à la découverte du monde
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ISSN : 1298-1745ISBN : 978-2-86565-457-4Réf : 31000A80
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L A U R E N T F A L C E T T E
P E R R I N E L Y S S A N D R E
S Y L V A I N R O N D I
J E A N - C H A R L E S S A U R A
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La « Découverte du monde » est une ouverture intellectuelle et culturelle proposée aux élèves dès la maternelle, qui se poursuit au cycle 2 en vue de leur permettre d’acquérir une culture scientifique et technologique. Les activités proposées dans cet ouvrage sont issues de pratiques de classe et s’appuient sur la démarche d’investigation.
Cette pédagogie est élaborée selon l’idée fondatrice que les élèves construisent leurs apprentissages en étant co-acteurs des activités scientifiques. Le rôle de l’enseignant consiste alors à mettre en place les conditions qui doivent permettre aux élèves de mener une réelle activité intellectuelle : les guider sans faire à leur place.
Au cycle des apprentissages fondamentaux, les élèves acquièrent des repères dans le temps et l’espace et des connaissances sur le monde. Ces repères sont construits en partant de situations simples de la vie quotidienne et du milieu proche et connu. Les élèves dépassent leurs représentations initiales par l’observation et la manipulation. Ils mènent des investigations qui les amènent à décrire leurs observations et à maîtriser un vocabulaire de plus en plus précis. Bulletin Officiel n°1 du 05 Janvier 2012
La démarche d’investigation s’appuie sur un outil transversal, le cahier d’expériences, indispensable à la fois à la formalisation des idées et des résultats, mais aussi à la maîtrise de la langue.
Ce « 50 activités » contient de nombreux visuels qui vous permettront de vous représenter le déroulement, et des documents supports aux activités vous sont proposés en complément sur le site compagnon de l’ouvrage.
http://www.cndp.fr/collection/50-activites/Decouverte-du-monde-par-l’investigation
Pour que tous, enseignants et élèves, aient envie de relever le défi des sciences à l’école, les auteurs vous invitent à une bonne lecture et une bonne pratique de la démarche d’investigation dans vos classes au cycle 2 !
Les auteursLaurent Falcette, ancien maître-formateur en classe de maternelle, est actuellement formateur à l’IUFM-École interne de l’Université de Toulouse II-Le Mirail.
Perrine Lyssandre, professeur des écoles dans le département des Hautes-Pyrénées.
Sylvain Rondi, professeur des écoles dans le département des Hautes-Pyrénées, est actuellement animateur Sciences départemental auprès de la Direction académique des Hautes-Pyrénées.
Jean-Charles Saura est conseiller pédagogique sur la circonscription de Lourdes/Bagnères dans le départe-ment des Hautes-Pyrénées. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages avec le CRDP de l’académie de Toulouse et a coordonné celui-ci.
La collection « 50 activités » propose des fiches pratiques aux enseignants. Elle leur permet de mettre en œuvre des situations d’apprentissages disciplinaires, par niveau, par cycle ou transversales. Directeur de collection : Michel Azéma, DASEN de Tarn-et-Garonne.
à la découvertedu monde par l’investigation au cycle 2
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à la découvertedu monde par l’investigation au cycle 2
ISSN : 1298-1745ISBN : 978-2-86565-457-4
Directeur de la publication : Marc LABORDEDirecteur de la collection : Michel AZÉMA, DASENDirecteur des éditions : Frank GROSSHANSSuivi éditorial : Fabienne SOUCHETPropriété intellectuelle : Jean-François SPELLEPAO : Synellipse - ToulouseBibliographie et sitographie : Élisabeth ROUAIX
Maquette : Image & CommunicationCouverture : Synellipse - Toulouse
Photos de couvertureBougie : © Neyro - Fotolia.comAbeille : © Alekss - Fotolia.comEnfant : © gekaskr - Fotolia.comPlaneur : © jiris - Fotolia.com
© CRDP de l’académie de Toulouse, avril 2013
Tous droits de traduction, de reproduction et d’adaptation réservés pour tous pays.
« Le Code de la propriété intellectuelle n’autorisant, aux termes des articles L. 122-4 et L. 122-5, d’une part que “les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective” et, d’autre part, que les analyses et courtes citations dans un but d’exemple et d’illustration, “toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause est illicite” ».Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, sans autorisation de l’éditeur ou du Centre français de l’exploitation du droit de copie, constituerait donc une contrefaçon, sanctionnée par les articles 425 et suivants du Code pénal.
Site compagnonhttp://www.cndp.fr/collection/50-activites/Decouverte-du-monde-par-l’investigation
50 activités
Laurent FALCETTEPerrine LYSSANDRESylvain RONDIJean-Charles SAURA
à la découvertedu monde par l’investigation au cycle 2
Présentation des auteurs
Laurent Falcette, ancien maître-formateur en classe de maternelle, est actuellement formateur à l’IUFM-École interne de l’Université de Toulouse II-Le Mirail. Convaincu de l’ intérêt de faire pratiquer les sciences aux élèves dès leur plus jeune âge, il développe un enseignement des sciences expérimentales avec des élèves de 5-6 ans, notamment à travers la création et l’utilisation d’un cahier de sciences individuel et collectif.
Perrine Lyssandre est professeur des écoles dans le département des Hautes-Pyrénées. Les sciences l’ont toujours passionnée et elle s’est donc orientée dans cette voie pour ses études. Dans sa pratique de classe, elle accorde une place importante à l’enseignement des sciences et de la technologie, à la découverte du monde mais aussi à la mise en place de la démarche d’ investigation.
Sylvain Rondi, professeur des écoles dans le département des Hautes-Pyrénées, est actuellement animateur Sciences départemental auprès de la Direction académique des Hautes-Pyrénées. Il est aussi membre de plusieurs associations d’observation et de médiation scientifique à l’Observatoire du Pic du Midi de Bigorre.
Jean-Charles Saura, ancien maître formateur à l’IUFM de Tarbes Midi-Pyrénées, est actuellement conseiller pédagogique sur la circonscription de Lourdes/Bagnères dans le département des Hautes-Pyrénées. Passionné de sciences et technologie, il a réalisé de nombreuses animations, formations et ouvrages dans les domaines scientifiques, de l’espace en particulier, en partenariat avec le CNES et Planète Sciences Midi-Pyrénées, tant pour les enseignants que pour les élèves.
Remerciements
À mesdames Falcette, Rondi et Saura pour leur soutien.
À messieurs Lyssandre et Rondi-pères pour leur apport et leur soutien et pour nous avoir fait « tomber dans la marmite de la science et de l’enseignement » depuis tout petits !
Aux collègues et élèves des écoles qui nous ont permis d’expérimenter les activités présentées dans cet ouvrage.
