Baie de Ushuaia - Terre de feu- Argentine Baie Ensenada – Mexique.
Etat des lieux des cours d’eau - Vers le SAGE de la baie ...
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CONTRAT TERRITORIAL DE LA BAIE DE DOUARNENEZ
Etat des lieux des cours d’eau
Extrait pour le diagnostic de territoire du Plan gouvernemental de lutte contre les algues vertes
26 septembre 2011
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SOMMAIRE
1. L’ETUDE PREALABLE COURS D’EAU ................................................................................................. 4
2. METHODOLOGIE DE L’ETUDE ........................................................................................................... 4 2.1. CHOIX DE LA METHODE ......................................................................................................................... 4
2.2. PRINCIPE DE LA METHODE ...................................................................................................................... 4
3. DIAGNOSTIC COURS D’EAU ............................................................................................................ 5 3.1. INVENTAIRE DES PRESSIONS ET IMPACTS SUR LE MILIEU ............................................................................... 5
3.2. EXPERTISE DE L’IMPACT DES PERTURBATIONS ............................................................................................ 5
4. AUTOEPURATION DE L’EAU PAR LES COURS D’EAU .......................................................................... 6
5. RESULTATS DU DIAGNOSTIC ............................................................................................................ 7 5.1. BASSINS VERSANT ET RESEAUX HYDROGRAPHIQUES .................................................................................... 7
5.2. LA RIPISYLVE ...................................................................................................................................... 10
5.2.1. LES FONCTIONS DE LA RIPISYLVE ............................................................................................................ 10
5.2.2. LES RESULTATS DE L’ANALYSE ............................................................................................................... 12
5.2.3. LES ELEMENTS DU DIAGNOSTIC ............................................................................................................. 13
5.2.4. LES PERTURBATIONS ET LEURS ORIGINES ................................................................................................. 13
5.3. L’ACCES DIRECT AU COURS D’EAU .......................................................................................................... 14
5.3.1. L’INTENSITE DU PIETINEMENT ............................................................................................................... 14
5.3.2. L’ABREUVEMENT DES ANIMAUX ............................................................................................................ 15
ANNEXES .............................................................................................................................................. 16
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1. L’étude préalable cours d’eau
Cette étude précède la mise en œuvre du volet milieux aquatiques cours d’eau. Elle a pour objectif la
définition des modalités de gestion (actions) sur l'ensemble des composantes hydromorphologiques
des cours d’eau. Elle doit permettre la mise en place d’une gestion différenciée qui réponde à des
objectifs locaux définis dans le cadre de l’intérêt général et de la gestion équilibrée des milieux
aquatiques.
2. Méthodologie de l’étude
2.1.Choix de la méthode
La méthode utilisée pour réaliser cette étude est basée sur l’intégrité de l’habitat (appelé REH pour
Réseau d’Evaluation des Habitats). Cette méthode a servi à déterminer la qualité des masses d’eau
dans le cadre de la DCE. Elle est également mise en œuvre par l’ONEMA (Office National de l’Eau
et des Milieux Aquatiques) dans le cadre du Réseau d’Observation des Milieux (ROM).
2.2.Principe de la méthode
La DCE a pour objectif d’atteindre d’ici 2015 le bon état écologique des écosystèmes aquatiques, ce
qui suppose dans un premier temps une évaluation de l’état actuel. Un écosystème aquatique est
l’association de deux composantes :
le biotope, c'est-à-dire le milieu physique caractérisé par la qualité de l’eau et des habitats
aquatiques,
la biocénose qui est l’ensemble des êtres vivants qui peuplent cet écosystème.
Les espèces qui peuplent le milieu aquatique sont dépendantes de la qualité de l’habitat. La
dégradation de l’habitat (lorsque la qualité de l’eau est mauvaise ou lorsque le lit est uniforme), peut
entrainer la disparition des espèces sensibles de la qualité du milieu
Ainsi, le principe de la méthode REH est d’évaluer la qualité des cours d’eau français par rapport aux
exigences globales des poissons.
