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Du vendredi 5 octobre au dimanche 28 octobre
Les vendredis et samedis à 20h, les mercredis et dimanches à 15h
Représentations scolaires : les jeudis à 10h et 14h, les vendredis à 14h
La farce de Maître Pathelin
Version contemporaine et mise en scène : Richard Demarcy
d'après un anonyme du 15ème siècle
Création tout public à partir de 6 ans
C'est un petit cirque à l'ancienne avec ses clowns-musiciens qui eurent un jour la lumineuse idée de jouer une vraie pièce de théâtre quasi inconnue mais au titre célèbre. L'auteur écrivait en rimes, vieux français, picard, limousin et latin de cuisine. Cette histoire délirante avec quiproquos et coups de théâtre, moquait allègrement les puissants, les boniMenteurs, flatteurs et escroqueurs de tout poil. Il inventa la première pièce de théâtre de notre riche répertoire qui à l'époque devait intégrer, "farcir" les Mystères du Moyen Âge sur les parvis des églises. Elle fut autant condamnée pour "grossièretés et insolences de basses classes" que saluée pour son regard lucide sur le monde. Elle a traversé les siècles, forgeant aussi la vie du théâtre, entraînant les foules dans ses déflagrations de rires, fous-rires et émerveillements poétiques; jusqu'à se retrouver dans nos livres d'écoliers, pour l'étude heureuse de notre art. Elle est ici mise au goût de notre époque en vers de mirliton, pirouettes langagières et bien sûr coups d'œil clairvoyants sur aujourd'hui. Après Le Songe d'une nuit d'été, les acteurs du NAÏF THEATRE, musiciens-acrobates- dresseurs de moutons, un brin felliniens et chagalliens, ont le plaisir d'endosser les habits colorés des clowns et burlesques, tous grands farceurs, héritiers des saltimbanques et des comédiens de la Foire, au son des musiques en live de Comelade, Nino Rota, Ennio Morricone, ou fanfares de place publique et de "strada". Richard Demarcy
La pièce est publiée à l'Avant-Scène Théâtre en octobre 2012
Du 2 au 24 novembre 2012 Les jeudis, vendredis et samedis à 20h, les dimanches à 15h
COMME UNE ISLE - Création Texte : Leïla Cukierman Mise en scène : D’ de Kabal Avec : Leïla Cukierman, D’ de Kabal, Nina Miskina Assistante à la mise en scène :
Emel Hollocou
Création lumière : Romain
Ratsimba
"Juive athée au prénom arabe,
Descendante d’Antillais noirs et métisse blanche,
Communiste sans carte.
Je me trouve à la croisée. Je puise aux sources qui m’ont nourrie :
La mémoire de l’esclavage, la mémoire du génocide des juifs, l’histoire militante des miens." Leïla
Cukierman
Comme une Isle est le récit d’une manière de se situer au monde, d’une urgence à dire, presqu’obsessionnelle. Ce texte n’est pas un essai politique, ni un roman autobiographique, ni de la poésie. Il tient pourtant un peu des trois; il se tient à la croisée. Pour composer avec le multiple des voies empruntées par ses interrogations, la voie du
politique, celle du lyrisme, celle du quotidien témoigné, il y fallait donc du chant, de la
musique, le jeu du conte et le slam, l’art le mieux à même de clamer la voie du politique
aujourd’hui.
La rencontre avec D’ de Kabal, metteur en scène de cette génération jeune et impertinente, était presqu'une évidence ; audacieux et pertinent, il ose des propositions inclassables ; il cherche. Quelques décennies séparent l'auteur du metteur en scène, mais ils partagent le point de
vue de la marge. Un état de révolte les (é)meut.
Leïla Cukierman a écrit Comme une Isle pour participer à l’aventure des Conférences Gesticulées mises en œuvre par Franck Lepage au Grand Parquet en 2009/2010. Intéressé par son parcours d’adhérente du PCF, celui-ci lui avait demandé d'en témoigner ainsi que des réflexions afférentes à la distance prise avec son inscription partisane. C'est ce texte, puisé aux sources intimes qui l’ont nourrie : la mémoire de l’esclavage et celle du génocide des juifs, écrit à cette occasion, qui est aujourd'hui créé au Grand Parquet.