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Sommaire
S o m m a i r e
Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
Trouver la bonne fiche . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
Fiches d’activités
I – Se repérer dans le temps
1. Se repérer dans une journée : la journée d’école . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16
2. Les variations de la durée du jour . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19 3. La trajectoire apparente du Soleil au cours de l’année . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24
4. Comment mesurer le temps ? Le sablier . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28 5. Construire une clepsydre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31
6. Bougie et encens . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35
II – Se repérer dans l’espace 7. Avions et plans (1). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40 8. Avions et plans (2) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 44 9. Le plan de la classe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 48
10. Plan du quartier et TICE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5411. Voyage sur le globe. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5812. Globe, planisphère et continents . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6313. La Terre est un ballon de football !. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 67
III – Découvrir le monde du vivant14. Explorer ses qualités tactiles : le toucher. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7415. Comment naît et se développe une plante ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7816. De la fleur au fruit. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8117. Les chaînes alimentaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 86
6 Sommaire
18. L’escargotière . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9019. Une fourmilière dans la classe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9720. Les abeilles solitaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10221. Les pelotes de réjection. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10822. Les semis : croissance racinaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11323. Le bouturage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11824. Les greffes de végétaux. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 121 25. Moisissures et champignons . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 124
IV – Découvrir le monde de la matière26. Les propriétés des liquides. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13227. L’eau : solidification et fusion. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13428. L’eau : évaporation et condensation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13829. Découverte de l’air en tant que matière . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14430. Le sèche-cheveux. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14831. L’aspirateur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15132. Préserver les ressources naturelles : l’exemple de l’eau . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15633. Le tri des déchets. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15934. La déchetterie et le centre de tri des déchets. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16435. Le recyclage : l’exemple du papier . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 169
V – Découvrir le monde des objets36. Les aimants . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17637. Réaliser un circuit électrique simple. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18138. Électricité et trace écrite . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18639. Le sens du courant. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19040. Utiliser des appareils alimentés par des piles. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19441. La voiture électrique autonome . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19942. La voiture électrique solaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20643. Les mobiles « simples » . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21044. Les mobiles « complexes » . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21345. Une voiture qui ne manque pas d’air ! . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21746. D’où vient le vent ? La manche à air . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 222
VI – Hygiène et sécurité47. Les dangers de l’électricité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22848. Les familles d’aliments . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23449. Comment bien manger : l’équilibre alimentaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24050. Des dents propres et saines ! . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 243
7Sommaire
Annexes
Fiche ressource : Le cahier d’expériences . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 249
Bibliographie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 255
Sitographie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 258
9Introduction
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« Découvrir le monde » est une ouverture intellectuelle et culturelle proposée aux élèves dès la mater-nelle, qui se poursuit au cycle 2, en vue de leur permettre d’acquérir une culture scientifique et techno-logique.
Mettre en œuvre 50 activités à la découverte du monde par l’investigation au cycle 2 relève du défi que nous allons essayer de relever ensemble au travers des activités proposées dans cet ouvrage.
Les sciences expérimentales et les technologies ont pour objectif de comprendre et de décrire le monde réel, celui de la nature et celui construit par l’Homme, d’agir sur lui, et de maîtriser les change-ments induits par l’activité humaine.
(...) Observation, questionnement, expérimentation et argumentation pratiqués, par exemple, selon l’esprit de la Main à la pâte sont essentiels pour atteindre ces buts ; c’est pourquoi les connaissances et les compétences sont acquises dans le cadre d’une démarche d’investigation qui développe la curiosité, la créativité, l’esprit critique et l’ intérêt pour le progrès scientifique et technique 1.
Au cycle des apprentissages fondamentaux, les élèves acquièrent des repères dans le temps et l’es-pace et des connaissances sur le monde. Ces repères sont construits en partant de situations simples de la vie quotidienne et du milieu proche et connu. Les élèves dépassent leurs représentations initiales par l’observation et la manipulation. Ils mènent des investigations qui les amènent à décrire leurs obser-vations et à maîtriser un vocabulaire de plus en plus précis 2.
La démarche d’investigation
La démarche d’investigation est issue de recherches en didactique pour lesquelles l’idée fondatrice est que les élèves construisent leurs apprentissages en étant acteurs des activités scientifiques 3. Le rôle de l’enseignant est de mettre en place les conditions qui doivent permettre aux élèves de mener une réelle activité intellectuelle.
Sa mise en œuvre respecte sept moments clés (voir le schéma) et se fonde sur deux grands principes, l’unité et la diversité 4 :
Le principe d’unité s’articule autour du questionnement de l’élève sur le monde réel. Ce questionne-ment conduit à l’acquisition de connaissances et de savoir-faire, à la suite d’une investigation menée par les élèves accompagnés par l’enseignant.
Le principe de diversité peut recourir à différentes formes de travail allant de l’expérimentation directe à l’observation, en passant par la recherche de solutions techniques ou documentaires ou bien par des enquêtes et des visites.
1 Programmes d’enseignement de l’école primaire, 2008.2 Bulletin Officiel de l’Education Nationale N°1 du 05 Janvier 2012, Progressions pédagogiques, cycle 2 Découverte du monde.3 La pédagogie de La main à la pâte met en valeur l’importance de la démarche expérimentale, de l’investigation raisonnée, d’une
utilisation rigoureuse de l’expression écrite et orale.4 Bulletin Officiel de l’Education Nationale N°3 du 01 Juin 2008.
Cette démarche peut être schématisée au cycle 2 comme suit :
Choix d’une situation de départProblème de la vie de tous les jours dans un langage ordinaire à problématiser
dans une question en termes scientifiques.
Formulation et questionnement
Élaboration d’hypothèses ET protocole de l’investigation
Investigation
Confrontation des résultats
Acquisition ET structuration des savoirs
Le cahier d’expériences
Bonne chance à qui me possède et à qui me lit, meilleure à qui m’a appris.
Cette maxime reprise sur le « cahier » d’un élève du monde gréco-romain montre sa maîtrise de l’écriture et son assimilation des préceptes moraux. De même, l’élève égyptien fait de son cahier le condensé de savoir qu’il faut retenir et qu’il faut conserver au moins le temps de son assimilation.
L’apprentissage des sciences nécessite à la fois de nombreuses phases orales, mais aussi des pro-ductions de traces écrites dans des phases telles que l’émission d’hypothèses, la formulation d’un pro-blème, l’explicitation ou la justification d’un phénomène, la reformulation d’un constat.
10 Introduction
11Introduction
5. Programmes d’enseignement de l’école primaire, 2008.
Le Bulletin Officiel du 05 janvier 2012 précise qu’une « courte trace écrite pouvant inclure des croquis légendés est indispensable pour permettre aux élèves de mémoriser les connaissances et le vocabulaire associé ». Le cahier d’expériences apparaît ainsi, dans cette démarche, comme un outil « transversal » dans le domaine de la Maîtrise de la langue.
