Israel les rois noirs
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Les photocopies et les diffusions gratuites de ce document ou d’une de ses parties sont autorisées sauf
pour des activités commerciales ou payantes. Site chretiensretablis.com. Ces documents et leur contenu
restent la propriété de leur auteur et rédacteur : Jean-Jacques PUGIN, 45 rue de la savoyarde 73230
Saint-Alban-Leysse. Copyright n°TXH31G8/2016.
Les patriarches à la peau noire
ROI SHÉ:M (SEM), FILS DE NO:A:R (NOÉ),
À LA PEAU NOIRE, EST INPU (ANUBIS), DIEU ET JUGE :
Il est appelé « Seigneur de la Terre Sacrée ».
Cette « Terre Sacrée » est Rou:sha:laïme (Jérusalem), où reposait le corps d’‘A:da:m. ‘A:da:m
fut déposé dans une grotte funéraire sous le Golgotha. C’est pour cela que ce lieu est appelé « le
Calvaire ». Son emplacement exact est aujourd’hui entouré par la Basilique du Saint-Sépulcre
à Rou:sha:laïme (Jérusalem). Le Sang de Notre Seigneur coula de la Très Sainte Croix sur la
tête d’‘A:da:m, lorsque le sol du sommet du Calvaire se fendit. Mattithi-Ya:ḥou:(ḥ) (Matthieu)
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27:51. La tête momifiée d’‘A:da:m, relique sacrée, est encore gardée secrètement à
Rou:sha:laïme par de fidèles Templiers.
Le roi Shé:m juge les âmes. Il est juste !
Inpu (Anubis), ou Shé:m, développa les secrets de la momification, de la conservation des
corps, et des embaumements.
Le roi Shé:m a aussi un tombeau en Syrie, entre Baalbek et Sorghaya.
LE ROI ‘AVRA:ḤA:ME (ABRAHAM), À LA PEAU NOIRE,
EST OSIRIS :
EMPEREUR AUSAR (Osiris) ou PATRIARCHE ‘AVRA:HA:ME.
Momie reconstituée à Louxor
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Osiris est appelé « Kem Wor », le « Grand Noir » !
Osiris était un des titres du roi ‘Avra:ḥa:me (Abraham), comme Kédorlaomer, Tammuz,
Dumuzid, dans les empires qu’il dominait. Il était le « Pasteur des nations » !
« Le roi de Sodome sortit à sa rencontre, après que Kédorlaomer fut revenu vainqueur des
rois qui étaient avec lui dans la vallée de Ya:ḥou:(ḥ)-Shavé, c'est-à-dire la vallée du Roi. »
Beré’shi:th 14:17, le texte originel rétabli. Sa véritable explication :
Le roi ‘Avra:ḥa:me dominait sur Élam. Son titre était Kédorlaomer, comme les titres
Pharaon ou César. Ses alliés pour écraser la rébellion de la Pentapole (Sodome, Gomorrhe,
Adama, Zeboïm, Ségor) étaient :
1) Ariok, roi d'Ellasar (les Sumériens) ;
2) Amraphel connu comme HAMMOURABI, roi de Shinéar (les Babyloniens) ;
3) Iddal, roi des Goyim (les Hittites).
Après leur victoire sur les rebelles, ces alliés ne respectèrent pas leur engagement de préserver
le roi de Sodome : Loth le neveu d’‘Avra:ḥa:me. C'est pourquoi, le roi ‘Avra:ḥa:me poursuivit
ces traîtres et libéra son neveu. Voilà la véritable histoire, relatée aussi partiellement dans le
livre canonique du Prophète Lamouel (ou ‘Éli-Ya:ḥou:(ḥ)) dont parle Yesha-Ya:ḥou:(ḥ) (Isaïe)
34:16.
Le roi ‘Avra:ḥa:me exista aussi réellement que le roi Hammourabi de Babylone.