Une coproduction R.I.P.O.S.T.E, Moun San Mélé, le Grand Parquet, l'Espace Jean Vilar d'Arcueil, le Train Theâtre de Portes Les Valence, avec le soutien du Conseil Général du Val de Marne.
Du 29 novembre au 23 décembre 2012
Les jeudis, vendredis et samedis à 18h45, les dimanches à 14h45 Le Grand Parquet et le Théâtre de la Marionnette à Paris présentent
deux spectacles de Roland Shön
CIRCULAIRES DU SERVICE DES INSTRUMENTS DE MESURE Création
Texte, interprétation, peinture, objets, vidéos : Roland Shön Mise en jeu avec la complicité de : Jacques Bourgaux et François Small Bande son et musique : Jean-Jacques Martial Construction : Ludovic Billy Lumières : Claude Couffin
Bravant les interdits dictés par un monde où on ne lit plus que sur des écrans, c’est dans le plus grand des secrets qu’un mystérieux personnage nous convie à nous rassembler pour écouter lire à haute voix. Pour entendre de la poésie, et rêver aux vies terribles et parfois cocasses de ceux qui se sont voués à compter, mesurer, peser, calculer, estimer. L’ancien employé du Service des instruments de mesure nous dévoilera aussi une collection de curiosités, rouleaux peints de chiffres, statuettes, instruments en tout genre, ayant appartenu à son maître le Grand Arpenteur, cet homme qui aimait à répéter : « Je suis un compteur, pas un comptable, mes mesures n’épuisent pas le mystère du monde, elles me le rendent habitable ». Production : Théâtrenciel et Le Grand Parquet Coproduction : L’Hectare Scène de Vendôme Avec l’aide du Département de la Seine-Maritime, de la Ville de Paris, de la Région Île-de-France et de la Mairie du 18e arr. de Paris Avec le soutien de DSN – Dieppe Scène nationale, du CRéAM (Centre régional des arts de la marionnette de Basse-Normandie).
En partenariat avec le Centre d'animation Chateau Landon
Du jeudi 29 novembre au dimanche 23 décembre 2012 Les jeudis, vendredis et samedis à 21h, les dimanches à 19h
Gyromances Texte, interprétation, peinture, objets : Roland Shön Musique (composition) : Jean-Jacques Martial Interprétation en direct : Jean-Jacques Martial (guitares et samplers) et Roland Shön (bugle) Mise en jeu : avec la complicité de Jean-Paul Viot Construction : Ludovic Billy Lumières : Éric Guilbaud
Traduction en latin : Carine Reumea Mêlant talents d’acteur et de plasticien, Roland Shön réinvente l’histoire tout en nous la contant. Ce colporteur d’images hors pair fait revivre sous nos yeux l’art singulier de la gyromance (du grec gyro, cercle, et de romance, pièce poétique populaire). Disparue de nos rues et de nos scènes, cette tradition – ancêtre de la bande dessinée et du cinéma – consistait à raconter une histoire en déroulant des images peintes sur un rouleau
de toile. Sous la conduite de notre conteur‑conferencier érudit et déjanté, nous embarquons en musique dans une croisière gyrocambolesque qui commence au xve siècle dans le port de Dieppe pour s’achever à l’aube du siècle dernier. Après le spectacle, le public découvrira une quinzaine de rouleaux de « gyromance de salon » peints par des artistes contemporains : une exposition réunie par la Fondation Volter Notzing. Les rouleaux de l’exposition ont été peints ou dessinés par : Paul Bonmartel, Drane, Elizabeth Erkel Deleris, Marti Folio, Konu, Sylvie Laroche, Bertrand Legros, Loxias, Michel Mangard, Roland Shön, Pierre Verbraeken. Construction : Ludovic Billy CINÉTROMBINOSCOPE : film d’animation réalisé par Roland Shön (10 minutes), avec une musique de Frédéric Jouhannet interprétée par Claude Couffin, Joël Drouin, Frédéric Jouhannet, Sébastien Palis. Production : Théâtrenciel (Dieppe) Remerciements à la Logomotive Théâtre