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3. Diagnostic cours d’eau
3.1.Inventaire des pressions et impacts sur le milieu
L’ensemble des cours d’eau fait l’objet d’un état des lieux qui permet d’établir un inventaire des
perturbations ayant un impact significatif sur le milieu. Cet inventaire prend en compte les impacts
sur les différents compartiments hydromorphologiques du milieu, donc sur le biotope.
3.2.Expertise de l’impact des perturbations
L’application de la méthode REH implique de se reporter à des milieux références pour évaluer
l’impact des activités humaines sur l’écosystème aquatique :
des références naturelles : référence à un milieu naturel de même type écologique
(milieu non ou faiblement modifié par les activités humaines). Pour la Baie de
Douarnenez, Le Ris a été pris comme référence.
des références par type de cours d’eau : les cours d’eau présentent une hétérogénéité
dans leurs capacités d’habitat et de régénération nécessitant des connaissances de
terrain et une vérification de la cohérence à une échelle régionale et nationale.
L’expertise se base sur plusieurs principes :
une évaluation basée sur les exigences d’habitat d’espèces indicatrices du bon
fonctionnement du système (les salmonidés et l’anguille pour la zone d’étude),
une expertise en plusieurs étapes :
1- description du milieu dans son état actuel,
2- description des principales activités humaines ayant une influence significative sur
l’habitat (causes de perturbations et activités),
3- expertise du niveau d’altération de l’habitat résultant de l’incidence des activités
humaines sur le milieu,
4- évaluation et validation,
la description du milieu ne participe pas directement à l’évaluation car il s’agit d’une
description de paramètres dont les caractéristiques peuvent être d’origine naturelle ou
anthropique,
l’expertise porte sur :
- 3 compartiments physiques : lit mineur, berge - ripisylve, bande riveraine,
- 3 compartiments dynamiques : débit, ligne d’eau, continuité,
l’évaluation est réalisée à partir des paramètres d’altération de l’habitat en prenant en
compte le degré d’altération et l’étendue de leur influence sur le sous bassin (linéaire
affecté).
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4. Autoépuration de l’eau par les cours d’eau
La bibliographie scientifique sur l’autoépuration de l’eau par les cours d’eau est unanime ; les
écosystèmes aquatiques participent de façon significative à la régulation des flux de nutriments.
La ripisylve participe de manière déterminante à cette régulation, car traversée par d’importantes
masses d’eau, elle puise et stockent efficacement l’azote notamment. Une étude de Charles
Ruffinoni, CNRS, a démontrée qu’une jeune ripisylve peut prélever en moyenne 38 fois plus d’azote
qu’une prairie pâturée.
L’enjeu qualité de l’eau est donc à prendre en compte dans la gestion des cours d’eau et
essentiellement l’efficacité de la ripisylve.
Un second paramètre concernant les cours d’eau provoque des pollutions des eaux de surfaces :
l’accès direct au cours d’eau par les animaux d’élevage.
La présence d’animaux d’élevage peut avoir des conséquences non négligeables sur la qualité de
l’eau. En effet, le bétail apprécie les ambiances fraiches des cours d’eau et peut stationner plusieurs
heures dans le lit. Les déjections provoquent alors une pollution des eaux. L’accès direct provoque
également un piétinement des berges et participe à la détérioration de la ripisylve.
La qualité de l’eau des milieux aquatiques étant un axe majeur de lutte contre les marées vertes, le
résultat du diagnostic cours d’eau n’est pas présenté dans sa totalité. Deux éléments seront traités :
L’état actuel de la ripisylve
L’accès direct au cours d’eau par les animaux d’élevage
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5. Résultats du diagnostic
A ce jour, cette étude n’est pas terminée et ne porte pas sur l’ensemble du bassin versant Algues
Vertes. D’une part, les bassins versant de la presqu’île de Crozon (l’Aber, le Kervezennec, le
Lamboëzer, le Toul an Trez, le Loch) ne sont pas compris dans le périmètre d’étude, et d’autre part,
environ 35 % des cours d’eau du périmètre d’étude restent à diagnostiquer. Par conséquent, le
diagnostic suivant porte en partie sur des estimations. Les données des cours d’eau dont l’état des
lieux n’a pas été réalisé ont été extrapolées à l’aide des données des cours d’eau voisins ayant des
caractéristiques générales similaires (géologie, occupation du sol).
