils n’ont rien tenu de leurs en gagements. Pour la plupart, c’est un jeu d’en re-: jeter la faute sur des collègues absents ou sur la fratahté des circonstances ; pour d’autres, moins avisés ou plus honnê tes, ce procédé leur répugne un tantinet, et ils préfèrent se retirer de la lutte plu tôt, que d’affronter les reproches mérités qui les attendent. C’est à ceux-là que va directement notre sympathie. Us ont prouvé leur impuissance, üs conviennent qu’ils n’ont obtenu aucune des réformes qu’ils avaient promises, et ils s’en vont, tristes et las, en envoyant au diable la politique et les politiciens. Quant aux autres, et ce n’est pas M. Chopinet qui me démentira, ils se représentent aux suffrages de leurs conci toyens avec une tranquille assurance. Ce qu’ils ont fait pendant la législa ture? Mais ils ont siégé, — et c’est déjà beaucoup, à leur avis. Ah! oui, ils s’étaient engagés à diminuer les impôts, à se montrer plus économes des deniers de la France, à alléger les charges pul bliques, à favoriser notre commerce et à améliorer le sort des travailleurs. Cétait là leur programme. Pour conquérir les voix des ouvriers industriels, ils y avaient même ajouté le vote de l’impôt sur le revenu. Ont-ils tenu leurs promesses ? Les fi nances du pays sont-elles en meilleur état qu’elles ne l’étaient auparavant? A-t-il même été question de ce fameux impôt sur Te revenu que M. Chopinet et ses amis considéraient comme une panacée universelle ? Vous ne voudriez pas ! Les députés ont bien d’autres chats à fouetter que de s’occuper de pareilles vétilles ! Le budget de la France est en déficit ? Q’importe ! La France est assez riche pour se payer de^ temps en temps une fantaisie de 34o millions. Et quant à l’impôt sur le revenu, il y a beau temps que ce miri fique projet est allé rejoindre les vieilles lunes. Au surplusj la question n’est pas là. La puissance financière, la grandeur éco nomique d’vm pays, la foree de son ar mée, tout cela importé peu. Ce qu’il s’agit de savoir, c’est si le re présentant s’est montré généreux Ha-n. fè distribution des faveurs gouvernemen tales et des prébendes ministérielles. A-t-il acquis au Parlement une noto riété suffisante pour faire révoquer, sur un signe, un sous-préfet républicain cou pable de n’être pas suffisamment inféodé au parti radical ? A-t-il pourvu quelques budgétivores de sinécures grassement ré tribuées? A-t-il obtenu quelques aunes de ruban rouge, quelques douzaines de palmes violettes et quelques grosses de c Mérite agricole » ? Voilà l’important. Ne parlons pas du reste !—V ictor Goeuorp. Les défrites qne n’avéne pas le War-OlDee. La KeiuM Rotterdeamehe Courant -appraid que fr légation da Transvaal à Bruxelles vientde reeeVtrir de nonveaux rapports qui rendent e o a ^ de plusieurs batailles dont le War-Office n’a frit anenne mention. C’est ainsi qne le 15jan vier, le général Christian Botha a hvré nne ba taille dans laqueUe les Anglais ont perdu 46 morts, 92 blessés, 150 prisonniers, imdépât de 15.000 fusils et 200 chevanx. Le 3 février, le généralissime Lonis BoUia a infligé aux s n ^ .i. un édiee très grave. Su côté des f sont rriativement minimes. E st-ce loyal? IL CaiBrtant a ern devifir, dans an précédent etHàs, Bêoeuattre au acte de loyanté de nia part. . SHtropva ce eeuttanent louable riiez les ai^ tree, ae^^rait-fl pas tenir à bonuaur d’en dmir ner l’eanuiple inèmânie? On bien estee par madvarlaaee quTl adeuse eonstammoit N. Audi- gio’de Bébits quHn’a point commis ? Dimanriie dsnier-encore, fl inrinnait que M. Andigirir a été révoçri peur avoir trahi fr Répabliqiie. Avant d’ânettre nne parelHe-nQ^atioa contre an galaut bomms, il frnt en avrir fr certitade, appayéBjur des preuves. Des pmves, chacun sait qu’il n’en existe pu, attendu que cette accusation ne r ^ s e sar aneane base. Si H. CasteUant vrat oublier an.instant qn’il est le défrasenr sgatéauitique, non d u principes flottants, nuis de fr penoane de H. Chopinet, il recoimaitra que IL Andigier, qni était an fime- tionnaira iriéproriuble ri s’est toqoars montré un ferme riq^iieain, a été l’âne du vietiinu de M. Chej^ri, qui ra tait Itapper arbitrairemeut et sans motib aVonablu. Lereeamulnra-t-U? e. t . canaillon », ai « démoc-soc », et dont rhono- rabilité ^ au-dessos de tonte atteinte, déclarait, fi y a trois moit à peine, que son fils « ne fioucaâ. déeemaieiri poser ta eandidaîvre i SmlU, tant qu’ü striât président du Tribunal » Quand nons disons cela, nous ns eommettriis aaeane indiscrétion, car l’honorable H. ne geà cachait p o ^ ri la dcrmère fois quH s’exph^ia de fr sorts en notro présence et de vant plasienrs antru persebnu, c'était exacte ment cinq jours avant que ne parût le manifeste de M. André Faisant dans le Journal de fOise. Or uotu connaissons assu IL la Srésidoil da tribanal de Senlis peor être essoré qull ne dé savouerait p u e u propos, même si nous ne poa- rions a g i t e r aucantémoignaga pour urroborer notre attûtatian. D’aOleais, fl avait parfaitemut raisai; ,ces efaeses-iè se aanant sans qall srit besoin d’y insister antrmnent... An saridns, si nons avou im avis à donner à Tholomé, nous lai eotueillerons de n'accueillir qu’avec prudence lu renseignsments qni lai parviendront de fr ras da ChàteL à Senlis; il y a là nne collection de pavés de l’oars dont fr loardenr est provertiaie icL G tgès. ^ L’artirie dont noos parions se termine par une comparaison où il est question • d’un ballon en baadmche gonflé à l’oxygène », etc. Parler de < ballon en bandraehe » à propos de l’éloqaenu de M. André Faisant, c’est on peu parlû de corde dans la maison d’on pendu. G. lés^jéâ [ Au Journal de l’Oise. Le cabinet espagnol. La nenvua ministère upagool est ainsi oons- ttané : Frésdenu dn Consaii, H. Sagasta ; affriiu étrangères, dnc d’Almodovar : justice, H. Mon- tilfr; flnaneu, M. Rodrigne; uitérïear, M. Muet; gnerre, générai Weyler; marine, amiral Tera- gna; agnca.tore, IL Canalejas; instraetion pn- bliqae, H. de Ramononu. La révolatioB à Haïti. Un grand nseobre de ritoyens de Fort-aa- Frinu, aceosés da coupirer contre le goavu- nement, ont été arrêtés et emprisminés. D’antres ont ehriché on refoge A»»» frs consu lats. L’agiution se répand dans toute fr Rÿn- bliqns. Leminis&e d u travaux publics est parti pour Jaemel avec im détachement de tronpu. Un spécafrtenr, laissé à sec par le flox et le reflux de la Bourse, va solliciter ime place chas ■n spécoiateor an pen trop eonno. — Je sais nn vériran de fr Bourse ; j’ai pris de tontes frs valeurs qne vohs avez smigaff • Je regrette de ne pouvoir répondre à votre upéranu, mais j’ai besoin d’em^ÿés inteili- gents. iiF o y m 'io is Sort Cqq dépoté* H. Loyer, d^uté pregressiite de lu 3* cir- eonacriptta da Lille, vient de Mnrir. H était né à WiMBues (Nor4, leSX jaOtat 1814. Le Ministère dn O É dt L’EcAo républicain amnse s u lectears tomme il l’entend, et nous aurions Imaa- vaise g r ^ à nous plaindre d u moments de donw gaieté qu’il noos procura Ida même conp. Hais, vraiment, le journal de M. Cfaminet joue de malheor avec les défis solennels qu’il lance tour à tour an Courrier de COvse, à H. Franck Chanvean et à M. Andigier. Le fonctiennaire d u contrihatiens directes dont eu défis, à tout le moins puérils, cons tituent le passe-temps favori, termina son dernier attieie par cette phrase lapidaire et stupéfiante : « En attendant, je mets M. Eranek Chau- veau au défi de dire à la tribune du Sénat, « qwmd la question de Ut eentribution ma- < otlière y viendra en discussion, que la < déficit est de 340 milUem. > ^ Mon CMfirère Tholmnâ s’est ému d’un ar ticle pantffans le dunier numéro du Cow- rièr de JOite. 11 y a répondu hier im.tin par iànm^te-doiit je ne veux retmiir qu’un ôd il état e x La Jeümal de Senlis pBétffid ÿ e si nous soutenons lAcan- didatase Faisant, nous m le frisoiu pas x à l’œil ». Il y a là nn malentendu que j’entends dissiper au plus tôt. Tholomé a tort de penser que j’ai voulu l’accuser de se frire payer pour écrire des articiu en frveur.de M. Faisant. Je n’ai point dit cela p o u cette raison très simple qne je ne le crois pas. Je suis convaincu, au contraire, de ia rincérité de Thotauné quand il défend lu opinions de son candi dat. Ce que j’ai dit, parce que je le croyais, c’u t que M. Faisant, heureux de trouver enfin un journal disposé à le patronner, l’a frit largement répandre à su frais, à Senlis; et Tholomé lui aurait alors vendu son papier, ce qui eût été parfritmnent légi time. Mais il paraît que je me trompais : The- lomé m’assure que ia propagande de son journal à Senlis a été frite de sa propre ini tiative et dans l’unique but de développer sa j feuille en notre région. J Soit ! Mais alors il a mal choisi son mo-; ment et la méprise était frés explicable. KnI effet, lu uempiairu do ce journal de Beau- vais, distrihuésgratnitement dans no treoiffr, sont précisément eeux oû se trouvent lu A qnoi ea est r ||n it H. Sourson. M. Bourson, propriétaire-directeur de ia Gazette de l’Oise, et cirdevant marchand de chapelets, fait conuia le nègre de Mac- Mahon : il continue. - Il continue à tronquer lu textes, à attri buer à du tiers lu arrieiu de ses confrèru et à donner lu preuvës les plus évidentu d’une mauvaise foi pusée à l’état morbide. Son dernier exploitjriut d’être cité. Un journal de Compiëgne, c’ut-à-dire publié dans ia même iville que la Gazette, VEcho de foise, avait emprunté à une feuille parisienne un excellent ;articie intitnlé : tfe payez pas I et dans lequel lu contribuables étaient invités à payer leurs eontrihutions w dourièinu et non par anticipation, afin de ne point alimenterla t cagnote éleetoraie de M. Waldeck-Rousseau ». L’avis était d’autMt plus jadkieux qu’à l’occasion du élections, le ministère ^ procéder à d u vire- muifr verti'gineax au profit de s u c easse- .^retes » et de ses saîbtas à tout frire. La phiÿàit dé nu èonfiéru r^œduisi-' rent l’article avec mnpçenemenL Nous Bmu comme eux et nous l’inséràinu aussi. Là-dessUs, grande Cliiéfe de M. Bourson. Feignant de n’avoir vu’iriite note que dans nos colonnu alors qu ellé était extraite de cellu de son voisin.de Gompiê^e, il l’attri bue à M. Franck Chauvèàu — tout simple- ÿourtant bien en France, et,-si voas le lez, nous commencerons par Rmi verrons ensuite lu antres. L’indostpl» eiMriépn^ La eouveotien de Bruxeilu, an b eitfa nombre d’annéu plus ou moins longv ilrii qui ne senpas très longr amèneHi la dispa- I ribon complète de l’indus&ie sneriére. Or, lu 340 usines fim^aisu, d«t« fr^ I quellu il s’est dépensé, depuis 4884, plus dji 400 millions, n’auraient plus que fr valmir de leur vieux fer, de leur vieux cnivn ar dé leurs vieillu briquu. Lu raifineriu, dent on peut cbiftu fr valeur à 400 millions, smvramat frmfrMM soft, car il u t bien évident qne l’étranér M nous enverrait pas du sucre brut, alors q all pourrait ifous alimenter en rafBné. v>»à» tous lu cas, alors même qn’il nêw enverrait du hmtÿ' fl ne s’a g i t plus ^ de noOm consommation intérieure, d’où fen n eh n • plps de la moitié des raffinetns. : L m propHétalns du toi. ' il u t incontutable qu’on revemfr tgia vite ia crise qni, vers 4884. frappa c a lrin u partiu de la r^ o n du Nord, notanuuml dans l’Aisne, l’Oise et la Sonine; dlm- menses fermu ne trouvaient pas prenenzi et restaient incultu. « Là oû lu te n u valent 6.000 fr. l’heetam. elles en vaudraient 2.000. Là oû an*» àh vendent 3.000 fr., ellu trouveraient à acheteur à 4.000 fr. Les fermagw raient naturellement dans la^nême pnmer- tion, en admettant que lupropriétauesair- rivent à toucher leurs férm uu. ce unitfm t pas démontré. Tout cela serait inévitable, car infln fr betterave peut, dans la r^iOB dn Nord, p u - mettre aux agnculteurs de cultiver avec nro- fit et de trouver un moyen pratiqua dnn» graissement du butiaux à rétabla par fra verts des plantu et la pulpe. Comme la culture de la betterave (300.000 hectaru chaque année) exerce son actian et s étend sur une région d’environ 4.500.000 hutaru cultivablu en betteraves, il m ré sulterait que e u terru perdraient une granito partie de leur valeur. Prenons en moyenne pour cette parta un chiffre de 2.000 fr., ce qui, de i’avis dei gens compéténts, serait un Tninintmm u sans compter 500.000 hectaru de terru vai- sinu du précèdentu qui ont bénéfidé du plus-valuu duu à la betterave et subiiafent la même dépréciation ou peu s’en faut, nous frouvons une perte formidable de 3 miU Isards. Et neusna-parions, pas, ici, d’una eani*- Tienca élaipEée, mais certanlu. f r d te é d s - > lion d u pàturagu de -la ffièvra et da -fr" Normandie, par suite de la méventa fisraén d u produits de-leur élevage, qu’on n'achè terait p lu l’engraissement d a u le Nord. Léa ouvriers aprleelas. men^ — et dans u n '^ l e enrâgé‘.'’irra^p^ I d’industriels etda pr*> pelle l’inepte histoire d u crédits de MadL I dont le gowemement se souda médiocrement. Peut-être sera-t-il pins pré occupé du sort d u ouvriers agricoles. Cimp- tons ce qu’Us vont perdra : gasear, sur laquelle tout le monde est fixé aujourd’hui, déclara que cette fois c lé moyen employé par Mi Éranck Clmuvean pour combatire M. Wàideck dépasse les bornu permisu » et qu^;< soulèvera le dé goût de tous lu honuBcs dé gouvernement. » N’ut-ce p u que c’est drôieT AliunsI aUons! MonsieûiiBourson,pourquoi crier ainsi coinme un hriiié 7 L’étiage de la caisse aux fonds surets vous ihtéresse-t-il doncàeep<HBt7... — G, T. Je n’invente rien. Cela u t simé * Pierre nnempleyé . ____ signi Honn, » pseudonyme habituai d m , de l’Etat qui, parat-il, a d u loisirs. Or, en a dutribué anx sénateurs la rap port générai sur le budget de < 902, et il en résBlts, de l'aveu même de M. Antonin Ds- bost, dont M. Pierre Mœin ne contestera pas te zèle ministériel, que le déficit u t de 345 millions I La commissioa d u flnaneu dn Sénat a évalué lu recettu à 3.604.265068 et lu dêpensu à 3 603.568.090 francs; ce qui laisserait ressortir un excédent de recettu' de 696.478 francs. Mais M. Antonin Dubost se frit si peu d’illuw n sur l’effliacité de su calculs, qu’il prévoit d u dépensu supplémantafru pour une somme de 438.750.000 francs; ce qui transformerait en déficit important le fàibla ueédent inscrit dans le rapport. De l’examen rétrospecM du budget de 4901, anquel se livre le rapporteur, i! res sort que L’ExcfDï^ DBS d  bnsbs isur lu recettu a été, pour cet exerdce et tfou con- PBis les 80 millions et demi de l'e^édition de Chine q u doivent être remboursés en ***•* puissance, de 264.449.473 francs. n ne rute qu’à additionner cette, somme frbuleuse avec lu quatre-vingts mittnns et deeû de l’expédition de CbiBe pour oble- mr le chiffre énerme smqnef on a** accom- . 1 er dimanche dernier, à Senlis, par ['agent élutorai le plus actif de la candida ture Paisant, M. Alexandre Bonamy. Enfin, sim correspondant à Senlis est l’employé d’un d u amis lu plus dévoués de M. Faisant, et ee.correspendant doit faire passer son eourrim' par les mains du même M. Bonamy. L u dreonstancu concordaient donc de telle façon que lu suppositions fritu par m n et que je rapprile au commncement de cet article, étaient permisu autant que vrai- smnblablu. Mon confrère Tholomé m’affirme lo eontritire ; je n’ai tmcune raison de dou ter de sa parole. M. L. Sou ce titre emprunté an langage de barrière et an dctfonnaiie de la langue verte, M. Henry Maret publis dans le Rodieotnn article où llm- p^encs le disputo au groteà^. L’ffeào rtpublieain n’a p u manqué de foire à cet artirie lu hunaois de fr reproduction. Le journal de H. Chopinet net brille p u par la mémoire. A-tril donc onblié ÿ ie M. Maret, com promis dau lu a&ûru du Panama, frt, pour se fût, incarcéré à Mazas, oû.il à pu foire *la cmt- naissance de souteneurs d’anÀutre genre? GHssez...n’appuyezpasI Le Journal de FOise, qui s’est frit le diaïUf ^n dn petit F., a pabUé, mardi damier, sou fr signmare de son iHreeteir, un artide qui a eer- tatatefitent dû foire foira la grimace «nint ggtit Pi S ^ u t uncdiédélicat, eneffiit, d»ngla stana-- tuation de H. Faisant fils, C ùt... la sitii»tînn de sot père. Nous eussiou'mieux ûnté ne p»» tnrf-t-y jm- u pdnt; suis, ufrqu lu siûs de M. Andké Faisant ràxmêmusMil&nttroBver an tizanq plaisnà s’y-eomplaire, n o u sommés hioi tarai (Pu £rann mot, à mûre tour. * Badicanaillnu et démees-sou (sic tt tic), * iü le Joumat de FOite, u penvmit admeitre » .^le le fils pmsse être unJ^islatear cônsaien- < d e n et que le père paisse loyalemoit, hon- * Bêtement appliquer l u lifis aïoipielles anraiti < collaboré son fils. » Nou avons le regret de dira à notra «riMll«iit confirme Tholomé qne là n’est point la question : un. père peut:&)rt bien^pfiqner d u loi» « wt - qnellesanrait eoiiaboré son fils; mais nn fils qui solfiate.na mandat âsctorai d u justfoiaidu dé son., père, place forcémmit eefoi-ei a»™ fonue «inylion. Et nou sominu d’autant i ^ à Taisé pmir p a r^ .ainsi, qipai le fofomt n o n uptininim ràv&de M. Pmsant.pèiar fri aaltau : b Fidûdéat finEatmudeiiaésairiH; tri riemfr « laii. CEPCOÜTliilIPiTS la Convention de Pruxelles. Pour to u ceux qui ne '^ paient p u de m o^ qû qui ne cherchepï p u à tromper ropiflioSg il n*y a pas d6Œk Qtaaièrai d’ap- préder lu résultats de là convention de Bruxeilu. Cet nistnmient diptannatique, — pour employer l’expreuionriasaque,— sera pour l’industrie sneriére’mt France un ins- tm i ^ t te mort, et, comme l’a dit H. fiibot à l’un de n u collaborirtenrs pàtisieas, < rabandoB des primu et tes bénis est an véritable désastre ; lu urinu insnfifisaa- ment outUléu votat diqi|çaitte^.. Et su coUégnu dn Nèrd, sans éxceptiOn, pmda- maiœt que nom allions pjirifre notre laardié extéruor, sam savefrniêifriri notre marÀé 4» L u binagu se paient 60 fr.l’heetan. L’arrachage » 60 fr. » les ehanm . » 45 fr. » Et il ne s’ag^ci qnede la main-d’omvro payée à l’ouvrier» Four 300 OOû hectaru de totioravu à sucre (320.000 en 4904), ceia donne dû militons de salaires qni vent être sopprimés; 2» le déchargement du bettanvm, Ims réc^tion, le déchargenmt tem frs bas- cuiu et les garu, le redéchargemant 4 l’usine, ia manipuUûion d u pn^es, ooûfrot en moyenne an miniinnni i fr. m mai» kilos de betleravu, munain-d’oanviesiiteL.- soit piw 9.500 000 tonnu te boitmv& 9 miiltem 500 000 francs de satiàrtt; 3° La fabrication suerfrie coûte anxfrbfr- cents en moyenne 4 fr. 90 de Mi»î»y par tonnu de bettuavu travailléu, sfrt te ce chef 18 millions de salaires ; 4° La mise en état du matfriel i campagnu eoûfr anx fafrieaats « i 4 fr. 50 te saiairu par tonne te’betfrnvw ^vfrUéu, soit «icore 44 miUiena te m- lavres. En additionnant tom. eu chiffria, noei: obtenons le total p lu que tesnecfrbfr dm 84 millions de salaires. ' Quatre-vingi-uin miUieme de ta U m , c est le pun de céntainu te mfllfrtaa^m- Plnstard, _________ il ne sera uni besoin te — luantmiis qui, teujonrs d’terés'M. Ponr b mnmaoé^ fr b ^ loin, une Anation a été mal nous vonlonA nous berner à montrer ce. que coûtera an paj^ cette emivention néfafre dent le gon- JOTwmeirtj[wl’oi!|àne inopnsaentenpmit- ''Omnme d’un titre de gloinw' ^ première vue et dan» lOjmonte gosver- Mmentai, en ma regartepa»'frn» frnt, on se fi^re que tes smfraaeËfrKsarrat frs frtaiS- cants te saerafrfrs euttwritenr», gam mû nont jamais tefrfi pour ifrttes fr» bliCâDIB y fiioatelHlazaen dmtan . . ;______ vHfojM» le jour oû la convention de Bruxelfrs ans produit son frfot n u t vrai une l’on ne moam: te frôn . qu^ partir dfi903, cequidonneangemet- nemoit l’espfrance te trmnper rnpfniîs fr d’atiever lüfreetiom ai 4982. LnnriiiM te taonHieteins i Jûsqnici, nom ne i qfie te eenx teL vivant e s santact éffimt avec la frinique te sacre, peuvent sa gnifigr frs seuls attfrnts. C u t une a tu m . m comme fr frtBastiat, teat .ert 'taaQuàiBiBÉn dansfr Tiehested’uB pays. Quant mmsbni» M t e an^ vem ruineK tas antres. Ht» bten d autres; à l’heuie-afraaBik I tant, pm te ce qne vem ' prgfrs dn goevenonefr l Hesrieun t e envrien mineurs d U iàrii La SUa etie, sais la r afnimria, «nmum» envônn 4.400.000 tauiu de diaitea. A S î: ^ de la matahCmm^ ctet 9 mlUtom de sodeàns enleods sots Éa^ neurr. , Et ce n’est pas seatemaBt oria ; car te s» m moment oû la demande se ratetit e tte Foieaaaaiee àditeMevee trou d’n mS- lion fr dfrui te tonnm consomsaHe te: mon» produra une baissa îuaéim tg t t canbustibte mnifral, fr, bateemévânbfrdmaa' ' ■es te fr eon v C ifr *"déi par fr easveiâtete lesefceciBÉmte M