Dans les allers et retours que l’enseignant organise entre observation du réel, action sur le réel, lecture et production d’écrits variés, l’élève construit progressivement des compétences langa-gières orales et écrites, y compris images et schémas, en même temps qu’il élabore sa pensée. (BO du 5 janvier 2012)
L’intérêt de mettre en place des cahiers d’expériences dès la classe de Grande Section est alors indéniable car, comme nous le rappelions au début de notre introduction, le domaine « Découvrir le monde » repose sur une ouverture intellectuelle et culturelle offerte aux élèves dès la maternelle et qui se poursuit au cycle 2 en vue de leur permettre d’acquérir les premiers éléments d’une culture scientifique et technologique.
Afin de déterminer la nature du cahier d’expériences que nous proposons d’utiliser avec les élèves, tournons-nous vers le Bulletin Officiel n°1 du 05 janvier 2012 : celui-ci incite à faire mener aux élèves « des investigations qui les amènent à décrire leurs observations et à maîtriser un vocabulaire de plus en plus précis ».
Nous pensons alors que le cahier d’expériences pourra comprendre aussi bien les traces person-nelles de l’élève que quelques écrits élaborés collectivement et ayant le statut de savoir. Ces écrits permettront leur reformulation par les élèves, une exploitation différée, ainsi que la possibilité de rendre compte du processus d’évolution et de réflexion mis en œuvre avec les élèves. Notre choix s’est alors porté sur la mise en place de deux cahiers d’expérimentation distincts, mais fonctionnant en complémentarité : un cahier de classe collectif et un cahier individuel.
Ce cahier servira en outre d’outil pour l’enseignant qui, grâce à l’observation et l’analyse des traces produites par les élèves, pourra adapter son projet, le préciser en fonction des besoins ou des progrès recensés. (Voir la fiche ressource en fin d’ouvrage sur le cahier d’expériences).
L’articulation GS/CP
Cet ouvrage a été conçu pour montrer tout ce qu’il est possible de faire en cycle 2 autour de la découverte du monde. Or, comme le soulignent les instructions officielles, « le cycle des apprentis-sages fondamentaux commence au cours de la grande section de l’école maternelle et, à ce niveau, lui emprunte sa pédagogie. Il se poursuit dans les deux premières années de l’école élémentaire, au cours préparatoire et au cours élémentaire 1ère année. » 5
Les auteurs ont donc choisi, au nom de la liaison inter-cycles et d’une meilleure continuité dans les apprentissages, de proposer des activités et des projets qui prévoient l’articulation entre l’école maternelle et l’école élémentaire. Il en est ainsi, par exemple, du cahier d’expériences présenté en fiche ressource à la fin de l’ouvrage, mais aussi d’activités qui ciblent les grandes sections de maternelle.
Cet ouvrage vous est proposé en six chapitres, choisis par les auteurs afin de pouvoir englober et faire pratiquer le plus d’activités possibles parmi celles proposées par les programmes 2008/2012.
Ces chapitres reprennent le découpage des instructions officielles pour la thématique « Découverte du monde » :
- se repérer dans le temps- se repérer dans l’espace- découvrir le monde du vivant- découvrir le monde de la matière- découvrir le monde des objets
et empruntent, en matière d’hygiène et de sécurité personnelle et collective, aux compétences atten-dues également en autonomie.
Au travers de ces six chapitres, chaque activité est le fruit d’une démarche d’investigation menée et expérimentée dans les classes par les auteurs. Pour chacune d’entre elles vous trouverez le déroulement proposé ainsi que les productions des élèves obtenues lors des différentes étapes programmées. De nombreux visuels vous permettront aussi de vous représenter le déroulement et des documents sup-ports aux activités vous sont proposés en complément sur le site compagnon de l’ouvrage.
Bonne lecture et bonne pratique de la démarche d’investigation dans vos classes au cycle 2 !
Les auteurs
12 Introduction
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90 50 activités à la découverte du monde par l’investigation au cycle 2
Déroulement
• Affiner le questionnement. Faire s’exprimer les élèves sur :- Où les ont-ils trouvés ? - Quand ? - Étaient-ils en activité ? - En quelle saison ? - Quel temps faisait-il ?...
• Poser la question :« Que faut-il offrir aux escargots pour les garder en bonne condition ? »
• Demander aux élèves d’émettre des hypothèses par dessin.
Confrontation des représentations
• Discuter à propos des dessins réalisés.
• Déterminer le cahier des charges du vivarium (empêcher les évasions, abri, nourri-ture…).
• Faire rappeler certaines caractéristiques connues du milieu de vie naturel de l’escargot.
L’escargotièreACTIVITÉ 18
GS - CP– Permettre à l’enfant de reconnaître des manifestations de la vie animale.– Émettre des hypothèses sur les habitudes de vie d’un petit animal, faire des choix, les argumenter.– Travailler sur l’adaptation de l’animal à son milieu.
Objectifs
Objectifs spécifiques
Découvrir les principales caractéristiques de l’escargot (régime alimentaire, rythme de vie, modes de déplacement, sens).Reproduire les conditions de vie naturelles de l’animal.Concevoir une expérience pour déterminer le régime alimentaire de l’escargot.Observer avec précision un escargot sans le blesser, en utilisant une loupe.Observer et comprendre la reproduction de l’escargot.Mettre en évidence les différents sens de l’escargot : vue, odorat, toucher.Procéder par comparaison (analogies et différences) avec l’être humain.
DispositifGroupe classe.Individuel Petits groupes de trois à cinq élèves maximum.
Matériel
- Un vivarium avec couvercle percé.- Autres vivariums (ou boîtes présentant les mêmes caractéristiques) pour les expériences.- Des escargots adultes apportés par les enfants ou ramassés dans la cour.- Une boîte pour transférer les escargots.- Terre, sable, eau, grillage, bâton en bois, cailloux, feuilles.- Nourriture variée.- Trois à cinq loupes (possibilité d’utiliser des boîte-loupes).- Coton imbibé d’odeurs fortes (vinaigre, eau de javel).- Crayons, stylo plume.
Déroulement
Étape 1Se poser des questions sur l’escargot
Présentation des escargots à la classe
• Des élèves ont apporté des escargots. Ils les placent dans le bac en verre pour les présenter dans le bocal vide sans terre ni nourriture.
• Prise de représentations : attendre les réactions et les commentaires des élèves.