5.1.Bassins versant et réseaux hydrographiques
Bassin versant Code masse d'eau Surface (en Km²) Longueur du réseau
hydrographique (en Km) Densité de drainage
Treboul
4,27 9,00 2,11
Ar Veret
1,08 4,00 3,70
Kergaouledan FRGR1313 14,95 21,00 1,40
Stalas FRGR1313 22,32 63,00 2,82
Penity
3,84 5,25 1,37
Ris FRGR0077 35,90 79,75 2,22
Kerscampen
2,15 3,75 1,74
Trezmalaouen
4,76 6,44 1,35
Lapic FRGR1324 27,11 34,23 1,26
Saint Anne
1,25 1,29 1,03
Ty Anquer
11,49 13,34 1,16
Kerharo FRGR0075 44,65 94,50 2,12
Ty Mark
1,08 2,25 2,08
Lestrevet FRGR1357 12,43 19,81 1,59
Kerellec sud
1,37 2,25 1,64
Kerellec nord
1,90 2,25 1,19
Pentrez
13,43 20,76 1,55
Cameros
3,76 5,25 1,40
Porlous
2,64 5,25 1,99
Rostegoff
3,25 4,50 1,39
Trez-Bellec
0,74 2,00 2,69
Pen ar Stang
0,89 3,00 3,36
Caon
2,01 3,00 1,49
Aber FRGR0076 30,89 40,00 1,30
Kervezennec
1,66 4,50 2,71
Lamboezer
1,52 5,00 3,30
Toul an Trez
2,94 5,50 1,87
Loch
4,03 3,50 0,87
TOTAL 258,32 464,36 1,80
Caractéristiques générales des bassins versant
8
9
Les 28 bassins versant étudiés représentent une surface de 258,32 Km². La surface totale se
répartie essentiellement entre 5 grands bassins versant de plus de 20 Km² représentant 62 % et
de 4 bassins versant de taille moyenne (environ 5 Km²) représentant 20 %. Les 19 autres
bassins versant qui représentent 18 % de la surface totale ont une surface très faible variant de
0,74 à 4,76 Km².
L’ensemble du réseau hydrographique est étudié, de la source (ou zone de source) jusqu'à
l’exutoire en mer. Les cours d’eau (rivières, ruisseaux et chevelus) sont définis suivant la
méthodologie détaillée en annexe 1. Les 28 cours d’eau étudiés représentent un linéaire
estimé d’environ 460 Km. Les deux cours d’eau les plus importants sont le Kerharo et le Ris,
avec respectivement 94 et 80 Km de réseau hydrographique.
Treboul1,65%
Ar Veret0,42%
Kergaouledan5,79%
Stalas
8,64%Penity1,49%
Ris13,90%
Kerscampen0,83%
Trezmalaouen1,84%
Lapic10,49%
Saint Anne0,48%
Ty Anquer4,45%
Kerharo
17,29%
Ty Mark0,42%
Lestrevet4,81%
Kerellec sud
0,53%
Kerellec nord0,73%
Pentrez5,20%
Cameros1,46%
Porlous1,02%
Rostegoff1,26%
Trez-Bellec0,29%
Pen ar Stang0,35%
Caon0,78%
Aber11,96%
Kervezennec0,64%
Lamboezer0,59%
Toul an Trez1,14%
Loch1,56%
Répartition par bassins versant de la surface totale du bassin versant Algues
Vertes
0,00
10,00
20,00
30,00
40,00
50,00
60,00
70,00
80,00
90,00
100,00
Longueur des réseaux hydrographiques de chaque cours d'eau
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La densité de drainage permet de comparer les cours d’eau entre eux. Il s’agit du rapport entre
linéaire du réseau hydrographie et surface de bassin versant. On peut remarquer que les deux
grands cours d’eau de la baie de Douarnenez, le Kerharo et le Ris, ont une densité supérieure
à 2. La carte ci-dessous confirme que ces deux cours d’eau ont un réseau hydrographique
dense. Par comparaison, le bassin versant du Ty Anquer qui est faiblement drainé a une
densité de drainage proche de 1.