Le jeune ‘Avra:ḥa:me vécut à l'époque du roi Nemrod.
C'était Téraḥ, le père païen d'‘Avra:ḥa:me, qui était alors roi d'Our durant la jeunesse
d'‘Avra:ḥa:me.
Une de ses capitales était Bad-Tibira.
C’est le roi ‘Avra:ḥa:me qui apporta la civilisation et enseigna l’agriculture en Éthiopie
(l’Égypte originelle) vers l’an 2100 avant notre ère.
Il portait sur sa tête la double couronne, qui représente « le double pays », c’est-à-dire les
deux continents.
Vers la fin de sa vie, le roi ‘Avra:ḥa:me fut assassiné par son frère Seth autre fils du roi Térah.
La femme d’‘Avra:ḥa:me, la reine Ishtar (Esther), composa un hymne en son honneur.
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L’Église Saint Jacques Scossa-Cavalli, à Rome (Italie), possède une table authentique de
marbre sur laquelle le roi ‘Avra:ḥa:me (Abraham) voulut sacrifier son fils. Cette sainte relique
fut ramenée par l’Impératrice Sainte Hélène, la mère de l’empereur païen romain Constantin le
grand. C’était Satan qui défia Ya:ḥou:(ḥ) sur l’intégrité du Saint ‘Avra:ḥa:me et réclama cette
épreuve cruelle. Confiant dans l’issue de la foi de Son Saint adorateur, Dieu laissa Bélial (Satan)
imposer cette épreuve à ‘Avra:ḥa:me. Ya:ḥou:(ḥ) mit fin à cette épreuve cruelle qui infligea une
humiliation à Satan l’ennemi du genre humain.
Attention !
Des Juifs corrompus de la Grande Synagogue, au quatrième siècle avant notre ère,
échangèrent le nom des épouses d’‘Avra:ḥa:me, pour séduire les Grecs à la peau blanche.
Ils falsifièrent leurs archives et les manuscrits religieux sous leur garde.
Voici la véritable histoire rétablie par Saint-Esprit :
IMPÉRATRICE ISIS,
EST AGAR L’ÉTHIOPIENNE,
L’ISHTAR (ESTHER), l’ÉPOUSE DE TAMMUZ (AVRA:HA:ME),
LA VRAIE MÈRE D’ISAAC
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Isis, Ishtar, la vraie mère d’Isaac, est connue pour sa beauté, son amour.
Déesse de la fertilité, car elle conçut par miracle divin.
La vraie histoire rétablie : Agar l'éthiopienne (Esther ou Ishtar) mère d'Isaac, contre la
reine indienne Sara (Vashti) répudiée avec son fils Ismaël. Et Mardouk (Mardochée), le
héros du peuple noir.
Fête de la délivrance du peuple des Éthiopiens et de tous les Noirs par le héros Mardouk
(Mardochée) au temps de la reine Ishtar (Esther) : le 14 et le 15 du 12ème mois, mois de
Ya:psithe-Ya:ḥou:(ḥ) (Japhet).
À l'origine, "le Livre d'Ishtar" (falsifié en livre d'Esther par des Juifs corrompus) fut écrit
par le roi ‘Avra:ḥa:me en Sankrit. Il reste des mots sanskrits dans le livre falsifié "Livre
d'Esther".
Mardouk (nom déformé en Mardochée) fut le héros noir qui sauva son peuple noir, les
Éthiopiens d'un "holocauste noir" décidé par Haman, le Parthe.
Le héros Mardouk (Mardochée) est "le grand frère", "le taureau noir de l'abîme", "le héros
sans peur et sans reproche", agriculteur ayant obtenu un statut plus élevé avec un pouvoir
suprême.
« C'était le tuteur de Hadassah (c'est-à-dire Ishtar), la fille de son oncle. Elle n'avait plus, en
effet, ni père, ni mère. Or, cette jeune fille était d'une très grande beauté. A la mort de son père
et de sa mère, Mardouk l'avait adoptée. » Ishtar (Esther) 2:7, texte originel rétabli.