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S?ÎT ''^ ' f

J O U R M A LL i I n m f e o : 5 eeax fS m » L e S u m é r o : S « tn ih n flg ^

G . V IX L A V ^ » s I M - S B 5 B S I O M - S i' 0|90 c* l 1ipw. 1 JEtAdasMi. a ■ a ^0 .» K S r ^ ï ï r ' ? 5 ? •*

»•-.... ii,;»» titaamm u a j t 'u c a o i ap-mmu ■ ■a i . u a.Las «aagnaae, siduMt, «ta., «onccouot Pans

asz bsnuB dà J

Etf«a» heàâêmatun.Ün «a..«..................Six mois..

A fe.

toai las Imreaax de posta. •*» L'àbeiinâmat att payidde al d* plma droit jasqu’A réoeptios d'avis oeottaira.

SenSs, l» S S M ars i9 0 S .

LaI l est pea de pn^ranuBes électoranx qui

ne cempertent la réfum e des frais dejnstiee.C’est une des pins faciles à accomplir car les difScaltés qu’elle sonlère peorent être apla­nies par la Toleaté d s léfislaiatir sans dom­mage par l’Etat.

M. Cliepiiiet n ’arait pas manqoé de l'ins- crire en ijoane place dans la profession de foi qall adressa en 1898 anx électeurs de la 1 » circonscriptioa dé Senlis.

c Je m’engage, disait-il, à rédamm la Jostice gratuite pour tons, afln d’assurer i tous nne ^ l e proteetioB de la ldi. Cette gratuiti doit être absolue en matièrè correc­tionnelle: en matiira dTile; les frais de procédtire, qni dérorent les petits héritages

» et détruisent la petite propriété, doivent être Mnsidérabiement réduits par la simplifica- tûin du Code de procédure. >

Telle était la promesse qu’avait faite M. Chopinet, non sans solennité.

Or, qa'a lait la majorité de la Chambre, i laquelle appartenait M. Chopinet, pour opé­rer cette réforme capitale? Bien, absolu­ment rient

Le dépoté Chopinet a onblié et ses pro­messes de eandmat et l’enguement qu’il avait pris. Cela n’est pas peurm as surpren­dre, mais la censtatation s’impose de son inertie et de l’indiÆérence (pi’il a témoignée pendant tonte la dnrée de la 1^'slatore pour les réformes qu’il devait faire aboutir.

M. Chopinet nous objectera peut-être que depuis 1898, une amélioration notable a été apportée, celle en rerta de laquelle les droits en matière hypothécaire ne sont plus des droits fixes, mais des droits proportionnels.

Pour ce qui est des frais de procédure qui dévorent les petits héritages et qui absorbent le produit des ventes judiciaires, ils n’ont subi aucune réduction.

On sait que les ventes judiciaires ont lieu ou par autorité de justice, lorsque des créanciers font saisir les biens de leur débi­teur, pu, lorsqu’au décès d’un propriétaire, des mineurs sont appelés à sa succession. Dans ce dernier cas, la loi se propose de sauvegarder les intérêu des mineurs, qui pourraient être compromis par des arrange­ments indélicats ; — mais en voulant les protéger, elle les écrase, car étant donné le taux exorbitant des frais, lorsqu’il s’agit de petites propriétés, ce sont les fiais ^ i ab­sorbent tout, au détriment des créanciers en des héritiers.

La constatation suivante en est la meil­leure preitve.

Si nous prenons las ventes de plus de 10.000 francs, le taux n’est que de 2,33 0/0; pour les ventes de 5.000 à 10.000 francs, il est de 9,52; pour celles de 2.000 à S.OOOfr., de 16,18; de 1 000 à 2.000 francs, de 26,23; de 500 à 1.000 francs, de i2,9i ; et au-des­sous de 500 francs, de /06 0;0l

.éinsi, tons ceux dont les immeubles ne ' dépassent pas nne valeur de 500 francs et

nui sont contraints à nne vente judiciaire, non seulement ne touchent pas un centime du prix de la vente, mais ont encore à sor­tir de leur poche une trentaine de francs.

Ce n’est donc pas une question fiscale, ni politique, qui s’impose au législateur, mais bien une question d’humanité.

La justice vend tous les ans pour 500.000 francs de petites propriétés valant environ 500 francs : pour les vendre, elle fait 600.000 francs de frais, et cela d’nné façon régulière et constante.

Voilà ce que M. Chopinet sait aussi bien que nous; cet état de choses absolument inadmissible l’a laissé complètement indif­férent.

Sa profession de foi parlait de cette ré­forme facile à opérer, sans trouble et sam secousse, pour employer sa délicate expres­sion, au cours des quatre années de la lé­gislature, et jamais époque n’a été plus troublée ni plus remuée que la période du­rant laquelle M. Chopinet a siégé au Parle­ment.

Il faut conclure. Ce qu’il importe designaler dans la réforme qui doits’opérer, c’est le tarif progressif à rebours gui frappe plus lourde­ment la petite propriété que la grande. Q faut que les ventes de 500 francs et an-des- sc is soientfaites gratuitement par les avoués.Four les dédommager des pertes qu’ils su­biront de ce fait, le droit proportionnel pour ies ventes supérieures au chiffre de 500 fr. serait élevé. Il y aurait ainsi compensation.

La solution apparait simple et pratique, et le remède que nous indiquons guérirait !B mal dont souffre la petite culture, les petits commerçants et les ouvriers.

Puisque M. Chopinet tfa pas pu faire atjoutir une réforme aussi élémentaire, il nous faut un député qui s’engage à la faire voter par la Chambre.

Nous l’aurons. —Elts.

éveutneSmufflit anx stojiriks d’an asatrm la ' sauvegarde. *» *

Tous les échos de la Chambre ont répété I hier : < Amnistie 1 Amnistie I > On a demandé

l’amnistie pour les condamnés de la Haute- Cour, l’amnistie ponr frits de grève èt frits cOnnesee, l’ammstie ponr crimes et délfts mili- taires, pour délits de pécha, de chasse, de rou­lage, pour les contravmitioas cyclistes, etc., etc. Finalement, après des discasEions fort animées, la Chambre a repoussé l’ensaaibie de ces pro­positions.

*• *Le Sénat travaillait, pandiot ce tampedi ;

dans la séance d’hier, il s’est arrêté un instant Sur le budget de la marine, pais a expédié les budgets de la jostice, defjntërienrst des cultes, ainsi que le budget des finanmwj des monnaiee et des médailles.

X. Loyer avaft été élu 011898 par 8.3S9 voix, contre 6JB6 à ■. Pinl Lafnvia. dépuié sor-laA, soaialfrte,et iM u eu ISBepv S);2]ff voix. enutrs&éllàH. GbsBqoièee,'sdsiaSsta.. H l ’avait pas Fintealisn ds se rnrésaatsr anx éiaetinis jpoehaiBes.'

La eandidatitre de Hfline. ^Bépoiadaiit A une adresse du Coniilé

eaia de BemiiemanL IL Hdins, a dédazé' qu’a défeudprit, aux éleOions produises, le drapeau répnblieaiu contre le denier assaitt qui va tari être livré, n esL dit-Q, sfir Ai snecës.

La sauté dalL Waldeek-Bonssean. lés plaies de IL Waldecta-Bousseau sont eiea-

trisées; les bandages ont été enlevés hiw mytia.Le présidait du consolrqirendra sas oeema-

tiens uudi ^odiaiB.

hliéàiari > fixa le déficit de 4901. Et il nous «1 hrissaprévng asmoiBsàiûant j^ n r 4902,

____ . -------------------------------------------------------- p ^ e ryriyinSre os ce dernier budget, soit suivi d’un autre amprnnL

En ^Iffté, restd iannaat. Xbis M. Pi«*e Horm est m d venu à coalesta’ un chiffra que les^üaistériels eux-mêmes se trouvrat dans la jpécessité de majorer._ Ce pas à 340 m uions que s’élève le défleit,...mais à- 345 m uions. Nous étions dmie am,dessaus de la vérité.

J s a ^ ' au e t d^nsister. Cela montre BéaBBiafus le cas qu’il &ut frire des asser­tions ttaéraires 'd’un fenctioanaire q d est “ ”**** « dttbâtiment » 1 V. G.

ün incident s’est produit hier à Stockholm, dans la séance de la deuxième Chambre dn Biksdag. Le député libéral Hedin a dédaté qu’il avait porter plainte contre le comte Wacht- meister, ministre des finances, et qu’Q dSsauii- dait que l’affÛTS fût examinée par la commis­sion constitutionnelle. H a ensuite remis au président de la Chambre un pli caxdieté conte­nant la plainte en question. La Chambre a renvoyé l’affaire à la commission coustitntion- nelle.

Le mandat de six ans.La gauche déssocrariqua du Séuat a décidé de

voter définitivemaiit la loi tendàut i porter de quafre à six ans la dnrée dn mandat de député, à la condition que fr Chambre sdt renouvelée par moitié.

Lé Conmès des » Jaunes ».Les € Jannes », qui viennent ffafflrmer la

pnissauca de ledr erganisatio^ vont tenir io r premier Congrès nationai leSm, 38et 29mats, au Salen des Familles, aveniu de Saint-llaadé. Pliis de 1.300 Syndicats légalvunt enimip«i« y seront représentés, dont 1.057 Svndieats a s> coles.

LE FAIT DU JOURF *eu la CSlxax3al3x*à.

L’anniversaire do 18 mars.' Les snrvtyaBt» de la Cotamnne Mt célébré, Bunti, rtmiiTfirsAird da IS mus. Rasieiin rdiK BiOBs p^liqnet ont en lien à Pans: Oa y a Ait Papoioi^ dô la Conunsno st duaté iss lousgos dtt aüiustàre actiieL

B B k l Ë T I I I P O L I T I Q U E

minislère des a ^ r e s étrangères a fait communiquer à ia presse une importante dé- eia.-ation des gouvernements français et russe, êa réponse à la conclusion dn récent traité acalo-ja^nais. Cette déclaration, qui sera communiquée par ies représentants diploma­tiques des deux nations o amies et alliées j> aux ministres des affaires étrangères de toutes les paissances signataires qu protocole de Péidn dn ! septembre 1901, ludique d’une frçon très claire et très nette queUe sera la politique de l’alliance franco-russe vis-à-vis de l’aliiance anglo-japonaise. 11 y est dit que, dans le cas où, soit faction agressive de tiércw puissances, soit de nouveaux troubles en Chine, mettant en question l’i n t ^ ^ et le libre développe­ment de cette puissance, deviendraietit une menace pour lesn propres intérêts, les deux gouvmnemeafr aBlée m léserveat d’aviser

Les députés vont être prochaine­ment licmiciés. Ils sont d’ailleurs attendus avec quelque impatience

par les électeurs de leur circonscription.. L’époque est prochaine où nos législa­teurs vont se trouver sur des charbons ardents. Le moment de rendre des comp­tes est arrivé, et ils redoutent un peu d’expliquer certains votes et de recon­naître qu’ils n’ont rien tenu de leurs en­gagements.

P ou r la plupart, c’est un jeu d’en re-: jeter la faute sur des collègues absents ou sur la fratahté des circonstances ; pour d’autres, moins avisés ou plus honnê­tes, ce procédé leur répugne un tantinet, et ils préfèrent se retirer de la lutte plu­tôt, que d’affronter les reproches mérités qui les attendent.

C’est à ceux-là que va directement notre sympathie. Us ont prouvé leur impuissance, üs conviennent qu’ils n ’ont obtenu aucune des réformes qu’ils avaient promises, et ils s’en vont, tristes et las, en envoyant au diable la politique et les politiciens.

Q uant aux autres, et ce n’est pas M. Chopinet qui me démentira, ils se représentent aux suffrages de leurs conci­toyens avec une tranquille assurance.

Ce qu’ils ont fait pendant la législa­ture? Mais ils ont siégé, — et c’est déjà beaucoup, à leur avis. Ah! oui, ils s’étaient engagés à diminuer les impôts, à se m ontrer plus économes des deniers de la France, à alléger les charges pul bliques, à favoriser notre commerce et à améliorer le sort des travailleurs. C était là leur programme. P ou r conquérir les voix des ouvriers industriels, ils y avaient même ajouté le vote de l’impôt sur le revenu.

Ont-ils tenu leurs promesses ? Les fi­nances du pays sont-elles en meilleur état qu’elles ne l’étaient auparavant? A-t-il même été question de ce fameux impôt sur Te revenu que M. Chopinet et ses amis considéraient comme une panacée universelle ?

Vous ne voudriez pas ! Les députés ont bien d’autres chats à fouetter que de s’occuper de pareilles vétilles ! Le budget de la France est en déficit ? Q’importe !La France est assez riche pour se payer de^ temps en temps une fantaisie de 34o millions. E t quant à l’impôt sur le revenu, il y a beau temps que ce miri­fique projet est allé rejoindre les vieilles lunes.

Au surplusj la question n ’est pas là.La puissance financière, la grandeur éco­nomique d’vm pays, la foree de son ar­mée, tout cela importé peu.

