Compte – rendu des avancées observés dans les aires ......1 Hockings, Marc avec Sue Stolton et...
Transcript of Compte – rendu des avancées observés dans les aires ......1 Hockings, Marc avec Sue Stolton et...
Compte – rendu des avancées observés dans les aires protégées
Un instrument de suivi
de l’efficacité de la gestion sur le terrain
Informations relatives aux auteurs: Sue Stolton [email protected] Marc Hockings [email protected] Nigel Dudley [email protected] Kathy MacKinnon [email protected] Tony Whitten [email protected]
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Imprimé en Mai 2003. © L’alliance Banque mondiale/WWF pour la conservation et l’utilisation durable des forêts L’instrument de suivi de l’efficacité de la gestion est un document de travail et sera mis à jour régulièrement basé sur l’expérience acquise durant sa mise en œuvre. Ces mises à jour seront réimprimés en temps voulu.
Table des matières
Généralités 1
Le cadre de la CMAP 1
Objectif de l’instrument de suivi de l’efficacité de la gestion 3
Remarques pour l’utilisation de l’instrument de suivi de l’efficacité de la gestion
3
Formulaire de données et questionnaire 5
Remerciements Préparé pour l’alliance Banque mondiale/WWF pour la conservation et l’utilisation durable des forêts Sincères remerciements à tous ceux qui ont commenté les versions précédentes de ce document, y compris Rod Atkins, David Cassells, Peter Cochrane, Finn Danielsen, Jamison Ervin, Jack Hurd, Glenys Jones, Leonardo Lacerda, Rosa Lemos de Sá, Mariana Montoya, Marianne Meijboom, Sheila O’Connor, Christian Peter, Jeff Sayer. La présente version a également largement bénéficié d’un rapport externe d’Antoine Leclerc. Antoine a interviewé des personnes du programme WWF Indochine sur l’instrument de suivi de l’efficacité de la gestion, dont l’expérience a été restituée dans ce document. Sue Stolton, Marc Hockings, Nigel Dudley, Kathy MacKinnon et Tony Whitten Traduction: Héloïse E. Gori Cabakovic Avril 2003
Généralités Les professionnels des aires protégés sont inquiets. Un nombre croissant d’aires protégées dans le monde n’obtiennent pas les résultats escomptés. Pour répondre à cette inquiétude, on a mis en avant la nécessité d’accroître l’efficacité de la gestion des aires protégées à l’aide d’instruments d’évaluation visant à apprécier les pratiques de gestion en vigueur. Il est évident que la diversité des situations et des besoins requiert des méthodes d’évaluation adaptées. Ainsi, la Commission mondiale des aires protégées (CMAP) a mis au point un cadre d’évaluation1. Le cadre de la CMAP a pour objectif d’établir des directives pour l’élaboration de systèmes d’évaluation et encourager la mise en place de normes d’évaluation et de compte-rendu. Le cadre de la CMAP se base sur l’idée selon laquelle une gestion efficace d’une aire protégée se caractérise par six étapes distinctes:
cela commence par la compréhension du contexte des valeurs et des menaces,
en passant par la planification et
l’allocation de ressources (entrées) et,
résultant d’activités de gestion (processus),
on aboutit à la production de biens et services (sorties),
qui entraînent des impacts ou résultats. Pour faire face à la destruction incessante de la biodiversité des forêts et de la disparition progressive des biens et services sylvicoles essentiels au développement durable, on a fondé l’alliance Banque Mondiale/WWF pour la conservation des forêts et l’utilisation durable (‘l’Alliance’) en avril 1998. Le
