Jahresarbeit zum Thema: «Le système scolaire français en … · 2008. 4. 16. · Französisches...
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Jahresarbeit zum Thema:
«Le système scolaire français en comparaison avec le système
scolaire allemand et la contemplation des expériences des
élèves d’échange»
„Das französische Schulsystem im Vergleich zum deutschen
Schulsystem und die Betrachtung von Erfahrungen von
Austauschschülern“
im Fach Französisch an der Freiherr-vom-Stein-Schule in
Hessisch Lichtenau
Fachlehrer: Herr Boder
Cordula Langer
08.05.2005
7
Inhaltsverzeichnis
Vorwort ……………………………….……………………………………………….. 2
Le système scolaire français
Explication du système scolaire français ………..…………………………….. 3
Débat: Aller à l’école à trois ans? ……...……………………………………… 7
Sondage d’opinion: Y a-t-il trop de pression en maternelle? ……………...….. 8
Das deutsche Schulsystem
Erläuterung des deutschen Schulsystems ……………………...…………… 10
Das französische und das deutsche Schulsystem im Vergleich ……………… 16
Fragebögen
Fragebogen …..…………………………………………………………….… 19
Auswertung der französischen Fragebögen …………………………………. 20
Auswertung der deutschen Fragebögen …………………………………….. 22
Eigene Erfahrungen eines achtwöchigen Schüleraustauschs ………………… 24
Nachwort ……………………………………………………………………………. 27
Anhang ……………………………………………………………………………… 29
8
Vorwort
Von Anfang an haben mich das Schulfach Französisch und immer mehr die französische
Sprache sehr interessiert. Bei Schüleraustauschen nach Frankreich lernte ich den Alltag und
das Schulleben kennen. Dabei fielen mir teilweise große Unterschiede der Schulsysteme
auf. Durch intensive Gespräche mit Lehrern und Schülern der beiden Schulen „Valentin-
Traudt-Schule“ in Großalmerode und der Schule „Gaston Bonheur“ in Trèbes, reizte mich
immer mehr diese Beobachtungen genauer zu hinterfragen und festzuhalten. In dieser
Jahresarbeit an der „Freiherr-vom-Stein-Schule“ in Hessisch Lichtenau findet dies nun
Anwendung.
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Explication du système scolaire français
Le système scolaire français est organisé centralement. Ça veut dire qu’en France tous les
programmes scolaires et tous les examens sont les mêmes. Il y a cinq pas essentiels dans la
formation scolaire français:
1. «École maternelle»
L’école maternelle est un mélange du jardin d’enfants et l’école préparatoire. Ces écoles
sont gratuites (d’après une autre source les parents y payent jusqu’à 4040 euros par an) et
les élèves y vont de 8.00 heures respectivement 8.30 heures jusqu’à 11.30 heures et de
13.30 heures jusqu’à 16.30 heures. Les élèves de l’école maternelle ont deux
respectivement trois ans jusqu’à cinq ans. L’école maternelle se compose de trois cycles: Le
premier cycle s’appelle «la petite section». Ici, les enfants ont deux à trois ans et le
programme essentiel de l’après midi est de dormir. Le deuxième cycle est fréquenté par les
élèves, qui ont trois à quatre ans. Ceux-ci jouent beaucoup et ce cycle est appelé «la
moyenne section». Et «la grande section» constitue le troisième cycle. Les enfants ont cinq à
six ans. Leurs activités principales sont des préparations pour «l’école primaire» (voir «école
primaire») et les enfants reçoivent un bulletin deux ou trois fois par an (voir la présentation,
qui se trouve à la suite de ce chapitre).
2. «École primaire» / «École élémentaire»
La scolarité obligatoire commence à six ans. L’école primaire dure cinq ans et les élèves de
six à onze ans y vont. La première année s’appelle «CP». L’abréviation «CP» veut dire
«Cours Préparatoire» et le programme s’y compose de lire, écrire et des problèmes
d’arithmétique simples. Au CP les élèves, ayant l’âge de six à sept ans, reçoivent déjà des
notes. La deuxième année, laquelle est fréquentée par des élèves de sept à huit ans,
s’appelle «CE1» et veut dire «Cours Élémentaire première année». «CE 2», qui est
l’abréviation de «Cours Élémentaire deuxième année», est le nom de la troisième année.
Celle-ci est fréquentée par les élèves de huit à neuf ans. La quatrième année est appelée
«Cours Moyen première année» et elle a l’abréviation «CM 1». Elle est fréquentée par les
élèves de neuf à dix ans. La dernière année de l’école élémentaire s’appelle «CM 2». Cette
abréviation veut dire «Cours Moyen deuxième année» et c’est pour les élèves de dix à onze
ans. L’école primaire commence à 8.30 heures le matin. À 10.00 heures il y a une petite
récréation et à 11.30 heures il y a une récréation de deux heures. On peut manger à la
cantine qui se trouve à l’école. La journée scolaire finit à 16.30 heures. De 17.00 heures
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jusqu’à 17.45 heures les élèves peuvent faire leurs devoirs pendant qu’ils sont surveillés par
des professeurs dont ils peuvent demander des explications supplémentaires, mais ce n’est
pas obligatoire.
À l’école primaire les notes sont zéro points à dix points. Dix points est la meilleure note.
3. «Collège»
Au «Collège» les élèves français ne sont pas divisés selon leur efficacité. Le collège dure
quatre ans. La première année, la sixième, s’appelle «CES». Ça veut dire «Collèges
d’enseignement secondaire», étant fréquentée par les élèves de onze à douze ans. La
deuxième année, la cinquième, s’appelle «CEG». Cette abréviation veut dire «Collèges
d’enseignement générale» et les élèves de douze à treize ans y vont. La troisième année, la
quatrième, c’est pour les élèves de treize à quatorze ans et on l’appelle «Enseignement
secondaire». La dernière année, la troisième, c’est appelée «Premier cycle» ou
«Préapprentissage». Celui-ci est fréquenté par les élèves de quatorze à quinze ans. À la fin
de la troisième il y a un brevet.
Les notes au collège s’étendent de zéro points jusqu'à vingt points. Vingt points est la
meilleure note, mais en quelques matières elle est très dure à atteindre. Si on a reçu dix
points on aura justement réussi.
4. Après le collège
Après le collège on a trois possibilités de continuer respectivement finir sa formation:
L’une, c’est le «Lycée d’enseignement général». Celui-ci dure trois ans. La première année
s’appelle «la deuxième» ou «la seconde». C’est fréquenté par les élèves de seize ans. La
deuxième année au lycée d’enseignement général, c’est pour les élèves de dix-sept ans et
elle s’appelle «la première». La dernière année de la carrière scolaire s’appelle «Terminale»,
étant fréquentée par les élèves de dix-huit ans. La première et la terminale, elles préparent
les élèves au bac (voir «Baccalauréat» / «Bac») et la fin de la terminale les élèves font leur
bac. Souvent le lycée d’enseignement général est un internat.