« Il ne voulut pas se contenter de porter la main sur le seul Mardouk. Comme on lui avait fait
savoir quel était le peuple de Mardouk, Haman chercha à détruire tous les Éthiopiens, le peuple
de Mardouk, dans tout le royaume de Kédorlaomer. » Ishtar (Esther) 3:6, texte originel rétabli.
« Car l'Éthiopien Mardouk occupait le second rang après le roi Kédorlaomer. C'était le géant
des Éthiopiens, qui avait la faveur de la multitude de ses frères. Il cherchait le bien de son peuple
et parlait pour la paix de tous les siens. » Ishtar (Esther) 10:3, texte originel rétabli.
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Les Parthes sont les descendants d’Agag, un des fils de Caïn. Agag était dans l'Arche
universelle, parmi les 184 survivants du Déluge (et non 8 suite à des fautes de scribes).
Une fête universelle fut instituée pour commémorer ce Salut : la Fête AKITU. Cette Fête
de deux jours, durant laquelle on échange des cadeaux et distribue des aumônes, est la
fête originelle de la Fête de Noël pervertie. Des Juifs corrompus l'ont changé en Fête des
Pourim.
La reine Ishtar (nom déformé en Esther), éthiopienne d'origine,
est Agar « l’Éthiopienne ». La reine Ishtar (Esther), ou Agar l'Éthiopienne, remplaça la
reine Vashti (nom sanscrit de l'Indienne Sara, à la peau rouge). C'est la reine Ishtar, ou
Agar l’Éthiopienne, qui est la mère d'Isaac de peau noire comme ses parents. La reine
Vashti (ou Sara l'Indienne) fut destituée et chassée avec son fils Ismaël.
Le roi d'Ur, Térah, était le père du prince ‘Avra:me. Il était à la cour du roi Nemrod à
Babel. Térah était idolâtre et meurtrier. Ya:ḥou:(ḥ) le frappa avec Foudre.
Mais auparavant, fidèle adorateur de Ya:ḥou:(ḥ), ‘Avra:me s'enfuit sur l'ordre de Dieu.
Il fut bénit et devint le plus grand et le plus puissant des rois. C'est Melkisédek qui l'oignit
"Roi des Goyim" au Nom de Ya:ḥou:(ḥ).
L'empire d’‘Avra:ḥa:me s'étendait sur de nombreux pays, 120 satrapies. Le roi ‘Avra:ḥa:me
construisit des villes, dont Mamré-Ya:ḥou:(ḥ) appelée plus tard Rrèvro:ne (Hébron) et
Memphis. Il avait une flotte militaire. Il portait le titre « Kédorlaomer ». Le roi Hammourabi
était son allié.
Note :
- La première phrase en Beré’shith (« Genèse ») 14:1 est identique à celle de Ishtar
(Esther) 1:1.
- Esther 2:5, 6 est une interpolation, ce dernier passage était à l’origine après 2 Chroniques
36:10.
C’est lors d’un banquet politique dans les jardins suspendus à Babylone, que la reine
Vashti (ou Sara) refusa publiquement d’obéir au roi et de danser. Il y a encore des restes
de ces jardins suspendus. Ils sont sur le territoire aujourd’hui des Émirats Arabes Unis.
C’est là-bas qu’il y avait la première ville Babylone. À ne pas confondre avec Babel en
Sumer ! Voir Beré’shith chapitre 14 et le livre canonique Lamouel 7:8, 12 ; 8:16.
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ROI YITZRrA:Q (ISAAC),
FILS DU ROI ‘AVRA:ḤA:ME (ABRAHAM),
À LA PEAU NOIRE,
EST LE PHARAON HOR (grec : HORUS D’EDFOU)
Il est appelé encore Horus l’Enfant, Harpocrate, Hornedjitef, Harendotès.