Du 4 janvier au 3 février 2013 Vendredi, samedi et dimanche à 19h Mercredi et dimanche à 15h Représentations scolaires : jeudis 10h et 14h
Faim de loup Solo pour une comédienne et tout un univers de marionnettes, inspiré du Petit Chaperon
Rouge des frères Grimm - Compagnie Graine de Vie
Mise en scène : Ilka Schönbein
Conception, interprétation et manipulation : Laurie
Cannac
Marionnettes : Laurie Cannac, Ilka Schönbein et Serge
Lucas
Scénographie : Serge Lucas
Son : Claire Moutarde, Philippe Vincent et Guy Pothier
Lumière : Luc Pierroutet
Tout public à partir de 8 ans
Faim de loup, c'est la faim de vivre ! L'appel d'une petite fille moderne, à l’aube de l’adolescence, un brin clownesque et décalée, coincée dans des règles inadaptées, étouffée par l’amour sans limites de sa mère… Petite héroïne d’un monde tout blanc, elle plonge avidement dans l’histoire du Chaperon rouge... rouge comme le danger, la révolte, l’amour ! "Ilka Schönbein et Laurie Cannac transforment le périple initiatique du Petit Chaperon Rouge en une aventure de chair et de sang aux frontières de l’inconscient d’une remarquable puissance émotionnelle. Petit Chaperon Rouge, rouge coquelicot, petite maison de chair et de sang rouges, rêve de grande forêt à traverser… Une petite fille qui ressemble à un clown blanc, blottie sous la couette de son grand lit blanc, puis décidée à en sortir. Un loup comme une menace absolue, prédateur sexuel. Lorsque Ilka Schönbein visite un conte des frères Grimm, elle s’aventure au plus profond des territoires mouvants entre conscient et inconscient, et fait surgir des images d’une telle puissance émotionnelle que les grands autant que les petits (à partir de huit ans) sont subjugués." Agnès Santi La Terrasse Ce spectacle s'inscrit dans le "Parcours enfance & jeunesse" initié par le Théâtre de la Ville en partenariat avec d'autres
structures parisiennes : le Centquatre, le Théâtre Monfort, La Gaîté Lyrique, le Grand Parquet, la Cité Internationale
LE CHANT DES SIRENES, un appel à la création. Projet d’éducation artistique inter-régional et international associé à la création de la Petite sirène d’Andersen par Laurie Cannac et Ilka Schönbein Sur toute l’année scolaire 2012-2013, le Grand Parquet propose de faire partager le processus de création d’un spectacle de marionnettes de la Cie Graine de Vie avec 21 classes à Paris, en province et au Danemark. Production : Le Grand Parquet et La Compagnie Graine de vie Coproduction : Theater Meschugge, Arcadi, Théâtre de l’Espace - Scène Nationale de Besançon Avec le soutien de : L’Institut International de la Marionnette de Charleville-Mézières, de la DMDTS (aide à lamaquette), de la DRAC de Franche Comté, du Conseil régional de Franche Comté, du Conseil général du Doubs, de la Ville de Besançon et l’aide de L'Arche de Bethoncourt, du CREAM de Dives sur Mer, de Scènes du Jura, de la Ville de Paris, de la Région Ile de France et de la Mairie du 18ème.