9150 activités à la découverte du monde par l’investigation au cycle 2
Déroulement
• Affiner le questionnement. Faire s’exprimer les élèves sur :- Où les ont-ils trouvés ? - Quand ? - Étaient-ils en activité ? - En quelle saison ? - Quel temps faisait-il ?...
• Poser la question :« Que faut-il offrir aux escargots pour les garder en bonne condition ? »
• Demander aux élèves d’émettre des hypothèses par dessin.
Confrontation des représentations
• Discuter à propos des dessins réalisés.
• Déterminer le cahier des charges du vivarium (empêcher les évasions, abri, nourri-ture…).
• Faire rappeler certaines caractéristiques connues du milieu de vie naturel de l’escargot.
L’escargotière
Objectifs spécifiques
Découvrir les principales caractéristiques de l’escargot (régime alimentaire, rythme de vie, modes de déplacement, sens).Reproduire les conditions de vie naturelles de l’animal.Concevoir une expérience pour déterminer le régime alimentaire de l’escargot.Observer avec précision un escargot sans le blesser, en utilisant une loupe.Observer et comprendre la reproduction de l’escargot.Mettre en évidence les différents sens de l’escargot : vue, odorat, toucher.Procéder par comparaison (analogies et différences) avec l’être humain.
DispositifGroupe classe.Individuel Petits groupes de trois à cinq élèves maximum.
Matériel
- Un vivarium avec couvercle percé.- Autres vivariums (ou boîtes présentant les mêmes caractéristiques) pour les expériences.- Des escargots adultes apportés par les enfants ou ramassés dans la cour.- Une boîte pour transférer les escargots.- Terre, sable, eau, grillage, bâton en bois, cailloux, feuilles.- Nourriture variée.- Trois à cinq loupes (possibilité d’utiliser des boîte-loupes).- Coton imbibé d’odeurs fortes (vinaigre, eau de javel).- Crayons, stylo plume.
Déroulement
Étape 1Se poser des questions sur l’escargot
Présentation des escargots à la classe
• Des élèves ont apporté des escargots. Ils les placent dans le bac en verre pour les présenter dans le bocal vide sans terre ni nourriture.
• Prise de représentations : attendre les réactions et les commentaires des élèves.
92 50 activités à la découverte du monde par l’investigation au cycle 2
Déroulement
Trace écrite
• Représenter l’expérience par le dessin.
Recueil des résultats et analyse
• Le lendemain, observer les résultats et faire des commentaires.
• Valider les hypothèses.
Compléter la trace écrite
• Faire le compte-rendu de l’expérience : compléter le tableau à double entrée (voir photo ci-dessous) et par des dessins et un texte sous forme de dictée à l’adulte.
Étape 4Déterminer la morphologie de l’animal
Verbalisation
• Questionnement : comment l’escargot est-il constitué ? Demander aux élèves :
- « Comment pouvez-vous le décrire ? » - « Connaissez-vous le nom de certaines parties de son corps ? »
• Les amener à faire des comparaisons avec ce qu’ils savent d’autres animaux.
Observation
• Observer l’animal à l’aide des loupes.
• Le décrire précisément en employant un vocabulaire spécifique apporté au fur et à mesure par l’enseignant (pied, tentacule, coquille).
Déroulement
Étape 2Vérifier les hypothèses
• Rappeler les hypothèses et les conditions de vie de l’animal à l’état naturel.
• Observer le matériel apporté et émettre de nouvelles hypothèses quant à son utilité.
• Mettre en place des éléments du vivarium, puis transférer les escargots.
• À l’occasion de l’installation des escargots, faire réfléchir les élèves sur les autres besoins vitaux de ces animaux.Questionnement : « Que mangent les escargots ? »
• Émettre des hypothèses.
Étape 3Comprendre l’alimentation de l’escargot
Rappel du questionnement : que mangent les escargots ?
• Rappeler les hypothèses.
Mise en place de l’expérience
• Les élèves proposent les différents aliments apportés pour les escargots : pomme, pêche, raisin, salade…
• L’enseignant donne la consigne : « Placez un escargot dans chaque boîte avec un ali-ment différent et observez ce qu’il se passe. Peut-être rien du tout ».
L’escargotière
9350 activités à la découverte du monde par l’investigation au cycle 2
Déroulement
Trace écrite
• Représenter l’expérience par le dessin.
Recueil des résultats et analyse
• Le lendemain, observer les résultats et faire des commentaires.
• Valider les hypothèses.
Compléter la trace écrite
• Faire le compte-rendu de l’expérience : compléter le tableau à double entrée (voir photo ci-dessous) et par des dessins et un texte sous forme de dictée à l’adulte.
Étape 4Déterminer la morphologie de l’animal
Verbalisation
• Questionnement : comment l’escargot est-il constitué ? Demander aux élèves :
- « Comment pouvez-vous le décrire ? » - « Connaissez-vous le nom de certaines parties de son corps ? »
• Les amener à faire des comparaisons avec ce qu’ils savent d’autres animaux.
Observation
• Observer l’animal à l’aide des loupes.
• Le décrire précisément en employant un vocabulaire spécifique apporté au fur et à mesure par l’enseignant (pied, tentacule, coquille).
Déroulement
Étape 2Vérifier les hypothèses
• Rappeler les hypothèses et les conditions de vie de l’animal à l’état naturel.
• Observer le matériel apporté et émettre de nouvelles hypothèses quant à son utilité.
• Mettre en place des éléments du vivarium, puis transférer les escargots.
• À l’occasion de l’installation des escargots, faire réfléchir les élèves sur les autres besoins vitaux de ces animaux.Questionnement : « Que mangent les escargots ? »
• Émettre des hypothèses.
Étape 3Comprendre l’alimentation de l’escargot
Rappel du questionnement : que mangent les escargots ?
• Rappeler les hypothèses.
Mise en place de l’expérience
• Les élèves proposent les différents aliments apportés pour les escargots : pomme, pêche, raisin, salade…
• L’enseignant donne la consigne : « Placez un escargot dans chaque boîte avec un ali-ment différent et observez ce qu’il se passe. Peut-être rien du tout ».
L’escargotière
94 50 activités à la découverte du monde par l’investigation au cycle 2
Déroulement
Dessin d’observation
• Dessiner ce que l’on a vu.
Trace écrite
• Proposer un dessin légendé (colorier chaque partie du corps de l’escargot et associer le nom correspondant).
Étape 5Découvrir la reproduction de l’animal
Observation
• Chaque début de matinée, pendant l’accueil, les élèves prennent un temps d’observa-tion de l’escargotière.
• Les élèves découvrent des œufs.
Dessin d’observation
• Dessiner ce que l’on a vu.
Trace écrite
• Réaliser une trace écrite sur le cahier collectif.
• Favoriser des comparaisons avec ce qu’ils savent d’autres animaux.