Une de ses capitales héritées était Chemnis. Il construisit Edfou.
Isaac fut engendré par ‘Avra:ḥa:me, après la résurrection de ce dernier. Il y a eu double
miracle divin pour sa conception : résurrection de son père et guérison de sa mère Isis
stérile.
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YITZRrA:Q (Isaac), ou Hor, sera le premier à porter le titre de Pharaon.
Il écrivit un livre canonique : « Livre des Porches ».
Il est appelé aussi Arès chez les Grecs, et Mars chez les Romains.
REINE RIVQA:-YA:ḤOU:(Ḥ) (RÉBECCA),
ÉPOUSE DU ROI YITZRrA:Q (ISAAC),
À LA PEAU NOIRE,
EST LA PHARAONNE HÉTHERT (HATHOR),
APPELÉE NINGIZZIDA À SUMER,
Musée Égyptien de Turin
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C’est Hathor de Dendérah, avec l’épithète noble « Belle de visage ». Beré’shith 24:16.
Le roi Isaac perdit un œil dans un combat contre Seth le frère d’Avra:ḥa:me. Isaac voulait
venger son père assassiné. La pharaonne Rivqa:-Ya:ḥou:(ḥ) (Rébecca) guérit avec succès
les yeux de son mari Isaac avec du lait de gazelle.
RIVQA:-YA:ḤOU:(Ḥ) (RÉBECCA),
ÉPOUSE DU ROI YITZRrA:Q (ISAAC), EST AUSSI
APHRODITE CHEZ LES GRECS, VÉNUS CHEZ LES ROMAINS
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YA:ḤOU:(Ḥ)-(AQOV (JACOB), FILS D’ISAAC,
EST IHY (HOR SEMA TAUI ou HARSOMTOUS),
À LA PEAU NOIRE
Ya:ḥou:(ḥ)-(Aqov (Jacob) signifie « un humain qui voit Ya:ḥou:(ḥ) », en raison de la
prééminence de sa naissance parmi les premières créatures. Voir le livre canonique « Prière de
Joseph ».
« Son cœur est droit, parfait » lit-on dans les hiéroglyphes égyptiens. Il était d’une grande piété.
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Les « Eaux de la Vie » sont dans ses mains. Il est « la Grande Semence ». Allusions à la Semence
Promise mentionnée en Beré’shith 3:15 et 22:18.
Il aima la musique pure, qui réjouit Dieu. Ihy, Ya:ḥou:(ḥ)-(Aqov (Jacob), jouait de la harpe et
du luth. Il fut déifié en dieu de la musique.
Appelé aussi Nefertum, le dieu du parfum.
Il avait pour surnom « Maître de l’amour, de la joie ».
Il aimait la danse. Il dansait nu.
Il est représenté comme un jeune taureau qui sautille et danse.
D’ailleurs, Ya:ḥou:(ḥ) se manifesta sous la forme surnaturelle d’un Taureau pour conduire les
Juifs à travers la Mer Rouge.
C’est pourquoi, par peur et sous l’influence idolâtrique néfaste des prêtres nouvellement
convertis Jannès et Jambrès, des Juifs firent un veau d’or et dansèrent nus devant celui-
ci, en l’honneur de Ya:ḥou:(ḥ)-(Aqov (Jacob) et de leur Dieu qui les avait conduit à travers
la Mer Rouge. Exode 32:25.
Par la suite, des Juifs corrompus effacèrent les passages divins où Ya:ḥou:(ḥ) et Ses
Ambassadeurs se présentent sous l’image du Taureau d’Yissra-Ya:ḥou:(ḥ) (Israël) :
« Leurs arcs ont été brisés avec force ! Les nerfs des bras de leurs mains se sont relâchés !
Par le Taureau de Ya:ḥou:(ḥ)-(Aqov ! De là, Celui qui fortifie Yissra-Ya:ḥou:(ḥ) ! »
Beré’shith 49:24. Texte originel rétabli.