Du 9 janvier au 2 février 2013
Mercredi, jeudi, vendredi et samedi à 21h
Ménélas rapsodie - création
de et par Simon Abkarian
Avec :
Simon Abkarian
Grégoris Vassila : Chant et Bouzouki
et Kostas Tsekouras : Guitare
Le texte de Ménélas Rapsodie est publié aux éditions actes-Sud
papiers
"Depuis longtemps je voulais faire un spectacle à propos de Ménélas et d’Hélène avec mon
ami Grigoris Vasilas, bouzoukiste virtuose, et Kostas Tsekouras, guitariste hors pair. Tous
deux jouent le Rébétiko dans le groupe Dromos. Le Rébétiko est une musique qui voit le jour
en Asie mineure dans les années vingt. C’est la musique des bas-fonds, le blues de la Grèce.
On y chante les amours perdues, les trahisons, les crimes d’honneur, l’alcool, la drogue.
Les chants rébètes sont les derniers soubresauts d’une parole libre, les derniers soubresauts
de la tragédie grecque.
A maintes reprises Grigoris et moi nous sommes retrouvés en Grèce et ailleurs. Maintes et
maintes fois autour d’une table nous avons chanté, dansé.
Mais surtout nous nous étions fait la promesse d’un travail commun.
Cette promesse nous allons la tenir, lui avec son bouzouki et sa voix venue des temps
anciens et moi, avec mon écriture.
De Ménélas et d'Hélène, nous avons des idées, des points de vue qui tiennent souvent de
l’arbitraire et du cliché.
J’ai voulu questionner, comprendre la solitude de Ménélas et redessiner à tâtons les
contours de ce chagrin d’amour toujours occulté par la guerre de Troie.
J’ai voulu convoquer une parole écrite, une langue dense et ardue, un langage poétique,
lyrique, trivial.
C’est par l’incarnation et l’incantation, par l’art de jouer que tous ces modes deviendront du
théâtre. J’ai voulu tendre, comme dans mon précédent spectacle Pénélope ô Pénélope, vers
une langue française où les subjonctifs et les conditionnels ne sont pas dédaignés. " Simon
Abkarian
Production : Les Métamorphoses Singulières, Le Grand Parquet et Tera. Avec le soutien de la Ville de Paris, de
la Drac Ile de France, de la Région Ile de France et de la Mairie du 18ème
Du 15 février au 3 mars 2013 Vendredi, samedi, dimanche à 19h Mercredi et dimanche à 15h Représentations scolaires les jeudis 21 et 28 à 14h
Kathputli Danses et marionnettes du Rajasthan
Mise en scène : Zazie Hayoun
Marionnettistes : Vijay Bhat, Zazie Hayoun, Ishwar Mathur Musiciens, chanteurs : Vijay Bhat, Sikandar Khan Danseuse : Nia Mathur Construction des marionnettes : Puran Bhat Costumes : Shanti Lal Production : Théâtre en Tête
Le Kathputli, art des marionnettes indiennes, est né au VIIIe siècle de la nécessité de distraire le prince Vikramadiya. Depuis, les maîtres marionnettistes se transmettent leurs secrets de père en fils. Le spectacle présente la particularité de mêler cette tradition avec celle de la danse indienne, dans un univers poétique véritablement enchanteur. La première partie se déroule dans un petit village indien et raconte des scènes de la vie quotidienne à travers des personnages pittoresques (le marchand, le tailleur, le porteur d’eau…). La deuxième partie du spectacle nous transporte dans la cour de l’empereur Akbar, pour un festin durant lequel se déroulent plusieurs attractions : le charmeur de serpent, un acrobate qui jongle avec des torches enflammées, un dompteur d’éléphant… Ce spectacle s'inscrit dans le "Parcours enfance & jeunesse" initié par le Théâtre de la Ville en partenariat avec d'autres
structures parisiennes : le Centquatre, le Théâtre Monfort, La Gaîté Lyrique, le Grand Parquet, la Cité Internationale
Production Théâtre en tête
Du 7 au 31 mars 2013 Jeudi, vendredi et samedi à 20h Dimanche à 15h Anne-Sybille Couvert raconte
ATTIFA DE YAMBOLÉ - conte africain
Création et interprétation : Valérie Véril Mise en scène : Philippe Nicolle Avec la collaboration d’Hélène Sarrazin Accessoires : Michel Mugnier A partir de 14 ans
C’est dans la plus pure tradition des contes africains qu’Anne-Sybille a écrit Attifa de
Yambolé. L’histoire raconte la quête de cette fillette qui cherche « à se délivrer du grand
chagrin qui pèse sur son cœur : celui de n’avoir pu donner à sa mère un dernier baiser, le
jour où dans la grand’ forêt, elle disparut à tout jamais ».