5.2.La ripisylve
5.2.1. Les fonctions de la ripisylve
Illustration des principales fonctions de la ripisylve. Auteur : HYDRO CONCEPT
La ripisylve est composée de l’ensemble des espèces végétales présentent sur les berges d’un
cours d’eau. Ses limites sont celles atteintes par les crues moyennes. Ces espèces sont
réparties en trois strates : herbacée, arbustive et arborescente.
La ripisylve a un rôle essentiel dans l’équilibre de l’écosystème d’une rivière. Ses fonctions
sont multiples :
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Fonction épuratrice :
- L’apport de minéraux est fortement limité (nitrates et phosphates), d’une part,
par un effet filtre en favorisant l’infiltration des eaux au détriment du
ruissellement, et d’autre part, par fixation en produisant de la biomasse.
- L’écoulement des eaux est freiné et l’étalement des crues est favorisé.
L’autoépuration des eaux est alors optimale.
- La ripisylve limite les matières en suspensions en freinant l’érosion des sols.
- Elle limite également l’apport de substances chimiques au cours d’eau
(produits phytosanitaires, métaux lourds).
Fonction hydrologique :
- En freinant l’écoulement des eaux, la ripisylve favorise les échanges avec la
nappe d’accompagnement du cours d’eau.
- Cet effet de frein à l’écoulement permet également de limiter l’intensité des
crues, et de retarder le retour de l’eau dans le lit mineur.
Fonction mécanique :
- La ripisylve protège efficacement les berges contre l’érosion grâce à son
système racinaire,
- Les parties aériennes des strates arbustives et arborescentes dissipent l’énergie
du courant et limitent l’érosion du lit et des berges.
- La strate herbacée a un effet quant à elle de protection de la surface des sols.
- Le rideau d’arbres et d’arbustes a un effet coupe vent qui protège les animaux
d’élevage et les cultures.
Fonction écologique :
- La ripisylve est un espace d’échange, appelé écotone, entre le milieu terrestre
et aquatique. La biodiversité y est généralement très élevée.
- La diversité des habitats aquatiques et terrestres est forte lorsque la ripisylve
est présente. C’est un lieu de reproduction, d’alimentation et d’abris pour la
faune.
- L’ombrage limite le développement trop important des algues et des plantes
aquatiques.
- C’est un lieu de production important en biomasse.
Fonction paysagère :
- De manière générale, la ripisylve présente une diversité en termes de volumes,
couleurs, formes… . Les formations végétales riveraines et typiques des
milieux humides participent grandement à la valorisation des paysages.
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5.2.2. Les résultats de l’analyse
Les grands cours d’eau présentent logiquement les plus grands linéaires de ripisylve dégradés.
Proportionnellement, le niveau d’altération des ripisylves varie de 30 à 40 %. Globalement, la
ripisylve est fortement altéré à 20 % et moyennement altérée à 19 %. 61 % des ripisylves sont
dans un état satisfaisant à très bon.
0
20 000
40 000
60 000
80 000
100 000
120 000
140 000
160 000
180 000
Longueur de ripisylve suivant le niveau d'altération
Forte
Moyenne
Faible
Nulle
40%
21%
19%
20%
Altération de la ripisylve au niveau du bassin versant de la baie
Nulle
Faible
Moyenne
Forte
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5.2.3. Les éléments du diagnostic
Les résultats de l’analyse ont été obtenus à l’aide de trois critères :
Le type d’écoulement : chevelu, ruisseau et rivière
Cette typologie est directement liée à la largeur du lit mineur du cours d’eau. Ce critère
permet de pondéré la largeur efficace de la ripisylve. Par exemple, une largeur de 2 mètres est
considéré efficace pour un chevelu et peu efficace sur une rivière.