La deuxième possibilité, c’est le «Lycée d’enseignement professionnel» ou le «Lycée
d’enseignement technique».
La dernière possibilité, c’est l’apprentissage.
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5. «Baccalauréat» / «Bac»
Pour pouvoir faire son baccalauréat on doit choisir un de quatre «bacs»: Le premier bac
s’appelle «la littérature». Les matières principales de ce bac sont la littérature, les langues
étrangères et la philosophie. Le deuxième bac s’appelle «l’économie» avec les matières
principales l’économie, les langages et les mathématiques. Les matières principales du
troisième bac sont les mathématiques, la physique, la chimie et la biologie. Il s’appelle «la
science». Le dernier bac s’appelle «la technique» avec des matières principales techniques
et sociaux.
«Baccalauréat Professionnel» / «Bac Pro»
Au bac pro le français est déjà contrôlé à la première. Toutes les autres matières sont
enseignées à la terminale et puis contrôlées.
«Lycée» en général
Les notes, qu’un élève a reçues au lycée, ne glissent pas dans le baccalauréat, mais elles
sont enregistrées dans le «livret scolaire». Quand on a reçu le bac on reçoit une note toute
entière, qui déclare si on a réussi le bac ou si on a échoué.
À cause de l’organisation centrale tous les examens des élèves sont pareils et ne sont pas
corrigés par leurs professeurs, mais anonymement par d’autres professeurs, venant d’une
autre ville. En plus, les élèves sont contrôlés oralement par des professeurs inconnus.
Après le lycée
Après le lycée on va à l’université ou aux classes préparatoires aux grandes écoles.
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Graphique du système scolaire français
École maternelle 2 respectivement 3 années
↓
École primaire 5 années
↓
Collège 4 années
↓ ↓ ↓
Lycée
d’enseignement général 3 années
Lycée d’enseignement professionnel /
Lycée d’enseignement
technique
Apprentissage
↓ Baccalauréat ↓ ↓
Univer- sité
Classes prépara-
toires aux
grandes écoles
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Débat: Aller à l’école à trois ans?
Exemple:
Un petit garçon à cinq ans va à l’école maternelle. Il a six heures de classe par jour. Parmi
ces six heures, il y a 20 pour cent à jouer librement et 80 pour cent d’autres activités, comme
chanter, découper, coller, écrire et calculer. Il y fait aussi des jeux collectifs et de la
gymnastique rythmique. L’après-midi, il travaille dans un atelier. Il y fait par exemple de la
peinture et il y a aussi de la pâte à modeler.
L’École maternelle française
Près de 100 pour cent des enfants français, qui ont l’âge de trois à six ans, et 38 pour cent
des enfants, qui ont l’âge de deux à trois ans, vont à la maternelle.
Raisons pour lesquelles les enfants français vont à l’école maternelle
Il y a deux raisons essentielles pour lesquelles les enfants français vont à la maternelle: La
première raison, c’est que leurs parents veulent développer l’intelligence de leurs enfants
plus tôt. L’autre raison, c’est qu’ils veulent préparer leurs enfants pour l’école et quelque fois
aussi que les deux parents doivent travailler.
Sondage d’opinion: Y a-t-il trop de pression en maternelle?
Marc Cancouet (Français, professeur de pédagogie en Bretagne):
Il dit que les enfants travaillent avec plaisir. «Je ne pense pas […] que la maternelle soit
sévère. Il y a des règles, et la liberté, c’est la règle discutée et consentie. Chez nous, les
enfants sont encadrés.»
Clarisse Garlot (Attachée de presse à Munich):
«Je trouve que le Kindergarten permet une évolution plus sereine, moins stressante et plus
ouverte de la personnalité des enfants que l’école maternelle. [Les enfants] peuvent encore
profiter des quelques années qu’ils ont avant l’école.
Nadia Vogel (Institutrice française à Munich):
« […] A mon avis, le personnel [est] mal formé. Le Kindergarten n’aide pas les enfants en
difficulté. Finalement, la particularité de l’école maternelle française, c’est l’amour de la
langue et la très bonne formation des institutrices.»
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Martine Richard (Française, vendeuse à Mulhouse):
Ses enfants venaient à l’école maternelle à trois ans. «…”Je n’ai jamais eu la sensation
qu’on mettait les enfants sous pression.»
aL’Avis du spécialiste Jaques Lévine, docteur en psychologie et
psychanalyste):
«Je trouve intéressant le système des Kindergärten.» Il est contre la petite section, parce
que les enfants de 2 à 3 ans «sont dans l’âge de l’égocentrisme et on leur demande de
s’intégrer dans un grand groupe.» «Les enfants qui sont incertains restent comme ces
premiers contacts.» Il propose de créer des relations plus personnalisées, par exemple
travailler à deux ou en petits groupes.
Mon avis:
Aujourd’hui, les parents ont moins de temps pour leurs enfants à cause de leur activité
professionnelle. Les enfants grandissent dans des plus petites familles qu’autrefois. Les
parents sont souvent déjà des enfants uniques. Comme ςa, le «Kindergarten» doit se
charger des devoirs éducatifs et sociaux. Si ces conditions seront faites, les enfants n’ont
pas de peine à apprendre quelque chose à l’école. Je suis d’avis qu’il ne faut pas limiter
l’instinct de jouer, mais d’en profiter pour qu’apprendre quelque chose aux enfants, car les
enfants veulent apprendre quelque chose.
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Französisches Schulsystem und deutsches Schulsystem im Vergleich
„École maternelle“ und „Kindergarten“
Während die französische „école maternelle“ vom Staat, also durch Steuern finanziert wird,
müssen in Deutschland nur die Eltern für den Kindergarten bezahlen, deren Kinder ihren
Kindergartenplatz wahrnehmen.
Ist die Finanzierung des Kindergartens durch Steuern ungerecht gegenüber kinderlosen Eltern? Ist die
finanzielle Belastung der Eltern deutscher Kinder, die den Kindergarten besuchen, zu hoch?
Der Alltag dieser Kinder läuft in Deutschland spielerischer ab als in Frankreich. Während bei
den deutschen Kindern Kreativität durch Malen und Musizieren, Konzentration und Disziplin
durch spezielle Übungen und Spiele gefördert wird, wird in Frankreich schon recht früh
gezielte Vorschularbeit geleistet. Unter anderem erhalten die Kinder ab einem bestimmten
Alter Zensuren.
