Catalogue de l'exposition BMA 2014
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bmabretagne mobilité augmentée
BMA, activateur de solutions et de pratiques nouvellesde mobilité, est un programme labellisé par l’ADEME
dans le cadre des investissements d’avenir.
Point de suivi : septembre 2012 - juin 2014
bmabretagne mobilité augmentée
La démarche BMA
Société Vitréenne d’Abattage Jean Rozé
Maison de l’Emploi, de l’Entreprise et de la Formation du Pays de Vitré
Cardinal
Eurovia Bretagne - Agence de Rennes
Route du Meuble et des Loisirs
GIE Grand Quartier
Cap Malo
Groupe La Poste, Produit en Bretagne
CCI Rennes
Caisse d’Épargne Bretagne Pays de Loire
CCI Région Bretagne / IDDIL
Institut de Locarn
Université de Rennes 1
Université Rennes 2
ANFA, CNPA
Coop de Construction
SNCF Bretagne
Pays d’Aubigné
Ville de Bruz
Les démonstrateurs et les membres experts
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Partir de l’activité pour comprendre la mobilité
Les 2 leviers actionnés
Indissociable de toute activité quotidienne des personnes et des marchandises, la mobilitémaîtrisée est un levier de performance pour l’entreprise et le territoire.
L’adaptation de l’activité :pour réduire ou supprimer les mobilités induites.
La dématérialisation des activités :elle est rendue possible grâce au numérique qui devient un axe de développement important. Dans cette famille de solutions, onretrouve notamment le travail en mobilité, le travail collaboratif à distance et le e-learning. Il n’est plus nécessaire de se déplacerphysiquement pour réaliser l’activité souhaitée. L’adaptation des offres commerciales aux évolutions sociétales fait aussi partie de
cette catégorie. Le numérique permet alors aux consommateurs de prendre connaissance de l’offre et de bénéficier d’avantages serviciels.
La révision de la chaîne de valeur :elle vise à réorganiser l’activité de façon plus efficace en prenant en compte la mobilité engendrée. Différentes solutions de ce type
sont expérimentées, comme par exemple : un outil d’aide à la décision pour une meilleure allocation des collaborateurs àleur lieu de travail, un accompagnement pour une meilleure préparation des chantiers afin d’éviter les approvisionnements
ponctuels de dernière minute, des livraisons de courses mutualisées...
La modification des mobilités :pour choisir des solutions plus partagées, moins coûteuses, plus respectueuses de l’environnement...
L’augmentation des taux d’utilisation et d’occupation des voitures,grâce à l’auto-partage et au covoiturage, est un levier peu demandeur en termes de moyens. Ces pratiques requièrent un travail importantd’accompagnement au changement. Elles peuvent même être envisagées à l’échelle de plusieurs entreprises avec des flottes partagées.
Les offres multimodalesdoivent permettre aux usagers d’utiliser les transports en commun et de bénéficier de solutions de bout en bout.
L’optimisation des « motorisations »vise à réduire l’impact de la voiture sur l’environnement avec la mise en place de formations à l’éco-conduite et
le passage à l’électro-mobilité.
Les mobilités activessont développées dans le cadre du projet. Par exemple, les salariés de plusieurs démonstrateurs ont expérimenté le vélo à assistance
électrique notamment pour leurs trajets « domicile-travail ».
Analyser l’activitéactuelle et à venirdu démonstrateur.
Situer la mobilité et sesévolutions au regard de
la dynamique de l’activité.
Identifier les périmètresd’expérimentation
pertinents.
Co-construire avecles parties prenantesde nouvelles solutions
de mobilité et/oumodalités de mise enœuvre de l’activité.
Rendre possiblel’expérimentation et
évaluer lessolutions retenueset leurs résultats.
Déployer à grandeéchelle les solutions
expérimentées.
bmabretagne mobilité augmentée
3
Etre accessible
pour être attractif
Aller au travail en pédalant ou en covoiturant.
Se former pour se déplacer en salarié éco-responsable.
Créer un service coursier pour un fonctionnement plus fluide.
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« Augmentons l’attractivité de l’entreprise en réduisant les coûts des déplacements domicile-travail »
MISE À DISPOSITION DE VÉLOS À ASSISTANCE ÉLECTRIQUE (VAE) DÉVELOPPEMENT DU COVOITURAGE
Retour d’expérienceImportance de l’information et de la communication à tous les niveaux de l’organisation (managers et salariés) pour ancrer le projet.
Covoiturage : difficultés de mise en place de cette solution dues notamment aux rotations horaires età la dispersion des lieux d’habitation.
Un mode de transport adapté à la nature des déplacements.
Effet de la pratique sur les représentations de l’usage du VAE (ex. contraintes météorologiques).
Expérimentation
18 volontaires résidant de4 à 17 km de SVA pour destrajets « domicile-travail » et
personnels. Mise à disposition gratuite de VAE. Engagement
moral : utilisation 2 jrs/sem.Documentation de l’expérience (motifs d’usage et non usage)
Croisement entre les métiers, leshoraires et les lieux d’habitation.Le service désossage apparaît
le plus propice au développementde ce mode de déplacement :
200 salariés avec les mêmes horaires.
Recherche de solutions après une sensibilisation à l’usage
(oct. 2013) et différents questionnementsliés à l’usage des VAE : équipements,sécurité, organisation, achat/location,
assurance, choix offreurs, etc.Élaboration avec l’offreur Culture Vélo
Rennes et Saint-Brieuc de l’offrede location.
Identification des équipages
Aller au travail en pédalant ou en covoiturant
La Société Vitréenne d’Abattage (SVA) est présente sur l’ensemble des marchés de viande bovine.Elle développe des activités d’abattage, de découpe, de transport, de valorisation de produits
élaborés et de produits cuits à destination du consommateur final. Elle vend également desco-produits destinés à l’industrie et à la nutrition animale.
Et demain ...Poursuite de l’analyse des freins et leviers à l’usage du VAE et nouvelles expérimentations pour effectuer
la pause déjeuner et le trajet gare-SVA.
Co-construction de la solution de covoiturage avec le service désossage : implication du responsable d’équipe, focus groupes, recherche de volontaires, création des équipages.
Faible usage du train
dû au temps de transport, horairesde train, distance gare-SVA.
des salariés viennent en voiture
tous les jours. Existence de quelques équipages de covoiturage
(2 à 5 personnes).
2 %80% de salariés se déplacent en vélo.
Très peu
Utilisation du VAE au min 3 jrs/sem, même en cas de pluie. Satisfaction élevée malgrédes contraintes techniques soulignées (ex. garde-boue mal fixé).
Attention portée au bien-être des salariés.
5
MISE EN PLACE DE FORMATIONS À L’ÉCO-CONDUITE
Entretienavec le formateur interne permettant de
mieux comprendre les objectifs et les enjeuxpour l’entreprise de ces formations.
Cependant, en raison d’un calendrierdéjà rempli, le formateur ne
pourra dispenser les formations d’éco-conduite aux commerciaux.
Et demain ...
Lancer l’expérimentation « formation éco-conduite des commerciaux ».
Mutualiser avec les démonstrateurs CCI Rennes et Caisse d’Épargne Bretagne Pays de Loire sur la question du travail en mobilité.
Entretiens d’explicitation (12) sur l’activité des commerciaux
d’un offreur : rencontrede Mobigreen et
Centaure.
Rechercheentre le formateur interne et un
offreur pour la mise en place deformations adaptées aux
objectifs et enjeux pour lescommerciaux de SVA.
Collaboration
parcourus parcertains commerciaux.
L’introduction de véhicules électriques (VE)a été envisagée. Autonomie actuelle
des VE non compatible avec lesdéplacements des commerçiaux
de SVA.
Nécessité d’une présence répétée et assidue chez le client pour développer
la relation commerciale.
200 km/jour
SVA a déjà déroulé un programme interned’éco-conduite à l’attention de ses
conducteurs de poids lourds.
Programme
Se former pour se déplacer en salarié
éco-responsable
sur la conduite actuelle des commerciaux : nombre de km, consommation de carburant,
infractions, accidentologie, etc.
Recueil d’information
« Réduisons l’impact économique et écologique du travail en mobilité des commerciaux »
6
« Mutualisons les courses des différents services »
MISE EN PLACE D’UN SERVICE COURSIER
Et demain ...Poursuite de l’évaluation du service dans le temps.
avec les services pour analyser leurs déplacements :
approvisionnements d’appoint de petits matériels, déplacements vers la
préfecture, etc.
Rencontreavec les services d’une
solution mutualisée :création d’un service coursier.
Construction du planning de ce service en fonction des
horaires et des demandesdes différents services.
Co-construction
Créer un service coursier pour un
fonctionnement plus fluide
DÉMARRAGE DU SERVICE COURSIER (SEPT. 2013)
Enquêteauprès des responsables et
des salariés : 1er état des lieuxsur les apports, inconvénients et avantages.
Les retours sont positifs, lescollaborateurs sont satisfaits.
7
Mobiliser entreprises
et demandeurs d’emploi
Animer des ateliers « mobilité » pour les demandeurs d’emploi.
Mettre en place un dispositif d’animation inter-entreprises sur la mobilitédans une zone industrielle.
MEEF
8
« Faisons de la mobilité un levier pour l’insertionprofessionnelle des actifs et de l’innovation
pour les entreprises »
Promouvoir de nouvelles solutions innovantes de mobilité.
Animer des ateliers « mobilité »Promouvoir des dispositifs
d’accompagnement dématérialisés
Conception d’un atelier « mobilité » (dispensé par la M.E.E.F) : co-construction de réponses (solutions innovantes) aux
problématiques rencontrées par les DE.
Réflexion sur l’accompagnement de la montée en compétencesdes DE à travers la promotion de dispositifs
d’accompagnement dématérialisés type MOOC :suivre ce qui est fait, évaluation de la formation à distance.
METTRE EN PLACE UN DISPOSITIF D’ANIMATION INTER-ENTREPRISES DANS LES ZONES INDUSTRIELLES.
Questionnaires sur les motifs de déplacement
des demandeurs d’emploi (DE).
Focus groupe pour comprendre les attentes des
DE face à leur parcoursd’insertion professionnelle.
Forte utilisation de la voiture. Importance des RDV avec un conseiller
qui renforce le lien social.
Promouvoirde nouvelles solutions innovantes
de mobilité adaptées auxbesoins des DE et des salariés
par le recours à des outils numériques acceptables.
Mobiliser entreprises et demandeurs d’emploi
Maison de l’Emploi, de l’Entreprise et de la Formation (M.E.E.F) du pays de Vitré : coordonner et animerles partenariats autour des problématiques de l’emploi et du développement économique.
Actions à destination des actifs (dynamique de mobilité professionnelle, montée en compétences, sécurisationdes parcours et promotion sociale), du territoire (accompagner les mutations technologiques, sociologiques et
économiques) et des entreprises (sécuriser les recrutements et s’impliquer comme « partenaire RH »).
MEEF
Retour d’expérienceInterroger la mobilité des demandeurs d’emploi nécessite de considérer les problématiques en lien avec l’isolement social.
Manque de ressources humaines et financières pour mener à bien le projet.
Amorçage de réflexions sur un dispositif d’animation inter-entreprise sur la mobilité avec les élus et les techniciens territoriaux de la zone d’activités de Janzé.
Première identification des entreprises autour de la recherche de solutions de mobilité mutualisées et adaptées à leurs activités pour faciliter l’accès à l’emploi des salariés actuels et futurs.
9
Aller
au plus court
Outiller pour planifier.
Limiter les déplacements sur un poste de travail.
Développer l’électro-mobilité.
Penser autrement la chaîne de valeur par le PLM (Product Lifecycle Management).
10
« Améliorons la rentabilité de l’entreprise et la qualitéde vie des collaborateurs »
DÉVELOPPEMENT D’UNE APPLICATION POUR L’AFFECTATIONDES COLLABORATEURS AUX CHANTIERS : OPTIMISATION DES TRAJETS (OPTRAJ)
Retour d’expérience
Mise en place de l’outil : importance de la prise en compte des compétences informatiques.
Incidence de l’implication de l’équipe de direction et de la présence de ressources internes dans la conduite du projet.