L’escargotière
Déroulement Étape 6Chercher et aller plus loin
Ces propositions sont à réaliser au choix de l’enseignant.
Proposition d’expérience sur la vue
• Les élèves proposent une expérience, la dessinent et la réalisent.
• S’ils n’y arrivent pas : vaporiser quelques gouttes d’eau sur l’escargot, déposer des petits graviers devant un escargot qui se déplace et observer sa réaction...
Proposition d’expérience sur l’odorat
• Les élèves proposent une expérience, la dessinent et la réalisent.
• S’ils n’y arrivent pas : imbiber des cotons d’odeurs fortes et observer les réactions (odeurs que les élèves peuvent sentir aussi et mettre leurs réactions en parallèle).
Proposition d’expérience sur sa sensibilité
• Les élèves proposent une expérience qui ne doit pas blesser l’animal, la dessinent et la réalisent.
• S’ils n’y arrivent pas : toucher l’escargot avec un crayon à papier bien aiguisé et obser-ver sa réaction.
• Faire de même avec une plume ou un caillou bien poli.
Mise en commun
• Les élèves exposent aux autres leurs expériences, leurs résultats et les conclusions.
9550 activités à la découverte du monde par l’investigation au cycle 2
Déroulement
Dessin d’observation
• Dessiner ce que l’on a vu.
Trace écrite
• Proposer un dessin légendé (colorier chaque partie du corps de l’escargot et associer le nom correspondant).
Étape 5Découvrir la reproduction de l’animal
Observation
• Chaque début de matinée, pendant l’accueil, les élèves prennent un temps d’observa-tion de l’escargotière.
• Les élèves découvrent des œufs.
Dessin d’observation
• Dessiner ce que l’on a vu.
Trace écrite
• Réaliser une trace écrite sur le cahier collectif.
• Favoriser des comparaisons avec ce qu’ils savent d’autres animaux.
Déroulement Étape 6Chercher et aller plus loin
Ces propositions sont à réaliser au choix de l’enseignant.
Proposition d’expérience sur la vue
• Les élèves proposent une expérience, la dessinent et la réalisent.
• S’ils n’y arrivent pas : vaporiser quelques gouttes d’eau sur l’escargot, déposer des petits graviers devant un escargot qui se déplace et observer sa réaction...
Proposition d’expérience sur l’odorat
• Les élèves proposent une expérience, la dessinent et la réalisent.
• S’ils n’y arrivent pas : imbiber des cotons d’odeurs fortes et observer les réactions (odeurs que les élèves peuvent sentir aussi et mettre leurs réactions en parallèle).
Proposition d’expérience sur sa sensibilité
• Les élèves proposent une expérience qui ne doit pas blesser l’animal, la dessinent et la réalisent.
• S’ils n’y arrivent pas : toucher l’escargot avec un crayon à papier bien aiguisé et obser-ver sa réaction.
• Faire de même avec une plume ou un caillou bien poli.
Mise en commun
• Les élèves exposent aux autres leurs expériences, leurs résultats et les conclusions.
L’escargotière
96 50 activités à la découverte du monde par l’investigation au cycle 2
Déroulement
Les étapes de réalisation de l’escargotière
Toutes les photos sont extraites du cahier de sciences collectif.
Prolongements
Concernant l’alimentation : déterminer les aliments préférés de l’escargot parmi ceux qu’il mange.Expérience : proposer à l’escargot différents aliments et observer ce qu’il mange en priorité. Questionnement : cet escargot a-t-il les mêmes goûts que tous les autres ? (diffé-rence/ressemblance avec nous ?).Intérêt de réaliser l’expérience avec plusieurs escargots.
Activités associéesActivité 14, Explorer ses qualités tactiles : le toucher.Activité 19, Une fourmilière dans la classe.Activité 20, Les abeilles solitaires.
Site compagnon Étapes de réalisation du vivarium.
L’escargotière
Objectifs spécifiques
Première étapeFaire émerger les représentations initiales des élèves.Faire naître un questionnement.Observer :
la construction des galeries par les ouvrières ;le stockage de la nourriture ;l’échange de nourriture (trophallaxie) ;la communication par contact avec les antennes.
Deuxième étapeRécolter des petits animaux et des insectes en utilisant un matériel adapté et sans les blesser.Utiliser une clé de détermination.Distinguer un insecte et un non insecte.Troisième étapeConnaître les caractéristiques physiques des insectes : invariants (une tête avec deux antennes, un corps avec six pattes).Connaître le mode de vie spécifique de la fourmi par l’observation, la compa-raison, la recherche documentaire, le questionnement critique d’albums de litté-rature de jeunesse.Se rendre compte qu’il existe une diversité de forme, de couleur, de taille chez les insectes.
DispositifIndividuel si le matériel le permet.Groupes de cinq à six élèves maximum.
Matériel
Pour un élève- Une feuille A5.- Crayon à papier.- Photos de petits animaux familiers de l’environnement de l’école (mouche, fourmi, abeille, papillon, araignée, ver de terre, coccinelle, escargot, mille-pattes, cloporte…).- Un tableau présentant une clé de détermination.- Pince, cuillère, boîte-loupe.- Un jeu de photos des petites bêtes ramassées.- Une fourmilière (une reine et une dizaine d’ouvrières).
102 50 activités à la découverte du monde par l’investigation au cycle 2
Les abeilles solitairesACTIVITÉ 20
CE1
– Connaître le cycle de la vie des êtres vivants : naissance, croissance, reproduction, fin de vie. – Identifier et classer différentes relations alimentaires.– Prendre conscience que les animaux dépendent des plantes pour se nourrir.
Objectifs
Objectifs spécifiques
Connaître le mode de vie de certains insectes des jardins.Concevoir un nichoir à insectes permettant leur observation détaillée.
Dispositif Classe entière et groupes de quatre à six élèves.
Matériel- Tiges de bambou de diamètres variés. - Planchettes, boites, papier ou carton, tubes de plastique transparents. - Petit outillage de bricolage…
Déroulement
Cette activité consistera à construire un abri à insectes auxiliaire (qui pourra par exemple être implanté à proximité des plantations ou du jardin de l’école) puis à observer les insectes qui y trouvent refuge.
Étape 1Situation de départ, situation problème et élaboration d’hypothèses
• L’enseignant pose aux élèves la question suivante :« Quels insectes trouve-t-on dans notre jardin et pouvons-nous construire un abri per-mettant de les observer ? »
• Les élèves notent leurs hypothèses sous forme de phrases ou de dessins.L’investigation peut prendre deux directions : l’enseignant pourra proposer de construire un abri selon les idées des élèves et il pourra mener en parallèle la construction d’un nichoir spécifique permettant d’observer certains hyménoptères solitaires.