Wird in deutschen Kindergärten die Förderung der mathematischen, logischen und rationalen
Fähigkeiten vernachlässigt? Gewinnen französische Kinder früher eine schulgerechte Arbeitshaltung
und lernen sie früher, als deutsche Kinder, sich an Regeln zu halten? Lernen sie früher ihre
schulischen Leistungen zu kontrollieren? Werden sie evtl. zu früh, unter anderem mithilfe von
Zensuren, unter Druck gesetzt? Bekommen sie die die notwendige Freizeit für ihr Alter? Wird der
Spieltrieb der Kinder unterdrückt, da sie sich oft unterordnen müssen? Wird ihre Selbstfindung
eingeschränkt?
Während die französischen Kleinkinder ihren Tag bis 16.30 Uhr mit Gleichaltrigen außerhalb
der Familie verbringen, sind deutsche Kleinkinder ab mittags wieder in der Obhut ihrer Eltern
oder deren Vertreter.
Führt dies bei französischen Kleinkindern zur früheren Förderung der Geduld, Konzentration und vor
allem der Selbständigkeit? Wird den französischen Kindern das Gefühl der Geborgenheit und
Sicherheit in der Familie zu früh genommen?
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„École primaire“ und „Grundschule“
Die französische „école primaire“ dauert fünf Jahre, also ein Jahr länger, als die deutsche
Grundschule. Die französischen Kinder erhalten vom ersten Jahr an Zensuren, die
deutschen Kinder hingegen erst ab der zweiten Klasse.
Lernen die deutschen Grundschulkinder zu spät, dass Leistung bewertet wird? Nehmen sie ihre
eigenen schulischen Leistungen in der ersten Klasse noch nicht ernst genug? Werden die
französischen Kinder durch die Bewertung ihrer Leistungen zu früh unter Druck gesetzt?
„Collège“ und „Mittelstufe“
In Deutschland werden die Schülerinnen und Schüler gemäß ihrer schulischen Leistungen in
Lerngruppen (Förderstufe, 5. und 6. Klasse) oder sofort in Schulzweige aufgeteilt. Diese
Schulzweige sind die Hauptschule, die Realschule und das Gymnasium. Diese Separation
findet in Frankreich nicht statt.
Werden deutsche Schülerinnen und Schüler stärker in ihren persönlichen Fähigkeiten gefördert, als
französische? Werden leistungsstarke stärker gefördert, als leistungsschwache? Werden
leistungsschwachen Schülerinnen und Schülern genügend Chancen auf Steigerung und
Verbesserung ihrer Leistungen gegeben? Findet ein Wettbewerbskampf zwischen den verschiedenen
Schulzweigen statt? Können französische Schülerinnen und Schüler besser voneinander lernen, als
deutsche? Sind leistungsstärkere evtl. Vorbilder für leistungsschwache? Wird somit bei den
leistungsschwächeren mehr Motivation und Ehrgeiz geweckt? Lernen leistungsstarke Schülerinnen
und Schüler soziale Werte, wie zum Beispiel schwächere zu unterstützen und gute Vorbilder zu sein?
Könnten leistungsschwächere Schülerinnen und Schüler denken, sie bekämen die leistungsstärkeren
vorgeführt? Wird dadurch ihr Selbstwertgefühl geschwächt?
Das französische collège und die deutsche Mittelstufe können aufgrund der oben
beschriebenen grundsätzlich unterschiedlichen Systeme nicht eingehender miteinander
verglichen werden.
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„Lycée“ und „gymnasiale Oberstufe“ mit den Abschlüssen „Baccalauréat“ und „Abitur“
Während die französischen Schülerinnen und Schüler schon nach der troisième, also der
neunten Klasse auf das lycée gehen, wechseln die deutschen Schülerinnen und Schüler erst
nach der zehnten Klasse in die gymnasiale Oberstufe. Die Voraussetzung hierfür ist der
bisherige Besuch des Gymnasialzweigs bzw. der erfolgreiche Besuch des Realschulzweigs
mit entsprechendem Notendurchschnitt in der Mittelstufe.
Da die Zeit auf dem lycée und in der gymnasialen Oberstufe genauso lang ist, beträgt die
Schulzeit der französischen Schülerinnen und Schüler ein Jahr weniger.
Lernen die französischen Schülerinnen und Schüler insgesamt weniger, als die deutschen, oder
lernen sie durch komprimierten Unterricht genauso viel? Müssen sie in ihrer gesamten Schulzeit mehr
leisten?
In Frankreich fließen die Zensuren, die man während der Zeit auf dem „Lycée“ erhalten hat,
nicht in die Gesamtnote des „Baccalauréats“ ein. In Deutschland hingegen beinhaltet der
Durchschnitt der Abiturnote alle Zensuren, die in der Qualifikationsphase (zwölfte und
dreizehnte Klasse), erhalten wurden.
Haben französische Schülerinnen und Schüler mehr Chancen auf ein besseres „Baccalauréat“, auch
wenn sie im „Lycée“ keine guten Zensuren hatten? Haben deutsche Schülerinnen und Schüler mehr
Chancen auf eine gute Durchschnittsnote im Abitur, weil mehr Zensuren in den Durchschnitt mit
einfließen?
Während das französische Schulsystem einer zentralen Organisation unterliegt, in der alle
Lehrpläne und Prüfungen gleich sind und die Prüfungen von Lehrern abgenommen werden,
die den Schülern und Schülerinnen nicht bekannt sind, gibt es in Deutschland je nach
Bundesland andere Bestimmungen. Hier wird jeder Schüler von seinem eigenen Lehrer
geprüft.
Werden deutsche Schülerinnen und Schüler, dadurch, dass sie dem Prüfer bekannt sind (bisherige
Leistungen, Sympathie, Antipathie), eventuell bevorzugt oder benachteiligt? Wird französischen
Schülerinnen und Schülern die Möglichkeit genommen, in ihrem persönlichen Schwerpunkt, ihrer
persönlichen Leistungsstärke zu zeigen, was sie können?
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Erläuterung des deutschen Schulsystems
Um meine Arbeit übersichtlich zu halten, werde ich mich hauptsächlich auf den „Regelfall“
beziehen. Ausnahmen werde ich kennzeichnen.
Der „Regelfall“ ist ein Schulbesuch (Schulpflicht!) einer Grundschule von 4 Jahren, einer
Sekundarstufe I bis zum 9.Schuljahr, eventuell auch der Besuch der Sekundarstufe II bis
zum 13.Schuljahr.
Die Kultushoheit –also die politische Entscheidung über die Einrichtung und Ausgestaltung
des öffentlichen Schulwesens– ist in Deutschland Angelegenheit der Bundesländer, deshalb
beschränke ich mich auf Hessen.