Méthode SCRUM Cardinal + étudiants de l’ISTIC, 4 focus groupes :
Outil d’aide à la décision tenant compte des compétencesnécessaires aux chantiers, de la maximisation du taux
d’utilisation des collaborateurs, de la minimisation de ladistance « domicile-chantier ». Distinction entre les aspects
à automatiser et ceux laissés à l’appréciation humaine.
Et demain ...Organisation de la maintenance de l’application, deux pistes : projet étudiant « commercial » (pré-incubateur,
maintenance assurée par les étudiants pendant 1an) ou transfert au sous-traitant de Cardinal.
Outiller pour planifier
Entreprise de 320 collaborateurs. Étude, conception, exécution et suivi de chantiers de bâtiments de toute nature.
d’Euros/an = coût du carburant.
Mobilités commerciale, sur chantiers etinter-chantier des matériaux et collaborateurs.
d’un millioncollaborateurs : analyse de
leurs déplacements.
Forte dispersion géographiqueentre lieux d’habitation et chantiers,
tournées de « ramassage ».
13540chantiers simultanément.
Environ 300 collaborateursà affecter.
AFFECTATION DES OUVRIERS AUX CHANTIERS
- Planification manuelle à 4 mois.- Pas d’outil d’aide à la décision.- Faible prise en compte de la distance « domicile-chantier ». - Réunions de coordination hebdomadaires.
Formation dans l’actionformation pour
l’appropriation del’outil.
Suivi dans l’utilisation.
1ère version de l’application OpTraj débutmars 2014, finalisation en avril. Transfert de
l’application vers Cardinal en juin.Résultats OpTraj : tableau comparable à celuiservant de support à la planification à 4 mois.
Amélioration du bien-être des salariéset gain économique pour Cardinal.
Test utilisateur
Importance de comprendre les processus et de discerner les tâches « à automatiser » versus « appréciation humaine ».
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« Introduisons un véhicule électrique pour réduire l’impact environnemental de la mobilité »
Et demain ...Second test avec un autre type de véhicule qui offre plus de flexibilité en matière de recharge de la batterie.
« Améliorons la rentabilité de l’entreprise en optimisant les déplacements sur chaque poste de travail »
Observation des mobilités vers et hors chantier,
de 2 chantiers sur Rennes :
- Aucun déplacement imprévu n’a été observé. - Questionnement sur le résultat : aurait-il été identique en début et fin de chantier ?
IdentificationRecensement des
besoins dans leur globalité.
Expérience
- Bons retours d’expérience, conduite jugée agréable. - Pas de freins à l’usage de ce type de véhicule. - Les limites d’autonomie et de recharge de la batterie du VE testé ne sont pas compatibles avec l’activité de Cardinal.
Mise à disposition gratuite d’un véhicule électrique (VE)par Renault via Bodemer Auto sur une période de 3 semaines.
des mobilités sur les postes de travail :
Observation
- La préparation de la journée en fonction des tâches à réaliser ne se fait pas toujours bien. - Jusqu’à 23 déplacements imprévus observés. - L’amélioration de l’organisation de chaque poste de travail aurait un impact significatif sur la durée de chaque chantier et donc sur sa rentabilité et les mobilités générées.
Et demain ...
au niveau de chaque poste de travail. Initier un travail de co-construction avec les ouvriers avec pour objectif une meilleure préparation quotidienne
Limiter les déplacements sur un poste de travail
L’analyse de l’activité des chantiers a permis d’observer que peude déplacements vers et hors chantier étaient non planifiés. Par contre, une observation fine
de chaque poste de travail a mis en lumière que certains ouvriers quittent leur poste jusqu’à plus de vingt fois par jour.
Développer l’électro-mobilité
L’entreprise Cardinal possède une flotte de véhicules professionnels : 5 pour le transportde marchandises, 90 pour le transport d’équipes et de petits matériels et 40 véhicules de liaison.
Ces véhicules couvrent les besoins habituels de fonctionnement des chantiers : installation, acheminement des équipes, etc. Ils parcourent 3,5 millions de km par an.
12
« Étudions la chaîne de valeur pour repenser l’activité de manière à augmenter la rentabilité et diminuer les
déplacements professionnels »
Chaîne de valeur des chantiers de construction actuellement très artisanale et nécessitant l’intervention de multiples acteurs.
3DIntroduction d’une plateforme
collaborative s’appuyantsur une modélisation
tridimensionnelle du chantier
- Qui devrait permettre de mieux coordonner les interventions et d’éviter les erreurs et rectifications a posteriori induites.- Un tel outil facilite la réflexion sur l’ensemble de la chaîne de valeur. Repenser l’ensemble du cycle de vie, le product lifecycle, permet d’envisager une industrialisation croissante des chantiers avec, par exemple, une standardisation des composants et une fabrication de ceux-ci en usine.
Les changements dans la chaîne de valeur mèneront à une augmentation de la rentabilité et à une réductionde l’impact environnemental au sens large et, en particulier, à une diminution des mobilités engendrées.
Et demain ...Organisation d’une réunion de travail entre la direction de Cardinal et Dassault systèmes en vue d’étudier
les apports potentiels de la modélisation tridimensionnelle.
Penser autrement la chaîne de valeur
par le PLM
13
Optimiser
les déplacements
Se former pour se déplacer en salarié éco-responsable.
S’organiser pour mieux anticiper.
14
« Réduisons l’impact écologique et économique desdéplacements en formant nos collaborateurs »
FORMATION À LA CONDUITE ÉCO-RESPONSABLE ET SÉCURITAIRE
Retour d’expérienceRéussir à fédérer les acteurs et les mobiliser pour qu’ils s’emparent du projet.
Formation : salariés satisfaits et surpris des effets immédiats de la conduite éco-responsable, évolution des représentations des salariés
Acceptation de la solution : les salariés en parlent à leur famille et collègues et demandent une piqure de rappel.
parcourus par les salariés en 2012.
Mobilité totalement intégréeà leur activité.
1 300 000 km
Formation sur-mesure Analyse quantitative des coûts de la
mobilité professionnelle, de l’accidentologie, étude des attentes et motivations des
salariés et de la direction, concertation sur les freins et les leviers au maintien
des acquis de la formation.
Formation avec Mobigreen pour les 46 salariés ayant un véhicule
de la société : adaptation de laformation aux contraintes des métiers.
Formation sur le temps de travail, 1h30 en individuel pour l’encadrement,1 journée en collectif pour les chefs de
chantier et les conducteurs de poids lourds.
Formation avec Centaure pour les 50 salariés n’ayant pas de véhiculede la société : formation à l’éco-conduite sur
route et à la conduite sécuritaire surplateau. 6 salariés volontaires.Formation hors temps de travail.
1 journée en collectif.
Et demain ...Poursuite des bilans post-formations (T+ 2/3 mois ; T+1 an).
Extension de la formation à d’autres agences (en fonction des résultats à court et moyen termes).
Se former pour se déplacer en salarié éco-responsable
Eurovia : activités d’enrobés et de travaux de voiries et de réseaux divers. Réduction des budgets des clients, et arrivée de concurrents low-cost :
des marchés à conquérir de plus en plus éloignés.
Pérennisation de l’éco-conduite : communication permanente, mise en place d’un système
96
salariés dans l’agence de Rennesdont une dizaine de sédentaires.
collectif d’auto-évaluation des gains réalisés.
sur l’éco-conduite. Levier intéresssant pour démontrer le lien entre mobilité et performance de l’entreprise.
300 000
5 accidents routiers par an.
euros de budget/an en carburant,100 t de CO²/an.
€
- Moins 7,4% de temps de trajet pour les poids lourds.- 14,4% de gain sur les émissions de CO² des berlines.- Moins 42% de la distance de freinage pour les fourgons.- Économie de 1 à 2 l/100 km pour les véhicules personnels.- Après 3 mois : les salariés continuent à éco-conduire.- Diminution du stress au volant.
encourageantsRésultats immédiats
15
Renforcer la compétence collective
des courses d’appoint par analyse des bons et justificatifs d’achats des équipes : déterminer les achats nécessitant l’expertise d’un salarié Eurovia
en magasin et les achats de produits de gamme classique (2-3%).
Entretien
Identification
Et demain ...Poursuite du travail d’analyse des courses d’appoint (sept. 2014). En fonction des résultats, contacter des offreurs
(Point P, Leroy Merlin, Brico Dépôt, etc.) pour les livraisons sur chantiers.
Bilan des questionnaires et entretiens sur l’encadrement et les représentations des métiers.
Deux types de déplacement : trajets prévisibles et imprévisibles.Trajets liés aux surprises et aux urgences (courses d’appoint chez le fournisseur,
déplacement du conducteur de travaux suite à un dysfonctionnement organisationnel, à des travaux supplémentaires ou à un accident).
S’organiser pour mieux anticiper
« Limitons la cause des déplacements imprévisbles et améliorons l’organisation »
Questionnaire auprès de l’équipe d’encadrement pour apprécierl’existence d’un « système de mémoire transactive » :
- Étudier la collaboration, la confiance, et la répartition des tâches et responsabilités.- Identifier les bonnes pratiques et les points d’amélioration.
Externalisation des courses
avec un représentant de chaque fonction(ingénieur d’études, conducteur de travaux,chefs de chantier et un client - Ville de Bruz).
Étudier les représentations des différents métiers.
CollaborationRéflexion sur une collaboration avec desoffreurs concernant la livraison des achats
de produits de gamme classique.
Retour d’expérienceÉchec de la co-construction avec des salariés volontaires (non-utilisation des outils permettant de suivreet identifier les trajets prévisibles et imprévibles) : questionnement sur la communication autour du projet BMA.
Difficultés de quantification des impondérables : observation de l’activité sur chantiers, indicateurs métriques.
16
17
Cliquer pour
être mieux conseillé
www.maroutedumeuble.com - Market Place.
Venir autrement au travail.
Introduire des véhicules électriques.
18
« Préparons la mutation des comportements d’achat des consommateurs, limitons leur mobilité
et améliorons le conseil »
MISE À DISPOSITION D’UNE PLACE DE MARCHÉ VIRTUELLE
de surface de vente réunis en100 entreprises sur 10 km et une
zone de chalandise de plusde 610 000 habitants.
100 000 m2 90 % 65 %
Pas ou peu d’impact du e-commerce : les clients privilégient le contact réel
pour les achats coûteux.
des acheteurs recourent à Internetavant un déplacement en magasin.
LANCEMENT OFFICIEL DE LA MARKET PLACE : FÉVRIER 2014
Et demain ...Communiquer largement et officiellement sur le site.
Évaluer la satisfaction des commerçants.
Évaluer l’impact du dispositif sur la mobilité des clients.
Groupes de travail avec une 20aine de gérants etl’offreur Media Marque : décider
des fonctionnalités du site(synergies entre attentes client,
possibilités et contraintesdes commerçants, possibilités
de développementinformatique).
Entretiens et focus groupes avec des commerçants, des clients et des
non-clients, pour identifier et définir les enjeux :analyse de l’activité commerciale (offre,
processus de vente) et de l’activité d’achat.Le site doit permettre d’augmenter
la visibilité en valorisant la diversité et la complémentarité de l’offre. Optimiser
le temps d’interaction commerciale (avant, pendant et après l’achat).
Formation et accompagnement des vendeurs et commerçants
à la prise en main de l’outilinformatique et à l’évolution
de leurs pratiques commerciales.
Retour d’expérienceDifficulté d’expérimenter avec la dizaine de commerces initialement prévue. Ouverture en expérimentation avec l’ensemble
Mise en place de l’outil : nécessité de faire évoluer les pratiques commerciales et d’accompagner le développement des compétences informatiques des usagers.
Importance d’identifier et de lever les freins à l’usage (crainte de faux rendez-vous, de réduction du nombre de clients sur la zone) :accentuer la communication sur la différence entre un site d’achat en ligne et la Market Place.
des adhérents (financement individuel plus souple) et des acteurs du projet.
des visiteurs interrogés vont dans plusieurs magasins sur une journée.
82% d’entre eux comparent et repèrent avant l’achat et 68% n’achètent pas
dans la journée.