programme de l’Alliance comprend entre autres objectifs l’efficacité de la gestion des zones protégées: garantir la bonne gestion de 50 millions d’hectares de zones forestières protégées, mais très menacées d’ici 20052. Afin d’évaluer les progrès accomplis dans ce sens, l’Alliance a mis au point un instrument de suivi des progrès accomplis sur le terrain. Cet instrument devrait simplifier la procédure de compte-rendu sur l’efficacité de la gestion des aires protégées dont s’occupent la Banque mondiale et le WWF. Cet instrument est tiré du document-cadre de la CMAP et de son annexe II qui en ont fourni la structure de base. L’instrument de suivi de l’efficacité de la gestion (l'instrument de suivi) fait partie d’une série d’instruments d’évaluation. Il y a le RAPPAM (Rapid Assessment & Prioritization of Protected Area Management) du WWF utilisé pour identifier les aires protégées menacées prioritaires dans un système d’aires protégées; ou encore des systèmes sophistiqués de surveillance à l’instar du projet Enhancing Our Heritage (Mise en valeur de notre patrimoine) de l’UNESCO pour les biens du patrimoine mondial. L’Alliance a d’ailleurs soutenu l’élaboration du document-cadre de la CMAP et la méthodologie RAPPAM du WWF. Le cadre de la CMAP Pour maximiser le potentiel des aires protégées et améliorer les processus de gestion, il est impératif de comprendre les forces et les faiblesses des modes de gestion ainsi que les menaces auxquelles ils sont confrontés. Diverses méthodologies visant à évaluer l’efficacité de la gestion des aires protégées ont vu le jour ces dernières années et ont été testées au 2 Dudley, Nigel et Sue Stolton (1999); Threats to Forest Protected Areas: Summary of a survey of 10 countries; projet mené pour l’alliance Banque mondiale/WWF en association avec la Commission mondiale des aires protégées de l’UICN, UICN, Suisse
1 Hockings, Marc avec Sue Stolton et Nigel Dudley (2000); Assessing Effectiveness – A Framework for Assessing Management Effectiveness of Protected Areas; Université de Cardiff et UICN, Suisse
Compte – rendu des avancées observés dans les aires protégées 1
niveau mondial. La Commission mondiale des aires protégées propose un cadre général d’évaluation de l’efficacité de la gestion qui s’applique aux aires protégées et aux systèmes d’aires protégées. Il est un outil de référence pour les gestionnaires et autres personnes concernées et contribue à l’harmonisation des processus d’évaluation dans le monde.
Le tableau 1 résume brièvement les éléments contenus dans le cadre de la CMAP ainsi que les critères à évaluer 3. L’instrument de suivi de l’efficacité de la gestion a été conçu de manière à intégrer les éléments d’évaluation de ce cadre. Les questions contenues dans l’instrument de suivi ci-dessous sont ordonnées de manière à en simplifier l’utilisation; les éléments auxquels elles se réfèrent sont indiqués dans la colonne de gauche.
Tableau 1: Résumé du cadre de la CMAP
Eléments d’évaluation Explication Critères évalués Point focal de l’évaluation
Contexte
La situation actuelle Evaluation de l’importance, des menaces et du cadre politique
- Importance - Menaces - Vulnérabilité - Contexte national - Partenaires
Situation
Planification
La situation recherchée Evaluation de la planification de l’aire protégée
- Contexte juridique et politique de l’aire protégée
- Configuration du système d’aire protégée
- Configuration de la réserve
- Plan de gestion
Faisabilité
Entrées Les besoins Evaluation des ressources nécessaires
- Financement de l’agence
- Financement du site Ressources
Processus Les moyens Evaluation du mode de gestion
- Pertinence des processus de gestion Efficacité et faisabilité
Sorties
Les effets Evaluation de mise en oeuvre des programmes et activités de gestion; produits et services fournis
- Résultats des activités de gestion
- Services et produits Efficacité
Résultats
Les résultats Evaluation des résultats et de leur contribution aux objectifs
- Impacts: retombées des activités de gestion par rapport aux objectifs
Efficacité et faisabilité
3 Pour obtenir une copie du cadre de la CMAP ou
un résumé plus complet, veuillez vous rendre sur le site de la CMAP: www.iucn.org/themes/wcpa ou contacter la CMAP: [email protected]