Étape 2Cette étape peut se dérouler selon deux options.
Option 1 : construction d’un « abri à insectes » selon les idées des élèves
• Construire un abri à partir de matériaux divers proposés par les élèves (ici des tronçons de végétaux, des morceaux de tuiles, des planchettes …), que l’on place avec eux dans un caisson approprié (ici une caisse à bouteilles coupée en deux). Du plâtre permettra de maintenir les divers éléments.
Déroulement
Construction d’un abri à insectes selon l’idée des élèves
• Une fois cet abri construit et placé dans le jardin, il s’agira d’observer si des insectes s’y installent…Si le résultat est négatif, peut-être alors l’installation n’était pas adaptée (pas suffisam-ment d’abri, impossibilité de construire des nids …). Si le résultat est positif, alors on pourra tenter de décrire et identifier les insectes pré-sents.
Option 2 : construction d’un abri à tubes pour hyménoptères
• Il s’agit ici de construire un abri à insectes qui pourra accueillir des abeilles solitaires mais également héberger des sphex ou des pompiles.
Placer dans un pot des tronçons de bambou d’un diamètre intérieur variant de 5 à 15 mm, et d’environ 10 cm de longueur. Le pot sera posé ou suspendu de telle manière que les tubes de bambou soient horizontaux (voir photo 1). Les abeilles solitaires y trouveront un endroit idéal pour pondre et y amasser du pollen qui nourrira leur progéniture.
Dans chaque tube, plusieurs alvéoles sont construites et séparées par de petites parois de terre. La période de ponte peut s’étaler de mars à juin selon les régions de France. Lors du pic d’activité, les va-et-vient des abeilles pour la construction de leurs nids sont incessants, et l’on voit clairement l’abdomen des abeilles recouvert de pollen jaune.
Photo 1 : nichoir à tubes de bambou
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Objectifs spécifiques
Connaître le mode de vie de certains insectes des jardins.Concevoir un nichoir à insectes permettant leur observation détaillée.
Dispositif Classe entière et groupes de quatre à six élèves.
Matériel- Tiges de bambou de diamètres variés. - Planchettes, boites, papier ou carton, tubes de plastique transparents. - Petit outillage de bricolage…
Déroulement
Cette activité consistera à construire un abri à insectes auxiliaire (qui pourra par exemple être implanté à proximité des plantations ou du jardin de l’école) puis à observer les insectes qui y trouvent refuge.
Étape 1Situation de départ, situation problème et élaboration d’hypothèses
• L’enseignant pose aux élèves la question suivante :« Quels insectes trouve-t-on dans notre jardin et pouvons-nous construire un abri per-mettant de les observer ? »
• Les élèves notent leurs hypothèses sous forme de phrases ou de dessins.L’investigation peut prendre deux directions : l’enseignant pourra proposer de construire un abri selon les idées des élèves et il pourra mener en parallèle la construction d’un nichoir spécifique permettant d’observer certains hyménoptères solitaires.
Étape 2Cette étape peut se dérouler selon deux options.
Option 1 : construction d’un « abri à insectes » selon les idées des élèves
• Construire un abri à partir de matériaux divers proposés par les élèves (ici des tronçons de végétaux, des morceaux de tuiles, des planchettes …), que l’on place avec eux dans un caisson approprié (ici une caisse à bouteilles coupée en deux). Du plâtre permettra de maintenir les divers éléments.
Déroulement
Construction d’un abri à insectes selon l’idée des élèves
• Une fois cet abri construit et placé dans le jardin, il s’agira d’observer si des insectes s’y installent…Si le résultat est négatif, peut-être alors l’installation n’était pas adaptée (pas suffisam-ment d’abri, impossibilité de construire des nids …). Si le résultat est positif, alors on pourra tenter de décrire et identifier les insectes pré-sents.
Option 2 : construction d’un abri à tubes pour hyménoptères
• Il s’agit ici de construire un abri à insectes qui pourra accueillir des abeilles solitaires mais également héberger des sphex ou des pompiles.
Placer dans un pot des tronçons de bambou d’un diamètre intérieur variant de 5 à 15 mm, et d’environ 10 cm de longueur. Le pot sera posé ou suspendu de telle manière que les tubes de bambou soient horizontaux (voir photo 1). Les abeilles solitaires y trouveront un endroit idéal pour pondre et y amasser du pollen qui nourrira leur progéniture.
Dans chaque tube, plusieurs alvéoles sont construites et séparées par de petites parois de terre. La période de ponte peut s’étaler de mars à juin selon les régions de France. Lors du pic d’activité, les va-et-vient des abeilles pour la construction de leurs nids sont incessants, et l’on voit clairement l’abdomen des abeilles recouvert de pollen jaune.
Photo 1 : nichoir à tubes de bambou
Les abeilles solitaires
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Déroulement
Photo 2 : une Osmie Cornue en plein travail
• Afin d’observer l’intérieur d’un tube, on peut disposer horizontalement de petits tubes transparents (tronçons de tubes souples en matière plastique ou tubes à essais) dans une caissette au couvercle amovible (n’ouvrir le couvercle que le temps de l’observation).
Photo 3 : un nichoir à tubes, couvercle ôté
Déroulement
Photo 4 : le nichoir est occupé
Après quelques semaines d’activité, on peut observer :
A : Une sauterelle (à gauche) et de petites brindilles d’herbe (à droite) caractéristiques du nid d’un Sphex.
B : De petits tronçons de feuilles découpées tapissant le tube : pas de doute, c’est une abeille Mégachillidae qui a fait son nid.
C : Des cellules tapissées de pollen jaune et séparées d’une paroi de terre, avec dans chaque cellule un œuf ou une larve : il s’agit bien de nids d’Osmie Rousse ou d’Osmie Cornue.
• De semaine en semaine, les élèves pourront noter la croissance des larves – voir photos 5 et 6 – (et la diminution de leur stock de nourriture) jusqu’à ce que celles-ci disparaissent dans un cocon de fils de soie qu’elles tissent autour d’elles, annonçant leur passage à l’état de nymphe. • Ce n’est qu’au printemps suivant que les abeilles nouvellement nées émergeront de leurs tubes, mâles en premier puis femelles, bouclant ainsi leur cycle annuel de reproduction.
Photo 5 : observation d’une Osmie en pleine construction de sa quatrième cellule, après avoir déjà pondu trois œufs et amassé du pollen
dans les trois cellules précédentes.
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Photo 2 : une Osmie Cornue en plein travail
• Afin d’observer l’intérieur d’un tube, on peut disposer horizontalement de petits tubes transparents (tronçons de tubes souples en matière plastique ou tubes à essais) dans une caissette au couvercle amovible (n’ouvrir le couvercle que le temps de l’observation).