Market Place - www.maroutedumeuble.com
Avènement du commerce 3.0.Centre commercial à ciel ouvert en périphérie de Rennes (nord), milieu périurbain regroupant
diverses activités d’équipement et d’aménagement de l’habitat.
19
trajet moyen « domicile-travail », parcouru par la grande majorité des
salariés en voiture individuelle.
Les véhicules électriques présentent des contraintes d’autonomie et de recharge. Ils ne sont rentables en moyennequ’au-delà de 13 000 km parcourus par an.
=> une étude détaillée des trajets au sein de chaque enseigne intéressée permettra d’établir si ce type de véhicule est adapté à leurs usages.
Analyse de la mobilité professionnelle des enseignes de la Route du Meuble et des Loisirs
Enquête sur la mobilité des salariés (146 participants)
19 min
Entretiens (10)
des salariés habitent à proximité (principalement dans 3 villes).
La majorité des salariés rentrentchez eux pour la pause déjeuner.
des salariés font un trajet direct.1 salarié utilise les transports
en commun.
« Trouvons des solutions de transport alternatifà la voiture individuelle »
« Introduisons l’électro-mobilité »
- Mutualiser les véhicules ne semble pas être une solution pertinente.
- Solution envisagée : introduction de véhicules électriques dans les flottes des enseignes.
avec des gérants d’entreprises complétés par une analyse descoûts réels et cachés d’usage de leur flotte actuelle.
Ces investigations ont permis de comprendre la diversitédes activités et des mobilités engendrées.
80% 30%
La mise en place d’une solution de covoiturage nécessite une masse critique de salariés afin de pouvoirconstituer des équipages qui partagent des domiciles et des lieux de travail proches.
- Volonté de mettre en place des solutions innovantes permettant de diminuer le taux d’auto-solisme.
- Deux axes seront explorés de manière prioritaire : - le covoiturage; - les transports en commun, combinés ou non par la mise à disposition de vélos avec ou sans assistance électrique.
Venir autrement au travail
Introduire des véhicules électriques
Groupe de travail qui réunira les démonstrateurs : Route du Meuble
et des Loisirs, Grand Quartier, Cap Malo, la Communautéde Communes du Val d’Ille, Rennes Métropole et le Conseil Général.
20
21
Click
& Collect
www.mongrandquartier.com - Market Place.
Venir autrement au travail.
Faire une pause déjeuner sans saturer les accès.
Améliorer la logistique des enseignes.
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« Préparons la mutation des comportements d’achat des consommateurs et optimisons le temps
d’interaction commerciale »
AVÈNEMENT DU COMMERCE 3.0Mise à disposition d’une place de marché virtuelle
Retour d’expérienceCo-construction : la multitude d’acteurs en jeu provoque des difficultés de mobilisation.
Pré-existence de sites internet dans certaines enseignes : valoriser la plus-value de l’outil (ex. fonctionnalité de la prise de rendez-vous).
Fort investissement de Media Marque pour développer un outil adapté.
Mise en place de l’outil : nécessité de faire évoluer les pratiques commerciales et d’accompagner le développement des compétences informatiques des usagers.
Site de commerces groupés d’environ 34 000 m2,
2ème centre commercial rennais(4 millions de visiteurs/an).
Urbanisation croissante.
34 000 m2 800
personnes employées.
90
enseignes.
LANCEMENT OFFICIEL DE LA MARKET PLACE : MARS 2014
QuestionnairesÉtude de l’acceptabilité
de la solution par lescommerçants.
Dispositif accepté et jugécomme un outil innovant.
avec une 15aine de commerçants pourdécider des fonctionnalités du site (synergies
entre attentes des clients, contraintes/possibilitésdes commerçants) et proposer des offres
collectives cohérentes.
Entretiens d’explicitation et focus groupesavec des commerçants et des clients pour identifier,définir les enjeux : analyse de l’activité commerciale (offre, processus de vente) et de l’activité d’achat.
Comité de pilotage
Et demain ...Communiquer largement et officiellement sur la mise en ligne de la Market Place.
Évaluer l’acceptation et l’appropriation du dispositif par les commerçants.
Évaluer l’impact du dispositif sur la mobilité des clients.
www.mongrandquartier.com - Market Place
Avènement du commerce 3.0.Transformation du site en centre de proximité à l’horizon 2018 : nouvelle entrée sous forme
d’un parvis piéton, extension des parkings, changement des façades extérieures.
23
Enquête auprès de salariés (119 personnes de 43 enseignes)
Pas de pratique de covoiturage.
12 %
Réfléchir à des solutions alternatives à l’auto-solisme avec des salariés volontaires
de Géant Casino et des boutiques de la galerie marchande.
Solution de covoiturage proposée.
Et demain ...Mise en place de l’expérimentation de la solution de covoiturage auprès de deux équipages.
Focus groupes Leviers Implication du directeur
de Géant Casino en vue d’aménager les horaires.
Venir autrement au travail
Enquête sur la mobilité des clients
places de stationnement.Temps moyen de
stationnement de 59 min.
visiteurs/jour. Importante fréquentationle midi. Flux de salariés (déjeuner, courses
rapides). Difficultés de circulationet de stationnement sur le site.
des visteurs viennent en voiture,ce qui équivaut à un flux journalier de
11 859 véhicules. Flux importantde déplacements clients.
Faire une pause déjeuner
sans saturer les accès
« Trouvons des solutions de transport alternatif à la voiture »
des salariés viennent en voiture.
82 %
Le coût des trajets « domicile-travail »est estimé à 3572 €/an et 172 h/anpour un salarié de Grand Quartier.
35% font des arrêts fréquents sur leurs trajets.
90 % 2223 2500
utilisent les transports en commun.
Freins Difficultés d’organisation
au regard de la complexité des horaires avec des emplois
du temps variables et des horaires décalés.
Mesures de satisfaction du mode utilisé pour les
trajets « domicile-travail ».
Choix perçu : 3,6/5Satisfaction coût : 2,4/5
Satisfaction globale : 1,8/5
24
« Décongestionnons la zone entre 12h et 14h »
Étude des flux de marchandises entrants et sortants en collaboration avec Bretagne Supply Chain
avec des commerçants, des clients actuels et potentiels, Keolis, Rennes Métrople et La Poste pour explorer ce service.Celui-ci a suscité peu d’intérêt. Cette piste de solution a été abandonnée.
12 commerçants en fonctionde leurs activités, leurs effectifs,
des surfaces de vente etde stockage.
Introduction de la livraison par vélo chez le fleuriste.
Pas de difficultés au niveau de la logistique des flux de marchandises.
En effet, elle est souvent mutualisée au sein des enseignes. Celles-ci assurent
les services de transport des marchandises en interne. Pas de mutualisation possible
entre enseignes.
Et demain ...
Et demain ...
Réfléchir à de nouvelles solutions de transport : covoiturage, bus, vélo, etc.
Identifier deux ou trois entreprises et réaliser des focus groupes pour construire la solution.
Travailler avec les clients sur la perception de la saturation du parking.
Construire la solution de livraison par vélo pour le fleuriste.
Entretiens Focus groupes
PREMIÈRE HYPOTHÈSE DE SOLUTION EXPLORÉE :pour les clients qui déjeunent sur place et font leurs achats sur la pause du midi, envisager la livraisondes courses sur le lieu de travail ou à domicile afin de les encourager à abandonner l’auto-solisme.
Échantillon Constats Amélioration envisagée
HYPOTHÈSE DE SOLUTION EXPLORÉE :la mise en place d’un service mutualisé d’enlèvement et de livraison des marchandises par La Poste.
Améliorer la logistique des enseignes
25
Jamais
sans ma voiture ?
Aller déjeuner en vélo.
Rendre mobile l’ensemble de la population.
26
« Rendons plus attractive la zone commerciale pour lessalariés actuels et futurs en réduisant
les coûts des déplacements »
MISE À DISPOSITION DE VAE DÉVELOPPEMENT DU COVOITURAGE
euros par an (équivalent à 3 mois de salaire),
pour un parcours quotidien« domicile-travail » moyen de 40 km(36 min), soit un coût de 15€/jour.
3760 87%
Lancement de l’expérimentation VAE mai 2014 : carnet de suivi hebdomadaire sur les motifs d’usage et de non usage.
Collaborationavec la Communauté de
Communes du Val d’Ille, miseà disposition gratuite de VAE(3 chez Castorama, 2 chez
Alinéa, et 3 chez Armorgreen).
Sensibilisationdes salariés à l’usage, recrutement
de volontaires, recherche de solutionsaux différents questionnements liés à
l’usage des VAE (équipements, sécurité,organisation).
Et demain ...Évaluation, bilan de l’expérimentation VAE lors des pauses déjeuner.
Faire connaître le lien « covoiturage » de Castorama, existant sur le site de Cap Malo, à travers des réunions et le tester.
Création d’un groupe de travail sur la multimodalité : responsables des enseignes Alinéa, Castorama et de l’entreprise
Aller déjeuner en vélo
Zone commerciale de 49 enseignes, à environ 15 km de Rennes avec un fortétalement géographique (75 ha) réunissant toutes les activités pour l’individu, la famille, les entrepriseset pour toutes les tranches d’âge. Les activités principales sont les loisirs, le commerce et la restauration.
Retour d’expérienceUne volonté de s’engager pour certaines enseignes.
Difficultés de concrétisation du covoiturage : travailler sur les incitatifs et un plan de communication.
Questionnement juridique sur la responsabilité du dirigeant (incitation à l’usage du VAE lors des pauses déjeuner).
Armor Green; 2 entreprises de la RDM, Biocoop et Groupe Sterenn; Conseil Général 35 ; la Communauté de Communes du Val-d’Ille.
des équipages possibles (croisement entreles métiers, les horaires et les lieux d’habitation).Existence d’un service de « covoiturage » chez
Castorama accessible sur leur site internet et celui de Cap Malo.
Identification
€
93%utilisent leur voiture quotidiennement.
Enquête sur la mobilité des salariés (167 répondants)
27
ne pratiquent pas le covoiturage,31% font des trajets directs
tous les jours.
Choix perçu : 1,2/5Satisfaction coût : 2,4/5
Satisfaction globale : 3,5/5
Développer
les liens
Faire ses courses autrement.
28
« Accompagnons les personnes en rupture de mobilité en proposantde nouveaux services de livraison à domicile »
CRÉATION D’UN NOUVEAU SERVICE DE LIVRAISON DE COURSES À DOMICILE
Lancement de la co-construction de l’expérimentation avec le Syndicat Intercommunal à Vocation Unique (SIVU) de Plestin-les-Grèves et l’ADMR 35.
Et demain ...Poursuivre la co-construction de l’expérimentation (coût du service, moyens de paiement, etc.).
Travailler sur la question des frais de déplacement et des moyens de compensation financière (ex. nouvelles activités).
Évaluer l’acceptabilité individuelle, sociale et financière du dispositif par les personnes âgées.
Faire ses courses autrement
Grande distribution : augmentation du e-commerce / expansion des drives (+ de 2500 en France dont 350 du groupe Leclerc).
Optimisation de la logistique et des services de livraison.Responsabilité sociale locale. Nouvelles cibles pour les services numériques : les personnes à mobilité réduite.
vieillissante.
Perte d’autonomie, rupture de mobilité, maintienà domicile, isolement géographique et social.
Les personnes à mobilité réduite : centredes préoccupations des acteurs du
secteur de l’aide à domicile.
PopulationAnalyse de l’activité (questionnaire et
carnet de bord) de 12 Auxiliaires de Vie Sociale (AVS) et Aides à Domicile (AD).
321 euros
ə 321€/mois de déplacements partiellement pris en charge (ə 800 km/mois).Presque tous les plans d’aide comprennent
l’activité courses.
40%des trajets pour l’activité courses sont non
accompagnés., coût estimé pour le CG 22 = 2,4 millions d’Euros par an.
Activité coûteuse mais sas de décompression pour les AVS.
Focus groupes (3) (4 à 15 participants) avec des AVS, AD et
techniciens de l’intervention sociale et familiale (TISF) sur les attitudes et
les perceptions d’un service de livraison.
Freins Pertes d’activité et de revenus pour
les AVS, coût du service, moyens de paiement, choix contraint du
magasin, équipement et compétences numériques.