Compte – rendu des avancées observés dans les aires protégées 2
Objectif de l’instrument de suivi L’instrument de suivi de l’efficacité de la gestion a été mis au point pour recenser et contrôler les progrès accomplis conformément à l’objectif d’efficacité de la gestion des aires protégées inscrit dans l’Alliance Banque mondiale/WWF. On espère aussi que cet instrument sera diffusé plus généralement, là où il peut servir de support au contrôle des progrès effectués pour une meilleure efficacité de gestion; en guise d’illustration, il est notamment utilisé par le Fonds mondial pour l’Environnement. L’Alliance a établi que l’instrument de suivi doit être:
Capable de fournir un système de compte-rendu harmonisé pour l’évaluation des aires protégées au sein de la Banque mondiale et du WWF;
Transposable;
Capable de fournir des données cohérentes pour permettre le suivi dans le temps;
Aisé et relativement rapide à remplir par le personnel des aires protégées, afin de ne pas dépendre de fonds élevés ou d’autres ressources ;
Capable de donner une « note » si nécessaire;
Basé sur un système offrant quatre réponses possibles pour chaque question, afin de renforcer le système de notation;
Facile à comprendre par des dilettantes; et
Intégré à des systèmes existants de compte-rendu pour éviter le double-emploi.
Limites L’instrument de suivi de l’efficacité de la gestion a pour but de faciliter le processus
de compte-rendu sur l’efficacité de la gestion et ne devrait pas remplacer les méthodes d’évaluation plus complètes au service de la gestion modulable. L’instrument de suivi doit être rempli par le responsable de l’aire protégée ou toute autre personne habilitée. Il a été mis au point pour fournir un rapide aperçu des progrès obtenus en matière d’amélioration de l’efficacité de gestion d’aires protégées individuelles. Il est donc évident que son objectif est strictement limité. En l’occurrence, il ne doit pas être considéré comme une évaluation indépendante, ni comme base unique qui justifierait le remaniement du mode de gestion concerné. Par ailleurs, étant donné la grande variété d’attentes, de ressources et de besoins dans le monde, l’instrument de suivi est aussi limité quant à la possibilité d’établir des comparaisons entre sites: au cas où son application est possible, le système de notation servira surtout pour attester des progrès obtenus dans le temps sur un seul site ou dans un groupe de sites étroitement liés. Enfin, l’instrument de suivi est trop limité pour fournir une évaluation détaillée des résultats. Il est destiné à identifier les étapes de gestion contenues dans le document-cadre de la CMAP, y compris les résultats. Même si le questionnaire contient des questions relatives aux résultats, il convient d’en noter les limites. Il est évident que si la biodiversité continue de décliner, quelle que soit la qualité de la gestion, les objectifs des aires protégées ne seront pas atteints. C’est la raison pour laquelle l’évaluation de la situation occupe une place disproportionnée dans l’instrument de suivi. Remarques pour l’utilisation de l’instrument de suivi L’instrument de suivi pour l’efficacité de la gestion peut être rempli par le personnel de l’aire ou du projet, avec les indications
Compte – rendu des avancées observés dans les aires protégées 3
du personnel d’autres aires protégées. L’instrument de suivi a été conçu pour être aisément rempli par les gestionnaires de l’aire protégée sans qu’ils aient besoin d’effectuer de recherches supplémentaires. Toutes les parties de l’instrument doivent être remplies. Il y a deux sections: 1. La feuille de données: elle fournit les
données essentielles du site, ses caractéristiques et les objectifs de gestion et comprend aussi un résumé de l’engagement de la Banque mondiale et du WWF.