Ce qu’il s’agit de savoir, c’est si le re­présentant s’est m ontré généreux Ha-n. fè distribution des faveurs gouvernemen­tales et des prébendes ministérielles.

A-t-il acquis au Parlem ent une noto­riété suffisante pour faire révoquer, sur un signe, un sous-préfet républicain cou­pable de n’être pas suffisamment inféodé au parti radical ? A-t-il pourvu quelques budgétivores de sinécures grassement ré­tribuées? A-t-il obtenu quelques aunes de ruban rouge, quelques douzaines de palmes violettes et quelques grosses de c Mérite agricole » ? Voilà l’important. Ne parlons pas du reste !—V ic to r Goeuorp.

Les défrites qne n’avéne pas le War-OlDee.La KeiuM Rotterdeamehe Courant -appraid

que fr légation da Transvaal à Bruxelles vientde reeeVtrir de nonveaux rapports qui rendent e o a ^ de plusieurs batailles dont le War-Office n’a frit anenne mention. C’est ainsi qne le 15jan­vier, le général Christian Botha a hvré nne ba­taille dans laqueUe les Anglais ont perdu 46 morts, 92 blessés, 150 prisonniers, imdépât de 15.000 fusils et 200 chevanx. Le 3 février, le généralissime Lonis BoUia a infligé aux sn^ .i. un édiee très grave. Su côté des f sont rriativement minimes.

E s t - c e l o y a l ?

IL CaiBrtant a ern devifir, dans an précédent etHàs, Bêoeuattre au acte de loyanté de nia part. .

SHtropva ce eeuttanent louable riiez les ai^ tree, ae^^rait-fl pas tenir à bonuaur d’en dmir ner l’eanuiple inèmânie? On bien estee par madvarlaaee quTl adeuse eonstammoit N. Audi- gio’de Bébits quHn’a point commis ? Dimanriie dsnier-encore, fl inrinnait que M. Andigirir a été révoçri peur avoir trahi fr Répabliqiie.

Avant d’ânettre nne parelHe-nQ^atioa contre an galaut bomms, il frnt en avrir fr certitade, appayéBjur des preuves.

Des pmves, chacun sait qu’il n’en existe pu,attendu que cette accusation ne r ^ s e sar aneanebase.

Si H. CasteUant vrat oublier an.instant qn’il est le défrasenr sgatéauitique, non d u principes flottants, nuis de fr penoane de H. Chopinet, il recoimaitra que IL Andigier, qni était an fime- tionnaira iriéproriuble ri s’est toqoars montré un ferme riq^iieain, a été l’âne du vietiinu de M. Chej^ri, qui ra tait Itapper arbitrairemeut et sans motib aVonablu.

Lereeamulnra-t-U? e. t .

canaillon », ai « démoc-soc », et dont rhono- rabilité au-dessos de tonte atteinte, déclarait, fi y a trois moit à peine, que son fils « ne fioucaâ. déeemaieiri poser ta eandidaîvre i SmlU, tant qu’ü striât président du Tribunal »

Quand nons disons cela, nous ns eommettriis aaeane indiscrétion, car l’honorable H. ne geà cachait p o ^ ri la dcrmère fois quH s’exph^ia de fr sorts en notro présence et de­vant plasienrs antru persebnu, c'était exacte­ment cinq jours avant que ne parût le manifeste de M. André Faisant dans le Journal de fOise.

Or uotu connaissons assu IL la Srésidoil da tribanal de Senlis peor être essoré qull ne dé­savouerait p u eu propos, même si nous ne poa- rions a g i t e r aucantémoignaga pour urroborer notre attûtatian. D’aOleais, fl avait parfaitemut raisai; ,ces efaeses-iè se aanant sans qall srit besoin d’y insister antrmnent...

An saridns, si nons avou im avis à donner à Tholomé, nous lai eotueillerons de n'accueillir qu’avec prudence lu renseignsments qni lai parviendront de fr ras da ChàteL à Senlis; il y a là nne collection de pavés de l’oars dont fr loardenr est provertiaie icL Gtgès.

^ L’artirie dont noos parions se termine par une comparaison où il est question • d’un ballon en baadmche gonflé à l’oxygène », etc.

Parler de < ballon en bandraehe » à propos de l’éloqaenu de M. André Faisant, c’est on peu parlû de corde dans la maison d’on pendu. G.

lés jéâ [ Au Journal de l’Oise.

Le cabinet espagnol.La nenvua ministère upagool est ainsi oons-

ttané :Frésdenu dn Consaii, H. Sagasta ; affriiu

étrangères, dnc d’Almodovar : justice, H. Mon- tilfr; flnaneu, M. Rodrigne; uitérïear, M. Muet; gnerre, générai Weyler; marine, amiral Tera- gna; agnca.tore, IL Canalejas; instraetion pn- bliqae, H. de Ramononu.

La révolatioB à Haïti.Un grand nseobre de ritoyens de Fort-aa-

Frinu, aceosés da coupirer contre le goavu- nement, ont été arrêtés et emprisminés.

D’antres ont ehriché on refoge A»»» frs consu­lats.

L’agiution se répand dans toute fr Rÿn- bliqns.

Leminis&e du travaux publics est parti pour Jaemel avec im détachement de tronpu.

Un spécafrtenr, laissé à sec par le flox et le reflux de la Bourse, va solliciter ime place chas ■n spécoiateor an pen trop eonno.

— Je sais nn vériran de fr Bourse ; j’ai pris de tontes frs valeurs qne vohs avez smigaff

—• Je regrette de ne pouvoir répondre à votre upéranu, mais j’ai besoin d’em^ÿés inteili- gents.

i i F o y m ' i o i s

Sort Cqq dépoté*H. Loyer, d^uté pregressiite de lu 3* cir-

eonacriptta da Lille, vient de Mnrir. H était né à WiMBues (Nor4, leSX jaOtat 1814.

L e M i n i s t è r e d n O É d t

L’EcAo républicain amnse s u lectears tomme il l’entend, et nous aurions Imaa- vaise g r ^ à nous plaindre d u moments de donw gaieté qu’il noos procura Ida même conp.

Hais, vraiment, le journal de M. Cfaminet joue de malheor avec les défis solennels qu’il lance tour à tour an Courrier de COvse, à H. Franck Chanvean et à M. Andigier.

Le fonctiennaire d u contrihatiens directes dont e u défis, à tout le moins puérils, cons­tituent le passe-temps favori, termina son dernier attieie par cette phrase lapidaire et stupéfiante :

« En attendant, j e mets M. Eranek Chau- € veau au défi de dire à la tribune du Sénat, « qwmd la question de Ut eentribution ma-< otlière y viendra en discussion, que la< déficit est de 340 milUem. > ^

Mon CMfirère Tholmnâ s’est ému d’un ar­ticle pantffans le dunier numéro du Cow- rièr de JOite. 11 y a répondu hier im.tin par iànm^te-doiit je ne veux retmiir qu’un

ôd il état e x La Jeüm al de Senlis pBétffid ÿ e si nous soutenons lAcan- didatase Faisant, nous m le frisoiu pas x à l’œil ».

Il y a là nn malentendu que j ’entends dissiper au plus tôt.

Tholomé a tort de penser que j ’ai voulu l’accuser de se frire payer pour écrire des articiu en frveur.de M. Faisant. Je n’ai point dit cela p o u cette raison très simple qne je ne le crois pas. Je suis convaincu, au contraire, de ia rincérité de Thotauné quand il défend l u opinions de son candi­dat. Ce que j ’ai dit, parce que je le croyais, c’u t que M. Faisant, heureux de trouver enfin un journal disposé à le patronner, l’a frit largement répandre à s u frais, à Senlis; et Tholomé lui aurait alors vendu son papier, ce qui eût été parfritmnent légi­time.

Mais il paraît que je me trompais : The- lomé m’assure que ia propagande de son journal à Senlis a été frite de sa propre ini­tiative et dans l’unique but de développer sa j feuille en notre région. J

Soit ! Mais alors il a mal choisi son mo-; ment et la méprise était frés explicable. KnI effet, lu uem piairu do ce journal de Beau- vais, distrihuésgratnitement dans no treoiffr, sont précisément eeux oû se trouvent lu

A qnoi ea est r||n it H. Sourson.M. Bourson, propriétaire-directeur de ia

Gazette de l’Oise, et cirdevant marchand de chapelets, fait conuia le nègre de Mac- Mahon : il continue. -

Il continue à tronquer l u textes, à attri­buer à d u tiers l u arrieiu de ses confrèru et à donner lu preuvës les plus évidentu d’une mauvaise foi pusée à l’état morbide.

Son dernier exploitjriut d’être cité.Un journal de Compiëgne, c’ut-à-dire

publié dans ia même iville que la Gazette, VEcho de fo ise , avait emprunté à une feuille parisienne un excellent ;articie intitnlé : tfe payez pas I et dans lequel l u contribuables étaient invités à payer leurs eontrihutions w dourièinu et non par anticipation, afin de ne point alimenterla t cagnote éleetoraie de M. Waldeck-Rousseau ». L’avis était d’autMt plus jadkieux qu’à l’occasion d u élections, le ministère procéder à d u vire- muifr verti'gineax au profit de s u c easse-

.^retes » et de ses saîbtas à tout frire.La phiÿàit dé n u èonfiéru r^œ du is i- '

rent l’article avec mnpçenemenL Nous Bmu comme eux et nous l’inséràinu aussi.

Là-dessUs, grande Cliiéfe de M. Bourson. Feignant de n ’avoir vu’iriite note que dans nos colonnu alors qu ellé était extraite de cellu de son voisin.de Gompiê^e, il l’attri­bue à M. Franck Chauvèàu — tout simple-

ÿourtant bien en France, et,-si voas le lez, nous commencerons par Rm i verrons ensuite l u antres.

L’indostp l» eiMriépn^La eouveotien de Bruxeilu, an b e i t f a

nombre d’annéu plus ou moins longv i l r i i qui ne senpas très longr amèneHi la dispa-

I ribon complète de l’indus&ie sneriére.Or, l u 340 usines fim ^aisu, d«t« f r ^

I quellu il s’est dépensé, depuis 4884, plus dji 400 millions, n’auraient plus que fr valmir de leur vieux fer, de leur vieux cnivn a r dé leurs vieillu briquu.

L u raifineriu, dent on peut c b if tu fr valeur à 400 millions, smvramat frmfrMM soft, car il u t bien évident qne l’é tran é r M nous enverrait pas du sucre brut, alors q a ll pourrait ifous alimenter en rafBné. v>»à» tous l u cas, alors même qn’il nêw enverrait du hmtÿ' fl ne s’a g i t plus ^ de noOm consommation intérieure, d’où fen n eh n • plps de la moitié des raffinetns.

: Lm propHétalns du toi.' i l u t incontutable qu’on revem fr tgia

vite ia crise qni, vers 4884. frappa c a lr in u partiu de la r ^ o n du Nord, notanuuml dans l’Aisne, l’Oise et la Sonine; d lm - menses fermu ne trouvaient pas prenenzi et restaient incultu. «

Là oû lu te n u valent 6.000 fr. l’heetam. elles en vaudraient 2.000. Là oû an*» àh vendent 3.000 fr., e llu trouveraient à acheteur à 4.000 fr. Les fermagw raient naturellement dans la^nême pnmer- tion, en admettant que lupropriétauesair- rivent à toucher leurs fé rm u u . ce un itfm t pas démontré.

Tout cela serait inévitable, car infln fr betterave peut, dans la r^iOB dn Nord, p u - mettre aux agnculteurs de cultiver avec nro- fit et de trouver un moyen pratiqua dnn» graissement d u butiaux à rétabla par fra verts des plantu et la pulpe.

Comme la culture de la betterave (300.000hectaru chaque année) exerce son actian e t s étend sur une région d’environ 4.500.000 h u ta ru cultivablu en betteraves, il m ré­sulterait que e u terru perdraient une granito partie de leur valeur.

Prenons en moyenne pour cette parta un chiffre de 2.000 fr., ce qui, de i’avis dei gens compéténts, serait un Tninintmm u sans compter 500.000 hectaru de te rru vai- sinu d u précèdentu qui ont bénéfidé d u plus-valuu duu à la betterave et subiiafent la même dépréciation ou peu s’en faut, nous frouvons une perte formidable de 3 miU Isards.

Et neusna-parions, pas, ici, d’una eani*-Tienca élaipEée, mais certanlu. f r d te é d s - >lion d u pàturagu de -la ffièvra et da -fr" Normandie, par suite de la méventa fisraén d u produits de-leur élevage, qu’on n'achè­terait p lu l’engraissement d a u le Nord.

Léa o u v rie rs ap rle e la s .men^ — et dans u n '^ l e enrâgé‘.'’irra^p^ I d’industriels etda pr*>pelle l’inepte histoire d u crédits de MadL I dont le gowemement se souda

médiocrement. Peut-être sera-t-il pins pré­occupé du sort d u ouvriers agricoles. Cimp- tons ce qu’Us vont perdra :

gasear, sur laquelle tout le monde est fixé aujourd’hui, déclara que cette fois c lé moyen employé par Mi Éranck Clmuvean pour combatire M. Wàideck dépasse les bornu permisu » et qu^;< soulèvera le dé­goût de tous lu honuBcs dé gouvernement. »

N’ut-ce p u que c’est drôieT AliunsI aUons! MonsieûiiBourson,pourquoi

crier ainsi coinme un hriiié 7 L’étiage de la caisse aux fonds surets vous ihtéresse-t-il doncàeep<HBt7... — G ,T.

Je n’invente rien. Cela u t simé * Pierre nnempleyé

„ . ____ signiHonn, » pseudonyme habituai d m , de l’Etat qui, parat-il, a d u loisirs.

Or, en a dutribué anx sénateurs la rap­port générai sur le budget de < 902, et il en résBlts, de l'aveu même de M. Antonin Ds- bost, dont M. Pierre Mœin ne contestera pas te zèle ministériel, que le déficit u t de 3 4 5 m illions I

La commissioa d u flnaneu dn Sénat a évalué lu recettu à 3.604.265068 et l u dêpensu à 3 603.568.090 francs; ce qui laisserait ressortir un excédent de recettu' de 696.478 francs.

Mais M. Antonin Dubost se frit si peu d’illuw n sur l’effliacité de s u calculs, qu’il prévoit d u dépensu supplémantafru pour une somme de 438.750.000 francs; ce qui transformerait en déficit important le fàibla ueédent inscrit dans le rapport.

De l’examen rétrospecM du budget de 4901, anquel se livre le rapporteur, i! res­sort que L’ExcfDï^ DBS d bnsbs isur l u recettu a été, pour cet exerdce et tfou con- PBis les 80 millions et demi de l'e^édition de Chine q u doivent être remboursés en

***•* puissance, de264.449.473 francs.

n ne ru te qu’à additionner cette, somme frbuleuse avec l u quatre-vingts mittnns et deeû de l’expédition de CbiBe pour oble- m r le chiffre énerme smqnef on a**

accom-. 1er dimanche dernier, à Senlis, par

['agent élutorai le plus actif de la candida­ture Paisant, M. Alexandre Bonamy.

Enfin, sim correspondant à Senlis est l’employé d’un d u amis l u plus dévoués de M. Faisant, et ee.correspendant doit faire passer son eourrim' par les mains du même M. Bonamy.

L u dreonstancu concordaient donc de telle façon que l u suppositions fr itu par m n et que je rapprile au commncement de cet article, étaient permisu autant que vrai- smnblablu. Mon confrère Tholomé m’affirme lo eontritire ; je n’ai tmcune raison de dou­ter de sa parole. M. L.

Sou ce titre emprunté an langage de barrière et an dctfonnaiie de la langue verte, M. Henry Maret publis dans le Rodieotnn article où llm- p^encs le disputo au groteà^.

L’ffeào rtpublieain n’a p u manqué de foire à cet artirie lu hunaois de fr reproduction. Le journal de H. Chopinet net brille pu par la mémoire. A-tril donc onblié ÿie M. Maret, com­promis dau lu a&ûru du Panama, frt, pour se fût, incarcéré à Mazas, oû.il à pu foire *la cmt- naissance de souteneurs d’anÀutre genre?

GHssez...n’appuyezpasILe Journal de FOise, qui s’est frit le diaïUf

^ n dn petit F., a pabUé, mardi damier, sou fr signmare de son iHreeteir, un artide qui a eer- tatatefitent dû foire foira la grimace «nint ggtit Pi

S ^ u t uncdiédélicat, eneffiit, d»ngla stana-- tuation de H. Faisant fils, Cùt... la sitii»tînn de sot père.

Nous eussiou'mieux ûnté ne p»» tnrf-t-y jm- u pdnt; suis, u f rq u lu siûs de M. Andké Faisant ràxmêmusMil&nttroBver an tizanq plaisnà s’y-eomplaire, nou sommés hioi tarai (Pu £rann mot, à mûre tour.

* Badicanaillnu et démees-sou (sic tt tic),* iü le Joumat de FOite, u penvmit admeitre » .^le le fils pmsse être unJ^islatear cônsaien-< d e n et que le père paisse loyalemoit, hon-* Bêtement appliquer lu lifis aïoipielles anraiti< collaboré son fils. »

Nou avons le regret de dira à notra «riMll«iit confirme Tholomé qne là n’est point la question : un. père peut:&)rt bien^pfiqner d u loi» «wt- qnellesanrait eoiiaboré son fils; mais nn fils qui solfiate.na mandat âsctorai du justfoiaidu dé son., père, place forcémmit eefoi-ei a»™ fonue «inylion.

Et nou sominu d’autant i ^ à Taisé pmir p a r^ .ainsi, qipai le fofomt n o n uptininim ràv&de M. Pmsant.pèiar fri aaltau : b Fidûdéat finEatmudeiiaésairiH; tri riem fr « laii.

CEPCOÜTliilIPiTSl a C o n v e n t i o n d e P r u x e l l e s .