Leviers Fatigue, stress et gaspillage de temps engendrés par l’activité courses, faible accès aux magasins
dû au manque de transports en communet/ou véhicules, utilité perçue du service,
revalorisation de la profession.
Retour d’expérienceDifficultés d’accès direct à la population de personnes âgées à mobilité réduite.
Accompagner la formation aux compétences numériques des futurs usagers du dispositif et financer les équipements
Tenir compte du risque de perte financière des professionnels et réfléchir aux moyens de compensation.
Tenir compte des représentations négatives (menace pour la pérennité de l’emploi) et positives de la solution (revalorisation dela profession) : travail de présentation du dispositif comme complémentaire et facilitateur des activités.
permettant la commande à distance.
La Poste : diminution des flux de courriers / développement de nouvelles activités des facteurs.
29
Engager
par l’expérience
Décupler l’impact des conseillers.
Aller au travail en pédalant ou en covoiturant.
Développer l’électro-mobilité.
Travailler mieux en mobilité.
30
« Diminuons les déplacements des conseillers et des commerçants, augmentons l’impact du conseiller commerce
et stimulons le territoire »
Retour d’expérienceNécessité de travailler en amont sur les problématiques prégnantes des commerçants pour faciliter leur mobilisation sur le projet.
Prendre en compte et s’adapter à la réalité de l’activité des commerçants (horaires et lieux des entretiens,durée des modules de formation).
Augmentation de la créativité grâce à une approche pluridisciplinaire.
Tenir compte de l’équipement et des compétences informatiques des commerçants.
Entretiens collectifs et individuels avec les commerçants
pour décrire l’activité commerciale.Exploration des pratiques innovantes d’autres
territoires : les Living Labs de Bilbaoet de Gran Canarias.
Et demain ...Élargissement de la démarche en investissant successivement d’autres rues.
Développer le volet interactif en introduisant des applications pour smartphone.
Décupler l’impact des conseillers
La Chambre de Commerce et d’Industrie remplit 4 missions principales :décrypter et saisir les opportunités économiques (aide à l’innovation et au développement
de nouvelles activités), appuyer le développement des entreprises, anticiper les besoins des entreprises en matière de compétences actuelles et futures, gérer des équipements. Acteur oeuvrant dans l’intérêt du développement économique des entreprises du territoire et dans l’intérêt général.
Conception d’un projet collectif pour dynamiser le commerce dans la rue Pont-aux-Foulons du centre ville de Rennes : « vitrines.io ».
Commerces
Groupes de travail représentante des commerçants +
École des Beaux-Arts de Rennes (Eesab)+ la Faculté des Métiers de la CCI +
Territoires Publics + l’ISTIC de Rennes 1 +Telecom Bretagne + CCI Rennes.
Création d’une vitrine « artistique » et interactivequi déclinera en alternance les activités
principales de la rue et pointera vers les vitrinescommerciales + vitrine virtuelle en relais +
formations en format court et consultables en lignepour concilier formation et présence en magasin.
vitrines.io
- Augmenter la fréquentation de la rue physique (enquête de notoriété) et des sites web.- Augmenter les chiffres d’affaires des commerces.- Augmenter l’impact des conseillers commerce de la CCI.- Créer une dynamique pérenne d’animation du centre ville de Rennes.
OBJECTIFS
activités commerciales principales dans la rue : - l’univers des enfants ; - de la mode ; - de la déco ; - des commerces de bouche.
4 460
Montage d’un projet européen en partenariat avec une ville anglaise.
Inauguration en septembre 2014, animations spécifiques pour la Toussaint et Noël.
31
accompagnements individuels de commerçants en 2012 par les
conseillers de la CCI et771 commerçants participant à
des actions collectives.
ANIMATION COLLECTIVE EN PARTIE DÉMATERIALISÉE
de la solution avec des salariésvolontaires. Analyse des freinset leviers à l’usage des VAE :
- Perception de danger : analyse desrisques réels, équipements de sécurité
(ex. gilets, casque, écarteur de danger).- Questionnements techniques (ex. sacoches).- Fausses croyances (ex. tenue vestimentaire).
Et demain ...
7 volontaires expérimententdepuis oct. 2013 le VAE :
- Déplacements « domicile-travail ».- Déplacements de mission de proximité.- Déplacements personnels quotidiens
(sorties, courses, etc).
Bon retour d’expérience : adoptionpérenne de la pratique.
Leviers : le VAE est vécu comme sourcede bien-être, pratique et rapide
pour les courtes distances. Bonne perception extérieure. Freins : circulation automobile,
infrastructure, coût d’acquisition du VAE.
des collaborateurs utilisent leur véhiculepersonnel pour les trajets « domicile-travail »
et 80% de ces trajets se font sans arrêt.
80 %des collaborateurs
habitent à moinsde 6 km.
50 %
Possibilité d’acquisition du VAE par les expérimentateurs de la première vague.
Lancement de la deuxième expérimentation auprès de 10 volontaires.
La première + la seconde expérimentation + autres cyclistes = 30% du potentiel de cyclistes à la CCI Rennes.
Recherche de solutions pour réduire le coût d’acquisition des VAE : financement, encarts publicitaires sur le vélo (entreprise nantaise).
Aller au travail en pédalant ou
en covoiturant
Enquête auprès des salariés du siège
« Proposons des solutions de mobilité alternatives à la voiturepersonnelle pour augmenter le bien-être et réduire
le coût des déplacements domicile-travail »
3 SOLUTIONS ENVISAGÉES (FOCUS GROUPES) EN FONCTION DE LA DISTANCE ENTRE LES LIEUX D’HABITATION ET LA CCI
Impossibilité de constituer un équipage de covoitureurs : - Dispersion géographique des collaborateurs.
- Représentations de la voiture : autonomie, indépendance, intimité, liberté.
Covoiturage1 expérimentateur durant la période estivale.
Pas d’adoption de ce mode de transport jugé beaucoup moins rapide et ayant une
faible fréquence de passage.
Transports en commun
Construction Expérimentation Freins et leviers
Vélo à Assistance Électrique (VAE) pour les trajets de moins de 8 km
32
« Introduisons un véhicule électrique »
« Facilitons la vie des professionnels qui doivent se déplacer »
Et demain ...Encourager encore plus le covoiturage pour les déplacements professionnels (mission) :
rappel sur intranet, plateforme de covoiturage évènementiel.
parcourus par les conseillers en 2011, pour leurs déplacements « domicile-travail » et leurs
déplacements de missions.
Le point d’iso-coût entre les véhicules électriqueset les véhicules thermiques se trouve, aujourd’hui,
compte tenu de la subvention, autour des13 000 km par an. Ce point n’est pas
atteint par la nature des déplacements au sein de la CCI Rennes.
1 200 000 km
Co-construction de meilleures pratiques de travail et d’encadrement.
Périmètre mutualisé avec le démonstrateur CEBPL. Analyse de l’activité en cours.
Identification des évolutions réglementaires souhaitables.
Identification des besoins en matière d’outils.
Expérimentation de ces nouvelles pratiques et nouveaux outils.
Développer l’électro-mobilité
Travailler mieux en mobilité
Et demain ...
MESURE DE L’ACCEPTABILITÉ MESURE DE LA RENTABILITE DE L’INVESTISSEMENT
Autonomie limitée desvéhicules (peur de tomberen panne) et conduite de
type automatique.
Plaisir de conduire (accélération douce et continue) et sentiment de véhiculer une image innovante
et éco-responsable de leur employeur.
Leviers Freins Constat
Peugeot ION, subventionnée par le Conseil Général et par BMA, faisant partie de la flotte.Parking de la CCI équipé d’une borne de recharge rapide et mise à disposition gratuitement pour les visiteurs.
- km parcourus et choix des modes de transport.- Impact du travail en mobilité sur les pratiques d’encadrement.- Adéquation du cadre réglementaire et des outils (tiers-lieux, informatique, etc.).- Effacement de la frontière entre temps de travail et temps privé (blurring).
de l’activité en mobilité de 25collaborateurs de la CCI et de25 collaborateurs de la CEBPL
DOCUMENTATION DÉTAILLÉE
33
Les conseillers de la CCI ont une importante activité de terrain générant de
nombreux déplacements.
Mutualiser
pour plus d’agilité
Développer l’auto-partage en entreprise.
Se rendre au travail en vélo.
Travailler mieux en mobilité.
34
« Maîtrisons les consommations d’énergie liées auxdéplacements en mutualisant les véhicules »
PARTAGE DES VÉHICULES POUR UNE MOBILITÉ ÉCO-RESPONSABLE
Solution en 3 phases :
Retour d’expérienceDifficulté de convaincre certains décideurs sur la plus-value de l’auto-partage à usage personnel (limiter la possession
Importance d’affecter des ressources internes au projet pour capitaliser l’expérience au sein de l’entreprise.
Prise en compte des craintes liées à la perte des voitures de fonction (fort attrait des collaborateurs pour l’usageindividuel des véhicules professionnels).
de km professionnels en 2012.En 3 ans, diminution de 1,7 million de km.Installation d’audio et visio-conférence,
covoiturage (site intranet).Remplacement progressif des anciensvéhicules de service par des voitures
moins polluantes.
9,8 millions
Collaboration avec des entreprises de proximité,
mutualiser et partager lesvéhicules des flottes professionnelles,espace de parking partagé. Étude
de la possibilité d’introduire les véhiculesde fonction et personnels dans la flotte,
extension du projet à la multimodalité.
Mise à disposition de véhicules de la CEBPL aux collaborateurs
pour les déplacements de mission et lesdéplacements « domicile-travail ».
Technologie Koolicar : plateforme Internet +boîtier pour la gestion sans transmission
de clé, fonction covoiturage.Mise en place d’une facturation disctincte
pour les usages professionnels et personnels.
Animation et gestion du dispositif par
un garagiste.Collaboration avec
ANFA et CNPA.
Et demain ...Rendre effectif le service.
Développer l’auto-partage en entreprise
Caisse d’Épargne Bretagne Pays de Loire (CEBPL) : bancassureur avec un réseau d’agences physiques et enligne. Dématérialisation des activités bancaires : hausse du conseil bancaire par
téléphone et extension des services web. Politique de Responsabilité Sociétale de l’Entreprise (RSE) : engagementen 2008 à réduire l’empreinte écologique avec l’accent sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES).
3060collaborateurs (commerciaux
et administratifs), 430 siteslocalisés sur 9 départements.
800 000
à un véhicule par ménage, augmentation du pouvoir d’achat, image de l’entreprise).
kilomètres effectués en train.
Incitation à prendre ce modede transport.
35
« Poursuivons notre engagement écologique enpromouvant la pratique du Vélo à
Assistance Electrique (VAE) »
Construction de la solution avec les salariés.
Étude des freins et leviers à l’adoption du VAE :
- Questionnements techniques (ex. pneus anti-crevaison).- Sentiment d’insécurité : analyse des risques réels, équipements de sécurité (gilets, casques).
Et demain ...
ADOPTION DU VAE POUR LES TRAJETS « DOMICILE-TRAVAIL » DE MOINS DE 10 KM
1ère expérimentation avec 6 volontaires pour une
durée d’un an.
Bilan très positif : sensationde bien-être, de libertéet d’autonomie, facilité
d’utilisation et gain financier.
2ème expérimentation avec 30 volontaires en nov. 2013.
Plus de 80 candidats pour 24 VAE proposés.
Le financement à 50% du vélo sur la deuxième vague constitue un biais possible.
Freins existants à l’utilisation du VAE pour les déplacements de mission de proximité.
Retour d’expérience
Se rendre au travail en vélo
Dans le cadre de ses Plans de Déplacements Entreprise (PDE), la CEBPL s’est donnée comme objectif de faire basculer progressivement 20% de ses déplacements
« domicile-travail » individuels vers des modes doux (vélo, marche à pied, transports en commun).
Analyse de la seconde vague d’expérimentation.
Déploiement du projet à l’ensemble des collaborateurs.
36
« Facilitons la vie des professionnels quidoivent se déplacer »
Et demain ...
La nature des activités nécessitera cependant toujours certains déplacements :importance pour le bien-être des collaborateurs et pour la rentabilité de l’entreprise de
comprendre les pratiques actuelles du travail en mobilité en vue de les améliorer.