2. Le formulaire d’évaluation: il se divise en trois parties qui doivent être entièrement complétées.
Questions et notes: la partie principale du formulaire d’évaluation se compose d’une série de 30 questions auxquelles doit être attribuée une note allant de 0 (mauvais) à 3 (excellent). A chaque question correspond une série de quatre réponses destinées à aider l’évaluateur dans son choix. Les questions qui ne sont pas applicables à l’aire protégée concernée doivent être omises en mentionnant la raison dans la section réservée aux commentaires (par exemple: les questions concernant l’utilisation et les visiteurs ne s’appliqueront pas aux aires protégées qui rentrent dans la catégorie Ia de l’UICN). Par ailleurs, il y a six questions supplémentaires destinées à fournir davantage d’informations sur les questions précédentes. Il s’agit inévitablement d’un processus approximatif et il y aura des situations dans lesquelles aucune des quatre réponses ne semblera s’appliquer exactement à la situation donnée. Il conviendra alors de choisir la réponse la plus pertinente et ajouter un commentaire dans la section prévue à cet effet.
Commentaires: à côté de chaque question, la possibilité est donnée
d’ajouter des jugements qualitatifs qui doivent être justifiés par une explication (qui peut provenir d’une opinion personnelle, d’un document de référence, de résultats de contrôle ou d’évaluation ou études externes, le but étant d’expliquer pourquoi l’évaluation a été faite dans ce sens). Il serait souhaitable, le cas échéant, d’inclure dans cette section quelques commentaires sur le rôle/l’influence des projets du WWF ou de la Banque mondiale. Dans certains cas, quelques points de développement sont suggérés dans les colonnes réservées aux commentaires.
Prochaines étapes: le cas échéant, l’évaluateur doit identifier pour chaque question un besoin de gestion à long-terme pour encourager l’adaptation continue du mode de gestion pour le site.
3. Note finale: la note finale sera un pourcentage des notes attribuées aux questions pertinentes eu égard à l’aire protégée concernée. (Ainsi, si 5 questions ne sont pas considérées pertinentes - ceci étant dûment justifié dans la colonne des commentaires - la note finale sera multipliée par 30/25 pour déduire les questions omises). Si les questions supplémentaires sont pertinentes, il faudra les rajouter à la note finale. Dans le cas contraire, elles seront omises.
Nota bene: Le fait de « noter » des progrès est un exercice difficile et pouvant causer des distorsions. Le système actuel considère notamment que toutes les questions couvrent des sujets auxquels est attribué un poids égal, ce qui n’est pas forcément le cas. Pour plus de précision, on pourrait envisager de pondérer les notes ce qui entraînerait le problème du choix des différentes pondérations. Dans la version actuelle, un système de notation simple a été conservé dont les limites sont reconnues.
Compte – rendu des avancées observés dans les aires protégées 4
Compte-rendu pour les sites d’aires protégées: feuille de données
Nom de l’aire protégée
Situation de l’aire protégée (pays, écorégion et référence cartographiée si possible)
Date de création (date approuvée OU date de l'établissement officiel*)
Approuvée Formellement établie
Propriété (propriétaire, droits fonciers, etc)
Responsable de gestion
Surface de l’aire protégée (ha)
Nombre d’employés
Permanents Temporaires
Budget
Désignations (catégorie UICN, bien du patrimoine mondial, Ramsar, etc)
Motifs de la désignation
Bref descriptif des projets financés par la Banque mondiale ou autres projets dans l’aire protégée
Bref descriptif des projets financés par le WWF ou autres projets dans l’aire protégée
Bref descriptif des autres projets pertinents dans l’aire protégée
Indiquer les deux principaux objectifs de l’aire protégée
Objectif 1
Objectif 2
Indiquer les deux menaces majeures pour l’aire protégée (et justifier ce choix)
Menace 1
Menace 2
Indiquer les deux activités de gestion majeures
Activité 1
Activité 2
Nom/s d’évaluateur et date de l’évaluation: ______________________________________________________ Coordonnées (courrier électronique, etc.): ________________________________________________________
* Ou création formelle dans le cas d’aires protégées privées
Compte – rendu des avancées observés dans les aires protégées 5
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ts
Crit
ères
N
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Com
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et d
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1
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2
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3
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– re
ndu
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N
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Com
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les,
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t de
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urs c
ultu
relle
s son
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mai
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1
Les p
ré-re
quis
pour
la g
estio
n ac
tive
d’éc
osys
tèm
es se
nsib
les,
d’es
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s cul
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e so
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s Le
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ystè
mes
sens
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s, d’
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ces e
t de
vale
urs c
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relle
s son
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e ge
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n es
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Le n
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e d’
empl
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est
en
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u se
uil o
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quis
pour
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ctiv
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e ge
stio
n es
sent
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ploy
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du p
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ent
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llem
ent
l’atte
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e ge
stio
n, m
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n po
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it êt
re
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2
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2
Com
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et le
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pr
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1
Le b
udge
t disp
onib
le e
st a
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re
amél
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pou
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tion
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Le b
udge
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Le b
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Le b
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men
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s ext
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uel
0
Le b
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t séc
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très
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rrait
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t sa
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tern
es
1
Le b
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t séc