Kindergarten
Der Kindergarten in Deutschland ist nicht staatlich organisiert. Er wird von freien Trägern,
wie zum Beispiel der AWO (Arbeiterwohlfahrt), Kirchen und Vereinen, nach
betriebswirtschaftlichen Gesichtspunkten unterhalten. Der deutsche Kindergarten wird durch
staatliche Grundfinanzierung, Mitgliedsbeiträge, Gebühren und Spenden finanziert. Deutsche
Kinder haben ab ihrem dritten Geburtstag ein Recht auf einen Kindergartenplatz, sie sind
allerdings nicht dazu verpflichtet, diesen wahrzunehmen.
Ziele
Ein Ziel des Kindergartens ist das Erlernen und Festigen von Sozialtechniken, wie zum
Beispiel das An - und Ausziehen, das Zähneputzen, das gemeinsame Einnehmen von
Mahlzeiten und gegebenenfalls die Mitarbeit in der Tee– beziehungsweise
Kindergartenküche. Ein weiteres Ziel ist die Förderung von musischen und künstlerischen
Fähigkeiten, unter anderem durch Musikunterricht an Basisinstrumenten (Orff),
Hörerziehung, freies und angeleitetes Malen und Basteln sowie das Sammeln von Farb –
und Formerfahrungen. Der Kindergarten sorgt für die Förderung der Gesundheit und für
Sport (Spielsport und Erwerb von Ausdauer und Beständigkeit bei körperlicher Betätigung).
Die Kinder erwerben im Kindergarten Sozialkompetenzen: Zuhören können, Regeln
einhalten, Gleichberechtigung unter Gleichen, Erkennen und Diskutieren von
Regelverstößen. Sie üben Gruppenregeln ein und schulen ihr Sozialverhalten.
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Einschulung
Alle Kinder, die zum bis zum 30. Juni sechs Jahre alt sind, müssen in Deutschland in eine
Grundschule, die staatlich anerkannt ist, eingeschult werden. Die Schulpflicht erstreckt sich
in Deutschland über neun Schuljahre. Auf Antrag der Eltern können Kinder begrenzte Zeit,
nämlich ein Jahr zurückgestellt werden, wenn sie absehbar noch nicht schulreif sind. Wenn
Kinder in dem Zeitraum vom 01. Juli bis zum 31. Dezember sechs Jahre alt werden, können
sie eingeschult werden, müssen aber noch nicht. Wenn ein Kind schon schulreif ist, obwohl
es erst nach dem 31. Dezember sechs Jahre alt wird, kann es auf Antrag ebenfalls schon
eingeschult werden.
Nach Untersuchung der einzuschulenden Kinder durch einen Amtsarzt und durch
pädagogische Begutachtung durch die Leitung der Grundschule, die in der Regel mit der
Unterstützung durch weitere Lehrer (auch Sprachheillehrer) durchgeführt wird, entscheidet
die Schulleitung der Grundschule, ob das Kind eingeschult wird, oder, bei bestehender
Schulpflicht, zurückgestellt oder einer Vorklasse zugewiesen wird. Die Eltern haben
Einspruchsrecht, das durch die übergeordnete Behörde (staatliches Schulamt) überprüft
wird.
Grundschule
Die Grundschule in Deutschland erstreckt sich über 4 Jahre. Sie beginnt mit der ersten und
endet mit der vierten Klasse und wird von Kindern im Alter von sechs bis zehn Jahren
besucht.
Die deutsche Grundschule bildet eine Grundstufe für alle Kinder. Sie knüpft an die
unterschiedlichen Lebenserfahrungen der Kinder an und erweitert sie mit dem Ziel, dass die
Kinder, die ja unterschiedliche Leistungsfähigkeiten haben, zu kindesgemäßen Formen des
Lernens geführt werden. Es werden geistige, musische und praktische Fähigkeiten der
Kinder entwickelt und gefördert. Somit werden soziale und emotionale Lernprozesse
ausgelöst. Die Kinder sollen auf das, was sie in ihrer Grundschulzeit gelernt haben, in ihrer
weiteren schulischen Laufbahn aufbauen und sich zu einem eigenständigen Individuum
entwickeln.
In der Jahrgansstufe eins erhalten die Grundschulkinder noch keine Noten in Form von
Ziffern. Die jeweiligen Lehrer schreiben den Eltern eine schriftliche Beurteilung über ihr Kind.
In der Grundschule werden die Kinder in den Fächern Deutsch, Mathematik, Musik, Kunst,
Sachkunde, Religion und Sport unterrichtet. Sie erhalten außerdem eine Einführung in eine
Fremdsprache (Englisch). Ab der zweiten Klasse erhalten die Kinder Zensuren in Form von
Ziffern von 1 bis 6. Eine 1 ist die beste und eine 6 die schlechteste Note.
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Weiterführende Bildungsgänge
Nach der Grundschule können die Kinder entweder eine Gesamtschule besuchen, die mit
der Förderstufe beginnt und mit dem Gymnasialzweig, dem Realschulzweig
beziehungsweise dem Hauptschulzweig endet. Oder sie können, je nach Leistungsfähigkeit,
nach der Grundschule direkt auf ein Gymnasium, eine Realschule beziehungsweise eine
Hauptschule gehen. Über den Weg, der nach der Grundschule eingeschlagen wird,
bestimmen die Eltern, die ein Recht auf eingehende Beratung haben.
Förderstufe
Die Förderstufe verbindet die Grundschule mit der Sekundarstufe I. Sie dient der
Beobachtung, Förderung und Orientierung der Schüler. Das Ziel der Förderstufe ist es, die
Schüler auf die Anforderungen und Arbeitsweisen der weiterführenden Schulen
beziehungsweise Schulzweigen vorzubereiten. Die Förderstufe soll die Schüler bei ihrer
Lernfähigkeits- Leistungs- und Interessenfindung unterstützen und helfen, über den weiteren
Bildungsweg entscheiden zu können. Der Unterricht wird im Klassenverband erteilt. Einige
Fächer werden allerdings verkurst. Diese sind Mathematik, Englisch und gegebenenfalls
Deutsch. In welchen der drei Fachleistungskurse (A, B oder C) ein Schüler in einem Fach
eingestuft wird, entscheiden die Eltern.
Am Ende der sechsten Klasse entscheiden die Lehrer über den zukünftigen Schulzweig, den
der Schüler ab der siebten Klasse besuchen soll. Je nach Leistungsfähigkeit besucht er den
Hauptschulzweig, den Realschulzweig beziehungsweise den Gymnasialzweig.
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Hauptschule
Die Hauptschule beginnt mit der fünften beziehungsweise siebten und endet mit der neunten
Klasse. Die zehnte Klasse kann auf freiwilliger Basis besucht werden.