La largeur de la ripisylve
La largeur de la ripisylve est le critère déterminant pour qualifier son efficacité, notamment
vis à vis de la capacité d’autoépuration de l’eau.
La densité et la continuité de la ripisylve
Ces deux critères permettent également de juger de l’efficacité de la ripisylve. Une ripisylve
large, dense et continue tout le long de la berge est un filtre très efficace par rapport aux
pollutions diffuses agricoles. La capacité de régénération naturelle et son niveau d’entretien
actuel sont également pris en compte à l’aide de ces deux critères.
5.2.4. Les perturbations et leurs origines
Le tableau suivant dresse la liste des perturbations rencontrées et leurs principales origines :
Perturbations Principales origines
Travaux hydrauliques (rectification,
recalibrage, reprofilage déplacement du lit,
curage, canalisation, recouvrement du lit)
- Travaux hydrauliques agricoles
- Travaux hydrauliques urbains
- Voies de communication
Entretien de la ripisylve - Entretien drastique
- Culture
- Elevage
- Aménagement espaces verts
Végétation inadaptée - Plantations de peupliers et de résineux
- Espèces invasives
Piétinement des berges - Elevage
Artificialisation des berges - Urbanisme
- Protection de berges en génie civil
Les travaux hydrauliques et l’entretien inadapté sont les principales causes d’altérations de la
ripisylve.
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5.3.L’accès direct au cours d’eau
La présence des animaux dans le lit du cours d’eau est du à deux facteurs : l’absence de
clôtures le long des berges provoquant du piétinement et à l’abreuvement en direct par des
abreuvoirs non aménagés.
5.3.1. L’intensité du piétinement
Le piétinement des cours d’eau se concentre au sud de la baie et sur le bassin versant de
l’Aber ou l’élevage bovin est plus présent. L’intensité est notée de 1 à 3 suivant l’observation
de la dégradation des berges.
0%
10%
20%
30%
40%
50%
60%
70%
80%
90%
100%
Intensité du piétinement par cours d'eau
Linéaire piétiné
Linéaire non piétiné
6%
94%
Intensité du piétinement du bassin versant
de la baie
Linéaire piétiné
Linéaire non piétiné
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5.3.2. L’abreuvement des animaux
Trois types d’abreuvoirs sont recensés : les pompes de prairie, les abreuvoirs gravitaires, et les
abreuvoirs non aménagés. Ces derniers se retrouvent logiquement dans les mêmes zones
géographiques que les linéaires de cours d’eau piétinés.
0
10
20
30
40
50
60
70
TREB
OU
L
AR
VER
ET
KER
GA
OU
LED
AN
STA
LAS
PEN
ITY
RIS
KER
SCA
MP
EN
TREZ
MA
LAO
UEN
LAP
IC
SAIN
T A
NN
E
TY A
NQ
UER
KER
HA
RO
TY M
AR
K
LEST
REV
ET
KER
ELLE
C S
UD
KER
ELLE
C N
OR
D
PEN
TREZ
CA
MER
OS
PO
RLO
US
RO
STEG
OFF
TREZ
-BEL
LEC
PEN
AR
STA
NG
CA
ON
LOC
H
TOU
L A
N T
REZ
LAM
BO
EZER
KER
VEZ
ENN
EC
AB
ER
Abreuvoirs présents sur chaque bassins versant
Sauvage
Pompe de prairie
Gravitaire
75%
8%
17%
Répartition des types d'abreuvoirs sur le
bassin versant de la baie
Sauvage
Pompe de prairie
Gravitaire
16
Annexe
Méthodologie de caractérisation du réseau hydrographique