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est
impo
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breu
ses
inno
vatio
ns e
t ini
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emeu
rent
dép
enda
ntes
de
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s ex
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es
2
16. S
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isatio
n d
u bu
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Le
bud
get e
st-il
sé
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Entré
es
Le b
udge
t est
sécu
risé
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s bes
oins
de
gest
ion
sont
cou
verts
po
ur p
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La g
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n d
u b
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omp
rom
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men
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0
La g
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get e
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cre
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ompr
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l’ef
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e la
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tion
de
l’aire
pro
tégé
e
1
La g
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n du
bud
get e
st a
déq
uate
mai
s pou
rrait
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am
élio
rée
2
17. G
estio
n du
bu
dget
Le
bud
get e
st-il
gér
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e fa
çon
à co
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les
beso
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Pr
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La g
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l’ef
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Il y
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Com
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3
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t les
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tenu
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0
Le m
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iel e
t les
inst
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nues
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1
Le m
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iel e
t les
inst
alla
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ent
rete
nues
, mai
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nes
subs
isten
t 2
19. E
ntre
tien
de
l’ins
frast
ruct
ure
L’in
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ure
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elle
ent
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l et l
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mm
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1
Il y
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pro
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me
d’éd
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ion
et d
e se
nsib
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mai
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20. P
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Il n’
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mai
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1
Les p
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2
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gène
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3
Les c
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pent
pas
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s de
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unau
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unau
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loca
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Les c
omm
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tés
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sion
conc
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Les i
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t ser
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s pou
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s son
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s aux
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24. I
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llatio
ns p
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Le
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tions
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s lo
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mai
s son
t rev
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s aux
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s lo
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s 1
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s 13
Com
pte
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ndu
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men
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nism
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stio
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prot
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Les s
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mes
de
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n pe
rmet
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un
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rôle
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cace
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l’acc
ès e
t de
l’util
isatio
n d
e la
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selo
n le
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blis
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L’ex
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L’ex
isten
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impo
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nom
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gion
ale
2
29. E
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atio
n de
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anta
ges
écon
omiq
ues
L’ai
re p
roté
gée
est-
elle
sour
ce
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vant
ages
éc
onom
ique
s pou
r le
s com
mun
auté
s lo
cale
s?
Résu
ltats
L’ex
isten
ce d
e l’a
ire p
roté
gée
a en
traîn
é de
s ava
nta
ges
signi
ficat
ifs p
our l
es c
omm
unau
tés l
ocal
es, à
l’in
térie
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omm
e à
l’ext
érie
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e l’a
ire p
roté
gée
(em
ploi
s, ci
rcui
ts c
omm
erci
aux
géré
s loc
alem
ent,
etc.
)
3
Sugg
estio
n de
com
men
taire
: de
que
lle m
aniè
re le
dé
velo
ppem
ent n
atio
nal o
u ré
gion
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fluen
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il l’a
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prot
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L’ai
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s de
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es d
e co
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0
L’ai
re p
roté
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ale
et/o
u n’
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as d
’inve
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re
1
L’ai
re p
roté
gée
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ose
d’un
syst
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ontrô
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2
30. C
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L’ai
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