Par le biais de cette fable, Anne-Sybille nous fait partager ses passions toutes récentes pour
l’art du conte et pour cette Afrique, « si pittoresque, si chaleureuse, si déroutante ».
«…j’ai voulu créer un pont entre nos deux cultures et inviter le public à traverser ce pont en
ma compagnie. Il y a tant à dire sur ce pays. C’est tellement riche l’Afrique... Enfin, façon de
parler. »
Si Anne-Sybille s’adresse cette fois à nous, les adultes, on retrouve dans cette fable africaine
l’enthousiasme et la générosité qu’on lui connaît dans ses contes pour enfants.
… Enthousiasme et générosité ?… ou naïveté et bonne conscience ?...
« Elle adooore l'Afrique et les africains », elle a passé 10 jours dans un club de vacances au
Sénégal l’année précédente et il lui semble depuis qu'elle a découvert un peuple et sa
culture.
Le fil est ténu entre le ressenti et le jugement, la naïveté et la bêtise, l’incompréhension et le
mépris, la comparaison facile et le racisme.
Cette parodie de conte africain ou plutôt de conteuse récemment piquée d’Afrique, évoque,
avec humour, les préjugés raciaux incrustés dans l'inconscient collectif, mélanges de
paternalisme et d’apitoiement ; la bonne conscience à bon compte ; en bref
l’ethnocentrisme occidental.
Production : 26000 couverts Avec le soutien de l'Usine, lieu conventionné dédié aux Arts de la rue (Tournefeuille Grand Toulouse) et de la Péniche Cancale (Dijon)
Du 14 au 28 mars Jeudi 14, vendredi 15 et les mercredis 20 et 27 mars à 15h Représentations scolaires : les jeudis 21et 28 mars à 10h et 14h
Où?
Conception : Aurélie de Cazanove Mise en scène : Roland Shön Interprétation, manipulation : Aurélie de Cazanove et Ingrid Strelkoff Lumières : Claude Couffin Musique : Jean-Jacques Martial Marionnettes, ombres, costumes, scénographie : Aurélie de Cazanove Régie : Denis Brély Administration : Hélène Le Gall A partir de 4 ans
Où? entraîne le jeune public (et tous ceux que le temps n’a pas encore désenchantés)
dans un songe peuplé d’êtres chimériques, agrégats sensibles de fer, d’os, de tissus, de plastiques, d’ombres, surgis des mains de deux feux follets en jupons.
Où? c’est où? Elles ne savent où aller mais continuent leur voyage avec l’allègre
légèreté de qui n’a rien à perdre. En faisant naître et grandir une marionnette, elles vont trouver la force d’échapper aux griffes du sommeil, de l’oubli, aller vers d’autres mondes que celui de planches et de toile où un mystérieux envoûtement les faisait errer sans boussole.
Production Theatrenciel Avec le soutien du Tas de Sable - ches Panses Vertes Pôle des arts de la marionnette en Région Picardie et du Vélo Théâtre Pôle des arts de la marionnette en région PACA. En partenariat avec le Relais Bellemare (76) et Dieppe Scène Nationale.
Les 5, 6 et 7 avril vendredi et samedi à 20h
dimanche 15h
Avenir radieux une fission française de et par Nicolas Lambert
Collaboration artistique : Erwan Temple Création musicale : Eric Chalan Musique : Eric Chalan (contrebasse) en alternance avec Hélène Billard (violoncelle) Direction d’acteur : Nathalie Demnard-Brucher
En attendant le troisième volet de la trilogie Bleu/pétrole, blanc/nucléaire, rouge/armement
prévu pour la saison 2013/2014, on retrouve Avenir radieux, une fission française, qui n'a
pas pris une ride et qui est (hélas!) toujours d'actualité.