Durch das handlungs- und projektorientierte Lernen und die pädagogischen Angebote der
Hauptschule, werden die kognitiven, sprachlichen und praktischen Fähigkeiten der Schüler
gefördert. Die Schüler sollen ihre Individualität entfalten und ergänzen. Mit Hilfe des Fachs
Arbeitslehre, werden die Schüler der auf ihren Beruf und ihr späteres Arbeitsleben
vorbereitet. Der Unterricht in der Hauptschule ist sehr stark praxisorientiert.
Wenn die Jahrgangsstufe neun erfolgreich beendet wurde, absolviert der Schüler eine
Abschlussprüfung. Bei bestandener Prüfung hat er den Hauptschulabschluss. Dieser kann,
unter anderem mit Hilfe eines zehnten Jahres, zu einem Realschulabschluss erweitert
werden.
Realschule
Die Realschule beginnt mit der fünften beziehungsweise siebten und endet mit der zehnten
Klasse.
Sie unterscheidet sich von der Hauptschule in der schrittweise verallgemeinernden
Betrachtungsweise und vom Gymnasium dadurch, dass sie stärker auf die Praxis bezogen
ist. Die Allgemeinbildung, die in der Realschule vermittelt wird, ist sehr auf das Leben
bezogen und lässt die Schüler ihre eigenen Schwerpunkte setzen, die ihren Fähigkeiten und
Interessen gerecht werden. Die Realschule bereitet die Schüler auf ihr Arbeitsleben vor.
Alternativ dazu haben sie die Möglichkeit –bei entsprechenden Leistungen- nach der
zehnten Klasse die gymnasiale Oberstufe zu besuchen (siehe Gymnasium).
Am Ende der zehnten Klasse haben die Realschüler eine Abschlussprüfung zu absolvieren.
Bei bestandener Prüfung haben sie den Realschulabschluss (Mittleren Abschluss) erreicht.
Mit Hilfe dieses Abschlusses können die Schüler eine Vielzahl von Berufen ausüben oder
aber –bei entsprechenden Leistungen (Durchschnitt von mindestens 3,0)- eine
Fachoberschule, ein berufliches Gymnasium oder ein allgemein bildendes Gymnasium zu
besuchen und somit die Fachhochschulreife beziehungsweise die allgemeine Hochschulreife
(Abitur) erreichen.
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Gymnasium
Das Gymnasium beginnt mit der fünften beziehungsweise siebten und endet mit der
dreizehnten Klasse. Bis zur zehnten Klasse wird es Sekundarstufe I (Mittelstufe) genannt
und von der elften bis zur dreizehnten Klasse Sekundarstufe II (Oberstufe). Ab dem
Schuljahr 2005 / 2006 wird der gymnasiale Bildungsgang mit Hilfe von komprimiertem
Lernstoff in der Sekundarstufe I um ein Jahr verkürzt.
Das Gymnasium vermittelt den Schülern eine tiefgehende Allgemeinbildung und unterstützt
sie bei ihrer Persönlichkeitsbildung. Es gibt den Schülern die Möglichkeit, individuelle
fähigkeits- und interessenbezogene Schwerpunkte zu setzen.
Am Ende der zehnten Klasse wird der Gymnasialschüler –wenn seine Leistungen
ausreichend sind- in die elfte Klasse einer gymnasialen Oberstufe beziehungsweise eines
beruflichen Gymnasiums versetzt. Hier wird das Notensystem durch ein Punktesystem
ersetzt. Es können nun Punkte von 0 bis 15 erreicht werden. 0 Punkte entsprechen einer
sechs; 1, 2 und 3 Punkte entsprechen einer 5; 4, 5 und 6 Punkte entsprechen einer 4; 7, 8
und 9 Punkte entsprechen einer 3; 10, 11 und 12 Punkte entsprechen einer 2 und 13, 14 und
15 Punkte entsprechen einer 1.
Abitur
„Abitur“ ist der Name der Abschlussprüfung der gymnasialen Oberstufe. Bei bestandener
Prüfung hat der Schüler die allgemeine Hochschulreife erreicht, die ihn für alle Universitäten,
Hochschulen und Fachhochschulen Deutschlands qualifiziert. Das Zeugnis der allgemeinen
Hochschulreife beinhaltet die Noten der Qualifikationsphase und die der Abiturprüfungen.
Die insgesamt fünf Abiturprüfungen setzen sich aus den schriftlichen Prüfungen der beiden
Leistungskursfächer und der schriftlichen Prüfung eines Grundkursfachs sowie den beiden
mündlichen Prüfungen von zwei weiteren Grundkursfächern zusammen. Die Gesamtnote
setzt sich aus den Leistungskursen, den Grundkursen und den Abiturprüfungen zusammen.
Die schriftlichen Abiturprüfungen werden von zwei Lehrkräften der Schule unabhängig
voneinander korrigiert und bewertet. Die mündlichen Abiturprüfungen werden von drei
Lehrkräften der Schule abgenommen.
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Grafik zum deutschen Schulsystem
Kindergarten 2 beziehungsweise 3 Jahre
↓
Grundschule 4 Jahre
↓ ↓ ↓ ↓
Förderstufe 2 Jahre
Gymnasium Sekundar-
stufe I 6 Jahre
Realschule Sekundar-
stufe I 6 Jahre
Haupt-schule
Sekundar-stufe I 5 Jahre
↓ ↓
Sekundar-stufe I
(siehe oben) 3 beziehungs-weise 4 Jahre
Gymnasium Sekundar-
stufe II 3 Jahre
↓
Abitur
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Fragebogen über den deutsch-französischen Schüleraustausch
1. Hast du schon einmal an einem deutsch-französischen
Schüleraustausch teilgenommen? □ Ja □ Nein 2. Würdest du (wieder) an einem Schüleraustausch teilnehmen? □ Ja □ Nein 3. Warum? _______________________________________________________________ 4. Welche Vorteile/Nachteile hat die deutsche Schule? _______________________________________________________________ 5. Welche Vorteile/Nachteile hat die französische Schule? 6. Werden die Fächer (außer Deutsch und Französisch) unterschiedlich
unterrichtet? Wenn ja, wie? _______________________________________________________________ 7. Was hat dir persönlich der Austausch gebracht? _______________________________________________________________
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Auswertung der französischen Fragebögen
Als praktisches Beispiel habe ich 50 selbst ausgearbeitete Fragebögen in der Schule
„Gaston Bonheur“ in Trèbes ausgegeben.
Von 25 Schülerinnen und Schülern, die diesen Fragebogen ausgefüllt zurückgaben,
haben 36% schon einmal an einem Schüleraustausch nach Deutschland
teilgenommen. Von diesen würden alle wieder an einem solchen teilnehmen, weil sie
sehr an der deutschen Kultur und der deutschen Sprache interessiert sind. Auch lernen
sie gerne neue Leute kennen. Ihr erster Austausch hat ihnen schon sehr viele positive
Erfahrungen gebracht.