Photo 3 : un nichoir à tubes, couvercle ôté
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Photo 4 : le nichoir est occupé
Après quelques semaines d’activité, on peut observer :
A : Une sauterelle (à gauche) et de petites brindilles d’herbe (à droite) caractéristiques du nid d’un Sphex.
B : De petits tronçons de feuilles découpées tapissant le tube : pas de doute, c’est une abeille Mégachillidae qui a fait son nid.
C : Des cellules tapissées de pollen jaune et séparées d’une paroi de terre, avec dans chaque cellule un œuf ou une larve : il s’agit bien de nids d’Osmie Rousse ou d’Osmie Cornue.
• De semaine en semaine, les élèves pourront noter la croissance des larves – voir photos 5 et 6 – (et la diminution de leur stock de nourriture) jusqu’à ce que celles-ci disparaissent dans un cocon de fils de soie qu’elles tissent autour d’elles, annonçant leur passage à l’état de nymphe. • Ce n’est qu’au printemps suivant que les abeilles nouvellement nées émergeront de leurs tubes, mâles en premier puis femelles, bouclant ainsi leur cycle annuel de reproduction.
Photo 5 : observation d’une Osmie en pleine construction de sa quatrième cellule, après avoir déjà pondu trois œufs et amassé du pollen
dans les trois cellules précédentes.
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Déroulement
Photo 6 : zoom sur un tube
• Les élèves pourront y observer des œufs dans les trois cellules de droite tandis que dans celle de gauche une petite larve a éclos et se nourrit déjà de sa réserve de pollen.
Intérêt pour les élèves
• Il s’agira de mener à bien un travail régulier d’observation (description, dessin, pho-tographie), de noter les évolutions constatées et d’étayer les hypothèses par des re-cherches documentaires.
Étape 3Acquisition et structuration des connaissances
• Les élèves auront réalisé des observations de différentes espèces d’insectes cou-rantes dans les jardins.Ils auront constaté que chaque espèce aménage son nid de manière bien particulière et différente.S’il s’agit d’abeilles solitaires, ils auront pu clairement observer les œufs puis les larves et enfin les nymphes dans leur cocon.
• Des observations à long terme permettront de constater la saisonnalité régulière de ces événements.• Ils auront observé les régimes alimentaires des larves (pollen pour les larves d’abeilles solitaires, sauterelles pour les larves de sphex, …).
• L’enseignant en déduira l’utilité de ces espèces (pollinisation des fleurs dans un cas, prédation et régulation entre espèces dans l’autre cas).
Activités associées
Activité 16, De la fleur aux fruits.Activité 17, Les chaînes alimentaires.Activité 19, Une fourmilière dans la classe.Activité 21, Les pelotes de réjection.
Remarques
Informations pour l’enseignantTrois types d’hyménoptères solitaires observables dans les jardins
Les OsmiesIl s’agit de petites abeilles très pacifiques qui profitent d’orifice dans les murs ou de trous dans le bois pour pondre. L’Osmie Rousse et l’Osmie Cornue sont parmi les plus courantes.
Photo : S. Rondi
Les MégachilesCe sont aussi de petites abeilles solitaires que l’on voit parfois découper de petites portions de feuilles ou de pétales qu’elles utilisent pour tapisser les parois de leur nid (dans une petite cavité).
® INRA - Serge Carré
Les Sphex ou les PompilesIl s’agit de petites guêpes solitaires se nourrissant généralement de nectar. Elles chassent d’autres insectes (araignées, sauterelles) qu’elles paralysent de leur aiguillon avant de les laisser dans leur nid (trou dans le sol ou cellule construite à base de terre) avec leurs œufs. Une fois la larve éclose, elle se nourrira de ces proies.Ci-contre, Pompile Auplopus carbonarius paralysant une segestriidae.
® Patrick Libourel - http://liboupat2.free.fr
Ces insectes sont classés dans la famille des abeilles et des guêpes mais, étant de mœurs très pacifiques, il n’y a aucun danger à les observer, même de près, à condition bien entendu de ne pas tenter de les saisir.
Site compagnon L’ensemble des photos.
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Photo 6 : zoom sur un tube
• Les élèves pourront y observer des œufs dans les trois cellules de droite tandis que dans celle de gauche une petite larve a éclos et se nourrit déjà de sa réserve de pollen.
Intérêt pour les élèves
• Il s’agira de mener à bien un travail régulier d’observation (description, dessin, pho-tographie), de noter les évolutions constatées et d’étayer les hypothèses par des re-cherches documentaires.
Étape 3Acquisition et structuration des connaissances
• Les élèves auront réalisé des observations de différentes espèces d’insectes cou-rantes dans les jardins.Ils auront constaté que chaque espèce aménage son nid de manière bien particulière et différente.S’il s’agit d’abeilles solitaires, ils auront pu clairement observer les œufs puis les larves et enfin les nymphes dans leur cocon.
• Des observations à long terme permettront de constater la saisonnalité régulière de ces événements.• Ils auront observé les régimes alimentaires des larves (pollen pour les larves d’abeilles solitaires, sauterelles pour les larves de sphex, …).
• L’enseignant en déduira l’utilité de ces espèces (pollinisation des fleurs dans un cas, prédation et régulation entre espèces dans l’autre cas).
Activités associées
Activité 16, De la fleur aux fruits.Activité 17, Les chaînes alimentaires.Activité 19, Une fourmilière dans la classe.Activité 21, Les pelotes de réjection.
Remarques
Informations pour l’enseignantTrois types d’hyménoptères solitaires observables dans les jardins
Les OsmiesIl s’agit de petites abeilles très pacifiques qui profitent d’orifice dans les murs ou de trous dans le bois pour pondre. L’Osmie Rousse et l’Osmie Cornue sont parmi les plus courantes.
Photo : S. Rondi
Les MégachilesCe sont aussi de petites abeilles solitaires que l’on voit parfois découper de petites portions de feuilles ou de pétales qu’elles utilisent pour tapisser les parois de leur nid (dans une petite cavité).
® INRA - Serge Carré
Les Sphex ou les PompilesIl s’agit de petites guêpes solitaires se nourrissant généralement de nectar. Elles chassent d’autres insectes (araignées, sauterelles) qu’elles paralysent de leur aiguillon avant de les laisser dans leur nid (trou dans le sol ou cellule construite à base de terre) avec leurs œufs. Une fois la larve éclose, elle se nourrira de ces proies.Ci-contre, Pompile Auplopus carbonarius paralysant une segestriidae.
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Ces insectes sont classés dans la famille des abeilles et des guêpes mais, étant de mœurs très pacifiques, il n’y a aucun danger à les observer, même de près, à condition bien entendu de ne pas tenter de les saisir.