« Chacun eut à manger du Pain des Taureaux ! Il leur envoya du Pain à satiété ! »
Psaumes 78:25.
« Je louerai le Nom de Ya:ḥou:(ḥ) par le chant ! Je le magnifierai par la reconnaissance !
Le Taureau nouveau présentant ses cornes ! Ses ongles plurent à Ya:ḥou:(ḥ) ! »
Psaumes 69 :31, 32. Texte originel rétabli. Prophétie messianique supprimée par des
Juifs corrompus. Voir l’Écrit rabbinique « liber Ialkut » citant Ps. LXIX, 32.
Ya:ḥou:(ḥ)-(Aqov (Jacob) est aussi appelé Éros chez les Grecs, et Cupidon chez les
Romains.
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YA:ḤOU:(Ḥ)-(AQOV (JACOB) ET (É:SSA:-YA:ḤOU:(Ḥ) (ÉSAÜ) SONT
ÉROS ET ANTÉROS CHEZ LES GRECS,
LES DIEUX JUMEAUX DOUMOUZI ET GIZZIDA À SUMER
Bagarre entre les deux frères jumeaux
Antéros, l’archer, est rempli de haine et de vengeance. Beré’shith 25:27 ; 27:41, 42 ; 32:7.
(É:ssa:-Ya:ḥou:(ḥ) (Ésaü), le chasseur, le sanguinaire, le carnivore, lance des flèches
meurtrières. En opposition, Ya:ḥou:(ḥ)-(Aqov (Jacob), le végétarien, lancent des flèches
d’amour !
Éros et Antéros se battent souvent. Ils sont en rivalité pour une palme (l’héritage céleste).
Beré’shith 25:23.
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Les princes Ya:ḥou:(ḥ)-(Aqov (Jacob) et (É:ssa:-Ya:ḥou:(ḥ) (Ésaü) avaient une sœur. Cette
princesse est appelée Harmonie par les Grecs.
Le roi (É:ssa:-Ya:ḥou:(ḥ) (Ésaü) viendra attaquer la citadelle familiale de Mamré-
Ya:ḥou:(ḥ) (Mamré) appelée plus tard Rrèvro:ne (Hébron). Le prince Ya:ḥou:(ḥ)-Da(ḥ)
(Juda), le fils du roi Ya:ḥou:(ḥ)-(Aqov (Jacob), le tua d’une flèche décochée du haut des
murailles, lorsque son oncle donna son assaut agressif pour tuer Ya:ḥou:(ḥ)-(Aqov.
YA:ḤOU:(Ḥ)-(AQOV (JACOB) ET RA:RrÉ:L (RACHEL),
SONT CUPIDON (ÉROS) ET PSYCHÉ CHEZ LES GRECS
Psyché est si belle… Beré’shith 29:17-20
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LIEU DU CAVEAU DES SAINTS PATRIARCHES,
ET DE LEURS SAINTES ÉPOUSES,
À RrÈVRO:NE (HÉBRON)
Mamré-Ya:ḥou:(ḥ) (Mamré), appelé plus tard Rrèvro:ne (Hébron), fut construit par le
roi ‘Avra:ḥa:me (Abraham), lorsqu’il dominait sur un empire très étendu.
‘Avra:ḥa:me portait le titre Kédorlaomer. Rrèvro:ne (Hébron) était une de ses capitales. Elle fut
construite avant Memphis.
Les Héthéens sont les Xétas, ou les Xatte des Assyriens. Preuve : le roi de Xéta, territoire de
Xatte, grand-père de Xéta-Sar, qui traita avec Ramsès II, se nomme Saplel ou Sepalulvi.
Les Xétas ou Héthéens, appelés « les Routennu » en Égypte, étaient soumis aux (Ivri:m
(Hébreux) sous la domination de Kédorlaomer (roi ‘Avra:ḥa:me). Sur cette Terre Sainte,
la « To Nuter » de la stèle de victoire de Thotmès III, l’empereur ‘Avra:ḥa:me bâtit la
capitale Mamré-Ya:ḥou:(ḥ).