Von den befragten Schülerinnen und Schülern haben nur 4% noch nie an einem
Schüleraustausch teilgenommen. Diese würden gerne im Rahmen eines deutsch-
französischen Schüleraustauschs nach Deutschland fahren, um das Land und die
Kultur kennen zu lernen.
Die übrigen 60% der befragten Schülerinnen und Schüler haben bisher deutsche
Austauschpartner aufgenommen, Deutschland jedoch noch nicht besucht. Sie alle
würden gerne im Rahmen eines Schüleraustauschs nach Deutschland fahren. Auch
nennen sie als Hauptgründe hierfür das Interesse an der deutschen Kultur, sowie den
Wunsch ihre Sprachkenntnisse zu vertiefen. Außerdem möchten sie das Alltagsleben
in Deutschland kennen lernen und ihre deutschen Freunde wieder treffen.
Die befragten Schülerinnen und Schüler geben als Hauptvorteil der deutschen Schule
an, dass der Unterricht nur bis mittags dauert und man so am Nachmittag Zeit für
Hobbys hat. Als weitere Vorteile empfinden sie die weniger strengen Regeln und, dass
die Dauer einer Unterrichtsstunde, nicht wie in Frankreich 55 Minuten sondern, in
Deutschland nur 45 Minuten beträgt. Außerdem würde in Deutschland die
Selbständigkeit der Schülerinnen und Schüler gefördert und der Unterricht
schülerbezogener gestaltet.
Viele der Befragten halten die Aufteilung der deutschen Schülerinnen und Schüler in
Schulzweige für einen bedeutenden Nachteil der deutschen Schule. Als negativ werten
sie auch, dass es in Deutschland insgesamt weniger Ferien gibt, als in Frankreich. Des
Weiteren halten sie den Unterricht in Deutschland für zu wenig zielgerichtet und zu
„lasch“.
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Die Vorteile der französischen Schule sind –laut der befragten Schülerinnen und
Schüler- die insgesamt längere Feriendauer und deutlich, die Nichteinteilung in
Schulzweige. Sie sind der Ansicht, dass dadurch jeder eine größere Chance auf
Förderung hat. Außerdem halten sie ihren Unterricht für zielorientierter und empfinden
die Bewertung (0-20 Punkte) als gerechter.
Als Nachteile der französischen Schule geben die befragten Schülerinnen und Schüler
an, dass strengere Regeln herrschen und der Schultag sehr lang ist. Es gibt weniger
Freiheiten und weniger Freizeit. Auch empfinden sie die Unterrichtsgestaltung in
Frankreich als zu wenig lebhaft und schülerbezogen und somit als streng und eintönig.
Zu den unterschiedlichen Unterrichtsweisen in Deutschland und Frankreich fällt den
französischen Schülerinnen und Schülern auf, dass in Deutschland mehr im
mündlichen Bereich gearbeitet wird als in Frankreich und, dass deutsche Schülerinnen
und Schüler mehr Kontakt zu ihren Lehrerinnen und Lehrern haben als sie das kennen.
Außerdem wird –ihren Beobachtungen nach- das selbständige Arbeiten der deutschen
Schülerinnen und Schüler stark gefördert. Nochmals geben sie den lebhafteren und
stärker schülerbezogenen Unterricht in Deutschland hier an.
Auffälligkeiten:
Von den französischen Austauschschülerinnen und –schülern ist ein großer Teil der
Ansicht durch den Aufenthalt in Deutschland reifer und unabhängiger von den Eltern
geworden zu sein.
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Auswertung der deutschen Fragebögen
Ebenfalls 50 dieser Fragebögen habe ich in der Valentin-Traudt-Schule in
Großalmerode ausgegeben. Davon erhielt ich 32 Fragebögen ausgefüllt zurück.
Von den Befragten aus Deutschland, die schon an einem deutsch-französischen
Austausch teilgenommen haben, würden 84,4% wieder an einem solchen teilnehmen.
Sie geben als Hauptgründe hierfür an, dass sie die französische Sprache besser
lernen konnten und besser lernen konnten, die Sprache im Alltag richtig einzusetzen.
Außerdem habe der Austausch ihre Selbständigkeit gefördert und sie lernten viele
neue Leute kennen. Sie lernten eine andere Kultur kennen, was sich hauptsächlich
beim Essen verdeutlichte. Sie nahmen an Ausflügen teil und lernten
Sehenswürdigkeiten kennen (unter anderem die Cité de Carcassonne).
Die übrigen 15,6% der befragten deutschen Schülerinnen und Schüler möchten nicht
noch einmal an einem Schüleraustausch teilnehmen, weil ihnen die Dauer des
Austauschs nicht ausreichte um alles ausreichend kennen zu lernen. Sie hatten
Probleme damit, die Familie, in der sie während ihres Aufenthaltes wohnten, nicht zu
kennen. Teilweise verstanden sie sich mit ihren Austauschpartnern oder deren
Familien nicht. Sie empfanden die französischen Eltern als zu streng und das Essen
schmeckte ihnen nicht. Außerdem vermissten sie ihre deutschen Freunde.
Als Vorteile der deutschen Schule geben die befragten Schülerinnen und Schüler an,
dass die deutsche Unterrichtsgestaltung abwechslungsreicher ist. Durch den kürzeren
Schultag bleibt mehr Zeit für Hobbys. Dass sie den Klassenraum selten wechseln
müssen nennen sie als einen weiteren positiven Punkt. Des Weiteren gefällt ihnen das
Angebot während der Pausen und Freistunden besser.
Als größten Nachteil der deutschen Schule nennen sie, dass es keine Kantine gibt, in
der sie regelmäßig mittags warmes Essen bekommen können. Die stärkere
Aggressivität an deutschen Schulen geben sie als weiteren negativen Punkt an.
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Bei den Vorteilen der französischen Schule wird wieder die täglich geöffnete Kantine
genannt. Auch sehen etliche Schülerinnen und Schüler den strengeren französischen
Unterricht als positiv an, weil dadurch mehr gelernt wird und eine größere Disziplin
herrscht. Sie sind der Ansicht, dass dadurch die Aggressivität geringer ist. Außerdem
empfinden sie es als angenehm, dass die Leseräume für Freistunden gut eingerichtet
sind.
Ein Nachteil an der französischen Schule ist nach Ansicht der Schülerinnen und
Schüler, dass der Unterricht eintöniger und strenger ist. Sie empfinden die
französische Schule als konservativ und fühlten sich durch strenge Regeln
eingeschränkt. Als weitere negative Punkte sehen sie den häufigen Wechsel der
Klassenräume, sowie den langen Schultag. Auch stört sie sehr der eingezäunte
Schulhof.