Périmètre mutualisé avec le démonstrateur CCI Rennes. Analyse de l’activité en cours.
Travailler mieux en mobilité
RÉDUCTION CONSIDÉRABLE PAR LA CEBPL DE LA PRATIQUE DU TRAVAIL EN MOBILITÉ
Équipement despostes téléphoniques
avec un systèmed’audio-conférence.
Équipement de nombreusessalles de réunion avec
un dispositif devisio-conférence.
Co-construction de meilleures pratiques de travail et d’encadrement.
Identification des évolutions réglementaires souhaitables.
Identification des besoins en matière d’outils.
Expérimentation de ces nouvelles pratiques et nouveaux outils.
- km parcourus et choix des modes de transport.- Impact du travail en mobilité sur les pratiques d’encadrement.- Adéquation du cadre réglementaire et des outils (tiers-lieux, informatique, etc.).- Effacement de la frontière entre temps de travail et temps privé (blurring).
de l’activité en mobilité de 25collaborateurs de la CCI et de25 collaborateurs de la CEBPL
DOCUMENTATION DÉTAILLÉE
37
Découvrir
le territoire autrement
Développer un tourisme éco-responsable.
Outiller les acteurs du tourisme : la Breizh’Trotter box.
Valoriser les mobilités douces.
38
« Renforçons l’attractivité du site et son engagement écologique »
CRÉATION D’UNE OFFRE TOURISTIQUE À FORTE VALEUR PÉDAGOGIQUE ET LUDIQUE
Retour d’expériencePrendre en compte la réalité des infrastructures de mobilité : enjeux des premiers et derniers kilomètres.
Billettique unique, marketing et commercialisation des offres (limites techniques et technologiques).
Nombreuses entités présentes : difficultés organisationnelles liées à la saisonnalité de l’activité des acteurs.
Et demain ...Premiers et derniers kilomètres : implication des garagistes des communes de Redon et Questembert.
Mise en place d’expérimentations pour tester certains packages à partir de septembre 2014.
Réflexion sur une mutualisation de la flotte des VE (publique et privée) sur le territoire.
Poursuite de la réflexion sur les tarifs. Commercialisation du produit complet en 2015-2016.
Développer un tourisme
éco-responsableCoordinateur : IDDIL (Innovation et Design Durables dans l’Industrie et les Loisirs), programme animé par la CCI
Bretagne. Son but est d’élaborer des produits innovants dans le domaine du tourisme et des loisirs.Site expérimentateur : Branféré, parc animalier et botanique, hébergeant un centre d’éducation à
l’environnement pour les enfants, l’école Nicolas Hulot. Labellisé « Green Globe ».
Difficulté pour évaluer le potentiel et l’étendue d’une offre inédite et pour positionner à un prix attractif.
15structures collaborent pour co-construire
une solution de séjours touristiques éco-responsables.
ARIST + Branféré + l’Hôt’Berge + Yves Rocher+ Ecole Nicolas Hulot + Pays de Redon
+ Maison du tourisme de Redon + MEDEFI + SNCF Bretagne + Polyconseil Groupe
Bolloré + Agence GRRR + CCI 56+ CRT + ANFA/CNPA + BMA.
visiteurs par an.
Projet : agrandissement du parc et diversification des espèces, offre
de nouveaux services (restauration, etc.),autonomisation énergétique.
200 000 12 millionsde kilomètres : mobilité évaluée des
visiteurs en 2012 = 2270 tonnes de CO2.
Accès au parc quasi exclusivement envoiture individuelle ou camping-car.
Majorité de « familles » et« enfants - visites scolaires ».
Bornes Implantation et mise à disposition
de bornes de recharge sur leparking visiteur. Étude desconditions d’achat et de
mise en service.
Séjours « Pack Journée à Branféré » et « Week-end à Redon ».
Offre « porte à porte » combinant train, véhicule électrique (VE) ou vélo à assistance électrique ou navette, hébergement, activités
VIP à Branféré et Redon. Introductiond’un support billettique unique.
Expérience augmentée Mettre le design au coeur de
l’élaboration de l’offre. Services et informations ludiqueset éducatifs avant, pendant et
après le séjour.
iddi lB r e t a g n e
39
« Construisons l’offre de balades en incluant la mobilité »
CRÉATION D’UN JEU D’ANIMATION DES MOBILITÉS TOURISTIQUES : BREIZH’TROTTER BOX
Et demain ...
« Serious game de la mobilité »
Concrétisation avec les élus et test d’utilisation.
LA BREIZH’TROTTER BOX :destinée aux professionnels du tourisme
(établissements de loisirs, hôtellerie,entreprises, collectivités, etc.)
Conception graphique : LEANO DESIGN®
Outiller les acteurs du tourisme :
la Breizh’Trotter box
iddi lB r e t a g n e
Jugon-Les-Lacs est une destination éco-touristique. Le groupe de travail IDDIL propose une vision globale d’un développement
touristique du territoire à travers le concept des « balades de Jugon ».
Permet à l’échelle d’un territoire de :
- Faire l’inventaire des offres de tourisme et de mobilité existantes et d’en évaluer la performance.- Réfléchir aux évolutions de ces offres.- Concevoir collectivement de nouvelles offres associant des moyens de mobilité, des services associés, des expériences nouvelles pour les usagers.
Carte du lac de Jugon : mobilité des familles.
de scenarii d’usage adaptéspour les profils de clientèle et
intégrant des moyens de mobilité.
Définition
Création de 4 jeux de cartesLe principe : un tapis de jeu = la carte du territoire
et 4 jeux de cartes représentants :
- Les caractéristiques du territoire, les services existants, les offres touristiques, hébergement et loisirs.- Les différentes typologies de la clientèle (ex. personne seule, familles) avec deux variables de typologie de clientèle (attributs et affinités) pour cerner leurs besoins.- Les différents moyens de déplacement (commun, personnel, services).- L’implantation sur le territoire.
40
« Laissons la voiture pendant nos vacances »
Et demain ...
Promouvoir l’abandon de la voiture une fois sur Jugon en proposant de nouvelles solutions de mobilité pour découvrir le territoireenvironnant et vivre de nouvelles expériences comme :
- S’organiser un pique-nique de l’autre côté du lac en louant un NAGA à la station « Sports et Nature ».
- Partir de son hébergement flottant au camping du Bocage du Lac pour aller faire son marché aubourg de Jugon avec toute sa petite famille !
Design des « NAGA » : LEANO DESIGN®
Finalisation du prototypage et mise à l’eau pour un premier test d’usage.
Valoriser les mobilités douces
Dans le cadre des réflexions sur un tourisme éco-responsable et des esquisses sur les balades de Jugon, divers moyens de mobilité douce sont envisagés dont les vélos nautiques (Elphéon),
des embarcations nautiques à assistance électrique (NAGA), des vélos électriques, etc.
iddi lB r e t a g n e
41
S’informer
pour se grandir
Créer un PIJ pour un accompagnement de proximité.
Développer un circuit touristique à la Vallée des Saints.
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« Élargissons les horizons, améliorons l’informationet augmentons l’accès à la formation des
jeunes en territoire rural »CRÉATION ET GESTION D’UN POINT INFORMATION JEUNESSE (PIJ) EN TERRITOIRE RURAL
Retour d’expérienceAdapter la méthodologie d’entretien aux publics (jeunes n’ayant pas l’habitude de verbaliser leurs besoins).
Soutien financier et matériel de l’Institut de Locarn facilitant la mise en place du PIJ.
Nécessité d’adapter les activités du PIJ aux réalités du territoire.
Consensus des acteurs concernant la valeur ajoutée du PIJ pour le territoire.
85%
Focus groupes (5) avec les jeunes du territoire. Sujets explorés : recherched’information en matière d’emploi, de formation, identification des besoins, freins et leviers :
- Besoin d’information et d’accompagnement en face à face affirmé par les jeunes.- Mise en exergue des difficultés spécifiques de mobilité.- Fracture numérique (possession d’outils mais difficulté d’accès aux forfaits).- Compétences de recherche d’information à développer.
Et demain ...Étude de la faisabilité par les Communautés de Communes concernées.
Co-construction et montage du projet à partir de septembre 2014 avec le CRIJ Bretagne et le(s) animateur(s).
Recrutement du ou des animateurs du PIJ.
dont le fonctionnement est adapté au territoire :
- Dématérialisation de l’activité.- Promotion de l’appli smartphone développée par le CRIJ Bretagne qui permet l’accès à de nombreuses informations.- Prêt de PC ou tablettes connectés et de clefs 3G.- Révision de l’activité : introduction de permanences dans plusieurs lieux sur le territoire.
Création d’un PIJ
habitants en territoire rural :type d’habitat dispersé,
éloigné des lieux de travail,services, commerces, etc.
des 16-23 ans ont des smartphones,
mais seulement 15% ont une connexioninternet. Par contre 90% ont accès à un
ordinateur connecté.
30 000 77PIJ en Bretagne
mais aucun en centre Bretagne.
Un PIJ pour un accompagnement de proximité
L’institut de Locarn est un centre de prospective économique, « think tank » premier villagenumérique de France, situé sur un bassin de vie constitué de 6 Communautés de Communes.
Il oeuvre pour le développement économique, social, culturel de son territoire etde la Bretagne. Il développe des activités d’éducation et de formation en lien avec le
Conseil Régional, l’Agefos et Pôle emploi et participe à la promotion du tourisme.
43
Et demain ...
Développer un circuit touristique
autour de la « Vallée des Saints »
La Vallée des Saints est un site touristique à vocation historique et culturelle au centrede la Bretagne. Le site rassemble 36 sculptures géantes de saints bretons,
chaque année de nouvelles statues sont édifiées.
« Renforçons l’accessibilité du site »
MISE À DISPOSITION D’UNE SOLUTION MULTIMODALE« TRAIN + VÉHICULE ÉLECTRIQUE (VE) » AVEC BILLETTIQUE UNIQUE
Enquête réalisée auprès de visiteurs actuels
Freins Difficultés d’ordre pratiquePrincipalement des bretons de plus de 55 ans.
Voiture personnelle privilégiée.Observation d’une pratique massive du covoiturage.
=> Population peu demandeuse d’une solution multimodale.
pour concilier la distance d’environ 70 kmentre Saint-Brieuc et la Vallée des Saints avec
la limite actuelle d’autonomie des VE.=> Piste pas pertinente à court terme.
Intégrer des services dédiés au tourisme dans les voitures.Édition par la Valllée des Saints d’un guide touristique pour renseigner d’autres sites d’intérêt touristique à proximité.
Cette information, complétée par des renseignements pratiques sur l’offre de restaurationet d’hébergement, peut être intégrée au système de navigation des voitures.
=> une telle solution faciliterait la découverte de la région tout en évitant de parcourir des kilomètres inutiles.
Explorer la faisabilité d’une offre d’auto-partage animée par un réseau de garagistes locaux pour augmenterl’accessibilité des sites touristiques en centre Bretagne et améliorer la mobilité des populations locales.
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45
Apprendre et chercher
sans frontières
Développer les collaborations grâce au numérique.
Pédaler pour étudier.
Se former à distance.
Mutualiser la flotte universitaire.
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« Utilisons le numérique pour rapprocher les chercheurs »
DÉVELOPPER DES OUTILS DE COLLABORATION DÉMATÉRIALISÉS
en ligne sur l’utilisation de la voiture.
Quelles activités ? Quels motifs ?
15 000 EnquêteNombreux
Entretiens d’explicitationavec 5 professionnels : recours à des
outils collaboratifs en libre accèssur le web, peu d’utilisation
des salles équipées en visio-conférence.Synthèse sur les usages présentée
au directeur de la Direction des Systèmes d’Information (DSI).
Les outils proposés et/ou utilisés aujourd’huisont-ils à la mesure des enjeux decollaboration dans la recherche ?
Comment l’institution propose-t-elle un cadre technique pour favoriser des outils fiables
et dont l’usage est effectif ?
Conception
Retour d’expérienceDes solutions développées au coup par coup selon les projets et les profils des chercheurs.
Complexité de la réorganisation informatique.