Site compagnon L’ensemble des photos.
Les abeilles solitaires
50
act
ivité
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ISSN : 1298-1745ISBN : 978-2-86565-457-4Réf : 31000A80
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e compagnonPrix 26 €
L A U R E N T F A L C E T T E
P E R R I N E L Y S S A N D R E
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J E A N - C H A R L E S S A U R A
50 activités 5
0 a
ctiv
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La « Découverte du monde » est une ouverture intellectuelle et culturelle proposée aux élèves dès la maternelle, qui se poursuit au cycle 2 en vue de leur permettre d’acquérir une culture scientifique et technologique. Les activités proposées dans cet ouvrage sont issues de pratiques de classe et s’appuient sur la démarche d’investigation.
Cette pédagogie est élaborée selon l’idée fondatrice que les élèves construisent leurs apprentissages en étant co-acteurs des activités scientifiques. Le rôle de l’enseignant consiste alors à mettre en place les conditions qui doivent permettre aux élèves de mener une réelle activité intellectuelle : les guider sans faire à leur place.
Au cycle des apprentissages fondamentaux, les élèves acquièrent des repères dans le temps et l’espace et des connaissances sur le monde. Ces repères sont construits en partant de situations simples de la vie quotidienne et du milieu proche et connu. Les élèves dépassent leurs représentations initiales par l’observation et la manipulation. Ils mènent des investigations qui les amènent à décrire leurs observations et à maîtriser un vocabulaire de plus en plus précis. Bulletin Officiel n°1 du 05 Janvier 2012
La démarche d’investigation s’appuie sur un outil transversal, le cahier d’expériences, indispensable à la fois à la formalisation des idées et des résultats, mais aussi à la maîtrise de la langue.
Ce « 50 activités » contient de nombreux visuels qui vous permettront de vous représenter le déroulement, et des documents supports aux activités vous sont proposés en complément sur le site compagnon de l’ouvrage.
http://www.cndp.fr/collection/50-activites/decouverte-du-monde-par-linvestigation
Pour que tous, enseignants et élèves, aient envie de relever le défi des sciences à l’école, les auteurs vous invitent à une bonne lecture et une bonne pratique de la démarche d’investigation dans vos classes au cycle 2 !
Les auteursLaurent Falcette, ancien maître-formateur en classe de maternelle, est actuellement formateur à l’IUFM-École interne de l’Université de Toulouse II-Le Mirail.
Perrine Lyssandre, professeur des écoles dans le département des Hautes-Pyrénées.
Sylvain Rondi, professeur des écoles dans le département des Hautes-Pyrénées, est actuellement animateur Sciences départemental auprès de la Direction académique des Hautes-Pyrénées.
Jean-Charles Saura est conseiller pédagogique sur la circonscription de Lourdes/Bagnères dans le départe-ment des Hautes-Pyrénées. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages avec le CRDP de l’académie de Toulouse et a coordonné celui-ci.
La collection « 50 activités » propose des fiches pratiques aux enseignants. Elle leur permet de mettre en œuvre des situations d’apprentissages disciplinaires, par niveau, par cycle ou transversales. Directeur de collection : Michel Azéma, DASEN de Tarn-et-Garonne.
à la découvertedu monde par l’investigation au cycle 2
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50 activités
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oui/non À la découverte de la technologie - Projet « un ballon pour l’école » 31000001 24 €
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RÈGLEMENT– par chèque bancaire ou postal à joindre à la commande et à établir à l’ordre de
l’agent comptable du CNDP ;– par virement à réception de la facture pour les commandes émanant des ser-
vices de l’État, des collectivités territoriales et des établissements publics nationaux et locaux : IBAN FR76 1007 1860 0000 0010 0300 971 TRPUFRP1
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Prix valables jusqu’au 31 août 2013
Produits disponibles dans les librairies du réseau SCÉRÉNadresses sur : www.cndp.fr (rubrique le réseau)
Quels que soient les produits concernés, retournez le bon de commande à :SCÉRÉN–CNDPVPC nationaleTéléport 11 Avenue du FuturoscopeCS 8015886961 FUTUROSCOPE CEDEX
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La pédagogie d’investigation s’appuie sur l’idée fondatrice que les élèves construisent leurs apprentissages en étant co-acteurs des activités scienti-fiques. Le rôle de l’enseignant consiste alors à mettre en place les conditions qui doivent permettre aux élèves de mener une réelle activité intellectuelle : les guider sans faire à leur place.
Au travers des 6 chapitres qui composent cet ouvrage, chaque activité est le fruit de cette démarche d’investigation menée et expérimenté en classe par les auteurs.
Ce « 50 activités » contient de nombreux visuels qui vous permettront de mieux vous représenter le déroulement des activités.
Des documents supports sont, en outre, proposés en complément sur le site compagnon de l’ouvrage :
http://www.cndp.fr/collection/50-activites/Decouverte-du-monde-par-l’investigation
Fiches d’activitésI. Se repérer dans le temps
II. Se repérer dans l’espace
III. Découvrir le monde du vivant
IV. Découvrir le monde de la matière
V. Découvrir le monde des objets
VI. Hygiène et sécurité
Annexes
Au s
omma
ire
fiches élèves
50 activités en sciences expérimentales et tech-nologie au cycle 3
Au travers de la lecture de cet ouvrage, vous pourrez aborder les sciences expé-rimentales et la technolo-gie sous différents angles
ou différentes démarches (analyse systémique, conception et fabrication…), démarches expérimentées au sein de leurs classes par les auteurs. Accompagné d’un CD-ROM contenant photos et schémas explicatifs, cet ouvrage propose de nombreuses activités qui en font un excellent support de cours.
Ouvrage – 2010 – 212 p.Réf. : 31000A66 – 26 €
Du même auteur À la découverte de la technologie Projet « un ballon pour l’école »
Cet ouvrage a été conçu pour montrer ce qu’il est possible de proposer en classe, en sciences et technologie, en abordant un projet d’envergure, « un ballon pour l’école ».
Les activités peuvent cependant être abordées et utilisées de façon indépendantes et déconnectées du projet Ballon. Cet ouvrage est accompagné d’un CD-ROM comprenant plus de 90 fiches de travail.
Ouvrage – 2012 – 224 p.Réf. : 31000001 – 24 €
Objectifs de l’ouvrage
Cet ouvrage, basé sur les sciences expérimentales, couvre la partie sciences physiques et technologie des programmes de 2008.
Dans l’esprit de la « Main à la pâte », il a pour but de favoriser le développement des sciences et de la technologie grâce à une démarche d’investigation expérimentale « fonctionnelle » adaptée au cycle 2, pour atteindre une réalisation concrète, initiée et réalisée par les élèves eux-mêmes..
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