Im Bezug auf unterschiedliche Unterrichtsweisen fällt einigen Schülerinnen und
Schülern auf, dass in Frankreich im Fremdsprachenunterricht sehr viel in der
Muttersprache gesprochen wird. Der Lehrer hält -mehr als in Deutschland- viel an der
Tafel fest, was von den Schülerinnern und Schülern übernommen wird und gelernt
werden muss. Sie meinen, dass die französischen Schülerinnen und Schüler mehr
theoretisch lernen, als im praktischen Bereich, das heißt, durch die Anwendung des
Gelernten und deshalb, gerade im Fach Englisch, weit zurück liegen, gemessen am
vergleichbaren Können ihrer deutschen Austauschpartner.
Auffälligkeiten
Das Essen spielt eine große Rolle bei der Bewertung der unterschiedlichen
Schulalltage. Obwohl der deutsche Schultag nicht lang ist, wünschen sich doch viele
deutsche Schülerinnen und Schüler täglich ein warmes Mittagessen in der Schule.
Diese Einrichtung wird von 68,8% der Befragten als ein großer Vorteil in der
französischen Schule bezeichnet.
Insgesamt gefällt den deutschen Schülerinnen und Schülern die deutsche Schule
besser, als die französische.
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Eigene Erfahrungen eines achtwöchigen Schüleraustauschs
Vom 02.03. bis 27.04.2002 nahm ich an einem zweimonatigen Schüleraustausch nach
Trèbes/Frankreich teil. Hier der im Anschluss daran verfasste Bericht an das Deutsch-
Französische Jugendwerk:
Ich bin eine fünfzehnjährige Schülerin der 9.Klasse der additiven Gesamtschule in
Großalmerode. Vom 02.03. bis 27.04.2002 habe ich an einem Schüleraustausch mit
der Partnerstadt Trèbes/Frankreich teilgenommen.
Zum ersten Mal in meinem Leben bin ich für acht Wochen getrennt von meiner Familie
in einem fremdsprachigen Land gewesen. Ich konnte auf der Hin- und Rückreise und
gelegentlich zwischendurch Kontakt zu zwei weiteren Mitschülern aus meiner
Jahrgangsstufe halten, die ebenfalls an diesem Austausch teilnahmen. Sonst war ich
jedoch auf die Anwendung meiner in zweieinhalb Schuljahren erworbenen
Sprachkenntnisse angewiesen, da der Lernstand der deutschen Sprache meiner
Gastfamilie noch nicht besonders weit fortgeschritten war.
Die Anreise war wenig beschwerlich, da ich einen direkten Flug von Frankfurt nach
Toulouse nehmen konnte und die Anreise nach Frankfurt von meiner Familie und die
Abholung aus Toulouse von meiner Gastfamilie übernommen werden konnte.
Der Aufenthalt in der Gastfamilie war angenehm. Ich habe immer einen
Ansprechpartner gehabt und hatte nie das Gefühl zu stören oder Mühe zu machen.
Ich hatte ein eigenes Zimmer zur Verfügung und konnte mich nach meinen Wünschen
verhalten. Die familiäre Situation ähnelte meiner Familie, da ich eine jüngere
Schwester habe, die nicht viel jünger als meine Austauschpartnerin ist. So hatte ich die
Möglichkeit Familienleben in Frankreich direkt kennen zu lernen, ohne dass für mich
neue oder andere Umgangsformen verwendet wurden.
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Die in Frankreich gepflegte Esskultur habe ich ausführlich und sehr positiv kennen
gelernt. Der für mich ungewohnte Aufwand und die erstaunliche Vielfalt haben mir
völlig neue Sichtweisen des Essens vermittelt. Vorher waren für mich ein Zeitaufwand
von mehreren Stunden zur Zubereitung des Essens und dann die stundenlange
Beschäftigung mit der Einnahme der gemeinsamen Mahlzeit vollkommen unbekannt.
So habe ich nicht nur für mich unbekannte Lebensmittel und Gerichte, sondern auch
die gemeinsame Einnahme einer Mahlzeit unter einem ganz anderen Zeitfaktor neu
entdeckt. Hinzufügen möchte ich, dass wir in meiner Familie fast alle Mahlzeiten
gemeinsam einnehmen und uns sicherlich auch die nötige Zeit dafür nehmen.
Das Klima an meinem Gastort war dem Klima meiner Heimatstadt ähnlich, insgesamt
aber milder und etwas wärmer. Die durch das Mittelmeerklima geprägte Landschaft
(karg, trocken, wenig Bäume) war interessant. Die Jahreszeit (Frühling) schützte mich
vor großem Klimawechsel (Sommerhitze).
Meine Gastfamilie lebt ca. 17km von Trèbes entfernt in einem kleinen Dorf. Eine Fahrt
in benachbarte Städte war nur mit dem Auto der Gastfamilie (der berufstätige Vater als
einziger Fahrer) oder dem Schulbus möglich. Mit meiner Gastfamilie hatte ich die
Gelegenheit während der zweiwöchigen Schulferien Schlösser, eine interessante
mittelalterliche Stadtfestung (Carcassonne) und ein Museum zu besichtigen. Wir
machten einen fünftägigen Ausflug ans Mittelmeer, einen Zoobesuch und mehrere
Einkaufsbummel in die benachbarten Städte.
Das Schulsystem, welches ich in Trèbes kennen lernte, unterscheidet sich stark von
meinem gewohnten Schulsystem.
Die Schule beginnt um 8.00 Uhr und endet um 16.30 Uhr. Nur die Schülerinnen und
Schüler, die in Trèbes wohnen, die so genannten „externes“, verließen während der
eineinhalbstündigen Mittagspause das Schulgelände. Die „internes“, wie die
Fahrschülerinnen und –schüler, konnten in der Kantine ein Mittagessen einnehmen.
Unterrichtet wurde in 2-Stunden-Blocks mit 60-minütigen Unterrichtsstunden und 15
Minuten Pause (oder Mittagspause) zwischen den Blocks. Da ich weit von Trèbes
entfernt wohnte, aß ich regelmäßig in der Kantine.
Mittwochs ist unterrichtsfrei und am Samstag bis 12.00 Uhr Schule, was offensichtlich
von der Region abhängt und heute auch in Trèbes nicht mehr der Fall ist.