Pour to u ceux qui ne ' ^ paient p u de m o ^ qû qui ne cherchepï p u à tromper ropiflioSg il n*y a pas d6Œk Qtaaièrai d’ap- préder l u résultats de là convention de Bruxeilu. Cet nistnmient diptannatique, — pour employer l’expreuionriasaque,— sera pour l’industrie sneriére’mt France un ins- t m i ^ t te mort, et, comme l’a dit H. fiibot à l’un de n u collaborirtenrs pàtisieas, < rabandoB des prim u et tes bénis est an véritable désastre ; l u urinu insnfifisaa- ment outUléu votat diq i|çaitte^.. Et s u coUégnu dn Nèrd, sans éxceptiOn, pmda-m aiœt que nom allions pjirifre notre laardié extéruor, sam savefrniêifriri notre marÀé

4» L u binagu se paient 60 fr. l’heetan.L’arrachage » 60 fr. »les e h a n m . » 45 fr. »

Et il ne s’a g ^ c i qne de la main-d’omvropayée à l’ouvrier» Four 300 OOû hectaru de totioravu à sucre (320.000 en 4904), ceia donne dû militons de salaires qni vent être sopprimés;

2» l e déchargement d u bettanvm, Im s réc^tion, le déchargenmt tem frs bas- cuiu et les g a ru , le redéchargemant 4 l’usine, ia manipuUûion d u pn^es, ooûfrot en moyenne an miniinnni i fr. m mai»kilos de betleravu, munain-d’oanviesiiteL.-soit p iw 9.500 000 tonnu t e bo itm v& 9 m iiltem 500 000 francs de satiàrtt;

3° La fabrication suerfrie coûte anxfrbfr- cents en moyenne 4 fr. 90 de Mi»î»y par tonnu de bettuavu travailléu, sfrt t e ce chef 18 millions de salaires ;

4° La mise en état du matfriel i campagnu eoûfr anx fafrieaats « i 4 fr. 50 te saiairu par tonne te ’betfrnvw ^ v frU éu , soit «icore 44 miUiena te m - lavres.

En additionnant tom. e u chiffria, noei: obtenons le total p lu que tesnecfrbfr dm 84 millions de salaires. ' •

Quatre-vingi-uin miUieme de t a U m , c est le pun de céntainu te mfllfrtaa^m-

P lns ta rd ,_________il ne sera uni besoin te — luantm iis qui, teujonrs d’terés'M.

Ponr b mnmaoé^

— f r b ^ loin,

une Anation a été mal

nous vonlonAnous berner à montrer ce. que coûtera an paj^ cette emivention néfafre dent le gon- JOTwmeirtj[wl’oi!|àne inopnsaentenpmit-

''Omnme d’un titre de gloinw'

^ première vue et dan» lOjmonte gosver- Mmentai , en ma regartepa»'frn» frn t, on se f i^ re que tes smfraaeËfrKsarrat frs frtaiS- cants t e sae ra frfrs euttwritenr», gam mû non t jamais tefrfi pour if r tte s fr»

bliCâDIBy fiioatelHlazaen dm tan

. . ;______ vHfojM»le jour oû la convention de Bruxelfrs a n s produit son frfot

n u t vrai une l’on ne m oam : t e frôn . qu^ partir dfi903, cequidonneangem et - nemoit l’espfrance te trmnper rnpfniîs fr d’atiever lüfreetiom a i 4982.L n n r i i iM t e ta o n H ie te in s i

Jûsqnici, nom ne i qfie te eenx teL vivant e s santact éffimt avec la frinique te sacre, peuvent sa gnifigr frs seuls attfrnts. C ut une atum . m comme fr frtBastiat, teat .ert 'taaQuàiBiBÉn dansfr Tiehested’uB pays. Quant mmsbni» M t e an^ vem ruineK tas antres. Ht» bten d autres; à l’heuie-afraaBik I tant, pm t e ce qne vem ' prgfrs dn goevenonefr l

Hesrieun t e envrien mineurs dU iàrii La SUaetie, sais la rafnimria, «nmum» envônn 4.400.000 tauiu de diaitea. A S î: ^ de la matahCmm^ctet 9 mlUtom de sodeàns enleods sots Éa neurr. ,

Et ce n’est pas seatemaBt oria ; car tes» m moment oû la demande se ratetit e tte Foieaaaaiee àditeMevee trou d’n mS- lion fr dfrui te tonnm consomsaHe te: mon» produra une baissa îuaéim tg t t canbustibte mnifral, fr, bateemévânbfrdmaa' '■ es t e f r eon v C if r *"déi par f r e a s v e iâ te te lesefceciBÉm te

M

Page 2: JO U R M A L Le Suméro : S «tnihnflg^ G. VIXLAV La m ibmsenlis.com/data/pdf/js/1902/bms_js_1902_03_23_MRC.pdf · al d* plma droit jasqu’A réoeptios d'avis oeottaira. SenSs, l»

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■ & ii» saas^--" || ________. _ . . . O T « '

ifiig^Ô B *. . . ^t e ^ n c i t t r - iM id e rm i ' IM iütlériiDX de eéàu>: pT^M»:-jt6wiwl<l°<*»t ete.i- à iwHf:” ' ' ‘t ' ' ' T ', j

' Le* e n ra is pem beUerave» i plui de j> Thi»KnBi, toit S i mitlüont 4 !i m mtn%- mum perdu» peur !e» BM>yen» de ttan»- pert», e t, sur cette gemme, une très jro»»e mietioa passe eu salaires.

_ L » liiiluetP lee m éoenlque» . ïlièpni» dix-hmt ans, le» skcrerie» ont

anBuellement commandé chez 1« cons- triëlowrdofit-beausoup se trouvent dan» larffgiôn d aS é rd : ' , ' ’. ' ' ■ '

30 million» de matériel neuf; . to MHKMs'dé réparàfions ou de trans-

faymatlons du matériel existant. asw rtiriiiiirniéiilliirriflttesirfHtep ce mo­

ment une crise très forte qui serait accen- .^^ .paC '.cette diminution subite de com-

Cb^më les mineurs, les noirs de Five», de Denain, d'Anzin et de la vallée de la Sambre t t ï ^ sagemenf de songer à cette

i^tnatîMi dont ils foront bien de remercier dnmiiMstére.

‘ i .e s o u tr e s In d u s trie s , n est assez difacile de chiffrer d’une ma-

juiére précises les pertes qui résulteront d.e 5 Î rtp w de la sucrerie pour le» autre» m-

^ ^ ^ ^ o u s suffise de dire que les fabricant» de livrent annuellement à Ui sucrerie Soqr 7 mîiimn« de sac» e t million de tissu» WÏBnmtioh; . .‘ ■ ôhe’ le» fëbricënt» d’huile» et de graisse» ilv tén l péar 4 million de leur» peoduits ;; ‘ü h e le» bbricant» de produit» chimiques

livrent pour une somme a

S u e t^ ^ lu e te u r» de bnque», de ciment, chaux, de produits’réfractaires, etc., peuvent eompter<^r4rois millions au moins.' 4 o s n ro d u e ts u r s s t h n p o r ta to u rs

M ’, d 'a n g ra is .’“ Ün^'hebtare do betterave» absorbe en m ie n n e sioô à 280 francs d’engrais chimi- M e.'^m ptons seulement 200 francs : de ro chef, c’e s t. une perte de 60 millions de

^ Ce» soixante million» d’affaire» seraient ^ s q n é complètement supprimées, car il est M rw h que ,ie»‘ autre» pnitures ne peuvent â ltie r en ligne de compte et que le» fer-

surtout dan» la simation précaire od to ^ rà ie n t. Chercheraient à se contenter le ^In» pomible des engrais de ferme.

■ £ t ta u a laa a u tre a .-qEt tou» le» autres, le» artisan» de village, dont le s trois quart», dan» beaucoup de no» dommunesi ne trouveraient plus d occupa­tion; j , ,■ Et les commerçant» des villos, dont la

ehentèle se compose, en grande partie, des gensde la campagne qui viennent, è cer­tains jours, pour faire leur» emplettes chez éux. . . .

Que» ferez-vous de tous ce» gen»-ia, et Ammènt leur permettrez-vous de vivre?

La T ré s o r enfin .. ’ Et finalement, le Trésor a fait une opéra­tion encore plus déplorable que les particu­lier».“-- 4» Les impôt» indirects'. C’est dan» la ré- gion.du Nord que lesiimpôts indirects sont les plus fructueux. Est-il besoin de dire à qnei point on les verrait se réduirn quand on aurait supprimé la principale source de richesse de nos département»,- quand, on au- rait-cetiré aux travailleurs des campagne», des mines, des chemins de fer, des usines mécaniques plus de cent millions par an ?

go Les impôts directs. Par suite de la dn minntion de là propriété foncière et aussi de la propriété bâtie dans les campagne», le Trésor subirait des pertes considérables sur les droits de transmission par héritage ou entre vifs, en -admettant qu’il lui plaise, contrairement à tonte justice, de maintenir é son taux actuel l’impôt foncier qui frappe­rait des propriétés dépréciées. Ce serait plu- siénr» dizaisés de millions chaque année.' E t pourquo i to u t o a la ?Et pourquoi nous menace-t-on de tonte»

cas ruines? Les sucres, ne cessait de pro­clamer le ministre des finances, sont la plaie dû'budget;- c’est d^ux que vient tout le mal.- Or, nous voyons aujourd’hui la commis­

sion du budget, d’accord avec ce mémo mi­nistre de» finances, compter sur les sucres pour rétablir l’équilibre du budget de 4902 compromis par le -vote de diverse» dépenses snpplémentaire».

Voici, en effet, ce que nous lisons dan» le rapport de la commission du budget

Le rendement de l’impôt des sucres avait été primitivement évalué d’après les résultats de la pénultième année i 186.622.000 francs.

-Eu présence des moins-vaines constatées pen­dant les neuf premiers mois-da l’année 1901, il avait paru prudent d’abaisser cette évalnatioi de Ü) millions de francs. Hais depuis quelques mois, les recouvrements sur les sucres accusent ime amélioration sensible. D’un aure côté, parmi les rànseaffni avaientinfluenoé défavorablement cette ËrânChsde produits, lès fabricants de sucre n’ont cessé de signaler l’extension prise par l’emploi de te'saccharine dans la préparation d’nn certain sombre-de denrées alimentaires telle» que la bière, les limona-lea, la confiserie, etc. L’incor- pqratien à la loi de finances des dispositions du profet qui limite les emplois de ee produit anx qsages thérapeutiques et à h préparation des gnb'stances non alimentaires mettra fin aux abus de celte nature et ne manquera pas de se traduire par une augm- ntetioh notable des quantités de sucre livrées à la consommation.; Ôifin« il ne fant pas oublier que c’est è l’ac­

croissement rapide des excédents de rendements admis au. bénéfice, d’une immunité partielle que

' soilt dûs princâpalément les mécerapies auxquels a pu donner li^n le rendement de l’impôt des sucres. La perspective de changement à opérer iTai<« notre législation'sneiriérè parait de nature à dhraÿer cette progression; et, pour ce motif, i l . nfont'iteu de penser que, pendant les derniers fiuiâi-da raiteée en cours;-les sucres à tarif réduit préodront dans la consommation une part moins scande jÿie. pendant la ^période correspondante om-exercices.1900 et 19Q1.

Dans, ces conditions, étant donnée pins partieu- lièremëni l’iacorporation dans la loi du bndget des dispositions relatives è la: saccharine, il est nor­mal de ne réduire qne de :S miliiens les produits ^te'ûénnlfième année.' Quel aveu au moment même où Ton signe

Ih tojivention de Bruxelles I Et il faut pro­clamer que DOS gouvernants ne manquent na» de cynisme.:^0à va démaiider anx sucres 480 millions

en 4902 alors qu’en 4883, sons TaDcienue. législetïon, le produit n’était que de 415 mil­lions, La loi de 488i donne 33 millions de â h s an Trésor ; elle a fait baisser le prix du stu fe sans l’im j^t de 64' fr. 50 en i88S, à m -ff- 60, W ûrt actuel, et Ton proclame qne

loi j^ n ia lé Ti;èsor ét exploite le con- rom m afen rl'•a^MMëttéré^dérisiôln !ie t - -U i’-» m n e itH to la g iM rrn .

i K ^ i a e m U n a r d » . ' ï '^ i i r f Û ’-liohûolïsoÉra^

La rô k é absoloe.

ü àése

.éesMére,

6’està 'iffin '

convéntiAn -fb -^ n a j^ n i i vettîie mp r â ^ t é e p a r is i^Bistère, « t penr:; te

rm nonrsux'Ssdan avec tonte» se» conëéqnaiée»,.:

EBs fsra -perdre atix onvriers pins de, iOOmülionidesaM ràdireets. Elle püftna üÉ-eonp funeste in o t r ë indostrie heniltére et é tout le commerce de la région dn Nord.

Après ee» fait» et ces chiffre», il n’y a pins de eonnhéntsdres i ajonter.

(La Diptehe du Nord). C. Kblkuk. -

Ghronique É lectorale.' • • • • ‘

U n I n c i d e n t à B e a n v a i s .Une- altercation s’est produite vendredi

dernier I: Beanvai», entre, uetre excellent eonfréretPaolHabèrt, du A «rna{ «te rOts»^ et im certain Sehmidt, rédacteur de; la Répu­blique de l'Oise.

Cet ineident, motivé par une menace faite par ee dernier aux témoins de notre sympa- hiqne.confrère, HH. Tholomé et Adolphe, a tourné a la. confusion dn nommé iScbmidt, que Paul Hubert a giflé d’importance en

M. Sehmidt, qm s’était vanté avec qnel- gùe imprudence de se livrer à des voies de -fait sur la personne de U; Hubert, n’a même -paeen lé bénéfice de sa fanfaronnade, puis­que c’est au contraire le rédacteur du Jour­nal de l'Oise qui Ta vertement corrigé.

— a été rédigée pour déclarer que la presse refusait désormais de considérer M. J. Sthmidt comme un confrère loÿai, de sorte que ce matamore insolent a obtenu la double correction, — physique et morale, — qu’il méritait.

La RdDAcnoN dd C oum er de l’Oise.

A r p o n d i s s e m e n t d e B e a u v a i s .2* circonscription.

Les réunions ne M. Haudriobiirt.Les meilleures nouvelles, les renseigne­

ments les plus satisfaisant» nous sont trans­mis, en faveur de la candidature libérale de H. Handricourt, de tente» le»' commune» qu’il visite et ou il se met, avec l’empresse­ment le plus dévoué, è la- disposition de» électeur» qui veulent l’interroger sur son programme, a ^ e l il» se ralliéntsahg détour; après se» explication» si franches, si catégo- nque». .

A p p o u d ls s e m e n t d e C o m p iè g n e »Le citoyen Huloh .candidat de la Gaxelte

de l’Oise contre M. Noël, en 4898, et candidat actuel de la susdite Gazette, obtint .à cette époque 3.589 voix.

Ce qu’il y a de remarquable en ce nouvel avatar; c’est que du trio < Ea\ot-Gazette- Noël », le seul élément qui n ’ait pas changé et soit demeuré fidèle à lui-méme, c’est le citoyen Hulot.

* *Plus fort quo la oitoyen Hulot.

Nom lisons dans l’Beho Soitsonnait, journal socialisle :

< Nous menions dans l’arrondissement de Compiègne la campagne électorale avec mon excellent camarade Hulot, Eh bien I an fur et a mesure que le candidat socialiste gagnait du terrain;, le candidat républicain Noël ac­centuait de plu» en plu» le mouvement è gauche et pour un peu il serait plus socialiste que le socialiste Im-méme, é 1 insu de Cro­chet.

« Je suis vexé, je l’avoue, quand un élec­teur se croit intelligent et capable d’avoir posé cette question qu’il juge absolument embarrassante à un candidat de sa classe et qu’il n’oserait poser à celui qui le visite en landau eu en automobile. >

Selon un mot mis è la mode par H. le sé­nateur-maire Ghovet, M. Noël a un certain <_ culot > et une enviable souplesse, nul mieux que lui ne sait se plier aux circons­tances locales et aux opinions dominantes dan» les milieux où il parle et où il expose son programme.

Il y a la une véritable tromperie sur la marchandise électorale; en voulant donner satisfaction à.tout, le monde, M. Noël finira par ne plaire à personne.

Les complaisances excessives du candidat démoliront le député. - .

jA ^C luidiroa adffi

O^ŸOté contre ; MM. GàiUatd

Concours- d é -B B Â T J V A lS '^)iiw),..:--

nù SAUEHIlé AU DIHANCHE§èi;JCÉfï9<l«

B x p o « itt< » n p n b l i q i l * , :DU HAnni 47 Àu DuakcbxÎB Jont 4902.

dtOMODE fiËPiUtTEMEUTALiV o te s d e S Ï i t i . l e s iD é p u té s

d e l ’O ise»Séance du mardi 48 mars.

Scrutin sur la première partie de l'amen­dement de U. Pourquery de Boitserin, ten­dant i fixer a tix 'lin sla durée du mandat législatif. Cette première partie était ainsi conçue :

Les députés sont élus pour six ans.Peur l’adoption. . . . 263Contra ............ 2 il

La Chambre a adopté.Les député» de TOise ont roté contre.

Scrutin sur la deuxième partie de l’amen­dement de M. Pourquery de Boisserin, ten­dant au renouvellement intégral de la Chambre.

Pour l’adoption .... 336 Contre 46i

La Chambre a adopté.Ont voté pour ; MM. Baudon, Chopinet et

Gaillard.Ont voté contre : MM. Noël, et Rendu.

Par arrêté du ministre de TagrisuRuré, le» différente» opécatien» dû' côncoàrâ de Beauvaf» sont réglées ainu qu’il suif ':

Le samedi 4 i juin, -t-t Réceptimi des-mà- chine» et instruments, de ta i t ^heures, dtt matin é deux heure» de lla p ré s^ d i.

Classement et m o n ta i ; i .Le dimanche 48 juin. — ContinnatùmrdB.

la réception des machine* ef-hfsfriimèàts' et iicemiien d e r pioitai», d r 'ta ffi^m nM du-, matin à deux heures de l*apréi-i&idi.

Le lundi 46 juin. — Contiamitioa, de la . réception de» prOdoRs, de huit^henrés du matin a deux heùrés d.e Tapfés-n^di..

Lemardi 4 7 juin. — Odvertureduëoncours à huit heures du matin j[4).

Exposition dra m8chines..et instruments.A quatre heures, élection des membres dù

jury des produits agricoles npinméspar. les exposants. .

Le mercredi 48 juin., r - Exposition dés machines et ibstrumehts.

A huit heures du matin, opérations du jury des produits agricoles.

Réception des animaux, après la , visite faite par un vétérinaire désigné par 10 com­missaire général, de huit heures du matin é quatre heures de Taprés-midi.

A .taatre heures, élection des membres du jury des animaux nommés par les exposants.