"Avec ironie et efficacité Nicolas Lambert explore les zones d'ombre de la filière nucléaire à
la française. Explosif, forcément." Hugues Le Tanneur - Les Inrocks
"Nicolas Lambert est un empêcheur de tourner en rond. Depuis 10 ans ce comédien citoyen
s'attaque aux mensonges d'Etat, dans une trilogie pleine de révélations, bleu pour le pétrole,
blanc pour le nucléaire et rouge pour l'armement.
Après Elf, la pompe Afrique, son spectacle édifiant sur le scandale politico-financier, voici
Avenir Radieux, une fission française ou la grande et petite histoire de l'atome en France.
Avec un contrebassiste et une vidéo, Nicolas Lambert démêle les fils de ce labyrinthe
énergético-industriel." Claire Baudéan - France info
"Entre rires étranglés et neurones irradiés, on comprend tout : la fable de l'indépendance
énergétique, la farce des débats publics, le mépris de la démocratie et comment la pub
achète la complaisance des médias.
Mais que peuvent les milliards de propagande d'EDF et d'AREVA face à ces deux heures
d'Intelligence ? Rien." Jean-Luc Porquet - Le Canard enchaîné
Production : Un pas de côté et Le Grand Parquet. Coproduction : Théâtre de Rungis, La Grange Dîmière, Théâtre de Fresnes, Communauté d’agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines / Le Prisme. Avec le soutien : de la DRAC Ile de France pour l’aide à la résidence et l’aide à la création, d’ARCADI pour l’aide à la reprise, de la Ville de Paris, de la Région Ile de France et de la Mairie du 18ème.
Le mardi 9, mercredi 10, jeudi 11, vendredi 12 avril à 20h
La vieille et la bête, à mon père
Ilka Schönbein – Theater Meschugge
Avec : Ilka Schönbein Alexandra Lupidi musicienne Simone Decloedt régie générale Anja Schimanski régie lumière Création lumière : Sébastien Choriol, Anja Schimanski, Création musicale : Alexandra Lupidi
Collaborateurs artistiques : Britta Arste,
Romuald Collinet, Nathalie Pagnac
"Forgé avec des moyens rudimentaires et un engagement total, les spectacles de la
danseuse-marionnettiste fascinent.
A chaque représentation, Ilka Schönbein met KO les spectateurs. Sa frêle silhouette et les
moyens rudimentaires mis en jeu (un peu de paille, des pommes et quelques marionnettes)
pour réinventer des contes défaits par la désinvolture des ans, sa manière à peine
impudique de nous montrer les changements à vue et la mise en place des accessoires
magnifient l'engagement total d'une interprète hors du commun.
Pour la vieille et la bête Ilka réinvente sur scène des histoires que lui racontait son père.
"Pour faire danser ses vieux os", comme elle dit, elle a engagé une musicienne, la trépidante
Alexandra Lupidi, puis ajoute sur scène de la paille, des pommes et quelques marionnettes.