Et demain ...Poursuite du travail engagé sur les outils collaboratifs en organisant un focus groupe avec les chercheurs : opportunités
Outils non finalisés, en attente pour les tests utilisateurs et mesure de l’acceptabilité individuelle et sociale.
Réflexion sur les outils permettant des collaborations dématérialisées (visio-conférence, partage
de documents, gestion de projet en général, etc.) : OSUR (Observatoire des
Sciences de l’Université de Rennes), cellule de recherche de 40 chercheurs comme
lieu d’expérimentation.
Université de Rennes 1 : activités d’enseignement et de recherche. Contexte de fusion entre les universités Rennes 1 et Rennes 2.
L’Université vise un développement de son rayonnement et de l’attractivité de ses activités (ex. formation tout au long de la vie, collaborations internationales).
Réalisation d’un schéma directeur de mobilité avec des objectifs de développement durable et de qualité de vie des usagers.
Développer les collaborations grâce au numérique
d’accompagnement du développement des usages d’un réseau d’équipements de télé-présence (UEB campus).
déplacements générés parles collaborations et échanges.
Actions déployées sur le report modalmais faiblement significatif.
tonnes équivalent carbone dont 1/3 pour les transports.
Parmi ces derniers, 1/5ème en déplacementsprofessionnels (soit 1000 tonnes).
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MISE À DISPOSITION DE VÉLOS À ASSISTANCE ÉLECTRIQUE (VAE)
LANCEMENT DE L’EXPÉRIMENTATION LE 7 JANVIER 2014 :
11 étudiants volontaires de l’ESIR pour des trajets « domicile-campus ». Évaluation de l’acceptabilité individuelle et sociale (T0).
Retours des étudiants très positifs.
36% Questionnaire Relevés de terrainen ligne sur les déplacements
(activités, motifs).La mesure des taux d’occupation des
places de stationnement vélo et voiture, la desserte en transports en commun, etc.
montrent que les situations sont trèsdifférentes d’un campus à l’autre.
des émissions de GESsont dues aux déplacements
« domicile-campus ».
21% des étudiants utilisent la voiture,plus d’1/3 d’entre eux pour des
distances de moins de 4 km.
Pédaler pour étudier
« Proposons une offre globale de mobilité alternative à la voiture »
Focus groupes (2)Présentation du projet BMA en
amphi (50aine d’étudiants présents).Co-construction de la solutionde mise à disposition des VAE.
Démonstration de VAESensibilisation des
étudiants à l’usage du VAE.Recrutement de volontaires
(étudiants de l’ESIR).
ConventionConclusion d’une convention
de location jusqu’endécembre 2014 entre
Rennes 1 et Kéolis.
Et demain ...
Évaluation T1 prévue pour fin février 2015.
Lancement d’une troisième vague d’expérimentation auprès d’étudiants de la formation SPM (Sciences et Propriétés de la Matière) à partir de septembre 2014.
Déploiement à échelle intermédiaire de la solution vers le public étudiant.
48
Parc d’une centaine d’unités, avec des véhiculesrelativement vieillissants.
Rennes 1État des lieux dans le cadre de sa démarche de rationalisation d’achat de véhicules menée par le
service des marchés de Rennes 1.État des lieux de la flotte universitaire réalisé par les
étudiants du Master Logistique.
Rennes 2Réunion avec le responsable de la flotte de l’Université
Rennes 2 pour lancer l’analyse des usages.Analyse des pratiques de réservation
de véhicules.
Et demain ...Finalisation de l’analyse des études réalisées et formulation de préconisations.
Organisation d’un groupe de travail avec les acteurs des deux universités pour mettre en oeuvre la mutualisation.
Se former à distance
Mutualiser la flotte des universités
« Développons la formation tout au long de la vie,notamment par la formation ouverte à distance, dans
le cadre des activités d’enseignement »
Réflexion sur la gestion de la flotte tout en répondant aux exigences nationales d’un quota de renouvellement de 20% au profit des véhicules électriques.
« Optimisons la gestion et les usages de la flotte universitaire en fonction des besoins »
Étude statistique sur la formation continue : pertinence d’une comparaison entre une
formation à distance et en présentiel.
La réalisation de l’étude qualitativen’a pas abouti à ce jour.
AvancementObjectifs
Suivre la mobilité d’une 20aine d’étudiantsen formation à distance pour faire apparaître
notamment les économies de trajet.Étudier les motivations, les freins et les leviers
au développement de la formation à distance auprès d’un groupe d’apprenants
(ENVAM, campus numérique).
Coordination de la flotte universitaire par le service des marchés de l’Université de Rennes 1, chaque établissement ayant cependant son parc propre
et ses usages (ɚ�pour Rennes 2).
49
Gagner
du temps utile
Enseigner sur deux campus en prenant le train.
Créer une communauté étudiante de covoitureurs.
Optimiser la flotte des véhicules de service.
50
« Maîtrisons les coûts liés aux déplacements professionnels tout en renforçant la qualité de vie »
SOLUTIONS MULTIMODALES (TRAIN+TAXI, TRAIN+VAE) POUR LES DÉPLACEMENTSPROFESSIONNELS INTER-CAMPUS ENTRE RENNES ET ST-BRIEUC
Retour d’expérience5 semaines d’expérimentation : réduction du temps d’expérimentation de moitié en raison des travaux sur la ligne de train.
Espace de co-working adopté pour mettre à profit les temps d’attente en gare.
Appropriation de la solution : service très apprécié des participants, volonté de reconduire l’expérience.
euros par an pour les déplacements Rennes - Saint-Brieuc,
110 enseignants de Rennes vont à St-Brieuc, 23 prennent le train, les autres utilisent
la voiture = 315 000 km/an.
1/330%du budget transport de l’université
pour les déplacements dupersonnel interne.
Identification
Enquête auprès des professionnels et analyse des usages
d’offreurs pour le service de taxi viala SNCF. Développement des
solutions multimodales (train + taxi, train + vélo). Rédaction de conventionsavec la SNCF pour la mise à dispositiond’un local en gare pour l’hébergement de VAE et d’un espace de co-working
en gare de St-Brieuc.
Entretiens individuelsauprès d’une 15aine d’enseignants :
analyse des déplacements, recrutementde volontaires et compréhension
de l’activité d’enseignementsur un site délocalisé.
Et demain ...Bilan des évaluations d’acceptabilité (T0 et T1).
Poursuite de l’expérimentation de l’offre multimodale à partir de septembre 2014 avec de nouveaux volontaires.
Élargissement de l’expérimentation aux personnels de l’IUT de Rennes 1.
Trouver le modèle économique pour le changement d’échelle.
Enseigner sur deux campus en prenant le train
Université Rennes 2 : activités d’enseignement et de recherche. Contexte de fusion entre les Universités de Rennes 1 et Rennes 2.
Orientations stratégiques axées sur le développement des collaborations, la mutualisation, le développement du numérique et des modes de formation (apprentissage,
alternance et formation continue). Amélioration de la qualité de vie des étudiants.Fluidité de la mobilité entrante et sortante des campus.
Lancement en janvier/février 2014 avec 7 volontaires pour la solution « train+taxi » et 1 volontaire pour la solution « train + VAE »
(achat du vélo) : passation d’un questionnaire (T0 et T1) par mail
(acceptabilité sociale et individuelle).
Expérimentation
€
51
130 000du personnel effectue
des déplacements inter-sites.
Principalement avec leurvéhicule personnel.
DÉVELOPPEMENT DU COVOITURAGE POUR LES DÉPLACEMENTS DU WEEK-END DES ÉTUDIANTS
Campus de Villejean et de la Harpe Campus de Mazier
Déplacements « domicile-campus » : métro-bus (61%), marche (18%),
voiture (17%), vélo (1%) et covoiturage (2%).
Le covoiturage pour les déplacements quotidiens n’est pas une solution
adaptée.
« Améliorons les services aux étudiants en matière de déplacement pour améliorer leur confort de vie
et répondre aux enjeux environnementaux »
Déplacements le week-end : covoiturage (38%), voiture (33%),
train (22%), autre (7%)
Campus de Villejean (Rennes) Campus de Mazier (Saint Brieuc)
d’une formation pour l’experimentation d’une solution numérique : Master 1 Géographie.Présentation du projet aux étudiants et recrutementdes volontaires. Mise en place d’un dispositif pourvaloriser la participation à l’expérimentation.
Et demain ...Campus de Villejean :
Créer une communauté étudiante
de covoitureurs
Stationnement saturé sur le campus de Villejean avec un risque d’aggravation avec la construction du stade et la prévision de diminution du nombre de places de parking
dans le Schéma Directeur Immobilier et d’Aménagement (SDIA).
choix de l’offreur et interfaçage de la solution vers l’ENT.
Communication sur la mise à disposition de l’espace dédié au covoiturage.
Réflexion sur le déploiement du système à toutes les écoles de la région.
Identification
d’une formation pour l’expérience de la solution numérique : L3 STAPS.Présentation du projet aux étudiants.Freins très forts à la mise en place d’un systèmede covoiturage et pas de leviers repérés. Pas de volontaires pour l’expérimentation.
Identification Évaluation
Focus groupes (3)ont permis de préciser les attentes : service gratuit pour l’usager, accessible depuisl’Environnement Numérique de Travail (ENT), créationd’une communauté réservée aux étudiants.
des offreurs potentiels et travail sur le développement du site Internet.
d’un panneau de covoiturage auto-organisé.Étude d’usage : - Panneau utilisé par16 personnes en moyenne.- Plus d’offres que de demandes. - Tableau jugé intéressant par les étudiants mais déclarent ne pas trouver le trajet leur convenant.
Conclusion : - Hypothèse d’un flux d’informations insuffisant.- Préconisation d’un espace numérique dédié au covoiturage.
Expérimentation
entretiens, questionnaires, relevés de terrain
52
56 entretiens et questionnaires.
Majorité des déplacements en voiture.
Parc comportant 10 véhicules.Coordination de la flotte universitaire par un responsable dédié.
« Optimisons la gestion et les usages de la flotteuniversitaire en fonction des besoins »
Optimiser la flotte des véhicules de service
Réflexion sur la gestion de la flotte tout en répondant aux exigences nationales d’un quota de renouvellement de 20% au profit des véhicules électriques.
Rennes 1Rennes 2Réunion avec le responsable de la flotte de l’Université
Rennes 2 pour lancer l’analyse des usages.Analyse des pratiques de réservation
de véhicules.
Et demain ...Finalisation de l’analyse des études réalisées et formulation de préconisations.
Organisation d’un groupe de travail avec les acteurs des deux universités pour mettre en oeuvre la mutualisation.
État des lieux dans le cadre de sa démarche de rationalisation d’achat de véhicules menée par le
service des marchés de Rennes 1.État des lieux de la flotte universitaire (réalisé par les
étudiants du Master Logistique).
53
Bouger
solidaire
Créer un service social et solidaire de véhicules d’occasion partagés.
Parcourir le territoire en véhicule électrique.
54
« Améliorons l’accès à l’emploi en adaptant l’offre demobilité proposée par les garagistes »
MISE EN PLACE D’UN SERVICE D’AUTO-PARTAGE « SOLIDAIRE »
Construction et finalisation de l’offre
Retour d’expérience
Adaptation du coût du service de location aux ressources financières des bénéficiaires potentiels :
Réflexion sur les freins des professionnels : paiement (versement unique), conciliation avec l’activité de vente des VO
Questionnement sur le statut des véhicules d’occasion en vente, interdiction de circulation : dossier de demande d’exonération de taxes pour l’immatriculation des véhicules d’un service d’auto-partage.
80%de taux de chômage.
Diagnostic mobilité sur 20structures de l’action sociale etsolidaire : 219 personnes ont lepermis B, ne possèdent pas devéhicule et sont à la recherche
d’un emploi.
15%
Identificationdes structures de l’actionsociale et solidaire pour
définir le service (demandes, conventions, tarifs, etc.).
Créer un service social et solidaire
ANFA (Association Nationale pour la Formation Automobile) œuvre pour la formation des professionnels.CNPA (Conseil National pour les Professionnels de l’Automobile).