Classement de» animaiis.-’Le jeudi 4 9 juin. — A huit heures du ma­

tin, epératimi» du.jnry.des aninmux.Exj^sitien de tout le concours.Le vendredi 20 juin. — Exposition de tçut

le concours.Réunion, a deux heures de l'après-midi,

sons la présidence du eomraissdiré générai, êtes membres dn jury, d e s 'd é iè ^ é s ^ asso­ciations agricoles et des exposants, u rp re - poser les modifications qu’il conviendrait d’apporter é Tarrété du concours de Tannée suivante.

Le samedi 24 juin. — Expositioude tout le concours.

Le dimanche 22 juin. — Exposition de tout le concours et clôture.

BXTRAITDU PROGRAMME DU CONCOURS

Ce Concours comprendra :4" DIVISION.

Les animaux reproducteurs.Espèce bovine.

4» catégorie. — Race flamande. ^ Ani­maux de 40 mois à 2 ans.

4 ■'prix, 400 francs. 2* prix, 300 francs, etc. Pour plus amples renseignements, demander le programme.

2* catégorie : Variétés dérivées de la race flamande (artésienne, .;.picarde, Saint-Po- ioise, boulonnaise, maroiïlàise, etc.).

3° catégorie : Race normande.i* — ' Race Moiitbèliard.5’ — Racffdurham.6* — Race hollandaise.7* — Races suisses ttchetées (fri

bourgeoise, bernoise et analogues).,8* catégorie : Races suisses bruncû' wlLwitz

Appeaizel et analogues). - ,- 9* catégorie : Races françaises im .é m n - gères non comprises dansTescatéghries déjè

Scrutin sur la disjonction de d ’amende­ment de M. Gauthier (de Clagoy), relatif anx récépissés de déclaration de candida­ture, ét ainsi concu : .

Smf en cas de mnliiplicité de- candidatures, le Préfet ne peut refuser de délivrer è un candidat le récépissé définitif de sa dédaration. - '

Pour l’adoption.. 295Contre ........ 217

La Chambre a adopté.Ont voté pour : MM. Baudon, Chopinet,

Noël et Rendu.A voté contre : M. Gaillard.

Scrutin sur Tàmendement de H. Louis Martin (Var) è la proposition de loi ton dant à la répression.des fraudes électorales,, et ainsi rédigé r

Ajonter anx pénalités , édiétées par Tarticle uniqne : c et de la privation de» droits oiviqnes pMidaàt tue d i ^ dc;ds^ à cliiq-]i^ ».

uo ■' ' 'C o n tre . , , . , ; 239

Prix d’ensemble. "Trois objets d’art pourront être décernés,

si ie mérite est jugé suffisant, anx ensembles d’animaux que le jury resonnaitra leS ’meil- leurs.

Le premier sera attribué au plus bel en­semble d’animaux des i» et 2 ' catégories (race flamande et variétés dérivées dé la race

amande);Le second, au plus bel ensemble d’aitimanx

des 3* et 4* catégories (races normande et de Montbéliard) ;

Le troisième, anx animaux de 5 ', 6*, 7* et 8’ catégories (races durham, hellandaise, suisses tachetées et suisses brunes.

Espèce ovine.4'■catégorie: Race mérinos, mérinos de

TIle-de-Frànce, du Soissonnais et de la Brie, mérinos de la Champagne et de la Bour­gogne.

2* catégorie : Dlshley-mérinos.3 ' — Races françaRes diverses.4 — Races étrangères & laine

longue.5‘ — Races étrangères à laine

courte. 'Tons lés animaux devront avoir été ton­

dus depuis quinze jours au plus. Une .mèche de iaine devra être laissée derrière Tépauie gauche.

Prix d’ensemble.Trois objets d’art seront décernés, s'il y a

lieu, aux ensembles d’animaux des races ovines désignées ci-dessus que le jury re­connaîtra les meilleurs parmi ceux présen- tés î

Le premier sera attribué aux animaux de la 4 '■ catégorie (race mérinos) ;

Le second, aux animaux des 2 et 3* caté­gories (dishley-mérioos et races françaises diverses);

La troisième, à ceux des 4 et 5* catégo­ries (races étrangères è laine longue et & laine courte).

Ces ensembles d’animaux devront é|tre composés de trois miles (.deux anisnàis.et un adulte) ét de trois lots de fèmellës (dèuX lots d'antenaises et un lot d 'adulte^ de mémie race, nés èt élevés chipz Texpiosant.

Espèeeporcine.. 'r Les animaux expdsés devront être nés

avant le 4^'novembre 4904.]4' catégorie : Races indigène» on croisées

entrlrelle». | .2 catégorie : Races étranjgères q n . ^ i -

sées entre elles. ■ . .c i- i ' ï3‘ catégorie : Croisements divers éiilrd

races étranjgères et races françaises. : à J ? ':sPrix d’ensemhle.

Un objet d’art sera décerné, si le mérite est jugé suffisant, à l’ensemble' cT an im ^de race porcine des prèmiér» sous-seetiens que le jury recoimaitra la. meilleur pmnti ceux présentés.

Ce lot devra ètrë composé d’un mile e t de trois femelles de mémo race, nés et éle­vés chéz l’exposant,

Objet d’arti Un objet d’art on une somme de 300 fr.

sera décerné, ^ i le mérite èstjègé suffisant; i celui des animaux des deuxièmes sous- sections (petite culture) que le jUry receh- naltra le meilleur parmi ceux présentés.

(^ë.iéicoÉm ensr prixtat^R^dmi» m sectien où Tanimal aura été

de ou isf^H r.Chaqnëlot dè «èiq et poffië cmaproadraun

m ife e t au niéins deux fcfllffilIe».,Ponr les

? B ^ s ^ P ^ 'f i m e l le ; '4>* catégorie : Aviculteurs d^rofossloit et

éleréifrs amateurs.-n Bàca èeâeoûpicàrde; raêë"tr« Crévécôeur; : rmie eombattantë du Nord; race de la Bresse; race des Ardennes; raceâuH eudan; races françaises diverses ; race daCMmpinoL race ceuceu de Matines ; Taca;.dë Langdiam; races étrangères di- versM.

2* catégorie : ^ rienlteurs exploitant 30 hectares et an-dêssUs. — Coqë et poules; dhadons; oies; canards; pintades; pigeons et lapins.. 4Q médailles d’argent; et 45 mé- dklles dé bronze sont mises i la disposition dà-jory. ' ■

3* catégorie : Petits cultivateurs propné- tiires; métayers ou termiersn’eAploitant pas nu ne possédant pas en tont^as-jle 30 hec- tarës. ' .

Coqs et poules, dindons, oies, eanardg, pintaaià, pigeons et lapins. '

viHne-sommé-de.200 francs, 4iO médailles : d’argent et 45 méiteilles de bronze sonti mises i la disposition du jury pour être dé-! cernées, s’il y a lien, aux méitleurs lote d’animaux présentés.

Prix d’ensemble.Un objet d’art pourra être décerné, si le

mérite est; jugé smlsant, dans chacune des deux- premières catégories, au-meilleur en- ' semble d’animaux de basse-cour présenté.

Objet d’art.Un objet d’art eu une somme de 450 francs

pourra être décerné, si lé mérite est jugé suffisant, au plus beau lot présenté dans' la troisième cat^orie (petite culture).

Ces prix ne pourront être attribués qu’au­tant que les animaux qui en sent Tobjet seront nés chez Tei^osant et auront été élevés chez lui.

SERVITEURS RURAUX Une'sommé de 500 francs, 6 médailles

d’argent et 40 médailles de bronzé seront distiibuées anx gens a gages signalés par les exposants exploitant 30 hectares et au-des­sus, pour les soins intelligents donnés aux animaux primés. : ; -

Une somme de 500 francs, 6 médailles d'argent et 40 médailles de bronze seront distrihuéer aux membres de la famille et aux domestiques des exposants exploitant moins de 30 uëctarés, pour les soins intelli­gents donnés aux animaux primés

2* DIVISION Machines, instruments agricoles, lés mo­

teurs à alcool et appareils d ’éclairage et de chauffage utilisant Tàlcool dénaturé, car­buré, etc. Les appareils producteurs d'alcOol industriel, les appareils mis eh mouvement par ies moteurs exposés, etc.

Les machines, instruments agricoles et les moteurs a alcool et tons autres appareils admis a figurer au concours régional ne se­ront ilobjet d’aucune récompense et d’aucun classement.

3 DIVISION Produits agricoles et matières utiles

à l’àgriculiure. :Exposants producteurs; concours spé­

ciaux.4n catégorie : Fromages de Brie, Conlom-

miers ; façon Brie et façon Coulemmiers, etc. ; fromages de Gèroméÿ-Hflnster, Void, Lan- gres, Troyes, Saint-Fiorentin, Rollot, Ma­roilles, etc., 2‘ catégorie : Beurres de TOise, de la

Soiame, de TAishe, du Nord et du Pas-de- Calais.

3* catégorie : Beurres de Normandie.4* — Miels, cire et hydromels.5* — Cidres de l’Oise, de la

Somme, de l’Aisne, dh Nord et du Pas-dé- Calais.

6* catégorie : Cidres de Normandie.7 — Eaux-de-viè de cidre.8*. — Produits de l’horticulture et

de l’arboriculture.9* catégorie : Conserves de fruitç et lé­

gumes.40<-catégorie : Exjpositiohs scolaires.44» _ Expositions collectives faites

par les sociétés, syndicats et comices agri­coles et bortieoies.

42* catégorie : Produits divers non com­pris dans les catégories précédentes.

43 catégorie : Produits divers de l’Algé­rie et des colonies françaises.

44* catégorie : Produits de la petite indus trie rurale.

Pour avoir des détails spéciaux sur les ca­tégories et sous-catégories énoncées au pro­gramme.arrêté par M. le Ministre de l’Agri­culture, les exposants peuvent demander le programme complet et les formules de décla­ration an ministère de Tagricuttare, et dans toutes les préfectures et sous-préfectures.

La Société d’agriculture de l’arrondisse­ment de Beauvais se tient a la disposition des agriculteurs et des exposants pour leur envoyer le programme avec les formules de déclaration, et leur fournir les renseigne­ments dont ils pourraient avoi^ besoin.

Pour être admis au concours, il faut en faire la déclaration au Ministère de l ’agri­culture, a Paris, avant le 3 mai prochain, dernier délai.

tenrsd’abatteirs, na C!oDgrés régional, séns iû pfésidanse d’honneur dû M.. Baillet; d» B e m a n i; iegnnd;promotenr do Tetgaaisà- mm du service dlhspect^vrétérinairè dkns iss-abettoirsi.

DneCttamission eM nemméo-pênr s’oo- cdpof d» cotte erganisatieni ello so compou du Bareati de la Socié té e t d e M. . Andrien, vétérinairedépartemental.

Lû^nestion du cencours de maréchalèrié esMisartée.’-'--iiï---'

Une discussion s’engqe ensuite sur les raeyens.^ employer pour exciter les con­frères a assister plus assidûment anx séan­ces. Finalement, il est décidé qu’-nno'somme de 56 francs sera utilisée chaque année é l’acquisition d’un lot qui sera tiré A la der­nière séance d a i’année.

A chaque séance, les membres présents recevront an guise de jeton de présence, im ticket qui constitnera un billet de tombola.

M. Cagny rend cempte des fêtes qui eut su. lieu a Rouen, à propos âii 'cinqnante- nsdie de la Société vétérinaire de la Seine- Inférienre et de-TEure.

H. Boucbet présente A ses collègues un cheval atteint d’actynomicose de Témoluse. : M. Cozette termine la séanée par ans in­téressante communication sur l’emploi de la mélasse et des phosphates dans l’alimen­tation des aniihanx.

(11 Les drdts d'entrée, donl le ^modede iieréeptlliD auront, dté srréiés'___eommissàira zData da -MP-îdllrtLserom perçus s m la direction (>xelndve du eom miteMregjMrM et MpriHItdeM ville. ;

EB*flét, si eatb i»H M d8i^ eammant vou­lez-vous qa’avar paiMBaMttnatte ikûuisa» se fiUre esabauehw eem teï^m ter wuaewiûiDe

vous voyeztent le p m q u peut tfrw dofait là C em p a^ fpneranaw, qui pomra

maladie ehrsalqù i laquelle la blassd étati stdat. Daue, cela na la regarderait pins.

Enfin, pour mon o a îi i^ VMS ma làitas rioler la seerst prefe8SioDaai.m-.VMa lùïxnetaÈÀ-des ennnis''avec la faaàlllé du Massé, la n’ai pas à insister, et ja suis persuadé d’avaaca qu’ayant appréele, tons las motifs qui ma foat aw , vous n’hésilerez pas i me dealer pleine sa^aotion. ' VenUlez ereire, cher Hensiear, è mes SMti- ments bien dévoués;

D’ A. Ddbxau.

C h a m b r e d e C o m m e r c e d e B e a u v a i s e t de- l ’O is e .

Avis attx Commerçants et Industriels de l'Oise.

Il arrive souvent que des négociants et industriels, désireux de se créer des rela­tions d’affaires avec notre colonie algérienne, hésitant avec raison à confier leur repré­sentation au prainier venu.. Et pourtant leurs produits pourraient, dans bien des cas, trouver un débouché im­portant en Algérie, où Ton préfère de beau­coup, aux articles étrangers, ceux provenant de la métropole.

Le Syndicat commercial algérien, créé depuis nuit ans pour la défense et le déve­loppement du commerce et de l’industrie, croit donc faire csuvre utile, en sé mettant è la disposition de ceux de nos compatriotes qui désireraient installer un représentant én Algérie.

Cette association syndicale est/divisée en seize groupes, dont un, le sixième, est com­posé de représentants et voyageurs de commerce d’unë henbrabilité au-dessus de tonte discussion; -

Elle s’engageA donner une suite immé­diate aux offres de représentation qui lui seront adressées- directement a Alger, au Palais consulaire, où elle a son siège social.

- ■ -

. À .( te r f^ V e x 's â e ç t l i s .Ca n tin es scm A ïaE S. — Les cantines sco­

laires dues a i'iuiiiative privée ont fonc-, tieuné dans les deux Ecoles maternelles et les deux Ecole» primaires de Jeunes filles pendant les hiéis de décembre, jauvier et février.

Le repas misÀ la disposition des enfants était composéÀhaque jour d’un potage et d’un plat de viâude avec légumes.

La dépensûs’est élevée, pour 7.824 repas, à environ 4.759 francs, le prix de revient de chaqùe r é ^ se trouvant a peu près de 0,23 centimes. !

Voici un apwçu approximatif des princi-

Epicerie.î î i ......................... 440 fr.Bonlangerié....................... ..... 390Lj^umes.:.:;............ .................. 440B oucherie ............................. 570Charcuterie !. ............... 200

De plus, le Conseil municipal ayant re­fusé de participer a la dépense, il a fallu payer 60 francspour la cuisson-des aliments ét a peu' prés;!360 francs pour l’achat dumatériel, de tables, bancs, assiettes, etc.

J l . Thirioa! ayant pris à sa charge las dé­penses pour.lès deux Ecoles maternelles, soit 590 francs,:et les parents de quelques éléves'ayant ddiiDé une somme dedSO francs environ, il reste à payer .4.250 francs. Celte dépense a été! soldée par une dizaine de Senlisiens amr» de Tihstructien.

Nous espérons quüls renouvelleront leur tentative Thivùr prochain.

Bruit et iàdage. — Procès-verbal a été dressé contre la femme L... pour bruit et tapage injurieux sur la voie publique.

Si ? .O b je ts fERDùs. — 11 a été perdu une

montre de femme, en argent, de Sentis a Yillevert. Prière de la rapporter au Commis­sariat de police.

■ ;■/ *- * *

Objets TBOùvds. — Il a été trouvé, le ' 20 mars, i une blague contenant dn tabac, et déposée au Commissariat de police.

♦■ Nous apprenons qne le commissaire géné­ral du concours s’est rendu dans notre ville le 7 mars, et qu’il a visité l’emplacement dn concours avec le maire de la ville, le pro­fesseur départemental d’agriculture et ies représentauts des Sociétés d’agriculture et d’hortieulture.

Le commissaire général a trouvé l’empla­cement très beau, et s’est entendu sur tous les points avec TadministralioU: municipale.

Aux agriculteurs de notçë beau -pays, nous dirons : < Préparez-vous à venir exposer vos prodnits, le résultat de,vos travaux, pour remporter les médailles et le» récompenses que vous avez si bien gagnées. »

15.

E te riic i-v il d e S e n t i s du iil au 22 mars 4902.

i - Naissances.Màùriee-Edmond), place dè la Halle,

Décès.30. Colas (LncUe-Ernestine), sans profession,

15 ans; S rue du Cimetiere-Saint-R'eal.31. Bimdin.fCharlés), tailleur de pierre, 53 ans,

7,rneBrilon.Pùbifcations de Uariages.

(Néant).; !: Hariagesr

Entre Charlès (Georges-Lonis),. oondnetenr- mécaniCién; demeurant i "Senli», et de­moiselle..! !Lemoine>. (Hmià-Rosalie); sans professten, demeurant, à Sentis.

21.

'S o c i é t é v é té v i a a & e d e l ’O is e .Les vétérinaires de T(}ise se sont réunis

dimanche deriiier A Cceil, comme noos Tarions annoncé. Après un déjeuner au buffet de la gare, la séance s’pst ouverte THôtel-dè-Ville, A deux heures; sous la pré- sideuce dè M, Chantareau, vice-président.

Etaient présents : MM.,Chantareau et De- campeaux, de Clermèot; Caghy et Bricaire, de Sànlis ; Andrleu, de Boanvais ; Boucbet, de Creil; Detemarre , d’Acy-en-Multien ; Cozette, de Noyon ; Conrsin, de Font-Ste- MAxence.

On procède tout d'abord au renouvelle­ment du Bureau, qui se treuye composé, pour 4902 et .4903, dè la façon çhivanté :^ Prdridost.'M.Chantareau.