Le gros des Héthéens ou Xétas vivaient dans le Nord de la Syrie, avec d’autres peuples (Hus,
Hal, Gueter, Mas). Mentions des Héthéens en Beré’shith 10:15, 16 ; 23:7 ; 25:10 ; 49:30 ; Exode
3:17 ; 13:5 ; 23:23, 28 ; 33:2 ; 34:11 ; Nombres 13:18 ; Deutéronome 7:1 ; Ya:ḥou:(ḥ)-Shoua(
(Josué) 3:15 ; 7:8 ; 24:11 ; Juges 3:5 ; 1 Shemou:-Ya:ḥou:(ḥ) (Samuel) 7:14 ; 26:6 ; 2 Shemou:-
Ya:ḥou:(ḥ) (Samuel) 11:3, 6 ; 1 Rois 10:29 ; 2 Rois 7:6 ; 2 Chroniques 1:17.
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Le château d’‘Avra:ḥa:me englobait les quatre collines de ce lieu. « Kariat-Arba » signifie
« Ville d’Arba » ou « Ville Quatre », car il y avait quatre collines. Sa forteresse avait quatre
portes, Nord, Est, Sud, Ouest.
Son château comprenait un lieu de culte druidique originel. ‘Avra:ḥa:me utilisait les Chênes
sacrés pour adorer Ya:ḥou:(ḥ). C’est l’origine du culte druidique des Celtes qui dévia
progressivement. Beré’shith 18:1. Le Chêne fait partie des « arbres de Vie ». 1ère
Apocalypse de Jean 22:2. L’écorce de chêne était utilisé à l’intérieur contre la diarrhée, la
dysenterie, les hémorragies ; à l’extérieur, contre les gerçures et comme désinfectant des plaies.
Sous une de ces collines de Mamré-Ya:ḥou:(ḥ), il y a des grottes. ‘Avra:ḥa:me fit d’une
double caverne un caveau royal et familial. Cette double caverne contient deux étages
superposés.
Ismaël ne fut pas enterré en ce lieu, conformément aux volontés divines du Saint Patriarche
‘Avra:ḥa:me. Une Cour des « dieux » a été obligé de se réunir dans cette capitale pour
régler le contentieux de la succession du roi ‘Avra:ḥa:me après son départ.
Le roi Da:wid construisit un palais au-dessus de ces saintes cavernes sépulcrales. Beré’shith
18:1 ; 23:17-20 ; 25:9, 10. Au sixième siècle avant notre ère, les armées babyloniennes de
Nabuchodonosor pillèrent et détruisirent ce palais funéraire des Saints Patriarches.
L’Impératrice Sainte Hélène, la mère de l’empereur romain païen Constantin le grand,
fit construire une basilique chrétienne au-dessus des saintes grottes funéraires.
Puis, au septième siècle de notre ère, les Musulmans ravirent ce site sacré non islamiste,
détruisirent la sainte basilique, et construisirent une mosquée au-dessus. Elle est appelée
« Khalil-er-Rahman » signifiant « cité du Chéri de Dieu ». L’Islam n’apparut que deux mille
sept cents ans après la mort du patriarche ‘Avra:ḥa:me (Abraham). En 2016, les Juifs et les
Chrétiens n’ont toujours pas le droit d’entrer de nouveau dans les saintes grottes
funéraires.
Mais, Ya:ḥou:(ḥ) prophétisa que ce haut lieu sacré sera totalement libéré en l’an 2022 de
cette annexion violente par l’Islam.
(Lire aussi les documents archéologiques et bibliques sur Noé, Joseph, et Moïse,
téléchargeables sur le site chretiensretablis.com aux rubriques « Peau noire de Jésus ».)
Site chretiensretablis.com