Der Unterricht in Frankreich verläuft deutlich anders als an meiner Gesamtschule in
Deutschland. Die französischen Lehrer unterrichten fast ausschließlich frontal. Nur im
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Deutschunterricht wird ein dem deutschen Schulalltag nachempfundener Unterrichtsstil
ausgeübt. So stehen im „Normalunterricht“ die Schülertische in Reihen und Kolonnen,
im Deutschunterricht gibt es Tischgruppen. Die Begrüßung des eintretenden Lehrers
wurde kurz und im Sitzen vollzogen. Ein Erheben und gemeinsamer Gruß, wie er von
einigen Lehrern meiner Schule eingefordert wird, wurde nur von einer Lehrerin
verlangt. Der Unterricht begann in allen Fächern zügig nach Eintreten des Lehrers, in
manchen Fächern wurden regelmäßig zum Beginn der Stunde Einzeltests oder
Lernkontrollen durchgeführt. Die französischen Schüler verhalten sich ihren Lehrern
gegenüber zurückhaltender, weniger offen und manchmal anscheinend ängstlicher. Sie
werden von Eltern und Lehrern - nach deren Auskunft - „von Anfang an“ strenger
erzogen. Ich habe dazu Eltern und Lehrer befragt, die meinen Eindruck bestätigten.
Der ganztägige Unterricht war für mich sehr ungewohnt. Ob in den langen
Unterrichtsstunden mehr gelernt werden konnte, als in unserer Stundenaufteilung kann
ich nicht sagen. Wohltuend empfand ich die Aufteilung der Woche in zwei Teile. So war
der Mittwoch ein Erholungstag und die Leistungen mussten nicht „Schlag auf Schlag“
in fünf aufeinander folgenden Schultagen gebracht werden.
Einengend empfand ich den Unterricht, wenn wenig auf Meinungsäußerungen und
freie Formulierungen von Schülern eingegangen wurde. Ob reines Auswendiglernen,
wie es öfters gefordert wurde, einen Schüler besser auf das Leben vorbereitet als
Diskussionen und selbständiges Arbeiten bezweifle ich.
Mein achtwöchiger Austausch hat meine Sprachkenntnisse der französischen
Alltagssprache sehr gefördert. Ich konnte einen Einblick in die französische
Lebensweise und den Schulalltag in Trèbes gewinnen. Bei einem kürzeren Aufenthalt
wäre das eventuell nicht möglich gewesen. Auch die Einzelunterbringung ohne
gewohnte Schulklasse oder Gruppe hat mir Möglichkeiten und Kontakte eröffnet, die
ich sonst nicht hätte. Der achtwöchige Austausch ist meiner Meinung nach allen
Mitschülern zu empfehlen, die sich ernsthaft mit etwas Fremdem und Neuem
beschäftigen wollen. Der 10-tägige Austausch –zu dem ich mich zwischenzeitlich noch
angemeldet habe- wird ganz andere Eindrücke und Kontakte bringen. Als Zeichen,
dass es mir in Trèbes (und damit in Frankreich) gut gefallen hat, kann diese
Anmeldung gelten. Ich würde an einem längerfristigen Schüleraustausch jederzeit
wieder teilnehmen.
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Nachwort
Die Bearbeitung des Themas «Le système scolaire français en comparaison avec le
système scolaire allemand et la contemplation des expériences des élèves d’échange»
hat mir viel Spaß gemacht. Es hat mir viel gebracht, die beiden unterschiedlichen
Schulsysteme wissenschaftlich zu betrachten und zu vergleichen und die Meinungen
von Austauschschülerinnen und –schülern kennen zu lernen. Auf der Basis dieser
Vorraussetzungen hat diese Arbeit mir sehr dabei geholfen, mir meine eigene Meinung
über die beiden verschiedenen Schulsysteme zu bilden. Diese basiert nicht nur auf
meinen eigenen Erfahrungen, sondern auch auf wissenschaftlichen und objektiven
Betrachtungsweisen.
Das Schulleben beginnt in Frankreich ab der école maternelle, in Deutschland erst
nach dem Kindergarten. Meiner Meinung nach unterliegen die Kleinkinder in
Frankreich zu früh zu strengen Regeln und können ihren natürlichen Spieltrieb nicht
ausreichen verfolgen. Dadurch besteht die Gefahr, dass sie in ihrer Identitätsfindung
gehindert werden.
Auch in der école primaire beziehungsweise Grundschule wird deutlich, dass die
französischen Schülerinnen und Schüler allgemein strenger erzogen werden und
dadurch disziplinierter sind als die deutschen.
Bevor ich mich mit dieser Arbeit beschäftigte, war ich der Ansicht, dass die
Schulzweigeinteilung in der Sekundarstufe I sehr sinnvoll ist, weil jeder in seinen
eigenen Fähigkeiten gefördert wird. Durch die Bearbeitung dieser Thematik eröffneten
sich mir jedoch vollkommen neue Betrachtungsweisen und Lösungsansätze. Im
Nachhinein bevorzuge ich in diesem Punkt das französische Schulsystem, da die
Schülerinnen und Schüler bei Nichteinteilung in verschiedene Schulzweige besser
voneinander lernen können.
Ich bin der Ansicht, dass in Deutschland bessere Chancen auf ein gutes Abitur
bestehen als in Frankreich auf ein gutes Baccalauréat. Das begründet sich durch die
Tatsache, dass in Deutschland mehr Zensuren über einen längeren Zeitraum in das
Abschlusszeugnis einfließen. In Frankreich hängt das Ergebnis mehr von kurzzeitiger
Möglichkeit und Verfassung ab.
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Global betrachtet kann man die unterschiedlichen Schulsysteme von Frankreich und
Deutschland nur vergleichen, nicht aber werten. Wissenschaftliche Belege liefern hier
zwar Studien wie PISA oder andere. Dabei kann allerdings das Empfinden und
Wohlergehen der Schülerinnen und Schüler nicht aufgezeigt werden. Schulsysteme
sind immer mit der allgemeinen, sozialen und politischen Situation eines Landes
verbunden. Individuell empfinden Schüler, Lehrer und Eltern Vorteile und Nachteile im
eigenen Schulsystem und beobachten Vorteile und Nachteile im Schulsystem des
anderen Landes. Ich denke, dass diese Arbeit sicher interessant und anregend ist,
aber viele Fragen offen lässt, die man nur subjektiv beantworten kann.
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Anhang
Ich versichere hiermit, dass ich diese Facharbeit selbständig verfasst, keine anderen
als die angegebenen Hilfsmittel verwendet habe und dass sämtliche Stellen, die
benutzten Werken im Wortlaut oder dem Sinne nach entnommen worden sind, mit
Quellenangaben kenntlich gemacht wurden. Diese Versicherung gilt auch für
Zeichnungen, Skizzen und bildliche Darstellungen.
Großalmerode, den 08.05.2005 Unterschrift:
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Quellenverzeichnis
Explication du système scolaire français:
http://www.fplusd.de (22.10.2004)
Das deutsche Schulsystem:
http://www.hessisches-kultusministerium.de (22.10.2004)
Débat: Aller à l’école à trois ans?:
«écoute» 2/2004 (Février) Seiten 26 bis 29
Sondage d’opinion: Y a-t-il trop de pression en maternelle?:
«écoute» 2/2004 (Février) Seiten 26 bis 29
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