Vièe-^ésident : M. Boiicbet.Secrétaire général : X . Camj. - r - -

Seo'étaifsJ^.iéasicts t U . m l e ^ , s'occupe ensuite dû i Concours r ^ o -

Bel, e t i l est déetité que iûSociétèseréünfR Afléaarita.lAjeiœ es-îpassam dmuiiiri ' animaux ét qu’elle om n iw ^ û aceD rd avec le Byndicst «nttral dès vétériMires intpw-

C « » i'F eB p b h d à iieé rNous' recevbhs dé Thohorable D'Bureau

la lettré sûivuito, qné nous publions très folontiers :

Sentis, 33 mars 1803.Mon çter Monsieur,

je me:vois dras la nécessûé de vons prier de vouloir/bien'apporter cette reciification A Tsr- ticle qui a paré dans le Courrier de l’Oise da 30 mars,àn sçÿt .da nommé Bseaflls, ouvrier èonvrenr, loaibé dn toit d’nne maison et trans­porté A THÔplti 'eù fai été appelé i loi donner nms soins. \ ,

Dans pét artirie, vous metprétex des affirme- ti'ôns qùT m’ofi» fort surpris, jé vous l’evone. Voici ce. q n e ^ lis .D’après. Texamen duD* Durean, Beânnls est àtieint d’éifilepsie, et-e'-st une crise de.-^m alqiti aMPséM âiote. ». Or, Jamais, je i%ft'*i ,vnn pareil langage,qai serait en cppoationiarmelle avec mon sen- fiaeat, car je: soutiens, an contraire, que. cet hoimnenla n teeu . d’aHaqae’‘d’mepsié,!Si'les

M. Chenevard, maréchal des logis-adjoint au trésorier A Beanvais,^ ancien brigadier de gendarmerie A Sentis; est inscrit an tableau de concours pour la médaille mili­taire é i 4902.

Avis.A u4■'avril, par suite d’agrandissement,

la B lenohiseopia L einé-D iivivler seratruisférée 2, rue Saint-FAieone, Sentis.

le offre une’ella sejt rencuiepearleUNie.

P o l i c e co F p ee tio im e lle Me SenU ûiAudience du 47 mars 490S.

Présidence de M. F aisa n t , présidant.M. MEüSNisa, substitut,

. occmpe la siège du ministère public. Chaînant. — Revenant des courses de Nice, le

37 janvier dernier, le Sieur Webb (Georges), Agé de 34 ans, piqnenr an service dn baron de Eorest,4 Chamant, a voyagé et fait voyager quatre pale- freuiers dans un wagon-écurie, de Nice A Maçon, sans s’étre préalablement mnnTdeAMllets. Ayant en la visite d’un contiô'ear en gare de Mioon, il fut gratifié d’nn procès-verbal.

Il est condamné à SO francs d’amende,Creil. — Naze (Lonls-Charles), 33 ans, ma-

nonvtier, a été trouvé en état d'ivresse snr le pont métallique de Creil. Cneilli par denx agents et le brigadier de police Vignon, Naze a outragé ces représentants de Tantorité, qui le recondiS- saient i son domicile.

Il s’entMd octroyer 16 fr. et 5 fr. d’amende. Cripy-en-Yalois. Le 9 février dernier, plu­

sieurs Belges, qni se trouyaieot dans le débit dn sieur Fanvet, s étant pris de querelle, forent in­vités à aller s’expliquer deho-s. Vers minnit, denx d’entre eux, les nommés Van Lancker et Socle, s’en retournaient chez leur patron, qnand ils terent suivis et rejoints par leur compatriote Craëge (Harcellin), âgé de 37 ans. (îe dernier étant parvenu à terras^er Van Lancker, le frappa et, d’un coup de dent, Inl coupa la m^tié os Toreille droite; le morceau de cet organe fUt re­trouvé le lendemain matin snr le lieu de la lutte.

Le nommé Craëge, qni depnis s’est réfugié en Belgique, est ooLdamné par défant à trè&amris d’emprisonnem-nt.

— Le Tilbnnal réduit à 50 francs d’amende la peine de nn mois d'emprboanement prononcée par défant, le 17 février dernier, contre le nommé Vant ssH (Emil ), 31 ans, mauonvrier à Crépy, pour coupa portés au sieur Dnconseil (Charles), de Creil.

Etatigny. — Bonvrande (Victor), dit Débats, âgé de 39 ans a formé opposition à deux jnge- mei-fâ par défant, d;s 3 et 10 février, le condam­nant pour ebasse à denx peines de quinze jonrs d’emprisouiicméDt et 50 francs d’amende.

Le II ibnnal rédnit chacune des peines à huit jours d’emprisonnement et 50 francs d’amende.

Nontataire. Le jétme Bonrat (Pierre), âgé de 13 ans, poursuivi ponr bleesnres par Impru- denes â son camarade Denève (Joseph), âge de 13 ans, est acquitté comme ayant agi sans discer- nement, et remis â ses parents. ~- _ Nagent-lee-yïerges. —Le 10 janvier, le nommé Moreà (Louis). 47 ans, manunvrier à Nogent, a voyagé sans billet de SainMost à Creil.

Cout : 16 francs d’amande.— S’étant présenté en état dlvesse au débit

Gabriels, à Hontataire, le 3 février dernier, le nommé Viilain (Loms), âgé de 33 ans, fut mis A la porte. Mécontent d’un semblable accueil, Vil- lain a brisé denx carreaux.

Il est condamné' pour bris de clôture à 16 fr. d’amende, et pour ivresse à 5 francs."Pontpoint, — An mois de juillet dernier,, an cours d’une discussion qu’il avait avec le sienr Gasten (Ernest), son beau frère, le nommé Du- chauffonr (Haxent), âgé de 69 ans, a porte â eelnl-ci plnsienrs coups de piel violants, dont l’Un ini a cassé Tavant-bras gauche. Duehanffonr prétend avoir sgi,en cas de légitime défense, ayant été frappé le premier par Gaston.

Le Tribunal le condamne i 100 fr. d’amende. Saint Firmin. — Venn â Sentis à i’éceaslon-

dn conseil de révision, Delagrange (Henri), âgé de34ans, ayant avalé de nombreux petits veraes, éifrouvàle besoin, vers six heures du soir, d’aller faire ime visite à la gendarmerie. Vu son état, il fut sppiéhendé pour être conduit an poste, mais DAagrange résista violemment aux denx gen­darmes. qni durent req'.éhr l’aide dn sieur yieury (Heari), afin de hisser Tirasdble iv n ^ e sur une voiture A bras, pour pouvoir la trans­porter an violon. Pendant le parconn, /Déia-t grange envoya des coups de pied anx gendarûies Barbat et Caron, ainsi qn'an sieur Flenry, qui.fat atteint à Tœil ganche.

Delsgrange est condamné A un mois d’empri­sonnement et à 5 francs d’amende.

Saint-Leu A! Esserent. — Delaplaee (Léon), âgé de 33 ans, manonvrier A Saint-Len, est condamné, pour violences exercées sur le sieur Crausaz (Pierre), à 50 francs d’amende.

Saint-Ûaaimin. — la 35 janvier, le nonmé Pinçon (Léopold-Lonis), âgé de 43 ans,' a été surpris dans les bois, dn baron Gnstave de Rothschild, portenr d’un fnsll et de trois faisans.' Coût ; trois mois d’emprisonnement et 50 fr. d'emende.

— Pour avoir brisé le cadenas qui fermait là grande porte de l’habitation dn sieur Rnsé, débi­tant A Saint-Maximia, ' le . nommé Boaéhtnet (Paul), âgé de 37 ans, èarrier, est condamné A 16 francs d’amende.

Senlis. -^ Surpris par-les gàrdés Spfnks et Hergie, tirant-sur des faisans dans les propriétés du !> <ron de Forest, A ' Chamant, dans la soirée dn 18 jmvi-r dentier,. Pouillard (AchilleX âgé de 34 ans, est condamné A deux moi» d’einpri- sônnement et 50 francs d’amende, et son Acolyte

, riiomas (Angnste), âgé' de 33' ans, A 16 francs d’amende.. ■ ' ' ; !

T'râcemy. — Le nommé Lepage (Jean-Bap- ’ liste), âgé de 53 ans, manonvrier A Ihi'vmny,

est condamné, pour .tm .de frimier an préjndlee ; de là dame Henzet, de MëUo, A16 fr. d’amende.

ASSORAHl^eBlIlOUSI-iiEà G oiiiî& E io'e •- G krÔ le

Compagnie d’assurances A primes fixes FOKDéB EN 1879

CejDDqtagniè d'assnnnees contre V tw m dis FqHDÀn EU 1819

i-oai-i'""

8*M"

I_ ta . P x ^ s e x r a r c à t x r â o o Compagnie d’assnranoes contrôles àeeideittt

Fosnûn EBt'1861

BoEn

liàirè

;Bni Nens

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Page 3: JO U R M A L Le Suméro : S «tnihnflg^ G. VIXLAV La m ibmsenlis.com/data/pdf/js/1902/bms_js_1902_03_23_MRC.pdf · al d* plma droit jasqu’A réoeptios d'avis oeottaira. SenSs, l»

• t l e d i e .

'iîË T ’çwl« B ie p » i^ , j ;

Lm*e BtHiion, «u to m û w jictor Touner.

M A R G H é d e S E N L I S. nn^iÙBDI Î8 HABS 1902

, D.^I6^AT10N . b ^ GBÂtys ;

PrixÂnlOOkU.

Feidia»ISiwt.

Fiix : Se rïMt dàHnalHBi,

Frommit.< 2" —. t (3 ’ -

S e ig le .:....,,,..,Avoine,i| y

20 75 19 75 '.8 75 15 »» 22 10 » 60

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du 15 au31 mars-.Blanc... 0.33 le k. Bis-blanc 0.30 —

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du (^ntBii de CreiLL’pnrirttm da Cereleda «aatsii d« C r^

Mtfixée aa Maidi-t^ATcUnochain. T.*in«n. gnratibii Bont lien p u l u u n q se t do it le prix, est de dnq Crânes et aaqnu les indtés des abonnis seront admis.

Ce banquet sera donni an Baffet de la Care lo.Dimanehe 6 Arril, et les personnes qai disireront' j assister deTront faire par­venir lenr adhésion & 11. JoUiet, an Buffet de la Gare, te s inscriptions seront ieçues jnsqn an i Avril inclnsivemeit. - '

. NoBs approaèns qnoMH. Dnrand friies, les honorables iodusiriels de Croil, intentent une action en diffamation an jonriul soda- liste U Tratài{leûr, quU avait accuUli trop i la léc ite les ineptes calomniée de onelane maleontent... - .

Paiine : les 100 kllog. 29 f. »s. — Sans variation.

x o n n id çHiunwiüt ÎÉi^■ ■ Samedi 'A M e a Im ' '

co rn u e dram diq ii en 3 aeteis dp TE; S toe .:Pariajéusè, dtantée! par M“* BaTmende. *

IT fin de siècto.- S*aete : t e Disertwir. " /S* acte : t a Pieuvre.In spectacle cenunencero par

B d i i i i e n td t^ ~ *• ' e? «n Acte tto * iPria ordinain dés places.- :

. . . ■ L ■ ■■■ Fausneï-a'liérdnl. -. ' '

Dimanche- dpramrj vers hbit ken m -e tf d e ^ , Une épaisse fumée se répandait sur le Jen de Panme et dans la rue KatiOnale, provenant d’nne maison ed était antrebis leprovenam q une maison a* était antrobh le ^ S é ttb r W rénddtAeslÔBpère ponralte

k j . I ''*î* - Batis, Oncrut d’abord i mrincendie^ de Pean^ il étslt pérteiir îia. deéx lûéü' I **• i^ r i i s s’ap-: fit la-renwmtn, d u s là i

BARBERYH. jffereier, commis de S* classe des con­

tributions indirectes à Barber; (rafBaerie), vient d’ôtre éleVé snr place à la 1” classe ne sen'nadé.’ - . • ■

CHAflANT Par décision ministérielle du 45 mars

4908, M. de Fry, colonel du 10* régiment de çnirasders, est nommé adjoint au général inspecteur général permanent des remontes. 11 continuera de compter à son régitnenf.

t e colonel de F r ; a été commandant an 8* cuirassiers, é Senlis. U est le gendre de M » de tavaulx, de Chaînant.

Croil). t e ■ . par souscription organisé i .

a l’oceasion de cette-fëto d é 'biénIai^hrô.. aura lieu bdtel du tion-d’Argent, nlaixén' Dnrand, 406, rue dela Bépnblique.-

Poûr paraitre le 45 avril.

La Loi martialeD A N » L .A C O L O N a ; D U C A P

PENDANT 1901 par M. Fr. UACKAmESS

AiMi que nous l’avons ahnoncè,' c’est „ , „ maiB:dimanche qu a hen la féte éivanisée j D rë tid M ^ ii à sortir las«omib» ' nnand'iln

,*** ■ * I s’aperçut o t i t e inm ie provenait tont sin^ :plement de 'cè 'qué dans'Cetté maison don; , brdlait.des résidus de vieilles ânaassureset' l de papier. i t : ■'

Aooidént gravei.Dimanche âërnièr, M. Moi^auxTidlslié

1 ancien perçeptenr de Ciépv, était en pro-, menade vers les bains.de H. Pillan, tenant son jeûne enfont sur le bras, lorsqu’il butta et tomba si malheureusement r a i l se cassa la jambe. Quant an bébé, il en a été aiiâte pour la peur. '

H. Moreaux a reçu deÀnite les soins né­cessités par son état; actnellement il va aussi bien que possible.

dansnadattoé- te^N rioIften^fK

m m m o : Suffi pteam

i . i — »M»K---lons ilss.anga- g ^ t à voter nonélL A n i^ ^ te m ’etc...

rssUtAsl’sriteb «1 oôggiça dans lés teémes' tmBM,, toqi6ars le ménsoag«,'tonionr8 la éa-

H à rien do teri dans tont-MiMt, enriom te te qm eoBaene las.^«iwps daptéiig donnés, aneon mcideàt n’ayant en Men'dads l’étabHsso- m en td é^^ . , , : \, le secràdvàèle, sans signature-et sous '^MS'é-^*’**<afil^«a(«oiuilisf<s, et qni débute

•, «^1^ .amis de I t Audigiar oennnneBt leurs latesspgressiens ». ete., été. Ciéns nous dewmdpns ponrqnoi le nom de l’himorablê M. Aungiw est m tlr i èe récit), le jenrnaüde Ciépy £SS A sa façon, d’une r i » survenue a Bétbisr le dônanclMkS mars eoBnnt, et dans laqnelteses ands knraitet étd’riMiiaes.r

feassensperaienronade rétablir lesilàits tels se MBt paSséedans cette affaire., l

rasteemneni, ee -jour-là,-vers sept heures et dente du soiTiJeffli^d’im eonseillérimiUcipal de

séànx

N tiets |e iiB ^ te < ^ sedalistes, dont lé piésidèàu Ces. jeante fsrdes étuntaient, eonimè I l ’erdl- nairb,; nne teSàsen révehulennaire. .En rensan -

ra n te nommé Frédéric BtetteoL égé de At«mi,.bommrâter».^veMt le^teahver.’et; sa^ansraevteeteeatiaB , e’w tjeté an rlu i,'

& e o ^ poiogAtu^ii-^tti^ 1# W ^ ^ ^ ^ h a q t e teU n e t essateut même

Cette scène’ a te it comme témoin là can­tonnier, M. Blei Hébert, âgé de 3 i âBs,"qni, a rr in n t'an secèterS ,de M, Garé, a constaté

^qn il a n i t la flpire tout en sang, et on’il swgnait aussi du peUt doigt & chaOTê “ “ “>,*]tesnres qiu, du reste, ont éiâ aussi

Wadarmerie deMéru.^ Blondel prétend que, en passant en face de chez Inij M. Garé Pavait traité de fai­néant, volenr et assassin.

Precès-verbal a été dressé par la gendar­merie.

CtelMBLY^ Par décret présidentiel du 3 mare, H. Pm I Cotsl, seteenëde résesve, a été nàmm* e f^ ie r d sdministntién de 8* classe du cadre auxiliaire dd service de l’intendance mihtaire.

Nous sommes heureux d’apprendre qne le Tonring-Club de France, sur la proposition de H. Crété, conducteiir-voyer, vient drac- corder nn secoure de 30 francs à H. Vidal pére, cantonnier de la ville de Creil, qui fut transporté i l’hOpital, il y a environ trois mois, â la suite d’nne fracture de te jambe.

L’assemblée générale de l’Union des Em­ployés de l’Oise, aura lieu demain dimanche, à trois heures de l’aprés-^midi.

L’assemblée sera précédée d’nn déjeuner amical. -

Nous rappelons à nos lecteurs qne l’arrété

Aooldant du trayqil.Mercredi dernier, M. Jolivald, âgé de 83

ra f, garçon charcutier chez M. Vancanvan- beighe, s'est J)lessé an pied droit en saignant

, ^ . —.w.. , nn porc. Une assez forte hémorragie aétantEdité au ppofié des Œuvres Boars, par | F®'' 1® 13 courant, prescrit I déclarée, il se rendit chez M-Massean, raar-

■■ ■■ ■ M £ 0^ . I de temr les chiens enfermés. 1 maeien, qpi lui donna les soins que iteces-' I Tim .nAmniMtAaiSAa ... ^__ I aîéA«0 .am Ae.A . * .le Comité pour i’Indépendance < 47, rue Taitbout, Paris.

P R I X : 1 F R .

Conseil de RéTision.C s u ito n d e N e u U ly - e - T h e l l e .

AJOURNÉS DE LA CLASSE 1899 Boran, — 81. Tranchant Victor, boa.Frottis. — 34. Roisin Auguste, service anxl-

UMre.AJOURNÉS DE LA CLASSE 1900

Chambly, — 40 Boutililer Eogène, bon. — 66. Warlaumont Iréné, bon.

Cj^-ke-UeOo. — 45. Tantôt François, bon. — 70. Legros Léon, ajourné.V Ç^ouy-en-Thelk. — 81. Ligoerenx Gaston, bon dispensé.

Ereuit. — 61. Vaast Louis, ajoarné. LeUemü-Saint-Denit. — 18. Rosals Matbu-

rin, ajourné.BeuiUyren-Thelle. — 65. Breton Henri,

ajourné. — 78. Anger Joseph, ajourné.VUy-Saint-Georgii. — 76. Ogez Engéne,

exempté. ' • ’CLASSE 1901

Balagny-tur-Thiram. — 55. Le Bozee Louis, bon. — 42. Foornier Paul, ajourné. — 31. Le- flan Jean, ajourné an 3 juillet. — 38. Leroux Féla, bon.- — 66. Philippe Vves, ajourné. — 51 Pooqael Gaston, bon. - 67. Higaui FlorentiD. bon. — 21. Talon Gabriel, bon. — 64. Tassart Franeu, bon.