Lannion Trégor Communauté (LTC) : 29 communes fédérées autour du « projet territoire 2014-2020 »dont l’un des axes est la modification des comportements et pratiques face à l’urgence écologique.
de véhicules d’occasion partagés
baisse du marché automobile.Faible rotation des stocks de Véhicules
d’Occasion (VO) et de Véhicules Électriques (VE) en vente dans les garages.
Développement de nouvelles activités.Immatriculation 4 fois plus importante
des véhicules d’occasion.
Depuis 3 ans
12% 40%48%
Et demain ...Finalisation et lancement de l’expérimentation.
Bilan de l’expérimentation : questionnaires et/ou entretiens usagers pour mesurer l’acceptabilité sociale et individuelle,
Extension de l’offre de service solidaire à d’autres Communautés de Communes.
entretiens d’explicitation auprès des professionnels de l’automobile pour évaluer l’appropriation de l’offre.
Adaptation de l’offre de location au public des entreprises et au public résidentiel.
(close dans le contrat d’un retour de la voiture dans la journée en cas de vente) et couverture assurance
Recherched’offreurs de l’auto-partagepour la gestion logistique et
opérationnelle du service (Koolicar).
Collaborationde 2 garagistes + 2 concessionnaires. Recherche de solutions d’assurance auprès de professionnels (MAIF, Macif,
Aviva, Groupama) pour couvrir le service.
faible coût proposé par les garagistes, financement de LTC (dans le cadre d’une expérimentation d’une durée de 5 mois).
géré par les professionnels de l’automobile
des véhicules loués (MAIF).
des déplacements quotidiens sontréalisés en voiture sur LTC.
En 2010, les ménages :
Étalement important des zones d’habitat etfaible densité de population empêchant le
développement d’une offre de transport classique.
55
Et demain ...
Communiquer sur l’offre de location de VE disponibles dans les garages et concessions pour l’été 2014.
Évaluer, auprès des clients, la pertinence du déploiement à plus grande échelle du service et adapter ce dernier en fonction des attentes et usages exprimés.
Travailler sur la montée en compétences des professionels de l’automobile suite à la prise en charge du service.
Construire avec les professionnels de l’automobile et l’office du tourisme une offre touristique (ex. parcours découverte du territoire) où le VE permettrait de se déplacer sur le territoire (carnets de bords, circuit GPS, etc.).
« Développons notre offre de mobilité électrique afinde mieux communiquer sur ce type de
véhicule et susciter une demande »
MISE EN PLACE D’UNE OFFRE DE LOCATION DE VÉHICULES ÉLECTRIQUES (VE)
Recherched’offreurs de l’auto-partagepour la gestion logistique et
opérationnelle du service (Drivy).Mise en location des VE le 15 mai
2014 sur le site de Drivy : « Un roadtripécologique, économique et civique »,
« Découvrez le Trégor en voiture électrique ».
de 3 garagistes +1 concessionnaire.
Collaboration
sites culturels et de loisirs, recevant plus de 20 000
visiteurs chacun (cumul de plus de 380 000 visiteurs/an).
6
ExpérimentationLancement en été 2014 avec
4 VE. Offre de lancement à 20 €/jour puis coût du service
à 25 €/jour.
Développement du tourisme vert : l’expérience Vélek’tro.
Service de location de vélosélectriques, lancé il y a trois ans. Aujourd’hui : 22 points de relais et
70 vélos répartis sur l’ensembledu territoire.
La population peut quasimentdoubler grâce à l’arrivée
de touristes.
Haute saison
Parcourir le territoire en
véhicule électriqueLannion Trégor Communauté (LTC) dispose d’une capacité d’accueil pour les
touristes : en 2013, elle représentait 14% des lits touristiques des Côtes d’Armor pour 9% de la population.
RETOURS TRÈS POSITIFS : certains habitants ont acheté un vélo à la suite de la location.
56
57
Partager
pour mieux bouger
Partager les voitures entre résidents.
Concevoir un « tiers-lieu » pour une activité de proximité.
Concevoir un bâtiment intégrant la mobilité.
58
« Diminuons les coûts économiques et écologiques dela mobilité en mutualisant les véhicules »
PARTAGE DES VÉHICULES ENTRE HABITANTS
Questionnaire sur la mobilité quotidienne : déplacements « domicile-travail », activités de proximité, représentations « voiture ».
Retour d’expérienceAcigné : population avec des habitudes bien ancrées et manque de relais sur place
Fort investissement de Koolicar pour adapter son service et innover dans son business model.
Chevaigné : forte identité éco-responsable du collectif d’habitants + instances de concertation déjà présentes= leviers pour le changement.
ChevaignéAcigné
70%
Et demain ...Bilan de l’expérimentation et adaptation du service en fonction des retours des habitants.
Communication sur l’expérimentation avec la municipalité de Chevaigné pour étendre l’auto-partage à d’autres foyers.
Réflexion sur le développement d’une option de covoiturage sur le logiciel Koolicar.
Partager les voitures entre résidents
pour mobiliser les habitants : difficultés pour engager un travail collaboratif.
des foyers ont 2 voitures. Faibleusage des transports en commun,
du covoiturage et du prêt de voituresentre voisins. Saturation de l’espace
public par le stationnement.
Activités « courses » :13 000 km par semestre
= 15% des déplacementsjournaliers.
12 familles dans un habitat groupé éco-responsable :l’Eco-Hameau. 4 actifs utilisent le train pour aller au
travail, leur voiture reste inutilisée la journée.Courses aux mêmes endroits et mêmes horaires.
Portée moyenne d’un déplacement : 12 km.
Promoteur-constructeur coopératif rennais permettant l’accès à la propriété pour les ménages modestes.Activités reposant sur des valeurs de construction respectueuses de l’environnement et
accompagnement des futurs résidents. Étalement urbain dû au coût du foncier : la construction en zones périurbaines décuple les mobilités liées au travail, courses et loisirs.
Enquête : Acigné Restitution des résultats de l’enquête aux
habitants sur leurs déplacements quotidiens :proposition de pistes de gains financiers
et de temps. Aucun volontaire pourparticiper au groupe d’expérimentation.
avec les 12 foyers de l’Eco-Hameau pour définir les conditions et règles d’utilisation de l’auto-partage. Travail avec Koolicar pour
adapter l’offre aux besoins des expérimentateurs : équipement des véhicules, adaptation du logiciel,
ajustement des conditions d’assurance.
depuis juin 2014, les 12 foyers partagent 3 véhicules, dont une Mia électrique.
Évaluation : carnet de bord hebdomadaire (problèmes rencontrés,
remarques ouvertes) + entretiens collectifs (acceptabilité sociale et individuelle) + analyses de l’usage des véhicules.
Groupe de travail : Chevaigné Expérimentation : Chevaigné
59
CRÉATION D’UN « TIERS-LIEU »
d’un bâtiment « Plein Centre » par la Coop de Construction (fin en 2015).
Présence de logements et au rez-de-chaussée, de locaux achetés par la mairie(micro-crèche, cabinet médicalet présence de locaux libres).
Et demain ...Constitution de groupes d’innovation pour co-construire des services du tiers-lieu et implication
des différents acteurs de la commune.
Poursuivre la collaboration avec la SNCF pour un aménagement autour de la halte (identificationdes différents porteurs de projet, mise en place d’un calendrier, etc.)
40 000 km Construction
Volonté de relocaliser certaines activités dans la commune et d’offrir une alternative à la mobilité automobilevia de nouveaux services de proximité et/ou nouvelles pratiques sociales.
Créer un « tiers-lieu » pour une
activité de proximité
Bréteil : commune située à environ 20 km de Rennes, de 3000 habitants, avec une croissance démographique significative.
Ancrée dans un territoire rural, les activités quotidiennes génèrent une mobilité automobile conséquente.
« Réduisons les déplacements en créant un lieu ouvertau service d’une mobilité éco-responsable et
créateur de lien social »
parcourus/jour en voiture, en dépit d’une halte SNCFassurant la liaison directe avec Rennes (en 15 min)
avec une desserte régulière. 4000 véhicules/jour empruntantquotidiennement l’axe routier traversant Bréteil.
Près de 50% des km parcourus concernent d’autresactivités quotidiennes que le travail (courses, loisirs).
Peu de déplacements en modes douxpour réaliser ces activités.
Analyse du système de mobilité
CONSTRUCTION DE SCÉNARII(Agence Daney Factory) :solutions mêlant habitat et mobilité.Présentation du travail au conseilmunicipal qui valide l’installation.
- Permettre une continuité entre cet espace et la halte SNCF située à 600 m tant en termes de cheminement que de services (ex. parking pour véhicules partagés).
TRAVAIL AVEC LA SNCFpour relier la halte aucentre-bourg en repensant lesusages quotidiens de la halte.
60
Étude des données et enquête réalisée auprès des habitants
- Créer un espace polyvalent, d’information et de services, modulable, adapté aux besoins des habitants, des associations, de la commune, permettant pour certaines activités de passer de la mobilité à l’immobilité.
- Début de consultations des habitants sur les différents thèmes liés au tiers-lieu (ex. lieu de livraison de courses, télétravail).
CRÉATION D’UN BÂTIMENT OUVERT SUR LE QUARTIER
Et demain ...Travail avec les entreprises : mutualisation des locaux.
Objectif que la mobilité soit prise en compte dans la construction de l’agencement des locaux enfonction de l’activité (ex. prise électrique dans les garages pour les véhicules électriques, salle de
pause de l’entreprise devenant une salle commune, mutualisation des espaces, développement de l’auto-partagedes véhicules professionnels pour les particuliers, etc.)
Concevoir un bâtiment intégrant
la mobilité
Blosne : quartier de Rennes en pleine rénovation urbaine, situé dans un environnementavec de nombreux moyens de transport collectif
et à proximité de la rocade.
« Prenons en compte les besoins de mobilité deshabitants, associations, entreprises dans
nos projets de construction »
menée par Daney Factory sur l’articulationentre espaces de vie individuels et collectifs.
Partage d’informations et d’expériences avec l’Atelier Urbain qui capitalise des informations etdémarches visant à impliquer les habitants et lesfuturs usagers dans le cadre de la Rénovation
Urbaine du quartier.
Réflexion Finalisation administrative
du projet (accord de lamunicipalité et des acheteurs).
Identification des structuresassociées et répartition des m².
Définition des surfaces mutualisées.
61
Travailler
au plus près
Avoir un bureau plus proche de chez soi.
Accompagner une relocalisation.
Développer la multimodalité pour les étudiants.
62
« Permettons aux agents de travailler dansdes gares de proximité »
Retour d’expérienceUne réflexion à mener sur les pratiques de management et l’organisation du travail : faire face aux éventuelles
Trouver les leviers de la mobilisation des salariés pour ce nouveau mode de travail.
QUELQUES DIFFICULTÉS TECHNIQUES :disponibilité des bureaux à distance et besoins de coopération au sein de l’équipe habituelle moins bien satisfaits.
Entretiens individuels auprès de 8 salariés :
identification des freins, des motivationset des attentes techniques et
organisationnelles du point de vueprofessionnel et personnel.
Retours qualitatifs après 4 mois de bilocalisation :
avis très positif; gain de temps et diminutionde la fatigue, facilité d’organisation personnelle,
plus de concentration et d’efficacitéindividuelle, rencontre et rapprochement
avec les agents de terrain.
Et demain ...Quelle validation des décideurs pour ce nouveau mode de travail ?
Quel accompagnement des managers et managés ?
Quelle prise en compte des besoins d’aménagement d’espaces partagés ?
Avoir un bureau plus proche de chez soi
SNCF Bretagne réalise des activités de transport de personnes et de marchandises 24h/24h, 7j/7j.Chaque jour, plus de 400 trains circulent en Bretagne pour desservir 126 gares.Pour effectuer ce service, 3 600 cheminots sont répartis sur toute la Bretagne.
Répartition des lieux d’habitation des salariés à proximité du réseau ferroviaire.
« résistances au changement » des hiérarchiques, manager par objectifs, structurer différemment le temps entre réunions et
90%
Pour aller plus loin, la SNCF a souhaité proposer à ses salariés d’expérimenter
le travail à distance, en s’installant dansune gare proche de chez eux.
700cheminots sur 3600 ont des missions
compatibles avec ce mode detravail à distance.