Le rêve se mélange à la réalité. La bête prend possession du corps d'Ilka… et vous verrez ce
n'est pas qu'une illusion." Thierry Voisin – Télérama Sortir N° 3137
Production : Le Grand Parquet et Theater Meschugge. Coproduction : Théâtre Vidy-Lausanne, La Grande Ourse / Scène Conventionnée pour les jeunes publics – Villeneuve lès Maguelone, L’Arche, Scène Conventionnée pour l’enfance et la jeunesse, scène jeunes publics du Doubs et Centre culturel Pablo Picasso, scène conventionnée pour le jeune public, Festival Momix, Crea, Arcadi. Avec le soutien de l’Institut International de la Marionnette de Charleville-Mézières, de la Ville de Paris, de la Drac Ile de France, de la Région Ile de France et de la Mairie du 18ème
Du 22 au 26 avril et du 22 au 30 mai 2013
Nouvelle session de l'Université Populaire Gesticulante
Animée par Franck Lepage
(en construction)
1ère date : dimanche 25 novembre : 14h Inculture(s) 1 - version longue
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Tout au long de l'année (une fois par mois) le "conseil des ministres de l'alter
gouvernement" :
18 ministres-citoyens pour une réelle alternative
L’Alter gouvernement est un gouvernement populaire composé de 18
ministres-citoyens réunis par les éditions du Muscadier au sein d’un ouvrage
collectif paru au mois de janvier 2012.
Première soirée avec Jean –baptiste Eyraud sur le logement : mercredi 21
novembre à 20h
Du jeudi 2 au dimanche 26 mai 2013 Jeudi, vendredi et samedi 20h, dimanche 15h
ALA TÈ SUNOGO / DIEU NE DORT PAS - Création
Un spectacle théâtral et chorégraphique de BlonBa Texte de Jean-Louis Sagot-Duvauroux Mise en scène de Jean-Louis Sagot-Duvauroux et Ndji Traoré Avec : Adama Bagayoko, Alimata Baldé, Diarrah Sanogo, Souleymane Sanogo et Sidy Soumaoro musique :Issiaka Kanté, lumières : Youssouf Péliaba
C'est le retour de Bougouniéré qui croise, cette fois, sa nouvelle aventure avec la danse contemporaine, un art en pleine effervescence à Bamako. Ainsi, Bougouniéré et sa famille vont rencontrer par l'intermédiaire d'un jeune garçon des rues, muet et danseur, la réalité problématique d'une institution culturelle fortement inspirée du centre culturel de BlonBa à Bamako. L’évolution et la modernisation du kotèba ont convaincu la société malienne. Quoique le nouveau kotèba soit formellement très différent de ce qui se faisait dans les villages, il est spontanément reconnu par le public et en tire une vive popularité. Avec Ala tè sunogo , BlonBa fait un nouveau pas et tente un mariage entre le kotèba et la danse contemporaine. Au début des années 2000, la chorégraphe haïtienne Kettly Noël s’installe à Bamako. Elle y fonde une compagnie de danse contemporaine et y ouvre un lieu qui accueille notamment des enfants de la rue. Plusieurs d’entre eux sont aujourd’hui des danseurs confirmés. Cette expérience a donné naissance à un vivier d’artistes plein d’énergie et de créativité, avec l’intervention de nouveaux chorégraphes étrangers et l’émergence de créateurs maliens. Mais les formats de la danse contemporaine, trop marqués par les standards occidentaux, peinent à prendre une place dans l’imaginaire culturel des Maliens, à trouver leur économie, à faire vivre au pays les jeunes qui s’y sont engagés. C’est un paradoxe dans une civilisation où la danse est de toutes les occasions importantes et de toutes les réjouissances. Ala tè sunogo est pensé pour populariser le travail de ces jeunes gens en intégrant des moments de danse contemporaine à un type de spectacle bien identifié et apprécié par le public bamakois.
Un théâtre en France
Depuis 2008, l’antenne française de BlonBa dirige le théâtre de l’Arlequin, à Morsang-sur-
Orge (Essonne, France) où elle développe une politique d’expression de la diversité
culturelle et d’ouverture aux publics populaires.
L’action de BlonBa en France est soutenue par la Région Ile-de-France, le département de l’Essonne et
la communauté d’agglomération du Val d’Orge.
Infos Pratiques
Renseignements et réservations :
01 40 05 01 50
www.legrandparquet.net
Tarifs :
• Plein tarif : 15 €
• Tarif réduit : 10 €
• Tarif étudiant (- de 26
ans) : 5 €
• Tarif Rmiste : 3 €
Le bar est ouvert une heure avant et après chaque représentation