Belle-Eglite, — Bertboin Gustave, bon. — S9. Blanchard Maurice, boa. — 9. Galette Félix.bon. — 62. Lamone Eugène, bon dispensé. —4. Le PezronJean, bon. — 2. Mandard Louis, bon dispensé. ’

Boran— 1. Galland Eugène, bon. — 45. Gos- selln Anatole, bon. —13. Marais Jules, boa.

Chanibly. — 27. Bonvalet René, service auxl- uauB. 40. Grognet Fernand, bon. — 60. Lou- vel. Edouard, bon. — 70. ULilebled FmiHen ajonraë. —12. Saint-Aobin Maarice, boo.

Cùres-lei-Uülo. - 22. Bellicot Alphonse, ajourné. — 37 Bongoud René, bon. — 57. Bre- bant Hoche, bon. — 43. Carpentier Anatoi*, bon dispensé. — 8. Despret Joseph, bon. — S8. Dn- teurget Eogène, boo. - 61. Dobourget Raoul, bon. - — 69. Fienry-Lonis, bon dispensé. — 49 François Alfred, bon.. - 7. Gérin Alphonse; ewmpté. 14. Leichtman Louis, enctué volon­taire. — 41. Lesagi Henri, ajourné. — M. Men- nesier Louis, engagé volontaire. — 36, Piocon Joseph, bon. — 32. Ponce Léonce, service auxi- haire. — 25. Verlet Joseph, bon.

Crwy.en-TMle. - 72. Baohevillier Augus­tin, bon. — 74. Lamonche René, bon.^Keudonne. — 6. Coureol Louis, service aaxl-

Frcttis. — 53. Degand Emfle, service anxl- haire. — 79. Girard Léon, ajourné, — 60. Harlé Parles, service auxiliaire. — 3. Mansard Eu­gène, service auxiliaire. — 73. Masse FéUeieD. “ 1J5PÎ;?- - , 36. Mignot François, bon dispensé — 33, lampUer Vincent, bon. - 59. Vandrobo- îjoiM é^ e«mpM- - 77. Vassenr Eugène,

foulangue». — (Néant.)Freet^-en-Thelle. - 26. Polie Jean-Bap-

tiste, ajourné au 3 juillet. - 64, Sellier An- goste, b9B.v l* ^«"G -Foini^B is. - 19. De Jongbe

u’ ~ Arthur, bon. -Omeiz Moïse, bon.Mf^anglet. — 16. Demazière Joseph, service

auxiliaire. — 58. Entem Albert, exempté.Neuüly-en-Thelle. - 17. BiUeeoq Eugène,

bon dispensé. - 46. Boulet Victor, bon dis Dsmouy Armand, bon. — 95.

p’Halleine Auguste, bon. - 23. Dubois Victor, bon. - 78. Oranger Pierre, bon dispensé. — 34 Mayérus Edouard, bon. - 47. Mignot Raoul, bon. — 39. Morancy Jean, ajourné. — 80. Omeiz Emile, bon. — 5. Pardoux Antoine, bon. — 52 Saleitin Louis, ajourné. — 68. Vaast Gaston, exempté. — 65. Varé Fernand, ajourn — 18 Varé Léon, ajourné.

Pumux-le-Bauiberger. — 75. Delahaye fienn, ajourné.

m iy-Sa in t-^ges. - 44, -Chartes Gaston, bon. — 30. Gonuer Gserges, exempté. — 24. Grévm Emile,-service auxiliaire. — 76. Maillard Ateiandre, ajotumé. - 11. Petit Dériré, bon, - 71. Sauvai Zéphir, bon.

De nom breux personnes se sont vu dres- I ser contravention pour avoir confrevonn â

cet arrête.

Le sieur Billard (Louis), garçon boulanger à Senlis, à la suite d’une discussion avec un ' cocher, a porte ie différend devant M. le Commissaire de police, qni iui a dressé une contravention pour ivresse manifeste.

sitait son état.

voliiu^ il ftt. jnamiè'bCterôteetTrappé par deux 6sa jsuims gurdes, le troisième étahinresté A'

4-éeWtr '*-' -

I® flls da conseiller se défendit, tesihg eodla.' un dés jénnes'gsrdss fat-rhlessé a t e ^ d a » te.bagatre, aiuri qm le fllsidn coBr sellier, w journal de Crépy a oublié, aveC inteu- tion, de faire cimnMtre ce dernier détail.

Cessent là, sanetaneun 'doute, des âioses 're- 3 * 3 ^ % à qui la faute si elles arrivent ' panois. SI nos trois jeunes gardés s’étaieat oon- tentés de crier leur ohansoiL sans provoquer per­sonne, cette bagàrrone se serait pas preduite.

Nous comprenons parfaiteinent pourquoi le journal dé Crepy s’biinûesse-inRérer tentes ces mto^es : c’en dads lè''M^de::diseréditer notre Comifé. Hais qifil le sache bien, cela ne prendra pas aBéthisy-Saiat-Pierre. Car ici lés jeunes gens Mrienx savent birà oU se.trouvent les hommes d ordre etoU sont'les autres.-

~ Le CmÀti de laFatrie franfaiee de BUhxty-saint-Pieire,

U est question de former uiie Société vé- loeipédlque-A Béthisy-Saint-Pierre. Une céotÿeii préparatoire aura iieu demain di­manche, 83 mars, à trois heures de l’après-

Lmuli,aalte Tourneur. - |-Les promoteiu's de cette idée senti MM.

Chorea Charles,. Pieire Regnault, [ Louis

Tentative de auieide. Le même jour, une dame X.j â la suite

d’nne scène de ménage, tenta dé se suicideren avalant doux verres de pétrole. Le D' , ---------------- ,r .« .= « « u .u ii , i.»»» ■ - ~ r — .ç ^ u x , appelé, Im aadmimstrd na vemi-i- I Dufour, Grossier Anselme et Hazard Théo- I sympathie, ttf et ia malade est maintenant hdrs de dan- dule. , i r ____

I P o n t-S & in la - iM fljrA n n Aaux Œufa Heuges; place de l’Ancien-Etang. • J U M e H C e .

A ChamMy. est -fila de_ M. Cotel, (^ c ie r supérieur en re­traite A A gnetz.^.t, - - V.

GIRÉS^LES-MELLOLOS courant, vers le'soir, les époux Jur-

tiu Maihèra. jardiniers, demeurant A Vil- ietlnj. écart de Cires-les-Mello, ont éprouvé un commencement d’ihcèndie, par suite de 1 ®xplosion d’une lampe A -essence déposée sw 1 appui d’une çhemihée. Lés flammés atteignirent une direine de petits tahieaux,. puis des chaises, et léchèrent le plaféhd, *4 . w noiroi.tainsi que. les boiseries.

M. Mailhére ne parvint A arrêter les pro­grès du sinistre qu%n jetant snr le feu des effets qui furent en partie consumés.

l e tout, heureusement, était assuré. Les pertes sont estiméeà A 300 francs.

ERCUIS ■Dimanche dernier, a-eu lien le concert

vocal et instrumentel organisé par la Com­pagnie des Sapeurs-Pompiers, en i’honnenr de leurs membres honoraires.

Cette féte de faaiilie, parlicnli réussie, a obtenu le plus vif succès.. . frafure d’Ercuis, très bien dirigée par M. MoUhn (Théodule), a briliamment exé­cuté les pltis beaux morceaux de son réper­toire, et tes autresiparties du programme n ont pas été moins appréciées de l’assis­tance nombreuse que M. Aiiné Toussaint, le chef dévoué de la Compagnie des Sapeurs- Pompiers, a remercié de sa bienveUiante

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S adresser, soit en personne, soit par cor­respondance, à Beawait, dans les bureaux de la suMursale, S i , rue <f Amter», -* Join­dre timbre pour réponse.

I U o m p le t o n P a r d e s s n a â g f ■ o r m e s u r e " H 1,

I Robet et Manteaux t P rix modérée.

MONTATAIREM. le Maire de Montataire rappelle aux

intéressés que c’est le 86-courant qu’aura lien la clêture de la vaceination opérée par M. le docteur Costes.

Avis aux retardataires.

HOGENT-LES-VIERGESLe conseil mnnicipàl se réunira en séance

extraordinaire, le mardi 85 courant, A une heure et demie.

L’ordre du jour est ainsi fixé :1.’Etablissement du rôle supplémentaire des

eostributioBs.2. Proposifions concernant la Caisse des écoles,3. Dwande du soutiea de famille Durupt.4. Affaires diverses.

THIVERNYNous apprenons le décès de M. Fleury

(Lonis-Ferdinand), propriétaire, conseiller municipal.

H. Fleury est le beau-péretie M. Grison- Flenry. le sympathique et distingué maire de Thiverny. - - .

Nous adressons, en la circonstance, aux familles Grison et Fleury, l’expression de nos plus sincères condoléances.

M. Déquenne ^rmand-ClémMit), conseil­ler municipal A Thiverny, vient de recevoir de M. le Ministre de la Guerre, la médaille coloniale avec agrafe Tunisie.

Gfépy-en-Valois.Confiponoe do M. G. Audlglop.

M. Georges Audigier fera demain di­manche, A trois heures après-midi, une conférence publique an théâtre de Crépy.

La Commiaaldn d’hygiêno.^ Commission cantonale id’hygiéne de

BETHISY-8AINT PIERRELk éleetpurs de M. Çhopinet,

On nous écrit :Une bagarre suivie de coups s’èst produite

A Béthisy. ie mardi 44 mars courant, Tour de la révision A Crépy-en-Valois.

Il était cinq, heures et demie du soir. Les conscrits, précédés dten tatebour et d ’une grosse caisse^-passaient dans le quartier des Forges, où se tronve.la recette buraliste.

Un livreur de la maison Bailly; de Crépy faisait viser ses Acquits an bureau dé régie. Il sertit viTemènt et pria ^lim m it les conscrits de cesser dé battre leuira caisse et grosse caisse, afin de ne pas éffrayer son attelage et pour éviter des accidents.

Mal lui en prit. Plutôt qne de cesser leur tapage, l’uU d’eux, .le nommé Caron, dit c Bonnecasse >, lui demanda si c’est qu’il voulait un coup de batte de la g^sse cafase

On conseHia an livreur de tenir ses ch»; vanx, ce qu’il fit. Mais ce n’était pasflnl * A peine était-il remonté dans sa voiture, que les nommés Bochartl et Manchamé (ce der­nier président de la JiUnna-Gardei socialiste)s’élancèrent après la voiture, insnltéreDt le livreur, le firent^éscendre de ran aiteepais, aidés de deux autres copates- iei^nm -més Caron, dit c Bonnecasse », déjà nomma et Choron, dit < Tiot Frère »; qui étaient accourus, ils se jetèrent sur le m«ttw»Brm livretir. qpii fut roué de coups de pied et de coups dé poing. T

Grâce a l’intervention de courageux ci­toyens, qid asristaient A cette scéné de sau­vagerie, notamment le facteur’Pinel, MM' Beaudequin-Carôn et Caron-Hazard, lé li­vreur put être délivré des mains dé ces for cenés; sans cela, it ne serait pas remonté dansMTéituré.

Ce bel exploit accompli, ces jeraes gens, loin de se calmer, sé mirént A criér A piain» poumons : < A bas l’armée I > ^

Pour être juste, nous ajonteréhs que, le même jour, dans plusieurs établissements-et

.même dans les rites, des cris seinbtebles ont été proférés par certains parente de -ces jeunes gens. On a entendu crier'; « Vive l’ananÿie! A bas i’armée! Vive Ik révolu­tion sociale I Le partagé 1 le partage | »

Ce sont tous ces braillardsrlA iqui, aux élections prochaines, voteront pour le dé­puté Chopinet.

Son journal s’est bien abstenu de relater tous ces scandales, qui éccsurent la popula­tion honnête de Béthisy-Saint-Piefre.

On annonce l’installation, peur dimanche, du théâtre Gap. _

RU8SY-BEM0NTM”* Duvivier, A Vaumoise (Oise), a ob­

tenu, au concours' de fa Mode pratique du 48 mars 4908, un premier prix de cent /rones, pour un col-empiécement ea' nan- souk et dentelle Renaissance combiné avec un geùt parfait et exécuté arec une réelle habileté.

Nantduil-levHaudomn.Conférenee de ffi. G. Audlgleip.

M.;^6éprges Audigier fera jeudi 87 mars, A h ^ h e u re s et demie du seir, une confé- reni&piiblique, dans la salle de M. Beau- }àr^aNantettil-le-Haudouin. k

Les oantennlers.Les cantonniers du canton de Pont-Ste-

Maxence ont déposé entrefes mains du con­seiller général du canton une pétition, signée partons ces modestes fonctionnaires,.pour demander que la rétràite des cantonniers dM chemins départementaux soit égale A celle des cantonniers de l ’Etat, et pour de­mander aussi que ielir retraite soit mainte­nue dans toute son intégrité, lorsqu’ils Tiennent Aperdre leur femme.

H y a iA certainement une injustice que le Coijseil général aura A cœur de faire dispa­raître. '

M. Mérot, gendfflme A Poat-Sainte- Maxence, est inscrit aii .tableau'de conceurs pour la médaille militaire en 4 908.

B ets.ACY-EN-MULTIEN

On nous écrit :Nous avons en, mardi dernier, A huit

heures du soir, la conférence de M. Faisant.Nous admirons son talent oratoire, mais

malheureusement pour lui, la plus grande p r t ie de nos concitoyens sont déjà fixés sur le choix du candidat A élire, qui n’est pas celm qubn pense.

Il a eu deux contradicteurs absolument désopilants, et nous apprenons au dernier moment que le plus agressif dès deux vient de faire des excuses A M. Faisant: c’est un comble.

En résumé, bonne réfféation.' ünéleetmr.

l ê Consëïrmunlcipal d’Ac;-en-Maltien a lionué nx vTls^^aTohible aux Steon dû Saerê-CoBur d« yétos.

Crépy s’est réunie, samedi matîn, A dix heures, Al’Eôtel-de-Ville, sous la présidence de H. Chopinet, maire.

Le Président a déclaré installés MM. Lanné, Sagny et le D'Cailleux, nommés par décret j du 34 janvier, et leura souhaité labienvene.

Puis .le bureau a été renouvelé. Ont été nommés ; vice-président, M. Sagny; secré­taire, M. Petit. » >

Le président soumet ensuite au Conseil une demande de M. Boishardy,.qui voudrait installer un dépôt de peaux et chiffons au hameau de Mermont, maison Hazard.

Da nombreuses protestations ont été dé­posées A la Mairie contre l’insiailation nro- jetée.

Le Conseil, copsidérant que l’établisse-. I ment e s questkn serait situé dans une - agglomération de nombreuses fantillee.d’ou- vners et pourrait leu> être nuisible, prenant en Gonsidéretlon les nombreuses protesta­tions qui se sont produites, émet, à l’unani­mité, un avis défavorable.

Saint-FranqoisrX aviai-.Dimanche dernier, au Vieux Château, a i

eu lieu l’Assemblée générale des membres de la Société de Saint-François-Xavier; il y avait lieu A nomination d’un vice-président et d’nn membre. iî

M. Cardin A été nemmé vice-président en remplacement de M. Dupas, décédé.

M. Boiu*gouin a été nommé membre.

tM électeur indigné. '

Correepondcmce. BétWsy-Saint-Plarre, le 20 mars. _

Monsieur le Rédacteur en chef de Courrier de V Oie».

«J?*? serions bien oblû^ dünsérer la 1*“*®. * 6®®* sriieles parus dans fejouraal de Crépy, le premier, dansaonjunnéro'

du 9, et le second dans celui du 18 mars courant.Dans le prrmier article, .sons la'sianainra

« Piédenez i. Ooli nom), et sons le ütre : nofionafsstes, ce correspondant dit : « oro î^n . prochedes élections affole les bons na tiw iili^V

Pois il raconte qne plosieors consommateurs

d es

ou une décoration d’injtérieur d’une coupe irréprochable, d’un cachet Parisièh'ët à bîèû meil-

. leur marché, ^

Notre correspondant nous écrit :f .-ÿ’anrais voulu vous envoyer un compte­

rendu de la conférence faite samedi derirar, A Nanteuil, par M. Faisant, devant un audi­toire, clairsemé et indifférent; mais c’est assez difflteile... .

< J ’aime mieux TOUS résumer l’impression générale : U a beaucoup parié pour né rien dire - - et ma vieille expérience du pays me permet dé vous affirmer qu’il n’a pas dù dé­placer une seule voix, n i d’un côté, ni de

vilaptre- » , :On voit .que M. Faisant produit à peu prés

partout le même effet.

Le Conseil munieipal de Nanteuil a donné nn avi® favorable aux Sœurs dé Saint-Ji»eph deClunjLqui y dirigent l’externat, l’école,1 hospice et i aSile de Nanteuil.

Lundi dernier, ont eu lieu, .an milieu d une nœnbreuse assistance, les obsèques de M. FnCBçois-Snlpico Delacour. décédé A râ»d»69 rans.

Nous'.offrons A sa famille nos sincères CQpdOléances.

ERMENONVILLELe Conseii munieipal d’Ermenonville a

donné u n ' avis favorable aux Sœurs de SaintrAndré gui'y dirigent un nenrionnat et une école libre.

N cu illjr^ -T h elle .BELLE-EGLISE

Coups, bleeeuree et morturer.Ces jours derniers, M. Constant Garé,

.é de 47 ans, cultivateur, se trouvait déns les champs, an lieu dit ia<Hantoi;BorBè. lors-

u h b o n m b b iljé r .d é f ^ h a m b f è ^ . c o u c h e r , d e fS a lo fte , d e

h m M t t g e r o u d e JR if - #c« sé i, s fù ip le , c o n fo r ta b le o u ^ b e , d ’u n e fa i^ ic d t io n g a ra n t ie e t à d é s p r i x . d éH an t io u té c b n - c u iT e n c e ,- j

Vendredi dernier ont eu lieu les obsèques de M. Duvivier, empioy i A la Compagnie du chemin do fer du Nord, décédé A Crépy le mercredi précédent.

VOUS; ______ - t a p is s ie r de p a r is niÎRICANT Ge m e u b l e s

I Q . R u e x a u G h a t e u , a S E i N L i l s— - (rn fexe la C aim d'Épargrk) '

et vous .sérez entièrement satisfait.