Aujourd’hui, certains salariés ont déjàadopté cette pratique de manière
officieuse. L’expérimentation permettrade mieux les accompagner.
Benchmark des pratiques de management à
distance et d’utilisation d’espaces deco-working. Expérience de bilocalisation
dans une branche de la SNCF qui exploite le réseau de transport d’Ile-de-France
(le Transilien).
travail individuel, transformer les échanges informels et rompre avec la logique de l’immédiateté des demandes/réponses.
63
des salariés travaillant sur lesite de Rennes ont choisi
un autre mode de transport quela voiture (à la suite du PDE - 2008).
LA BILOCALISATION
« Minimisons l’impact d’une relocalisation en proposant des solutions pour la mobilité
liée au travail »
Évaluation du bien-être, de la performanceau travail et de l’impact de la
mobilité sur les salariés au regard de la future hausse
du temps de trajet « domicile-travail ».
Et demain ...
RENCONTRE AVEC LE RESPONSABLE DU PROJET ETIDENTIFICATION D’EXPÉRIMENTATIONS POTENTIELLES
ExpérimentationsDupliquer les expérimentations
des VAE sur les trajets « domicile-travail » des autres
démonstrateurs auprès des volontaires.
Réflexion Intégrer la réflexion des différents
acteurs de la zone autour d’un Plan de Déplacements Inter-Entreprises et dans
le prolongement de l’axe Rennes/Saint-Jacques-de-la-Lande/Ker Lann/Bruz.
Rencontrer les responsables du projet de déménagement pour établir les expérimentations possibles.
Prévoir un calendrier d’experimentation en intégrant les dates effectives du déménagement.
CE PÉRIMÈTRE EST EN COURS DE FORMALISATION.
Accompagner une relocalisation
Relocalisation du Technicentre de Rennes à Saint-Jacques-de-La-Lande, sur un site proche de la halte ferroviaire. Elle entraînera la migration de près de 500 salariés venant à Rennes
majoritairement en train. Le déménagement entrainera à terme des modifications des moyens de transport pendulaire, des déplacements du midi et des emplois du temps.
Développer la multimodalité pour les étudiants
64
65
Bouger
& causer
Faire ses courses ensemble.
Se rendre au travail en vélo ou en covoiturant avec les habitants de sa commune.
66
« Mutualisons les déplacements des personnes âgéespour favoriser les activités quotidiennes, le maintien
à domicile et créer du lien social »
MISE À DISPOSITION D’UN MINI-BUS POUR EFFECTUER LES TRAJETS DE COURSES ET AUTRES TRAJETS
Retour d’expérienceAdaptation de la méthodologie au public.
Suite aux trajets identifiés en fonction des activités, les changements de route à l’initiative des usagers
Importance de la présence de personnes ressources afin de mobiliser le public et établir une relation de confiance.
d’habitants par an.Une population en pleine
croissance.
De nouveaux besoins sur le territoire pour de nouvelles populations.
Population âgée Transport
Et demain ...Déployer la solution sur le long terme avec le CCAS (Centre Communal d’Action Sociale) et les élus
Faire ses courses ensemble
Pays d’Aubigné : Communauté de Communes, à environ 30 km au nord de Rennes.14 000 habitants répartis sur 10 communes, dont Gahard (territoire pilote).
3%
indiquent une appropriation de la solution.
Groupes de travail Expérimentationle 6 novembre 2013 avec 7 volontaires
pour effectuer 2 trajets/mois vers 2 destinations différentes. Évaluations
de l’acceptabilité sociale et individuellede la solution : très positif (remémoration
du passé, liens sociaux, encouragements). Effet positif sur la qualité
de vie en général.
Identification et entretiensde personnes ressources de la commune(CCAS, Club des anciens) permettant larencontre avec les personnes âgées :présentation du projet et recrutement
de volontaires au sein du club.19 entretiens pour mieux connaître
les habitudes des personnes âgées.
avec des bénévoles du Club des anciens,personnes âgées volontaires, CCAS etanimateurs. Recrutement de chauffeurs
bénévoles. Co-construction des itinéraires avec les personnes âgées et les chauffeurs
(ex. rythmes des trajets, organisation).
Moindre usage de la voiture :
- Dépendance vis-à-vis de lasolidarité familiale et sociale.
- Perte d’autonomie et isolement.
(extension de la solution jusqu’à fin juillet pour éviter l’interruption du service avant le déploiement).
67
Activités quotidiennes : loisirs (ex. Clubdes anciens), accès aux services
de soin, courses et visites à la familleen dehors de la commune.
MISE À DISPOSITION DE VÉLOS À ASSISTANCEÉLECTRIQUE (VAE)
MISE EN PLACE D’UN SYSTEME DE COVOITURAGEAUTO-ORGANISE A PARTIR D’UN TIERS-LIEU
La plupart des actifs travaillant à Renneset dans la métropole (60 km/jour).
6000 véhicules/jour transitentsur la RD175 en direction de Rennes.
Saturation des parking constatée.
Lancement de l’expérimentation auprès de 6 volontaires pour des trajets « domicile-gare »
et « domicile-travail » (début juin à fin sept. 2014).Évaluation de l’acceptabilité individuelle et sociale (T0).
utilisent majoritairement la voiture pour aller au travail.72,6 % ne pratiquent pas le covoiturage pour
aller au travail, 6,5% le font peu et 45% nepratiquent jamais le covoiturage.
80% des foyers possèdent deux voitures.
Questionnaire Présentationauprès d’usagers en gare de Montreuil
sur leurs déplacements (déc. 2013).
Recherche de volontaires. Achat de 6 VAE parla Communauté de Communes (fév. 2014).
Recherche d’un espace de stationnement fermé pour les VAE avec la SNCF.
Co-construction avec un chantier d’insertionpour des abris sécurisés.
Et demain ...Pour la solution de VAE : poursuivre l’expérimentation et réaliser l’évaluation à T1.
2014 avec l’appui de la mairie, communiquer sur le covoiturage afin de sensibiliser la population active, recruter les volontaires, réserver des places de parking pour le covoiturage, ouverture à d’autres tiers-lieux
(ex. devant la pharmacie de Saint Aubin).
Retour d’expérienceImportance des personnes relais, des ressources internes.
85,5%
Se rendre au travail en vélo ou
en covoiturant avec les habitants
de sa commune
« Réduisons l’impact écologique et économiquedes déplacements pendulaires »
Pour la solution de covoiturage : remobiliser les parents d’élèves et la directrice d’école à partir de septembre
Enquête par questionnaire(160 familles « parents d’élèves » de Gahard).
à la question des rythmes scolaires.Difficultés liées à la priorité accordée, pour l’année 2013-2014, par la direction d’école et les parents
du projet à l’association des parents d’élèves (oct. 2013). Invitation des parents à
participer à un focus groupe.
Rencontre avec les responsables des activitéspériscolaires pour mobiliser les parentsd’élèves sur les questions de mobilité.
Focus groupe sur la mise en place du système de covoiturage (janv. 2014).
Rencontre avec les offreurs MKTIC et Covoiturage +.
68
69
Construire
un réseau de confiance
Simplifier les déplacements de proximité.
Se faire livrer pour moins se déplacer.
Encourager l’usage du vélo.
70
« Écoles, entreprises, repensons ensemble nos mobilitéspour augmenter l’attractivité de Ker Lann
et assurer l’autonomie des étudiants »
MISE EN PLACE D’UN SERVICE D’AUTO-STOP ORGANISÉ DE PROXIMITÉ
« KLASS, Ker Lann Auto-Stop Service »
Retour d’expériencePasser de la logique de « concertation » à celle de « co-construction » : décider ensemble,
Réussite de la mobilisation des différents acteurs (salariés, étudiants, etc.) : dépend de la mobilisation des relais internes à chaque structure.
Interroger la mobilité sur un territoire conduit à un questionnement sur les activités de la vie quotidienne.
Et demain ...Lancement de l’expérimentation de KLASS prévu en septembre 2014.
Évaluation du service et décision de l’étendre.
Simplifier les déplacements de proximité
accepter l’incertitude, développer la confiance.
voyages en bus par an entre Rennes et Ker Lann. 30 000 véhicules/jour sur 2x2 voies
desservant le Campus.
Bus : extension des horaires, notammentle jeudi soir, à la rentrée 2014.
Train : faible desserte du TER et halte excentrée.
840 000participants aux questionnaires
(étudiants, résidents, enseignants,salariés). L’analyse des activités quotidiennes met en évidence
l’isolement du site. Le campus est qualifié par les
étudiants « d’agréable, vert, isolé,calme, studieux et peu animé ».
1600 80 %
54 % des étudiants prennent une voiture. Ils habitent majoritarement Rennes ou Bruz.
des salariés utilisent leur voiture pour rejoindreKer Lann. Le covoiturage n’est envisagé
qu’en « dépannage ».
KLASS Développement du serviceService simple, immédiat, fluide et gratuit.
Renforce le lien identitaire entre étudiants et salariés des entreprises et des écoles.
Premier pas vers du covoiturage plusformalisé.
Groupes de travailavec une 20aine de volontaires.
Le principe : lieux de « stop » à proximitédes arrêts de bus, symbolisés par despanneaux indiquant la destination :
Rennes ou Bruz. Développement d’un système destiné à assurer la confiance entre usagers.
Identification de 4 lieux d’auto-stop.Symbolisation des lieux par panneaux.
Système de reconnaissance parcartes et macarons.Charte d’utilisation.
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La ville de Bruz, 18 000 habitants, première commune périurbaine de Rennes Métropole.Signataire de la convention des maires et initiatrice d’une charte du Développement Durable.
Ker Lann, quartier de Bruz : un campus de 6 000 étudiants, 50 entreprises, 1 000 logements universitaires.
« Réduisons l’impact écologique et économique desdéplacements domicile-courses »
MISE EN PLACE D’UN SYSTÈME DE LIVRAISON DE COURSES POUR LES ÉTUDIANTS
Et demain ...
Établissement d’un cahier des charges précis avec l’offreur choisi.
Lancement de l’expérimentation en octobre 2014.
Se faire livrer pour moins se déplacer
étudiants dont 1000résidant sur le campus.
Un réel potentiel d’attractivitépour des commerces.
6000Déplacements automobiles générés par
l’activité courses : significatifs,coûteux, limités. Qualifiés de « galère »
par des étudiants n’ayant pas de modes efficaces de transport.
La configuration du campus de Ker Lann ne permet pas à un magasin alimentairephysique d’être viable à long terme.
Focus groupesSouhait des étudiants et des salariés
d’expérimenter un système de livraison parpetit camion de produits frais,
secs et d’entretien.
Groupe de travail mis en place depuis février 2014.
Rencontre avec les trois principalesenseignes de la ville de Bruz.
possible de ce service entreplusieurs commerces de la ville
de Bruz : création de liens de proximité.
Mutualisationpour les étudiants, notamment
les résidents de Ker Lann : livraison hebdomadaireenvisagée sur la placecentrale du Campus.
Livraison
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Et demain ...
« Rendons plus accessible la halte SNCF et favorisons l’usage massif du vélo »
MISE EN PLACE D’UN SERVICE DE LOCATION DE VÉLOS
Poursuivre les réflexions sur la solution dans le groupe de travail.
Nombreux salariés utilisentquotidiennement ce mode
de transport.
Système de location de vélos de longue durée mis en place par l’association des étudiants et
fonctionnant bien sur le campus.
Encourager l’usage du vélo
Groupes de travail associant les usagers du campus,
les collectivités territoriales et les offreurs potentiels, depuis fév. 2014.
Focus groupesSolution pas encore figée (stations de vélos enlibre service combinées avec des systèmes de
location en courte et longue durée).
Lieux de stations identifiés, avec deux objectifs :
- Points relais dans les zones commerciales pour accroître l’autonomie des résidents du campus et de Bruz.- Points relais dans les haltes et gares de proximité, les principaux arrêts de bus pour favoriser la mobilité multimodale des usagers.
Au regard de la localisation et de l’étendue du campus de Ker Lann, les mobilités douces représentent une alternative intéressante à l’usage de la voiture.
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Les démonstrateurs :
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Les membres experts :
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Conception graphique : Daney Factory
bmabretagne mobilité augmentée