Post on 25-Feb-2016
description
Quand l’éléphant trébuche, ce
sont les fourmis qui en pâtissent.
Une mer d’huile ne
donne
pas de loup de mer.
Le chien a beau avoir quatrepattes, il ne peut emprunterdeux chemins à la fois.
Traverse la rivière
avant d’insulter le
crocodile.
Le tronc d’arbre a beau séjourner dans le fleuve,il ne se transformera pas en crocodile.
Le fleuve fait des détours
parce que personne ne lui
montre le chemin.
Quand on n’a qu’une lance,on ne s’en sert pas contreun léopard.
Dieu n’a fait qu’ébaucher l’homme.C’est sur terre que chacun se crée.
Le drapeau suit
la direction du vent.
On n’est pas orphelin d’avoir perdu père et mère, mais d’avoir perdu l’espoir…
Un homme qui senoie s’agrippe àl’eau.
Suivez les abeilles et vous mangerez le miel.
Peu importe la direction du vent, le soleil va toujours où il doit aller.
La branche ne se cassera
pas dans les bras du
caméléon.
Tous les blancs ont une montre,mais ils n’ont jamais le temps
Là où le cœur est,les pieds n’hésitent pas à y aller !
Le bœuf ne sevante pas de saforce devant l’éléphant.
Le bruit du fleuven’empêche pas lepoisson de dormir.
Sur quelque arbre que tonpère soit monté, si tu ne peuxgrimper, mets au moins lamain sur le tronc.
Quand tu marches, lepagne dure ; quand tues assis, le pagnes’use.
Ce n’est pas à touteoreille percée qu’onmet des anneaux d’or.
La main de celui qui demande est toujours en dessous de la main de celui à qui il demande.
Ne te lasse pas de crier ta joie d’être envie, et tu n’entendras plus d’autres cris.
L’homme a inventé la montre, mais Dieu ainventé le temps.
L’eau chaude n’oublie pas qu’ellea été froide.
La figue ne tombejamais en plein dansla bouche.
Ce n’est pas parce que c’est
dur qu’on n‘ose pas, mais
mais c’est parce que l’on
n’ose pas que c’est dur.
L’oreille n’est jamaisplus grande que latête.
Bouche de miel, cœur de fiel.
On n’achète pasun bijou non dépouilléde son emballage.
Le léopard ne sedéplace pas sansses tâches.
La chèvre broute
làoù elle est
attachée.
Si tu as de nombreuses richesses, donne ton bien. Si tu en as peu, donne ton coeur
Pour qu’un enfantgrandisse, il fauttout un village.
Un vieillard qui meurt,c’est comme unebibliothèque qui brûle.
Qui dit « Bonjour Madame
» dit« Au revoir l’argent.
» Là où la hache va,c’est pour couperdu bois.
Musique : Bantous de la Capitale – Makambo MibaleIllustrations : CD de cliparts de Micro Application