RHUMATISANTSGOUTTEUX ET ARTHRITIQUES

et (cas les malades qui souffrent da pou- leurs, Niciraigiei, Gracelle, Lumbago, Co- liquee hépatique» et néphrétiques, Atthme, Maladies du Fote et des Reins, et qel veu­lent être guéris redioalemené, oatintérêt a lire cette lettre — une des nom­breuses lettres de félicitations qui arriveat jonrnéllament A M. Malavant — et qui at­teste l’efficacité du Traitement du Char­treux dem Marieè Elle est écrite sous l’uifluence de la reconnaissance et du désir de faire le bien t

Le 26 février 1902. Monsieur Halavant,

Je sius si satistait dds'résultais obtenus par lumpléi du Tpaltoniant du Chartreux dom Maria que je vous demande de vouloir bienrenouveler ma provisioB.:Ci-inelas ié monumt. =^ Tont en m’applaudissant du soulagement qne j'éprouve, ja.' regieite de n’avoir pas connu ce prèclenx remède plus tôt, ôàsJe soiffiTais depuis dix ans quand, il y à six mois ennren, je me snis décidé A:l’employer;'Depuis cette époque,, je ne souffie plus et c’eet la première période de six mois consécntifii que je passe sans avoir A subir d’arrêt dans la marche. Cette attestation confirme cebe que je vous donnais dès le débnt de mon essai du Traltémsnt du Chiirtraux dom Mai'la, le SO octobre 1901; je vous auto­rise à ta publier, comme la première, dans nn bot humanitaire.

Eu me comptant parmi les- plus fervents apôtres de voU'e souveraine médication, veoiliez agréer, ete.

Abbé VmoT, curé de Saint-Geogonz-le-Natlonal

(Saône-at-Loire).Le _ TPdltemsiit du. Chci-traïux dom .

MupIo guérit toujours; il ne peut pas avoir 'd'insuccés, car il s’altaqa.e. A H racine même du mal; il tamise le saag, délrait et expulse l’acide uriqoe qui estiegerme de la maladie.

Le 'Traitement dis Chartreux dom Marie est un composé de plantes dépura- tives absotluùieùt inoffensives ; il s’applique A tons les âges et ne nécessite aucun change- fflpnt dans le régime habituel du malade.

' Demand-zà M. Malavant ia brochure de 45 pages sur le Rhumatisme,, tes Néoral- gies et ies Douleurs, etlé vous sera envoyée gratuiiem entr Prix du Triltém ent du Chartt’eUxt 8 francsjl franco 9 fr ; Dépôt général, à Paris, pbatiÇLàcié M auvanî, 49. rue des D eü x ^n ts . .Exiger le flacon dans

. nne bpllej le tinibré blèli de l’Etat français et la «igoature Dom Marie pour éviter les- contrefaçons. ; ' . ;

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n .o m stseU td 5 s r lit Gie•t ®Plïï2“'’*®‘ »?h>risée par le Conseil d’Ktat. et par Décret résidentiel du 18 décembre 1895.

fonctionnant sous la surceiUanee directe et effective de fEtat,

Constitution d’un Capitale, d une Dot ou d une R an ta v iag ê ra .

par versements' depuis 5 fi*. p a r m olê.

Adresser toutes demandes de retiseisne-

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Nous apprenons qu’une cinquième et der­riè re répartition pour xolde êtrb faite'^ .entre les souicriptenra pour l’étaUiseemrat- dn réseau téléphonique de CompiUÉne-SanlIs (l^rHrêpjf ^

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Page 4: JO U R M A L Le Suméro : S «tnihnflg^ G. VIXLAV La m ibmsenlis.com/data/pdf/js/1902/bms_js_1902_03_23_MRC.pdf · al d* plma droit jasqu’A réoeptios d'avis oeottaira. SenSs, l»

'fÿasâsÊim

' gbootet'AlrôHXlR

S lf i^ lU lB A8BI6fttl

I iM AeOeiaairM <• I> kmMrfiBt le U DittDlarie

t le Berber;, eoBt coBToqols:-M^LMM^Ue gteinle « rd & i^ le trtiM Àforü n ü neuf ettU le ta ,

g,à :d*M hm rts pridet*. à Btilwri (Oiie).

Alt. S.« " b e i o u JIOtAllB ,

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w j j « le sêlit-Mélw, i* 10.Swe>léH-tiniiix

POUCBODT, BOteire i Crépr*eB*Taloii.

yuff «mit* XiioitettMi*. • ’IMI

X C A J S O Z < 3 ’A ItSAOE'OE eOMIIERBESbe i CBÉPT-ra-TAlOIS,

PUoe iB PaoB, B* U, th u amplement dti^pUe ei-aprit,

ipO nni'M ta i tuR eom. _

A sèiêlié,lrEt;Ken]SQI.' ,» (B l:a 0 1 i» > .

S « N |U ir4 .roA rm m pêu fU trm m in tÊ m U :

i* A M*iiâiAin>; «Vraii ^uUs, yeaw ^eBtletjme;^ >

r A a* lA lS^B ID tX , AToM iSeoUs, piieaBt àU'teBte;

3* A a* pn.t.gBom r. notaire t Cr<iiy-en-Taloie, llpoiitaira I i M' hier les diff|es.

Pour Inurtien : (8ign<)6. aOKAMB.

*6a«PSM aOEANB,l i e ^ l es droit, sTOBd i SsbUs, n e Saint-maire, a* 10

■■ZiBU, Mtaira ' Bets.

L’aljnlieatioB anra lien l a B liu m tsd ie r l i i g t A tb U

1 deua hsNres de rsIsoM,Bn l’Etade et par le aiinisthre

la a* PiLUBOtn; notaire à Crepp* en-Yalois,

conunis h cet effet.

Bb exéeotion d’na jogeaieBt cob- tradktotreBHBt rendà par le T m ap i citil de première instance , de mbus, Ifr^igt-Beiif Octobre ndl aenf cent

' u i earefisBd;, Ht anx requête, penrsnites et diU-

geaces, de : aaïame absïs ChsfdeTille, proprié­

taire demearaat à Pont-Andemer, veuve de a . PerdinaBd-aatttve Le- vaillant, Powsaivant la vente

Ayant a : Georges Morand, ponr ftYO'Hié collstiftl , dôittwrEDit a SonuSp rae S^Vffîiaire, waméto 10;

En présence, on eux dûment ap pelés, de :

Premièrement. — a . l’aM é^nis- Engène Péret, vieaire-génèral hono­raire, demeorant à Evreia, rue du PoBt-Hotre-Same, numéro 8,

< Agissant aunom et comBie • -• faisant fonc-

Y E ÎT E SUR LIO TA TIQ N• I : r UBB

l Æ A J i S O M ^Faimmt autrefoie parité

d’un eorps de firme.Sise A d ^ n A rsY tlie (Oise),

sur le bon de la graille rente de Goadreviile,

'■ » V » 0 '

eiPMMtanMt «I MpandanMS,! S* n t l Aurài

A Æ i b J i B p r a 'Faieant autrifbii partit du mfme

corps de ferme.Sise à «O ND tinUS,

■va* ' ' ■ erpoanatanaea et Dlpandanaaa

3* IT DH . -JA R D IN VËRGÇft

Sis terroir de «ONDREmLS, D’âne eoBtesanee de 23 ares A3 cent >

enviroa,IR TROIS LOTS

MEC niULTC DE REttlIOl PêlTIlUI : OH TOTêLE

Vadjadicatien aura lien 1« D lm s ta e h e t S A Y rll

l» O S ,1 itne heure de releeée,

Ea la Mairie de GendrevUle, Par le tBiaistère de B‘ aézriaa,

V notaire è Beti, eomaüs è cet effet.

fadreeeer pour Ut renseignemente 1‘ A M‘ aOBAMS, avoné à Senlis,

prârsnivaat la vente ;3* A a ESCAYT, avoné à Senlis

présent à ia vente;3* Et è M' afZIÉKE, notaire

Betz, dépositaire du cahier des chat' ges.

B tnéideïl h « » X Ki»T, aveté à-Sams, 7, ina dé; TMsiriatt.

. snei^.de ^DûtstfaB'-

' ^ ' o H ”par aaîte le eataté fiBÉstiliière'

CJiie Pièce de Te>reEN NATURE W Pût

sise eommnne^ NORENT-bER-TIERRER

eséBtànleCreii(eise), VadiBüealeB sort Msn le M n r é i

X S M e m 1 8 0 X ,Aeure de «lidt,

l a randieace des criées dn Xrihanal dvii le première instâee le Senlis, an Paûu de Jnstiee le ladite ville, me de là Bépnbhqne.

S’adresser pattrlee remeigneminti,; ' 1’ A a* V K X Tt, avoué à Senlis,

penrsaiTsat la vrate;^ r . A M‘ BlADCHAliPS, notaire k

Pont-Sainte-Maxsaee.3- B A a- IHOIXB, hnissiar

Crsi

. lions 3ê tatetr de : 1* MaU' tt rice-Louis Levaillaat ; 3' r né-aatie-André Levmi ..€ 8 'é t RobertpEetdmsad-Gns- V tave ievaillsBit, eaftats im-.« aeurs, issus dn mariage dr « la requérante avje a . Fer- « dinand Gustave Uvaülant c son défunt mari, aeinmé I « cette fonction par délibé»< tien du conseil de faaulie « desdits ntinenrs, teane sons € le présidence de a . le luge ( de Pdxdu eanten daCrépy- « en-ValoU, da vingt-quatre « Août mil hait eeat quatre- s viBgt-dix-nenf,eBregistréc>;

Présent à la vente;Ayant pour avoné eonsttné a*

Sainte-Beuve, demeurant à Senlis, rue de la République, n’ 17;

Deuxièmement. •“ Et a . Jnlien- Charles Fiohot, prineipai clerc de no­taire, demeurant à Crépy-en-Yalois,

g Agissant au nom et comme « snbrogé-tntenr_ ad hot des ( mineurs Levailiant, sus- c nommés, nommé a cette< fonetioB par délibération dn « eoBseil de famille desdits « Buaears, du quatorae Bé- g cembre mil neiUF cent nn, f enregistrée ; a

n sera procédé, le Bimtneht vingt ic r il « il neuf cent deux, à deux heures de relevée, en l’Etude et pM le miaistère de a* Piliebout, notaire à Crépy-en-Yalois, commis è cet effet, à la vente sur licitation, an plus offrant et dernier enchérisseur, et è l’extinction des fetix, de l’im­meuble dont la désignation sait :

d b s i g n a x i o r ina l’im hbubli A'VBBSBB

l i n e M a ia o n , A usage deeom m eree, sise à Crépy-en-Yalois, place du Paon, comprenant :

Au rez-de-chaussée, grande pièce servant de salle à boire, arriMO-bon- tiqne servant de salle à manger grande pièce è feu par derrière ; pas­sage sur le côté conduisant de la me à la cour dans lequel passage se trou­vent l’entrée de la cave et del’esca- lier conduisant aux étages supé­rieurs.

An premier étage, deux chambres à feu Mlairées sur la me, chambre mansardée, éclairée par an châssis sur ia cour.

Grenier au-dessus couvert en tuiles dans lequel existe une chambre man­sardée.

Cave sens ces bâtiments.Cour derrière dans laquelle une

cuisine, buanderie, hangar, poulailler et lieux d’aisances.

Dans cette cour existe ua pui­sard.

A la suite de cette cour un bâti­ment è usage d’éeurie et cellier, sé­paré en deux parties par im par­paing, avec deux chambres au-des­sus dont l’ime est éclairée par une fenêtre sur ladite ooar et l’autre est éclairée par une porte-fenêtre ou­vrant sur la première chambre, gre­nier au-dessus couvert en tuiles.

installation peur l’éclairage par le gaz et ponr la fourniture des eaux par la Vule de Crépy (étant ici expli­qué que le compteur à gaz et les lyrae sont la propriété de a . Déi lut, locataire).

L’ensemble tenant d’un côté

M“ eooPsaa MORAND,licencié en droit, avoué è Sealis, mé S'-Hilairc,a‘ 10 (sue de a* Levieuz)

IIEZIERI, notaire Betz.

* Lems E8CAYT, avoué è Sentis,?, n e de

Ettdcs de lOlleÿrt; - TOOBTOAB, notaire i

Neniily^-lhelle.

^ C B Sens bénéfice d’inventaire,

n i : im

Sis à HBIIIhLT-BN-T9ELUE, ea la rue de Croay .

L’adtndicatfoa anra tien la lianéll' sapé Avril 190X,

i deu» heurts de relevée,Ba l’Etude et parlé ministère

de a* louiTiLLB, notaire à Meailiy- ea-Ihelle, ’t

commis à cet effet. f adresser pour ùs renseignements

1’ A a* Louis BSCAYT, avoné è Sentis, poursuivant.la vente;

S* A N' TODRinXE, notaire Beuilly-en-Thelle, dépositaire du cahier des charges.

Btade de BI* V I É N O T , louirt i Clèriaoit (Oise).

. K « 0 U E lË.

F B Fd e tlSO h ec ta r e e

d’un seul txbabt Aveo Bena BAIImenia,

Dans le canton de CLERMONT, d proximité de trois gares.

Reprise facnltatlvs de l’amontemsnt

Vanclier; entOtide msÿm, péù riViira, 'fftélots, déi» a . n é sâé dé' tintVats, uaA vôléo paleitBicni .é(%t « fer, qtisrfre'fèéu cldréai-'è BNisWB.,' - ■ ;

QBafre hamaéRom^ts Ÿomid^ •a eà^rapon,'deéx'’l)ficd>es, trmnr eu lér'et en.'Cordes, guides - en .cidr, tieoEs,daax lanternes d’éctirie^'har- hottoir on tôlé talvMiséo,%B Imrhais de caïrielet, cage è poulets, bois herses en hois, ime bascule de 600 kDos, dn ronleaB on deux pièces, un tarare, due breuAte è grains.

Dné btmne carriole avec ses eor- aiehés.

M àrêhnhmM ,Environ 60 qniatanxde pomiàés do

terre aaneisses, chAsies et classées pargroésenr. ^ e s seront voidiiei aaqniilital pew.;

3.000 rotiBS «iviroB.SGOboutmllesds Champagne, 200

antres divers.Grande thble awjén masra .è « x

railenges, aae armoire portos pleines ea aUne. s a l ^ , Ibameauj blee, bidet, pots A astensilcs divers et débarras.

Et quantité d’antres objets.

Bapeeaaéiiia^ Rii Gemptnnt^

On péurra «isiter le BimaneKt dans la miUinie.

c o iH M u iic j ie yÉA A ltsEtude de M' DANGER, notaire

è Lonvrés.A i X D J U G E R

La DIMANCHE 6 AVRIL ID02,•à heures.

Es la Éairie dé Témars,BBB

l i l S O N B O U R G E O IS EA V E C i dÀ R i>H H

Sise à VdMARS, . sur ia piaee do l’Eglise

(ancien tflégraphe)

Mise h prix : ^,000 fr.

tITBiE EH je in ^ U E DE SDin

S’adresser, è la aairie de Yémars A à a ’ Dakobb, notaire.

S’adrAser audit a* YIENOI, notaire. e n

Btadcs de

F tt s ^ d’wcsptatiea hénélsiairei

U N E M A IS O NSise A GONDREYILLE,

surlehorddelagranderoute nationAe de Paris â Maubeage,

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Sis à GONDREYILLE, dans une cour commune appelés

Saint-Martin,'h t

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d’une contenance totale do 3 h e o t , 6 9 a r e s 5 8 c e n i ,

ES OSZS LOTS ente famlté de réunion partieUs

ou totale.L’adjudication aura lien

la D lnaaaiclsd t r e ia a A w i l 1 9 0 9 ,

A uns heure de relevée.M m la Mairie de Goadreviile,

Par le ministère de M* Mézièu', notaire à Betz,

commis à cet effet. S’adresser pour les renseignements.

1’ A M‘ aORAND, avoué è Sei^, poursmvant la vente ;

3* Et à a* aÉZIERE, notaire à Betz, dépositaire du cahier des charges^

a .Gtegaé e ta . Constantin (mur mitoyen avec eeliii-(ti), d’aatre' côté a . Guil- loa et Madame Caillienx, d’ira bout par derrière è M. Cahit, A par de­vant la place dn Paon.

M I S E A r n t xEn outre des chargM, elaases et

conditions énoneéA an cahiA des chargM, dressé p u M' PUlebont, ao- taire è Crépy-ea-Yalois et déposé en son Etude, où -toute personne peut m prtôidre connaissance, l’immeuble ci-dessiis dÂigné sua mis en vente sur la Biise a prix d e , ônq millefrancs,,flxéepMlejn- H O O O frgemeA précité, « . . . .v i / v n .

Etude de a* SAINTE-BEDYE, avoué i Senlis.

N 7 - I B s a * ' c p s aaux enchères,

D' UNE MAISONSise A BARBERY, |

en la rue de la Haute-MaisoniL’adjudication aura lieu ;

le D iia su ie lsa 8 3 M w re 1 9 0 8 , I

à deux heures dê relevée, I En la maison d’EcoIe deBubery,

P u le ministère de M'Pam, not à Sentis.

radrisser pour lesrensngneme^ts : 1’ A M’ SADîTE-BEDYE, avoué à

Sentis, poursmvant la vente ;2* A a* PETIT; notaire à S e ^ ,

dépositaire dn cahier des Aiuges

. Brade de a* s a ih t e - b e d t e , avoué à Sentis.

Y IN T Ï SUR UCITATIONn’URi

P R O P R IÉ T ÉSise à RULLY,

en la rue de Chamiey.L’adjudication aura lieu J

la D lanaB cha t I s e * A v r i l 1 9 0 8 ,

d deux heures de relevée, i Ea la Maüie de Rnlly,

P u le ministère de M’ Petit, notaire â Senlis,

commis i cet effet.S’adresser pour ke renseignemente

1* A a* SAINIE-BEOYI, évoné à Sentis, poursuivant la vente; j

S* A a* MARTIM, avoué è Sentis, présent è la vente; |

3* Et â a ' PETIT, notaire à Seiitis, dépositaire du cahier des chuge^.

Grand Im nrab lB In dustrie l1 nagé do-

Y Ë R R Ë R I ESis à LONGUEIL-SAINTE-MARIE.

Mise è prix : 3Q.460 fr. A adj. Au­dience des criées du Tribunal Avil de (kimpiègne, 9 Avril, d midi, S’ad' i a* aânécBAux, avoné à Compiègne

m toA iren -

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